Publié par Magali Marc le 4 décembre 2019

Tandis qu’à Montréal, Madeleine Pilote-Côté (une humoriste devenue chroniqueuse et pas drôle du tout) fustige la «surconsommation» provoquée par la période des fêtes, une école américaine en Californie tente d’empêcher une jeune fille de jouer au piano un chant de Noël jugé trop religieux.

Dans sa chronique (au Journal de Montréal) intitulée «Noël Noir», Mme Pilote-Côté s’indigne que des milliers de Québécois osent faire des commandes en ligne tandis que des milliers d’animaux vont être tués, des milliers d’arbres vont être coupés et 50 humains vont mourir à cause de la pollution.

Le Black Friday lui fait broyer du noir, car elle voit arriver le temps des Fêtes, une période où la société est dans la «surconsommation».

La chroniqueuse dit que la seule pensée que des enfants vont déballer des cadeaux, que des familles vont s’offrir un nouvel écran TV de 60 pouces, et qu’il va y avoir du «gaspillage alimentaire», lui donne la nausée.

Dans un élan d’érudition, cette sotte gauchiste cite Gandhi: « vivons simplement pour que simplement d’autres puissent vivre.» Comme si le fait de me priver d’une dinde farcie ou d’une bûche de Noël pouvait profiter aux Vénézuéliens ou aux Nord-Coréens qui bouffent leurs chiens et leur chats (quand ils en ont!).

Cette andouille (qui dans d’autres chroniques fustige les mâles blancs qui dominent la scène politique) pense peut-être nous devrions tous nous vêtir d’un pagne et croquer des carottes bio pour Noël.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Todd Starnes, paru sur le site de Townhall, le 3 décembre.

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La guerre contre Noël est une guerre contre les valeurs américaines

La guerre contre Noël est vraiment une guerre contre le fondement de notre nation – contre la croyance que nous sommes une seule nation sous le regard de Dieu.

Et l’effort des gauchistes pour faire taire la Raison de la Saison n’est pas anodin, comme je l’ai écrit dans mon nouveau livre : « “Culture Jihad: How to Stop the Left From Killing a Nation.” ( Culture du Djihad : Comment empêcher la gauche de tuer une nation).

Le dernier front de bataille de la guerre contre Noël est la South Sutter Charter School dans le nord de la Californie.

Brooklyn Benzel, une lycéenne de 13 ans, s’est fait dire qu’elle ne pouvait pas interpréter une version instrumentale de «Joy to the World» car la chanson est trop religieuse.

« Le spécialiste de l’éducation a dit que la chanson pourrait être jugée inappropriée parce qu’elle pourrait être considérée comme étant trop religieuse », a déclaré Julianne Benzel lors d’une entrevue à l’émission de radio The Todd Starnes.

Mme Benzel, qui est candidate pour le Congrès, a d’abord rejeté les préoccupations de l’enseignant, mais le lendemain, elle a reçu un courriel confirmant que la chanson était interdite.

« Ils m’ont dit que la chanson était trop religieuse pour être jouée, dit-elle. Que des mots comme «sauveur» et «paradis» dépassaient les bornes. »

Oui, mes bien chers lecteurs, il semble que l’école craignait que des mots comme «Seigneur», «Sauveur» et «Ciel» puissent offenser les impies.

L’école a donc suggéré à Mlle Brooklyn d’envisager de jouer une chanson de Noël plus profane comme «Jingle Bells».

« La justification était que c’était plus approprié sur le plan culturel », a dit Mme Benzel.

À ce moment-là, la famille Benzel avait le choix – soit elle acceptait la censure de l’école à charte, soit elle ripostait.
Mme Benzel a décidé de se battre.

« Il n’y a aucune chance que je laisse tomber. J’aurais pu facilement soumettre une nouvelle chanson, mais cela signifiait la mort du premier amendement.»( NdT: le 1er Amendement de la Constitution américaine garantie la liberté religieuse, son libre exercice, et protège la liberté de parole et la liberté de la presse).
Le Pacific Justice Institute, un cabinet d’avocats spécialisé dans les affaires de liberté religieuse, a menacé de s’impliquer à la demande de la famille de Mlle Brooklyn Benzel – et en quelques instants – l’école à charte a annulé sa décision.

« Merci Mon Dieu pour le Pacific Justice Institute », a dit Mme Benzel. « C’est triste de devoir les appeler à l’aide, mais je leur suis très reconnaissante ».
C’est la morale de cette histoire : lorsqu’une école publique ou à charte tente de faire taire des garçons et des filles chrétiens, il est impératif que les mères et les pères s’insurgent et leur sonnent les cloches.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

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