Le quatre avril 2017, une femme médecin retraitée, a été assassinée à Paris par un jeune homme de 27 ans, son voisin. Après avoir subi insultes et violences, elle est défenestrée. Le tueur, un multirécidiviste ayant fait plusieurs séjours en prison, tente de maquiller le crime en suicide.
Pourquoi Sarah Halimi est-elle morte dans de si atroces conditions? Les paroles prononcées par le meurtrier ne laissent place à aucun doute: c’est uniquement parce qu’il se réclame de l’Islam et que cette dame est juive qu’elle a été la cible de sa haine.
Le meurtrier vient d’être qualifié d’irresponsable. Il ne sera donc pas jugé, donc pas condamné. Le crime ne sera pas examiné par une Cour d’assise. C’est comme s’il n’avait jamais existé.
Déni des réalités ? Peur ? Quelle est la véritable motivation de cette décision ? Tous s’interrogent, psychiatre, juriste…Un malaise diffus se répand dans la société. D’autant que ce verdict vient s’ajouter à une longue liste de décisions très choquantes. Ici, c’est un violeur qui est acquitté pour le viol d’une fillette de 11 ans car ne possédant pas les « codes culturels » ; là des multirécidivistes condamnés mais libérés car bénéficiant d’une remise de peine…
L’explosion de la violence à tous les niveaux de la société donne l’impression que la délinquance et la criminalité, ont tendance à n’être plus réellement sanctionnées ou qu’elles le sont trop tard ; que les Juges ressemblent de plus en plus à des enseignants chahutés, incapables d’affirmer leur autorité, hésitant à punir ou le faisant tardivement, sans efficacité ; que les peines prononcées et effectivement accomplies ne sont pas proportionnelles aux crimes commis ; que tous les repaires sont brouillés…
Le système de la Justice semble incohérent, absurde, les peines distribuées à l’aveugle, en dehors de toute logique rationnelle.
Les meurtres commis au nom d’Allah par des « déséquilibrés », deviennent la norme. On nom du « pas d’amalgame », on fait ainsi rimer « islam » avec « folie ».
Par delà la problématique spécifique au drame vécu par Sarah Halimi, une tendance de la justice actuelle vise à inscrire délinquants, les criminels et la cohorte de leurs victimes, dans une sorte de chaîne victimaire. Les actes transgressifs seraient d’une manière globale, imputables à un déterminisme social et psychologique, non à la libre décision d’hommes responsables.
Nous sommes en train de mettre en application la théorie hugolienne du régime des sanctions et des peines :
On regardera le crime comme une maladie, et cette maladie aura ses médecins qui remplaceront vos juges, ses hôpitaux qui remplaceront vos bagnes. La liberté et la santé se ressembleront. On versera le baume et l’huile où l’on appliquait le fer et le feu. »[1]
Les causes de la psychiatrisation de la criminalité sont de deux sortes: l’une relève souvent de l’alibi fabriqué par le criminel lui-même, l’autre d’un mouvement de transformation en profondeur de la justice, de la moral et de la politique.
- 1- Le psychiatre alibi.
Le parcours fléché du parfait djihâdiste m’avait été communiqué par un « voyou ».
Dans la France d’aujourd’hui si on veut assassiner un impie, un ennemi d’Allah, Juif de préférence, en toute impunité, la formule est simple. Il suffit de faire préalablement un ou deux petits passages dans un hôpital psychiatrique. Les chemins qui y conduisent sont multiples et variés. Le candidat assassin admis à l’hôpital en sort avec en poche le passeport pour tuer, violer, piller… librement et sans risque majeur. Il sera indiqué dans son profil : antécédents psychiatriques ce qui atténuera considérablement sa responsabilité.
Mais, passer au travers des mailles du filet des psychiatres est aléatoire…la supercherie peut être dévoilée.
La jurisprudence Kabili Traoré/ Sarah Halimi, rend inutile le passage par la case « hôpital psychiatrique ». Tuer un Juif impunément est possible. Il suffit d’être sous l’emprise de stupéfiants pour être jugé pénalement irresponsable.
Comme le dit l’avocat Me Francis Szpiner, la justice vient de délivrer un permis de tuer des Juifs en toute impunité.
