
Une guerre aux conséquences multiples se préparerait-elle en Méditerranée ? Il semble bien que oui.
Selon de multiples sources, le gouvernement Erdogan se préparerait à dépêcher des djihadistes de Syrie du Nord à sa solde, encadrés par des troupes turques, pour se battre aux côtés des djihadistes libyens contre « l’Armée Nationale Libyenne » sous le contrôle du maréchal Haftar, soutenu par l’Égypte, l’Arabie saoudite et les Émirats Arabes Unis.
Les djihadistes sous contrôle turc, en partance pour Tripoli, seraient transportés par avions ou bateaux d’un pays membre de l’OTAN, la Turquie, à travers la Méditerranée.
Il serait intéressant de connaître la réaction de cette organisation et des États-Unis, si cela devait se produire.
- L’Algérie, qui vit une période de transition précaire, marquée par une instabilité qui semble durable et une grave crise économique, a déclaré être en totale opposition avec l’intervention turque en Libye, et s’est dite prête à agir militairement pour l’en empêcher. Rien de mieux que la fuite en avant et le risque d’un conflit pour galvaniser un peuple, surtout quand celui-ci manifeste toutes les semaines contre le gouvernement, et ne reconnaît pas les résultats des récentes élections.
Mais, en même temps, l’Algérie a des intérêts à défendre dans la région. Autant elle a laissé les djihadistes du Nord Mali agir à leur guise, autant elle ne voit pas d’un bon œil la présence de ces mêmes forces en Libye où il deviendraient une menace pour elle et un risque pour l’islamisation du pays. - Erdogan est allé en Tunisie cette semaine, probablement à la recherche de soutien et d’une base arrière pour sa logistique et ses troupes. On ne connaît pas la réponse officielle tunisienne et il semble que les Tunisiens sont contre toute implication, mais comme Rachid Ghanouchi, le président de l’Assemblée nationale, est un ami personnel et un compagnon de route de plusieurs décennies de son « Frère Musulman » Erdogan, il n’est pas impossible que la Tunisie se retrouve entraînée d’une manière ou d’une autre dans ce conflit.
D’autant que le nouveau Président de la République tunisienne, peu expérimenté politiquement, a laissé Erdogan s’exprimer contre ses «ennemis» de manière agressive, en sa présence, et à partir du territoire tunisien, pays qui partage une longue frontière avec la Libye. - En Libye, sont déjà présents sur le terrain des mercenaires russes très probablement envoyés par Poutine, ainsi que des Soudanais, dont Erdogan dénonce la présence en condamnant, avec une belle ironie et toute honte bue, la présence de mercenaires «étrangers» sur le territoire libyen. Ces facteurs contribuent encore plus à internationaliser ce conflit.
Quelles seront les réactions européennes, au premier rang de ce conflit, dont l’Europe subirait les conséquences directement et à plusieurs niveaux, énergétiques, migratoires, etc., et quelle intensité aurait une guerre où l’Égypte, l’Arabie saoudite, les Émirats, la Turquie, l’Algérie et, en sous-main le Qatar qui finance la Turquie, seraient impliquées avec en plus une forte présence de djihadistes qui pourraient, comme ça a été le cas en Syrie, être rejoints par des «collègues» en provenance d’Europe ?
Déjà la Grèce, à la fois membre de l’OTAN, comme la Turquie, et de l’Union européenne, est opposée à la présence turque dans cette région, d’autant qu’elle a été accompagnée d’un accord de partage des ressources sous-marines, signé avec le GNA djihadiste de Tripoli, qui nuit à ses intérêts.
Outre la situation géographique et géostratégique de ce pays, les ressources en hydrocarbures de la Libye intéressent beaucoup de monde, et donc toutes les convoitises sont prêtes à s’exprimer avec véhémence, vigueur et bien entendu violence.
La situation y est confuse et compliquée et, à moins d’une reculade – peu envisageable dans l’état actuel des choses – de certains protagonistes, ou une intervention diplomatique de grande envergure, on ne voit pas très bien ce qui peut empêcher ce conflit de dégénérer et de prendre des proportions cataclysmiques.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eber Haddad
Comme toujours l’impérialisme Turc se pro page sans opposition de Europe.
