Sur Facebook, quelqu’un s’interroge sur les motivations réelles de la gauche.
« Pourquoi croyez vous que la voilée du Conseil Régional soit plus défendue par la gauche que Sarah Halimi, le jeune Timothy égorgé à Villeurbanne, le père Jacques Hamel, Hervé Cornara, Mireille Knoll ou les deux gamines de la gare de Marseille éventrée et égorgée ?”
Il poursuit :
“La gauche considère que certaines victimes sont plus victimes que d’autres.
Quand le massacre de Christchurch eut lieu, elle a appelé à se réunir contre la haine et l’extrême-droite, par contre toutes les semaines, l’équivalent d’un Christchurch massacre des chrétiens en Afrique, et la gauche est aux abonnés absents ?Pourquoi ?
Parce que les tueurs sont musulmans et que cela la gêne, comme pour les Asiatiques qui se font agresser à Paris, c’est l’identité des agresseurs qui détermine les absences de réaction.»
Je ne partage pas totalement cette opinion, pourtant largement consensuelle.
La réalité est bien pire que ça
Le mal est plus profond et plus maléfique encore.
- La gauche ne considère pas que certaines victimes sont plus victimes que d’autres. Elle a des victimes utiles et des victimes inutiles. Rien d’autre.
- La gauche n’est nullement gênée lorsque les tueurs sont musulmans, ou noirs. Elle se fiche des tueurs, des victimes, des musulmans et des noirs.
- Elle ne déteste pas les tueries, les attentats et les massacres. Elle est juste furieuse quand ils apportent un argument contre l’immigration, et heureuse de ceux qui servent à accuser la droite.
Je crois fermement que la gauche n’a pas de cœur et pas d’empathie. C’est une machine infernale et inhumaine qui broie tous ceux qui se dressent sur son passage, sans le moindre état d’âme, sans la moindre hésitation, sans le moindre regret, sans un frisson ni une larme pour ses opposants qu’elle parvient à déchiqueter.
La gauche n’a qu’un but, qu’un objectif, qu’un idéal : le pouvoir absolu, total et totalitaire, sans partage et sans résistance. Détruire, démolir, saccager tout sur son passage pour prendre le pouvoir, enchaîner les peuples et les soumettre, est pour elle la chose la plus naturelle, la plus normale, donc la plus noble.
La gauche ne s’émeut que lorsqu’elle pense avoir un gain politique à tirer de son émotion de circonstance.
Elle ne voit des victimes que si elles peuvent l’aider à diaboliser, crucifier, écraser ceux qu’elle veut détruite. S’il n’y a pas de victime, elle en invente.
Elle a inventé les “minorités victimes” et nié l’existence des minorités criminelles et sadiques. Elle a exagéré les victimes de l’homophobie, de l’islamophobie et du racisme parce qu’elle en accuse la droite. Les victimes qui ne lui servent à rien, elle ne les voit pas. Une victime doit être quelqu’un qui sert ses objectifs.
Une victime est une arme, pas un être humain. Parce que la gauche méprise la vie. Elle méprise les gens. Elle méprise les sentiments.
La gauche aime voir ceux qui “résistent” tuer ses adversaires. Et voir mourir ceux qui lui résistent.
Aucune victime ne compte si elle n’offre pas de gain.
C’est sans limites et sans fin. Mais les gens ne sont plus lâches et ils en verront la fin. S’ils le répètent sans relâche.
La guerre des mots doit s’intensifier. La contre-attaque doit se développer.
On attribue à Goebbels d’avoir dit qu’«un mensonge répété mille fois se transforme en vérité». Je vous laisse imaginer les ravages que nous leur infligeons, à force de répéter mille fois la vérité.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Dans les années 2000, l’un de mes fils s’était lié d’amitié avec un collégien dont la famille originaire du Vietnam résidait à 500 m de chez nous.
Les parents de ce collégien tenait un restaurant, des gens biens intégrés arrivés en France en 1975.
Lors d’une longue conversation avec le père de famille, il m’expliqua que le dénominateur commun des membres du Vietcong (FLN) était leur jalousie maladive à l’endroit de leurs concitoyens du Sud Vietnam qui travaillaient durement pour acquérir un bien, vivre confortablement et payer des études à leurs enfants.
C’est dans l’ADN des gens de gauche, dont les cadres ne rechignent pas à vivre dans l’opulence, ils tondent ceux qui produisent les richesses pour les redistribuer.
Quand ils ont tout détruit, quand les caisses sont vides, ils ouvrent grand les frontières pour inviter toute l’humanité souffrante.
Car pour rester au pouvoir, il faut impérativement remplacer leurs anciens électeurs par les nouveaux venus.
