Je ne suis pas climatologue, mais un simple citoyen qui a cherché à comprendre pourquoi le journaliste météo Philippe VERDIER avait été viré de son poste après avoir écrit un livre sur le GIEC.
Pourquoi le président du GIEC a déclaré avec force à Copenhague : “Nous ne pouvons plus tolérer tout débat sur la nécessité d’agir…”
Pourquoi Déjà en 2008, l’ancien vice-président des Etats-Unis, Al Gore a déclaré devant un congrès de la Geophysical Union à San Francisco, textuellement ceci : «Vous avez le devoir de réduire au silence ceux qui s’opposent aux avis du Giec »… (Conférence donnée à l’American Geophysical Union, San Francisco, 2008).
J’ai donc effectué beaucoup de recherches sur internet, dans des livres, en contactant Hervé Le TREUT, Jean-Marc JANCOVICI, Jean JOUZEL, pour en arriver à la conclusion que je vous joins.
Lorsque le diagnostic est mauvais, les décisions ne peuvent être que mauvaises (transition énergétique).
Si le CO² est le moteur du climat, cela doit être vrai depuis l’origine de la terre, il y a 4.5 milliards d’années.
Ci-dessous, un schéma montrant l’évolution des températures depuis l’origine de la Terre.
La température « normale » de la Terre est plutôt chaude, 22°, avec des périodes de glaciations marquées par des chutes de températures pouvant baisser de 5°C
Pendant la même période, le CO² qui composait l’atmosphère a continuellement baissé, de 10% soit 100.000ppm jusqu’à des teneurs proches de 200ppm à notre époque.
Si le CO² était le moteur du climat, nous devrions constater une tendance à la baisse constante sur le graphique 1.
Voyons maintenant un graphique un peu moins schématique, moins lissé.
Il y a -530 millions d’années environ, la teneur en CO² était de près de 6.500ppm. Pour autant, la température (courbe verte) était de l’ordre de 22C°. Nous voyons que le CO², courbe rouge a une évolution totalement indépendante de la courbe verte. Il n’y a aucune corrélation entre les deux.
Rapprochons-nous de notre époque :
Ce graphique a été obtenu par l’analyse de carottes de glace issues de forages effectués à VOSTOK, en Sibérie, dans les années 1975.
La courbe bleue représente les températures, et la courbe bordeaux les teneurs en CO².
Nous constatons que les teneurs en CO² suivent les variations de température. Le CO² ne peut donc être la cause de la température.
A cela, le GIEC répond qu’il y a un effet rétroactif du CO², qui, bien que venant après, participe à l’élévation de température….
Dans son livre PLANETE BLANCHE, Jean JOUZEL, ancien vice-président du GIEC, reprend plus en détail ces mesures pour démontrer cet effet rétroactif.
Les commentaires associés à la figure 12.5 du livre ne correspondent pas à ce que chacun peut lire page 199 sur le graphique entre la ligne noire et la ligne bleue : (j’ai rajouté une ligne bleue pour aider la visualisation).
- De -245.000 ans à – 238.500 ans
- Le CO² croit
- Le méthane croit
- La température croit
- De -238.500 ans à environ -237.000 ans, soit pendant environ 1.500 ans
- Le CO² croit
- Le méthane croit
- La température décroit
J’en déduis que la croissance de la température de -250.000 ans jusqu’à -238.500 ans a réchauffé les océans. L’inertie très grande des océans fait qu’il faut un temps important pour qu’ils commencent à se refroidir, Pendant ce temps, CO² et CH4 continuent à être libérés (ce dernier par la fonte des pergélisols) dans l’atmosphère pendant 1.500 ans. vi Où est passé leur effet rétroactif ?
L’effet de la vapeur d’eau est absent alors que page 209 de PLANETE BLANCHE, on peut lire : « ce sont donc bien des processus d’amplification, liés en premier lieu à la vapeur d’eau, qui sont en œuvre dans le système climatique ». Depuis que le CO² a atteint ses niveaux les plus bas, au quaternaire, et grâce aux forages glaciaires, tant en arctique qu’en Antarctique, il apparait une certaine liaison entre ce gaz et la température qui semble due, pour moi, non spécialiste, mais à la suite de mes lectures, à la séquestration et au relargage par les océans selon qu’ils se refroidissent ou se réchauffent.(vii)
Nous avons donc vu, sans faire appel à de savants calculs, que le CO² et le CH4 n’ont jamais montré de corrélation avec le climat.