Et comme toujours ou presque , lorsq’une crise interne exciste dans un pays , la Turquie, la solution c’est la guerre.
Heureusement ,il y a Macron et son laquais d Orsay !
Pour les explications sur la situation dans la région ,consultez les médias francouillons !
L’Egypte interviendra directement si son protégé Haftar est en difficulté.
Elle ne peut tolérer la présence turque à sa frontière.
Clairement, Israël se tiendra au côté de l’Egypte du Maréchal Sissi.
Erdogan n’est certainement pas complètement idiot et je m’explique mal ses politiques agressives. Il me fait penser à un animal acculé qui n’a d’autre choix que la fuite en avant dans la guerre et la conquête des ressources de ses voisins.
En cas de conflit, il se retrouve entourés d’ennemis comme les grecs, les égyptiens, Israël, Chypre, les syriens, les Usa et même les russes qui se méfient des turcs et avec lesquels le maréchal Haftar a de bonnes relations souvenir de sa formation en Urss.
Si ça se transforme en guerre chaude, il y aura des dégâts mais les turcs auront peut être réussi le tour de force de renforcer les relations d’Israël avec l’Egypte et la Lybie autrefois hostile de Khaddafi voire même la Syrie car qu’est ce le Golan en comparaison d’Antioche et de ces territoires annexés par la Turquie à l’époque du protectorat français.
Cela promet d’ être passionnant. Le démembrement de la Turquie, slurp.
Meilleure analyse que l’article lui-même. Je suis en Egypte et il me semble que ces mouvements turcs de « faible intensité » ressemblent plus à une future monnaie d’échange, à peu de frais pour Erdogan, qu’à une intention réelle de se positionner en Libye. Il ne s’agit pour lui que de djihadistes étrangers, peu d’encadrement turc contre une chaise à la table de la future partition de la Libye. Comme toujours, Erdogan utilise le chantage sous couvert de diplomatie.
Le plus grave est peut-etre constitue par les menaces turques sur les exploitations gazieres en Mediterranee de la Grece, de Chypre, d’Israel et de l’Egypte. La tentative d’Erdogan d’« enjamber » les zones de droits de ces pays via un accord avec une moitie de pays aussi peu credible que la Tripolitaine serait risible, si elle n’etait aussi dangereuse. Ce serait le devoir de l’Europe d’etre beaucoup plus ferme qu’elle ne l’est (Macron n’est pas le pire dans cette direction) quant aux droits de deux pays faisant partie de l’Europe. Evidemment, cela devrait etre accompagne, pour limiter le chantage qui va suivre, par un projet affirme de ne pas reconnaitre la guerre qui se termine en Syrie comme un droit pour ses ressortissants de s’etablir en Europe, sans limitation de temps ni de nombre. On ne peut admettre que tous les pays oeuvrant a leur propre destruction soient la source d’immigrations intempestives, encouragees par des politiciens sans intelligence ou sans scrupules.
@ Dreuz, pouvez-vous nous expliquer la situation lybienne ?
Le peu que je sais , il y a un gouvernement reconnu par « la communauté internationale « – qu’on sait pas qui c’est et qu’on a jamais vue – et une partie du pays opposée et à ce gouvernement et à « la communauté internationale « , qui n’est donc pas universelle et qui serait soutenue … par qui ?
Haftar fait partie de cette opposition
Voyant qu’il avait le soutien de macron, j’ai pensé « c’est le mauvais gars » c’est automatique.
Les patrons de macron ne peuvent pas faire le bon choix , le choix mauvais, le choix pervers, c’est leur nature.
On a vu le résultat du criminel Sarko.
Quelle est votre perception ?
De plus , les islamistes, c’est Haftar ? Ou ceux de « la communauté internationale « ?
Dès que j’entends CI, je pense « islamistes », alors , j’étais plutôt pour Haftar
Mais aussi, dès que je vois macron
Alors, je ne suis plus pour Haftar
Et si Erdogan + macron , vraiment plus du tout
On voit en tout cas, que l’état profond n’avale pas sa défaite en Syrie.