La décision de la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Paris est d’autant plus surprenante, qu’il est de notoriété publique que l’usage de stupéfiants fait parti des moyens favorisant le passage à l’acte. En levant toute inhibition, en supprimant notamment la répulsion instinctive que provoque l’acte de tuer, le candidat assassin est certain d’aller au bout de son projet, de le rendre le plus abominable possible pour inspirer la terreur la plus grande.
- 2- la causalité profonde.
Si la cause-alibi contingente est admise par les juges, c’est parce qu’elle s’inscrit dans le processus global de « renversement de toutes les valeurs » qui est en train de miner les soubassements civilisationnel de la société. Certes, pour l’heure, plusieurs systèmes de justice cohabitent : celui qui sanctionne la violation de la loi et celui qui vise à réparer et le coupable et sa victime.
Mais l’on constate que le juge « thérapeute du corps social », impose davantage chaque jour son empreinte. La « justice réparatrice » est maintenant inscrite dans la loi. La victime ou sa famille est invitée à se rapprocher de son bourreau pour l’aider à se réparer.
Lorsqu’ un juge estime que toute violation grave de la loi mérite une peine de prison ferme, le Juge des libertés, (le JLD) possède le pouvoir de neutraliser partiellement ou totalement cette décision en aménageant la peine, voire en libérant purement et simplement le condamné.
La plupart de ceux qui ont commis des actes terroristes ces dernières années, bénéficiaient de remise de peine et ont été libérés avant le terme de leur peine.
Au bout de la réforme de la justice, comme le voulait Victor Hugo, le crime ne sera plus puni. Le criminel ne sera plus enfermé dans une prison, mais « soigné » dans un hôpital pendant un temps plus ou moins long. Très rapidement, il circulera librement dans la société.
D’une manière générale, nous le constatons, la faculté de punir est en train de disparaître. Dans les familles, à l’école…il y a longtemps que l’on ne punit plus.
La manière et les finalités de l’exercice du pouvoir sous toutes ses formes, évoluent.
On constate qu’au gouvernement des hommes libres et responsables, succède la gestion des vivants, la protection de la vie. Celle des innocents tout comme celle des coupables. R. Badinter n’a-t-il pas déclaré que la vie est sacrée, même en la personne du sacrilège, même s’il s’agit de bourreaux d’enfants ou de hauts dignitaires nazis ?
Cette vision conduit à la « banalisation du mal » (dixit Hannah Arendt). Les actes criminels sont soit accidentels, soit accomplis mécaniquement par des bureaucrates normaux accomplissant leur devoir, soit le fruit de pathologies sociales ou psychologiques.
- 3- Avec la jurisprudence Traoré on peut dire que c’est la première fois que la Justice française valide la Charia pour les crimes de sang.
Tuer un impie, n’est pas susceptible d’engager la responsabilité du tueur. Dans le Coran il est écrit: si tu tues, ce n’est pas toi qui tues. C’est Dieu : « Ce n’est pas vous qui les tuez, c’est Dieu. Quand tu lançais (un trait), ce n’est pas toi qui le lançais, c’était Dieu ». (Sourate VIII, V.17)
Tous les musulmans fanatiques, prêts à tuer, à massacrer ceux qui ne marchent pas dans le chemin tracé par Allah, savent qu’ils obéissent à son ordre.
La Justice française vient de valider la doctrine de l’irresponsabilité contenue dans le Coran.
Le corollaire de la décision rendue par la chambre d’accusation dans le meurtre de Sarah Halimi est: Tout musulman participant au djihâd, est innocent, à la condition qu’il soit drogué.
Si la jurisprudence de la chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris qui a déclaré irresponsable l’assassin du docteur Sarah Halimi était confirmée, alors la fameuse secte des haschischins qui a terrorisé le monde musulman et non musulman pendant un siècle, dont les méthodes et l’idéologie ont inspiré au fil des siècles de nombreux fanatiques musulmans, cette secte et ses adeptes bourrés de haschich, sont innocents.