Précision importante
J’ai échangé avec Hervé LE TREUT, Jean JOUZEL, Jean-Marc JANKOVICI sur tous ces sujets. Aucun d’entre eux n’a remis en cause tous les graphiques utilisés et reproduis ici.
Hervé Le TREUT face aux climats du passé m’avait répondu que maintenant, ce n’était plus pareil, car le CO² dégagé par les activités humaines est à l’origine d’une action rétroactive.
Jean Marc JANVCOVICI m’avait répondu que les températures du passé étaient dues à la présence de CO², mais aussi de CH4. Il m’avait conseillé de lire VOYAGE A TRAVERS LES CLIMATS DE LA TERRE, de Gilles RAMSTEIN, aux éditions JACOB Je n’y ai trouvé aucune corrélation entre CO², CH4, et température, (on y retrouve le graphique 3). Je lui ai fait parvenir mes commentaires, il ne m’a jamais répondu.
Jean JOUZEL m’a conseillé de lire son livre, dans lequel il tente d’expliquer, page 199 l’effet rétroactif. Je lui ai fait part de l’absence d’effet rétroactif pendant 1500 ans. Devant une nouvelle demande d’explication, il m’a renvoyé aux rapports du GIEC.
Dans ces rapports, je n’ai trouvé aucun chapitre dans lequel les 40 modèles ou même un seul aurait été confrontés aux climats du passé pour vérifier leur cohérence avec les variations de teneur de CO² et les températures.
Ceci est la démarche de tout scientifique sérieux, comparer ses hypothèses à la réalité. Tant que l’hypothèse n’est pas vérifiée, il faut en changer.
Questions
1. CO² et méthane sont des gaz à effet de serre. Alors pourquoi ne marquent-ils pas la température lors de leurs variations ?
Le soleil émet des radiations UV sur un très large spectre de longueurs d’ondes. Ces ondes peuvent être absorbées par les gaz à effet de serre.
« Pour CO2 la saturation de la bande d’absorption à 15mm est atteinte vers 200 ppmv. JL Dufresne & J. Treiner 2011 « Heinz HUG a mesuré le spectre au voisinage de la bande 15 micromètres et trouvé, en cas de doublement du taux de CO², une différence de transparence résiduelle de 0.17% seulement sur une altitude de 10mètres. HUG transcrit ce résultat en forçage radiatif et conclut à un réchauffement de 0.015°.(viii)
En clair, cela veut dire que toute teneur supérieure à 200ppm n’a plus aucun effet radiatif. Pour cela, il faudrait que le soleil augmente ses émissions vers la Terre (ceci se passe bien, mais à un rythme de +7% par milliard d’années), donc insensible sur la période très limitée des études du GIEC (depuis 1850). Le méthane a lui aussi un spectre d’absorption limité.
Par contre, la vapeur d’eau absorbe toutes les longueurs d’onde. De plus elle représente avec les nuages 95% des gaz à effet de serre. Elle a donc une action forte, reconnue par Jean JOUZEL dans PLANETE TERRE, page 209.
Le CH4 a lui aussi un nombre limité de longueurs d’ondes absorbées.
C’est donc la vapeur d’eau qui est le principal gaz à effet de serre, et elle a la propriété de réagir immédiatement à tout changement de température. Quand la température monte, le volume de vapeur d’eau croit, et inversement.(ix)
2. Pourquoi les scientifiques disent que le CO² émis par l’homme va provoquer un réchauffement de l’atmosphère ?
Composition et mission du GIEC (x)
Le GIEC a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine.
Ils ont pour mission de travailler dans le cadre défini par l’ONU, fondateur du GIEC, ou IPCC.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) (en anglais Intergovernmental Panel on Climate Change, ou IPCC) est un organisme intergouvernemental ouvert à tous les pays membres de l’ONU. Il regroupe actuellement 195 États.(xi)
Avant tout, le GIEC est donc une association de gouvernements, pas de scientifiques.