Et c’est peut-être l’Europe, qui sera le champ de bataille de l’affrontement entre les Frères et les whahabites.
Nous détruire tous, pas un problème , on est tous chrétiens ou juif ds.
Alors d’abord contre nous, puis entre eux.
Ajoutez à cela l’appui de la Chine et la Russie à l’Iran, la situation est explosive.
https://actubible.wordpress.com/2019/12/27/axe-gog-magog-letau-se-resserre/
Merci Eddad Aber d’attirer notre attention sur ce point chaud du globe. Si une conflagration générale devait éclater, c’est certainement de là qu’elle partirait. On dirait que les acteurs sont en train de se mettre en place. Ce sinistre Erdogan parait extrêmement dangereux.
Toutefois au moment du retrait-abandon des kurdes par décision de Trump on nous a expliqué longuement sur Dreuz ( Milliere Helios Grumberg) la « doctrine Trump dont l’essentiel est qu’il faut à tout prix éviter une guerre avec la Turquie malheureux pays menacé par les Kurdes.y a t il une limite dans la doctrine Trump a ce que nous pouvons accepter de la part de Erdogan ? Ou bien la doctrine d’apaisement sera t elle suivie à n’importe quel prix ? Qui allons nous laisser tomber cette fois ci ?
Désespoir !
Et merci de noter ma nouvelle adresse mail
[email protected]
Expliquez-moi pourquoi Trump devrait aider les européens collabos cou—-s molles ?
Je me demande dans quelle mesure Haftar n’est pas un faux nez pour le fils de Kadafi. Une fois la victoire de Haftar on pourrait voir arriver le fils de Kadafi pour prendre le pouvoir. Il est sûrement le seul, de par ses origines, à pouvoir rassembler un maximum de tribus autour de sa personne pour reprendre le contrôle du pays. Sinon la Libye continuera indéfiniment à être un état failli et une zone de guerre permanente.
Non du tout ! il fait de l’abus de faiblesse, il profite des problèmes que rencontrent certains pays pour les siphonner au sens propre comme au figuré.
C’est la force des lâches de s’attaquer à un « homme à terre » ce que sont actuellement certains états …
Trump n’a pas « abandonné les kurdes ». Les kurdes se vendent au plus offrant et toujours à mauvais escient.
Leur « lutte contre Dash, lessive de l’Occident « a surtout été une lutte contre les chrétiens.
Erdogan les utilise en ce moment en Syrie, avec ses propres groupes terroristes.
Ce n’est pas une première , ce sont eux, qui sont comptables du massacre des Arméniens dans les années 20.
Tout ce que fait Trump est mûrement pensé et réfléchi .
Trump, c’est le Pentagone
Il n’y a aucun souci avec lui.
Poutine, entouré de juifs , sionistes pour l’essentiel , est dans le même état d’esprit.
Avec eux, la protection d’Israel est assurée.
Poutine s’est illustré récemment en traitant un polonais de « cochon d’antisemite «
Il parle peu, mais à bon escient
Trump parle beaucoup …
Mais leurs actes sont bons.
Toujours dans l’interrogation sur le Lybie.
Peut-être l’opportunité de vitrifier la plupart de ces pays pour en faire des parkings ou des patinoires………..ou un immense miroir qui réfléchirait les rayons du soleil et lutter, ainsi, contre le réchauffement climatique lol
Geor47
Ça c’est bon, ce sont les verts qui vont être content, le réchauffement climatique
est une bonne raison de crééer une immense surface réfléchissant les rayons du soleil.
Merci pour ce deuxième article sur ce point chaud du globe, dont on parle peu et qui semble très préoccupant.