Rendez-vous compte, les éternels cocus de l’extrême ponction se sont enfin réveillés.
erratum: tenaient un restaurant…
J’allais le dire.
Vous avez totalement raison Jean-Patrick !
La gauche est une idéologie ; et une idéologie n’a bien sûr pas de cœur mais juste un objectif et un modus operandi qui est que“la fin justifie les moyens”.
Son souci majeur est donc de dresser un décor à son (mauvais) théâtre pour attraper les mouches comme les rouleaux de papier glu suspendus au plafond des officines de jadis.
Tout est décor : des postures, des faux-semblants, des images sélectionnées et choisies. De la propagande où la réalité n’a que peu de place mais où ont accuse toujours les autres des ses propres turpitudes par nature et dont eux-mêmes (ceux de la caste) sont absous par essence.
L’important sont les apparences, lors que la réalité n’en a aucune. Ce qui est important est ce que l’on dit et ce que l’on montre ; ce qui ne se dit, ne se voit, qui est caché, n’existe pas.
A noter que tous les totalitarismes procèdent de cette manière par l’inversion des valeurs permanentes, l’usage et la justification de la contrainte et de la violence, l’indifférence vis-à-vis des personnes faites de chair et de sang, d’amour et de sentiments, de force et de faiblesses, de grandeur et de mesquineries. L’Humain ne les intéressent pas. Seule leur idéologie théorisée qui fonde leur puissance et leur pouvoir les occupe. Le reste… n’est que l’environnement qu’ils entendent formater à leur convenance et à leur pérennité ! Pour leur propre caste et leur propre profit, en dépit de leurs mensonges schizophréniques où le cynisme le plus absolu le dispute à la bonne conscience la plus désincarnée !
On ne peut mieux le dire !
La gauche est la forme la plus pernicieuse de la sociopathie.
Imaginons deux évènements similaires :
– un migrant musulman égorge un militant Front National à son domicile.
– un militant du Front National abat d’un coup de fusil un migrant musulman venu l’attaquer chez lui.
Imaginons maintenant le traitement politico-médiatique de ces deux faits.
Est-il besoin de faire un dessin ou suffit-il de se référer à des évènements passés ?
https://www.youtube.com/watch?time_continue=140&v=D2KJmSInWNM&feature=emb_logo
magnifique discours de Bojo pour Noël ,dédié à son peuple et aux chrétiens persécutés dans le monde ! bravo !les français n’ont pas eu le droit au voeux de notre PR
https://www.youtube.com/watch?time_continue=140&v=D2KJmSInWNM&feature=emb_logo
Juste après, il y a le discours de Sa Majesté.
Bon à écouter en attendant qu’en France… Nous ayons droit à quelqu’un qui nous fasse de même, dans sa légitimité.
c’est tellement flagrant depuis quelques années, elle a abandonné les travailleurs au profit des migrants
elle est féroce envers les giletjaunes, tolérante à l’excès avec les dileurs des “quartiers”
non seulement on doit le dénoncer mais le crier sur tous les toits
Que la majorité des Français se rendent compte de la nocivité de la gauche est une chose. En revanche , qu’il puisse s’en extraire en est une autre. En France , le système est bien verrouillé par la haute fonction publique , les médias et ceux qui sont dans le capitalisme de connivence. Tous se serrent les coudes et se tiennent la main. La France, le peuple…? Ils s’en foutent. Le problème: Comment les chasser du pouvoir, car ils contrôlent tout, y compris les partis qui soit disant sont de “droite”. La France finira comme l’ex URSS, lorsque vraiment le système s’effondrera tout seul. Ce ne sera pas les Français qui y mettront fin. Le système socialiste actuel fini, la république islamique prendra la suite.
C’est complètement factuel et bien résumé.
Ce que la plupart des gauchistes ne réalisent pas, c’est le mépris dans lequel les tiennent les politiciens auxquels ils ont confié le pouvoir et qui les roulent dans la farine. Pol Pot l’a exprimé en une phrase lapidaire à l’égard, entre autres, des idiots utiles chers à Lénine : “Lorsque l’individu est devenu inutile, il n’y a rien à gagner à le laisser vivre et rien à perdre à le laisser mourir.”
C’est le même mépris manifesté par Tartuffe à l’égard du bienfaiteur qu’il tente de cocufier :
“C’est un homme, entre nous, à mener par le nez
Et je l’ai mis au point de voir tout sans rien croire.”
Et c’est vrai, les cocus gauchistes abêtis, endoctrinés, menés par le bout du nez par leurs idoles voient tout sans rien croire et avalent toutes les couleuvres, et plus elles sont grosses, plus elles passent facilement. C’est seulement lorsque la bombe tombera sur leur table de cuisine – ou qu’ils se trouveront devant le peloton d’exécution – qu’ils seront désabusés, mais trop tard.