On frémit à l’idée de l’usage que feront de cette terrible jurisprudence, les candidats terroristes à travers le monde, surtout ceux qui sévissent dans les pays musulmans francophones.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
[1] Victor Hugo, Le dernier jour d’un condamné, le livre de poche, p.42
c’est la triste preuve que le Cancer ce propage …. que la religion satanique devient acceptable aux yeux de la justice et du gouvernement
Remarquable analyse du changement de notre société.
J’ai bien dit “changement” et non “évolution” qui implique une amélioration.
Ce pays est devenu horrible et invivable depuis 40 ans, et je constate qu’il ne connait aucune limite dans la déchéance islamo-gauchiste et sociétale.
A rejeter toutes les valeurs et repères, on créé le vide.
Le vide attire toujours le mauvais. Nous sommes en plein dedans.
Tout à fait d’accord avec vous quand vous dites ‘sans repère … un vide s’installe … et, dans un vide, le mal s’installe, s’amplifie et finit par nous atteindre, brouillant nos têtes et détruisant nos mentalités … et bientôt …. la confusion totale sur ce qu’on appelait ‘mal’ comme sur ce qu’on appelait ‘bien’ … Est-ce cela l’évolution ? Que de questions sans réponses se demande-t-on ! Pourquoi accepter la Sharia dans nos pays réciproques qui ne sont pas originellement musulmans ?! Pourquoi nos dirigeants ne mettent-ils pas leurs balises ? Quels psychiatres qui seraient capables de guérir des criminels drogués qui continuent à récidiver ? Leurs remèdes seraient-ils emprunts de laquelle des mentalités ? Un psy musulman n’y verrait pas la maladie car le crime est voulu et donc bon selon sa charia ! ……… Bref, je déplore l’existence du ‘Relativisme’ qui nous fait perdre nos repères, pourtant solides, qui nous étaient chers et nous valaient la bonne conduite dans la vie et dans l’éducation de notre progéniture ….. Quand en ma personne, les principes et valeurs vides de nos jours ne laisse en moi que de la colère mais ne peuvent m’atteindre …. Je déplore le monde pour ce qui sera de la prochaine génération !!??
Tout cela mène à l’adoption du principe de méfiance.
Un principe de vie chez les musulmans.
C’est tout-à-fait cela. L’Histoire retiendra qu’en 2019, la magistrature française a apposé son sceau sur la charia appliquée.
Dans le même registre, il faut se souvenir que concernant l’assassinat au couteau de deux jeunes filles devant la gare St Charles à Marseille le 1er Octobre 2017 (par un clandestin illégal qui aurait déjà dû être expulsé dix fois de France, mais que l’administration française avait sciemment lâché en liberté dans nos rues), un préfet avait dit aux parents, sans la moindre gêne ni honte, que leurs filles “étaient au mauvais endroit au mauvais moment”.
Deux filles désignées coupables de circuler en France. Voilà où on en est.
De là à déduire que ce meurtrier radical enragé était, lui, au bon endroit et au bon moment, il n’y a qu’un pas.
http://www.thereligionofpeace.com
“… un préfet avait dit aux parents, sans la moindre gêne ni honte, que leurs filles « étaient au mauvais endroit au mauvais moment ».
J’avais oublié cette horrible déclaration
Le bon endroit, c’est où ?
À la maison sans doute.
Sauf que même chez soi on n’est pas en sécurité. J’en veux pour preuve le funeste sort de Sarah Halimi.
quelle honte pour les juges ce permis de tuer des juifs et des chrétiens si on a fumé des pétards
mais violer aussi si on ne connait pas les codes !
et ils vulent ensuite que les gens respectent cette “justice” idéologiquement dépravée
on verra quand leurs familles seront touchées…
Formidable analyse de M. Touati.
Ce qui aurait semblé impensable il y a peu commence à se mettre en place.
Je garde encore l’espoir que la famille de Mme Halimi et ses avocats ne vont pas baisser les bras.
On ne peut qu’admirer l”analyse de Sydney Touati. La Justice Française vient effectivement de donner aux musulmans résident en France le permis de tuer des Kouffars.
La décision inique de la Cour d’appel de Paris est bien plus qu’un jugement de justice révoltant. C’est une étape capitale dans l’Islamisation rampante de notre pays. Avec elle, c’est tout un pan de notre civilisation judéo-chrétienne qui s écroule.