On peu espérer que la Turquie s’auto détruise dans sa mégalomanie visant à ressusciter l’empire ottoman mais je crains surtout que l’Europe, une fois de plus, ne soit pas à la hauteur et que nous subissions les conséquences, migratoires et meurtrières. Car l’Europe est incapable de raisonner en intérêts stratégiques, géopolitiques, dans l’intérêt de son continent et de ses peuples, elle ne sait plus que se complaire dans des numéros d’équilibriste, teintés de moraline droit de l’hommiste, qui font, en réalité, les délices des dictatures islamistes. Reste Trump, seul chef d’Etat de la planète digne de ce nom
Lire « On peut… »merci.
On peu espérer que la Turquie s’ auto détruise dans sa mégalomanie visant à ressusciter l’empire ottoman tout comme les nazis d’Adolf l’ont fait pour l’Allemagne. HER DOGAN est sur la bonne voie et surtout qu’on le foute dehors de L’OTAN, il n’a plus aucune crédibilité ni d’utilité.
Meddeb Radhi (page officielle )J’aime la Page
20 h ·
Pour mieux comprendre le sens de la récente visite surprise du Président Erdogan en Tunisie, il n’y a rien de mieux que de lire ce qu’en écrivent les idéologues du régime turc. Je partage cet éditorial du 26 décembre 2019, signé du rédacteur en chef: İbrahim Karagül du journal Yeni Şafak.
Yeni Şafak est un quotidien conservateur turc, connu pour son soutien inconditionnel au président Recep Tayyip Erdoğan et à son parti AKP. Il entretient des relations très étroites avec le gouvernement turc.
Il écrit explicitement :
Le président Recep Tayyip Erdoğan a effectué hier une visite surprise en Tunisie. Cette visite est la deuxième étape la plus cruciale après l’accord maritime entre la Turquie et la Libye qui a modifié la carte de la Méditerranée.
Le voyage du président Erdoğan est une déclaration au plus haut niveau mondial de l’importance de la Libye pour la Turquie et ce que la Turquie est capable de faire pour la Libye.
La Turquie sera en Libye de toutes ses forces: dans les airs, sur terre et en mer.
Erdoğan a prouvé une fois de plus que la Turquie ne fera marche arrière ni en Méditerranée ni en Libye, qu’elle terminera ce qu’elle a commencé et qu’elle sera présente en Libye de toutes ses forces.
La Turquie considère la Libye comme l’une des forteresses les plus cruciales de la grande lutte pour le pouvoir en Méditerranée. Par conséquent, elle fait tout conformément à cela, y compris l’envoi de troupes, le déploiement d’unités terrestres et aériennes et le transport de la flotte dans les eaux libyennes.
Sans présence en Libye, nous ne pouvons pas en avoir en Méditerranée.
Nous savons que nous ne pouvons pas avoir une présence en Méditerranée sans une présence en Libye, nous ne pouvons pas défendre les côtes d’Anatolie sans être présents en Méditerranée. Un projet de carte méditerranéenne est mis en œuvre grâce aux ressources énergétiques de la Méditerranée orientale tandis que la Turquie présente sa propre carte.
La guerre en Libye n’est pas entre le gouvernement central et l’organisation terroriste d’Haftar seule. Cela ressemble à une guerre civile, mais c’est en fait une guerre multinationale.
Erdoğan: Nous accepterons l’invitation
Presque tous les pays qui se cachent derrière un baron du terrorisme comme Haftar tentent simultanément de régler des comptes avec la Turquie, s’efforçant de nous coincer en Méditerranée. Par conséquent, la Libye est également l’une de nos grandes lignes de défense.
Par conséquent, immédiatement après sa déclaration sur le «cessez-le-feu», a déclaré Erdoğan, «la Turquie acceptera l’invitation si elle est invitée. Nous prendrons nos mesures en conséquence. Nous répondrons à l’appel. »
En d’autres termes, nous allons déployer des troupes. La résolution au Parlement, l’accord de sécurité avec la Libye, le cours des événements rendent cela inévitable.
Qu’a demandé Erdoğan à la Tunisie? Espace aérien ou base aérienne?
Alors, quelle pourrait être la raison de la visite du président Erdoğan en Tunisie? Bien entendu, les deux présidents doivent avoir cherché des motifs pour agir ensemble concernant la Libye.