Une séance plénière pour élaborer le résumé
La dernière version du rapport est soumise aux gouvernements uniquement pour la relecture de ce qu’on appelle le «résumé pour les décideurs», qui est une synthèse des différents chapitres du rapport.
Ensuite, une séance plénière est tenue pour l’approbation, par consensus, de ce résumé.(xii)
Le résumé pour les décideurs n’est donc pas effectué par les scientifiques. Chaque phrase doit être approuvée par les représentants des Etats, faire l’objet d’un « consensus ».
Le consensus n’a jamais été la base d’aucune science.
Ceci se traduit par des dérives importantes telle que celle-ci
La lecture du graphique 6 montre un renforcement de la confiance que les compte rendus successifs du GIEC accordent aux résultat de modèle, alors que les données scientifiques du graphique 7 montrent qu’il n’y a aucune évolution dans les calculs d’incertitude effectués rapport après rapport….
Pourtant, ces modèles font l’objet de calcul à l’aide des ordinateurs les plus puissants (sous-entendu, ils ne peuvent que sortir des résultats justes).
Les chiffres introduits dans ces ordinateurs ne peuvent avoir une précision très importante. Les températures relevées le sont au mieux au 10eme de °C près. Or, comme cela a été testé, modifier le 12°chiffre après la virgule donne des résultats très différents, comme on peut le noter sur les 30 représentations du graphique 8 cidessous. (Exceptées les deux du bas à droite que j’ai rayées).
Dans le cas des modèles de climat, la sensibilité climatique TCR est rapportée entre 0,6 et 2,5°C. Ils ne sont donc pas du tout d’accord entre eux et ils reconnaissent une incertitude de 2,5/0,6 = 417 %.
Le rapport AR5 chapitre 12 du GIEC situe cette TCR entre 1.5 et 4.5°C soit 300% d’incertitude. (xvi)
Par sensibilité climatique, on entend le réchauffement de la surface de la planète résultant d’un doublement de la concentration de CO2 dans l’atmosphère par rapport aux niveaux préindustriels
3. Quelle est l’origine des variations cycliques que l’on observe sur le graphique 4 ?
Schéma simplifié de la rotation de la Terre autour du Soleil, montrant ces deux points particuliers que sont l’aphélie et le périhélie (l’ellipticité est volontairement exagérée sur ce schéma, l’orbite de la Terre étant en pratique très proche d’un cercle).
Ce mouvement est appelé précession des équinoxes. Le point équinoxial effectue de la sorte, dans le sens contra rotatif (par rapport au sens de la rotation de la Terre autour du soleil), un tour complet de l’écliptique en 25 760 années environ, et l’axe de la Terre décrit durant ce même temps un cône complet.
En ce qui concerne la Terre, une propriété importante de l’obliquité est la variation cyclique de sa valeur : celle-ci varie entre 24,5044° (ou 24° 30′ 16″) et 22,0425° (ou 22° 2′ 33″), suivant un cycle de 41 000 années. Les saisons varient donc suivant les millénaires de forte inclinaison ou d’inclinaison plus faible, une inclinaison plus forte impliquant des saisons plus marquées. Ce caractère cyclique est utilisé en cyclostratigraphie. Il a été démontré récemment par J. Laskar que la Lune stabilise la valeur de l’obliquité autour de 23°, et l’empêche ainsi de varier de façon chaotique. D’après W.R. Ward6 , le rayon de l’orbite de la Lune (lequel est en permanence en train de croître à cause des effets de marées) passera de 60 à 66,5 fois le rayon de la Terre en environ 1,5 milliard d’années. Une résonance planétaire se produira alors, induisant des oscillations de l’inclinaison entre 22° et 38°. Ensuite, en approximativement 2 milliards d’années, quand la Lune atteindra la distance de 68 fois le rayon de la Terre, une autre résonance provoquera de plus grandes oscillations, entre 27° et 60°. Ceci aura des effets extrêmes sur le climat, toutes considérations concernant l’activité solaire mises à part.(xvii)
4. Depuis quand la Terre se réchauffe-t-elle ? (xviii)
Sur ce graphique, nous voyons que la terre se réchauffe « naturellement » depuis 100.000 ans. Nous constatons qu’à la date 0, la température n’a pas encore atteint le niveau du pic précédent. Il manque encore presque 2°C. Un réchauffement de la Terre peut donc être du à des phénomènes naturels, comme cela s’est produit depuis -800.000 ans.