Il faudrait egalement se demander avec plus de vigueur pourquoi, que le coupable soit un meurtrier a punir ou un malade a proteger, la juge d’instruction a decrete des le debut qu’il n’y aurait ni proces ni reconstitution. Il ne fait aucun doute, devant ce refus de vouloir connaitre (ou reconnaitre ?) la verite, que la decision a ete prise pour balayer par avance sous le tapis les questions concernant l’inactivite des forces de securite presentes: a-t-on oeuvre en ce sens pour proteger le ou les responsables (a un niveau forcement eleve) de ce manquement ?
Vous avez presque la réponse André, poussez le raisonnement un peu plus loin et vous comprendrez.
Tous les commentateurs qui écrivent très justement sur ce sujet et s’en indignent n’évoquent pas un point – que pourtant Sydney Touati souligne dans le préambule de son article – qui est pourtant à considérer très sérieusement : le meurtre de Sarah Halimi a eu lieu le 4 avril 2017 soit 19 jours avant le premier tour de la présidentielle!
L’affaire Fillon ayant été diligentée par la “justice” française avec une célérité qu’on avait jusqu’alors jamais connue (enfin jusqu’au 23 avril après il ne posait plus de problèmes, d’ailleurs hasard du calendrier elle ressort maintenant et on attend son jugement….) il fallait au candidat Macron qu’il se retrouvasse en face de Marine Le Pen afin de nous refaire le coup de 2002 – habituez vous du reste il va vous le refaire en 2022!!!
Hors un crime antisémite commis par un musulman en pleine possession de ses moyens, qu’il a d’ailleurs recouvré totalement depuis, 19 jours avant le premier qu’on veut absolument en face de Marine Le Pen ça pourrait lui faire prendre 10 points de plus dès le premier tour. Il ne manquerait plus que ça.
Une preuve de ce que j’avance? Un an plus tard, plus d’échéance électorale et Mme Mireille Knoll subit le même châtiment mais là il s’agit d’un crime antisémite avec la circonstance aggravante incluse, étonnant non?
Peut être serait il temps de vous réveiller en France et de comprendre que comme aux Etats-Unis ou en Israël désormais la “justice” est aux ordres et instrumentalisée à loisir par le camp du bien du progressisme mondial.
Cet homme ne sera jamais condamné pour cet acte, faites toutes les pétitions que vous voulez la “justice” à sens unique a de la suite dans les idées et n’en démordra jamais, le camp progressiste aurait trop à perdre.
En revanche, Sydney Touati et beaucoup de commentateurs ont raison de préciser : il y aura désormais une jurisprudence Halimi. Vous vivez dans un régime totalitaire (je ne vous parle pas directement cher André je ne me permettrais pas c’est un “vous” en général que j’emploie) , il serait temps de tous nous y faire (je prie pour que cela n’arrive pas dans mon pays en Israël mais le ver est néanmoins aussi dans le fruit ici!).
Sur ce, bonne année tout de même.
“… un préfet avait dit aux parents, sans la moindre gêne ni honte, que leurs filles « étaient au mauvais endroit au mauvais moment ».
J’avais oublié cette horrible déclaration
Le bon endroit, c’est où ?
À la maison sans doute.
Sauf que même chez soi on n’est pas en sécurité. J’en veux pour preuve le funeste sort de Sarah Halimi.
Il est absolument faux de dire que “Le système de la Justice semble incohérent, absurde, les peines distribuées à l’aveugle, en dehors de toute logique rationnelle.”
Au contraire la justice est dogmatique et suit très précisément le catéchisme “progressiste”. Haine inextinguible de la droite, vénération des musulmans, moraline infantilisante. Plus que jamais la justice est le chien de garde du pouvoir ce qui est TOUT SAUF imprévisble.
Il faut donc revoir le fondement de la Justice de fond en combles.
La garder indépendante de l’Etat en fait du Gouvernement donc de la politique, mais aussi du côté extrêmiste de l’islam .
Notre Justice en effet, prend sa source dans les racines judéo-chrétiennes, d’où la possibilité de “rédemption/réinsertion” d’anciens condamnés.
