
En 2013, l’ambassadrice du Népal a Doha Maya Kumari Sharma déclarait que le Qatar était une prison a ciel ouvert.
Depuis rien n’a changé et tout a empiré.
Le Tunisien Fakhri Landolsi (26 ans) est condamné à mort au Qatar

Yves Pendeliau , prisonnier du Qatar
Au Qatar, les règles et lois sont écrites mais restent à la libre application de ceux qui peuvent abuser de leur pouvoir et régissent la vie des travailleurs étrangers comme bon leur semble, employeurs, justice,etc.
Au Qatar les expatriés ont des devoirs mais n’ont que les droits que l’on veut bien leur accorder.
Le nom de ce système totalitaire est kafala.
C’est un moyen dictatorial par lequel le sponsor a droit de vie et de mort sur tous les expatriés placés sous son sponsoring, dont son associé, ses salariés, et bien d’autres, qu’il peut priver de liberté pour en faire ses esclaves sans avoir à se justifier.
La kafala est une institution islamiste a but d’extorsion par contrainte et vol de liberté : extorsion de fonds, extorsion de travail par esclavage, extorsion d’entreprises et de leurs comptes en banque, encaissements abusifs de chèques bancaires conduisant à la ruine de l’émetteur, etc.
Les bénéficiaires de la kafala sont les kafeels ; une fois qu’ils ont barboté tout ce qu’ils peuvent par la force, ils mettent leurs proies au secret en les faisant jeter dans des geôles surpeuplées et insalubres sans aucune forme de procès.
L’exit-permit :
Pour voyager hors du Qatar il faut y être autorisé par l’exit-permit, Sans ce document, impossible de franchir les frontières du pays.
L’exit-permit fait automatiquement de tout expatrié le prisonnier de son sponsor qui peut le priver de liberté pour l’éternité sans justification et sans être le moins du monde inquiété. Un entraîneur de football français est ainsi resté bloqué durant 6 ans au Qatar.
Le livre du Belge Jean-Philippe Bogaert, contraint de s’enfuir du Qatar sur un voilier de fortune en est l’exemple type.

Le travel ban :
C’est une interdiction de quitter le pays. Elle peut être associée à un crédit non remboursé, a une dette, ou comme moi mise en place par un juge complaisant, être sans recours possible car sans plainte associée. Rien n’est réclamé, ni argent ni quoi que soit. Le prisonnier est à l’entière disposition
Dans ce cas-là, on en revient la mise en esclavage et a l’extorsion par vol de liberté.
Tôt ou tard, vos services consulaires mis dans l’embarras feront pression sur vous pour que vous décidiez de vous présenter la corde au cou devant votre geôlier afin qu’il fasse ce qu’il veut de vous avec la bienveillante bénédiction de vos autorités.
S’il s’agit d’argent, il sera promis que votre liberté vous sera rendue si vous versez officieusement telle somme plus telle somme plus telle somme, etc…
Malheureusement pour vous les montants exigés seront toujours insuffisants, vous serez ainsi ruiné mais resterez débiteur et privé de liberté.
Constatant votre insolvabilité et votre inutilité, votre geôlier vous fera jeter en prison.
L’autre possibilité est de résister a l’absurde impasse imposée. Dans ce cas-là, vos propres autorités deviendront vos geôliers et tortionnaires (cas de Yves Pendeliau).
Le contrat de travail
Si vous êtes ingénieur ou technicien, en arrivant à Doha, votre employeur (dans la plupart des cas une agence) vous fera signer le contrat légal en arabe avec traduction dans une autre langue (trois exemplaires) en vous expliquant qu’il est purement administratif et sans valeur.
Un contrat bidon vous sera ensuite présenté, dans lequel l’employeur vous imposera ses diktats en violation d’un droit local du travail dont il se moque.
Quoi qu’il se passe, perte de salaire, contraintes abusives, licenciement, privation de visa résident, etc., vous n’aurez aucun recours.
Le procédé kafeel du non-objection certificate vous interdira de changer d’employeur.
La location de logement
Au Qatar et plus particulièrement à Doha, les tarifs des loyers sont exorbitants et peuvent parfois se compter en milliers d’euros (ou QR) mensuels.
Vous ne rencontrerez jamais les propriétaires qui sont Qataris, mais des intermédiaires étrangers dont la légalité n’est jamais démontrée.
Il vous sera expliqué que la durée minimum de la location est d’un an voire de deux ans, réglable d’avance par 12 ou 24 chèques, bien que ce procédé soit illicite.
Supposons que le loyer mensuel soit de 2000 euros, le montant total en chèques sera de 24000 ou de 48000 euros.
Celui au nom duquel vous aurez libellé les chèques aura tout loisir de les encaisser quand il voudra et en une seule fois.
Il peut renouveler l’opération autant de fois qu’il a de clients.
Une fois fortune amassée, il transférera les fonds vers son pays et quittera le Qatar.
Si vous êtes solvable, vous vous serez fait escroquer sans garantie d’être logé. Si vous n’êtes pas solvable, votre banque vous traduira en justice et vous imposera un travel ban.