5. Pourquoi ne peut-on croire le GIEC ? :
Comme le montre le tableau ci-dessous, (xix)
Extrait de la page 237 de PLANETE BLANCHE, si ces prévisions d’une augmentation de température de 1°C par 100 ppm étaient exactes, la température à l’Ordovicien, il y a -550 millions d’années aurait été de l’ordre de 80°C puisque la teneur en CO² était de 6.500ppm, (graphique 5) soit 65 fois 100 ppm soit 65° de plus que maintenant. Or elle était d’environ 20°. De même il y a -180 millions d’années, la température aurait été de l’ordre de 50°C alors qu’elle n’était que d’une vingtaine de degrés.
6. Le CO² est il un poison ?
Le CO² est la source de carbone de nombreux constituants tels que la chlorophylle ou encore de l’hémoglobine. Comme tout corps chimique, rien n’est toxique, tout est toxique, tout est dans la dose.
Des études signalent selon l’ANSES (xx) « des concentrations associées à des effets sanitaires intrinsèques du CO2 (seuil à environ 10 000 ppm correspondant à l’apparition d’une acidose respiratoire (baisse du pH sanguin), premier effet critique du CO2) ». Une acidose respiratoire peut survenir dès 1 % (10 000 ppm) de CO2 dans l’air, s’il est respiré durant trente minutes ou plus par un adulte en bonne santé avec une charge physique modérée, et probablement plus tôt chez des individus vulnérables ou sensibles. Ces taux « sont supérieures aux valeurs limites réglementaire et/ou normative de qualité du renouvellement d’air en France et au niveau international, qui varient usuellement entre 1 000 et 1 500 ppm de CO2 ». Une petite étude expérimentale (ayant concerné 22 adultes) a conclu à un effet du CO2 sur la psychomotricité et la fonction intellectuelle (prise de décision, résolution de problèmes) dès de 1 000 ppm (étude de Satish et al., 2012), mais cette étude doit être confirmée par des travaux ayant une puissance statistique plus élevée58. L’Anses note qu’il y a finalement peu d’études épidémiologiques sur ce gaz commun, dont sur d’éventuels effets CMR (cancérigènes, mutagènes et reprotoxiques).
Le dioxyde de carbone étant un gaz incolore et lourd s’accumulant en nappes, il est difficilement détectable par une personne non expérimentée.
Le CO² aux doses actuelles n’est donc pas toxique cependant, il est bon d’aérer les espaces confinés dans lesquels la respiration élève la teneur en CO² au dela de 1000 ppm. Une teneur de 800ppm semblerait être un maximum à ne pas dépasser pour la bonne santé humaine.
L’accroissement de la teneur enj CO² a augmenté la végétation dans différentes régions du monde en particilier dans le Sud Est de la Chine et l’Est des Etats Unis. (xxi)
7. La lutte contre l’élevage est elle censée ?
Tout agronome sait qu’un hectare de terre, sous nos climats, consomme 1.500kg de matière organique par an. Si l’on veut maintenir la fertilité du sol, sa structure, sa vie microbienne, sa capacité à retenir l’eau. Il faut donc lui rapporter ces 1500kg. Ceci peut être réalisé par l’apport de 50 tonnes de fumier par hectare tous les 3 ans. Lutter contre la production de CH4, qui n’a pas démontré son action sur le climat, priverait l’agriculture de la principale source permettant de conserver la fertilité des sols ! Un élevage bien conduit permet d’élever 2 vaches/ha qui vont produire 20 T de fumier/an.xxii Maintenir l’élevage est donc une nécessité, par contre, on pourrait modifier les systèmes de culture pour mélanger élevage et polyculture afin de préserver la fertilité des sols. Mais ceci est une toute autre question.