Certaines sources affirment que la Turquie a demandé l’accès à l’espace aérien tunisien, tandis que d’autres affirment qu’elle a exigé un accès à une base aérienne et à un port. Des sources similaires attirent également l’attention sur la réunion du président en Tunisie avec les chefs des tribus libyennes.
Bien sûr, ce ne sont que des demandes. Les mêmes cercles affirment même que la Turquie lancera bientôt de grandes opérations aériennes en Libye. Nous ne pouvons pas le savoir avec certitude; nous devons attendre et voir.
Le printemps arabe est né en Tunisie. Ils vont attaquer la Tunisie depuis la Libye
La visite d’Erdoğan a eu lieu à un moment où le chef de la junte égyptienne Abdel-Fattah el-Sisi et les Émirats arabes unis ont menacé de frapper Tripoli et Misrata, déplacé leurs forces aériennes et terrestres en Libye, transporté des gangs du Soudan vers la Libye et se préparent pour la dernière grève pour renverser le gouvernement officiel du pays reconnu par l’ONU.
Il est possible de prévoir que dans le cas où ils ne prendraient pas le contrôle de la Libye, ces cercles ne s’arrêteraient pas et, en fait, sèmeraient le chaos en Tunisie, berceau du printemps arabe. Le printemps arabe est né en Tunisie et s’est terminé en Libye. Il a été interrompu avant de pouvoir atteindre les pays du Golfe et l’Arabie saoudite.
Après la Libye, c’est au tour de la Tunisie: ils vont venger le printemps arabe
La Tunisie a réussi à instaurer une démocratie solide après la révolution. Tout comme la Libye était sur le point de faire de même après la guerre civile, Haftar et son armée terroriste se sont rapidement déchaînés sur la scène. La Libye n’a pas eu l’occasion. Le modèle de la junte en Égypte est maintenant transposé en Libye. Savez-vous ce qui se passera s’ils réussissent?
Ils vont se venger du printemps arabe sur la Tunisie. Ils vont la pousser dans un état pire que celui de la Libye pour ramener le pays à l’époque Habib Bourguiba. En fait, ils vont le faire par le biais de régimes autoritaires tels que l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l’Égypte.
C’est cette peur qui les rend anti-Turquie
Si la Tunisie soutient la Turquie, apaisant la vague en Libye, la Tunisie pourrait également être sauvée. La Turquie et la Tunisie peuvent faire beaucoup contre la vague de dictature et de régimes autoritaires.
C’est cette peur qui les rend anti-Turquie. Leurs patrons partagent la même peur. Ils savent très bien que le nouveau discours politique local mené par la Turquie détruira la carte du pouvoir de toute la région.”
Voilà la vision turque de la région et de son devenir. Erdogan s’y voit en acteur majeur et entend fixer notre destin.
Le temps de l’empire turc est révolu. La souveraineté de la Tunisie est non négociable. Il est urgent que nos gouvernants se rendent compte de la gravité de la situation et engagent une démarche faite de clairvoyance et de fermeté.
Bon, les 2 camps sont de la m… en bâton.
Erdogan fait peur à qui ?
L’UE ? C’est elle qui l’appelle contre ses peuples
Voir le nombre de mosquées des Frères en France et celles projetées et toutes contre l’avis des populations.
Erdogan est fort avec les faibles , faible avec les forts.
Attendons la suite …
Ajoût : un « gouvernement reconnu par l’ONU », curieuse référence .
Ce « machin » est totalement négatif pour l’humanité.
Trump doit s’en retirer, pas encore fait.
Au XIXème siècle, on appelait la Turquie « l’homme malade de l’Europe ».
Aujourd’hui, on a l’homme malade à la tête de la Turquie.
Le fou herdogan , mais dans la main , avec la momie tunisienne . Voila une belle alliance .
La Tunisie a aussi été un pays sous le joug ottoman ! Les habitudes de lécher les babouches turques perdurent !
L’économie de la Turquie est dans la tourmente ! Dans quelle mesure le dictateur d’Ankara utilise t-il la stratégie de la conquête pour calmer les ardeurs et le mécontentement de son électorat ?