En France, elle ne peut ni s’appuyer sur ni intégrer les règles de la charia, qui lui sont totalement étrangères et opposées !!!
Un crime commit sur le Territoire Français est donc soumis A LA LOI FRANCAISE !
Si ce n’est pas le cas, c’est qu’il y aurait “connivence avec l’Etranger”…………….
Avant on disait : Le crime ne paie pas !
Aujourd hui ; Le criminel ne payera pas !
Si tout les assassins sont jugés irresponsables (et déséquilibrés) à quoi servent les lois Françaises, quelle honte d’avoir un système judiciaire pourri, va t il falloir faire justice soi même ? Serons nous reconnus “Irresponsables” ! !! Je ne me reconnais pas dans cette France déclinante sans plus aucune valeur…
Vous n’êtes pas seule, Marie, à ne plus vous y retrouver dans cette France déshonorée et maltraitée.
Ce n’est pas réconfortant pour autant, au contraire.
Les juges, les profs et nos dirigeants sont terrorisés par ces “nouveaux Français” venus d’ailleurs… Leurs décisions sont le reflet de cette lamentable situation… Il est en effet plus facile (et moins risqué !) de mettre un Balkani en taule qu’un “jeune” assassin de banlieue… Le prof préfèrera donner une bonne note indue à l’élève issu de la diversité plutôt que de risquer des représailles… La police protège le citoyen dans la mesure ou elle n’est pas elle-même la cible de ces “sauvageons”… Elle a, de plus, ordre de ne pas poursuivre les “jeunes” délinquants en fuite… Et si d’aventure elle en place un en garde à vue, elle sait qu’il ressortira libre par décision d’un juge qui n’a pas plus envie que lui de représailles… Ainsi va le quotidien dans ce pays qui part à la godille depuis que VGE a eu l’idée lumineuse de décréter le regroupement familial sans avoir pris soin de l’assortir d’obligations d’intégration et de respect… Le boomerang lui revient ainsi en pleine figure, lui qui croyait peut-être que la grande faucheuse serait venue plus tôt, lui évitant cette ultime humiliation.
Le protocole de Barcelone
Mar 11, 2017 – 1973 : Le protocole de Barcelone – Ou comment les Socialistes et les Républicains ont bradé notre France ! Ils ont tout simplement « en catimini » signé la colonisation de l’Europe par l’islam après la première crise pétrolière.
https://www.isesco.org.ma/wp-content/uploads/sites/2/2015/05/Strat%C3%A9gieExtVFLR1.pdf
Peut être ont ils simplement peur ?
En effet c’ est le renversement des valeurs !
D’autant qu’en France, la culture socialiste a déjà décidé, depuis des décades que l’individu n’est pas responsable . S’il commet un méfait c’est la faute de la société et non la responsabilité de l’individu .
Le prophète Esaie l’avait annoncé
Es 5-20 Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal Qui changent les ténèbres en lumière et la lumière en ténèbres . etc
Le malheur finira par atteindre ceux qui justifient le coupable et enlèvent aux innocents leurs droits .
En fait, pour qu’un individu soit jugé responsable, il faut de plus en plus qu’il cumulé de nombreux critères : en pleine possession de ses moyens, complètement au courant des valeurs occidentales, capable de juger ses propres actions, n’ayant pas souffert de problèmes sociaux qui pourraient l’excuser… Bref, seul peut être vraiment coupable un meurtrier dans la force de l’âge, issu d’une famille aisée et bien sûr unie, intelligent et si possible sorti d’une grande ecole, et nanti d’un arbre généalogique estampillé français depuis au moins dix générations pour bien comprendre les codes. Sans compter un ethylotest attestant qu’il n’a pas bu depuis au moins une semaine. Tous les autres ont toutes les excuses.
“pschiâtres…s’interrogent”! pourquoi pas aussi les profs de gym, les maçons, les dentistes, les éboueux, les maîtres-nageurs, les ballerines d’opéra…Sidney Touati nous prend vraiment pour des cons, et son soit-disant questionnement n’a d’autre but de nous faire avaler la pilule, parce que lui-même accepte volontiers ce scandaleux déni de justice et de réalité. Pour moi, c’est aussi et surtout de la COMPLICITE de sa part.