Si vous continuez de rester insolvable, vous serez jeté en prison pour chèques sans provision.
La liste n’est pas exhaustive.
Yves Pendeliau
Faut bien payer les M’bappé et les Neymar, merde !
Il y a aussi le cas du chef d’entreprise Jean-Pierre Marongiu, qui après avoir été volé par son “sponsor” qatari, a passé 5 ans en prison pour n’avoir pas été en mesure de régler ses créanciers : “Le Qatar est une tyrannie islamiste” https://www.youtube.com/watch?v=haf_5aYkj_4
Ce pays qui achète nombre de nos politiques et de nos entreprises, et à qui nous ne cessons de dérouler le tapis rouge…
Bonjour,
J’ai assisté JPM durant cinq ans, tant au Qatar ou j’ai pris beaucoup de risques.
Je me suis rendu plusieurs fois aux prisons ou il a été incarcéré, aux cours de justice, aux tribunaux ou il comparaissait, a la caserne de police Al Rayan, au service du procureur du Qatar . Je me suis rendu dans des tentes Qataris dans le désert pour y récupérer des fonds. J’ai dépensé des milliers d’euros. J’ai rencontré le cousin de l’émir, Sheikh Talal Abdulaziz Al Thani a l’hopital Hamad ou il était traité pour diabète. Il avait dit qu’il pouvait faire libérer JPM en deux semaines. C’était en mars-avril 2016. JPM est rentré en France le 5 juillet 2018.
L’avez vous entendu parler de ceux qui se sont sacrifié pour lui ?
C’est pas mal …
Les arabes ont toujours considéré les maghrébins comme des moins que rien. C’est le pendant des japonais avec les coréens.
Les arabes ne comprennent qu’un seul langage universel : la force, voire l’injonction Beretta.
On ne s’aventure pas seul(e) dans ces pays tout comme en Asie ou en Afrique. On passe toujours par la tête, avec du back-office, autrement le risque est ingérable. Chacun sait qu’avec les musulmans, les chicanages sont éléments de leurs discours et comportements.
et nos gouvernements depuis des décennies ont fait du lèche babouche leur fond de commerce…..on devient esclave de ceux à qui on doit de l’argent
alors, quid des sites expat, cadremploi, routard, qui semblent tout accepter comme normal pour un pays musulman ?
Ce n’est pas un pays.
C’est un repère de pirates à éviter comme la peste.
Ce pays, veut faire aussi de tous les pays européens qu’il peut “se payer”, des prisons pour leurs habitants qui ne sont pas musulmans !!!
Ou sont le bds et autres soit disant Ou sont ces lâches menteurs antisémites ??
Plus facile de critiquer 1 démocratie juive avec 1 société évoluée et humaine: ISRAËL ou on ne risque rien et où les musulmans ont la durée de vie la plus longue du monde et le meilleur niveau de vie !!
Les pays musulmans, c’est l’enfer.
C’est pourtant pas très grand, le Qatar…. une belle MOAB et pfiout…. y’a plus de Qatar.
C’est donc que les pourris qui nous gouvernent, TOUS, y trouvent leur compte (en monnaies, en biens ou en services) et, pour faire plaisir a m’sieur Lérouj, n’oublions pas de compter aussi les sportifs et les journalistes parmi les pourris.
Mais pourquoi aussi mettre les pieds au Qatar en un temps où la dernière vague de jihad bat son plein ? On sait bien qu’il faut prendre des risques pour faire des bénéfices, mais là, le jeu n’en vaut pas la chandelle.
Les multi-milliardaires Qataris ont accueilli combien de migrants ?
Cher Rico,
Il n’y a pas de multi-milliardaires Qataris ; un seul pilote dans l’avion. Après vous avez la smala et quelques millionnaires.
Tout a été unifié sous des fonds dont QIA pour éviter justement la dispersion et la confusion dans l’exportation des propagandes et de la bonne image. Si un qatari parle en place du chef, c’est couic. Tout est sous contrôle.
QIA gère et ensuite, un chargé opérationnel distribue entre bédouins mais en interne. Rien sur la place publique.
Il n’y a rien de plus facile que de créer des sujets de chicaya entre bédouins et de créer un printemps arabe. Un simple support de presse internationale mentionnant des fonds ou gains occultes non redistribués dans tel ou tel dossier et les voilà en mouvement ; à cela, vous jouez sur le nif et les velléités ; vous dégradez la note du pays ; vous dégradez le cours monétaire ; vous gelez les avoir à l’étrange ; vous suspendez les sociétés étrangères de consulting et de technologie oil & gas ; quelques affronts occidentaux et c’est parti … en trois semaines.
Satisfait ou remboursé !
Fernand Osborne, et Atikva,
Je suis bien de votre avis ! Pour paraphraser une citation de Molière dans l’Avare, (dans la bouche du rôle titre) : “qu’irions nous faire dans cette galère” ???
L’avertissement est cependant utile.