Bernard Donnier
- i http://climatevolution.free.fr/i1.html
- ii http://profsvt71.e-monsite.com/pages/ts-specialite/theme-2-climats/evolution-de-l-atmosphere.html
- iii http://www.astrosurf.com/luxorion/menu-terre.htm
- iv http://cedric.ringenbach.com/2009/07/19/correlation-entre-co2-et-temperature/
- v PLANETE BLANCHE page 199 auteurs : Jean JOUZEL, Claude LORIUS, Dominique RAYNAUD
- vi https://books.openedition.org/editionscnrs/11361?lang=fr
- vii http://www.ocean-climate.org/wp-content/uploads/2015/03/FichesScientifiques-ocean-pompecarbone.pdf https://wwz.ifremer.fr/L-ocean-pour-tous/Nos-ressources-pedagogiques/Comprendre-les-oceans/Ocean-etclimat/Absorption-de-CO2-comment-l-ocean-regule-le-climat
- viii http://www.john-daly.com/artifact.htm ix https://exp-studies.tor.ec.gc.ca/f/ozone/OzoneDepletionClimateChange.pdf
- x https://www.actu-environnement.com/ae/dossiers/GIEC/mission_GIEC.php4
- xi https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_d%27experts_intergouvernemental_sur_l%27%C3%A9volution _du_climat
- xii https://www.liberation.fr/checknews/2018/10/17/les-gouvernements-partenaires-du-giec-ont-ilsun-droit-de-modification-sur-les-conclusions-et-propos_1685715
- xiii http://www.science-climat-energie.be/2019/10/22/la-science-classique-sarrete-ou-commence-lechaos/#more-6595
- xiv http://www.science-climat-energie.be/2019/10/22/la-science-classique-sarrete-ou-commence-lechaos/#more-6595
- xv http://www.science-climat-energie.be/2019/10/22/la-science-classique-sarrete-ou-commence-lechaos/#more-6595
- xvi https://www.climato-realistes.fr/sensibilite-climatique-un-concept-a-la-base-de-la-science-duclimat/ paragraphe 4.
- xvii https://fr.wikipedia.org/wiki/Inclinaison_de_l%27axe xviii http://ekladata.com/UYA3tGMfFH5fJ8pkZUlACLpBHPw/Evolution_Climat_1.pdf
- xix Extrait de la page 237 de PLANETE BLANCHE, extrait du rapport AR5 du GIEC
- xx https://www.anses.fr/fr/system/files/AIR2012sa0093Ra.pdf
- xxi https://www.nature.com/articles/nclimate3004
- xxii https://www.riviere-viaur.com/fr/gestion-qualitative-eaux/agriviaur/documents/FT_Gerer_fumier_2010.pdf
Très belle démonstration … quel travail, chapeau ! Et donc le GIEC aboutit à l’escrologie qui voudrait combattre mère nature à coups de taxes, édifiant !
Merci pour ce document.
Est-il possible d’en savoir plus sur l’effet rétroactif du GIEC ?
S’agit-il d’une inversion du principe de causalité ?
L’effet rétroactif du GIEC peut se résumer par ceci : “des sousous dans la popoche”.
En effet : plus le GIEC et ceux qui le servent dispose de moyens financiers, et plus il peut dispenser la bonne parole réchauffiste, par médias, politiciens, scientifiques achetés, artistes et autres Gretas interposés ;
dès lors, les crédules (en particulier les jeunes matraqués de messages apocalyptiques dès leur plus tendre enfance) appellent à grands cris à “agir pour sauver la planète”, ce qui se traduit invariablement par plus de taxes carbone et autres impôts “climato-responsables”. Résultat, le GIEC reçoit encore plus d’argent… Et ça repart pour un tour…
Exact mon Cher !
La secte réchauffiste est alimentée par les perroquets de Panurge.
Le corollaire de base, c’est parce que il fait chaud qu’il y a davantage de CO2, bien connu des scientifiques Or le GIEC inverse la proposition en affirmant que c’est à cause du CO2 qu’il fait plus chaud
@Vasseur
Ce document montre bien que l’inversion de la cause proposée par le GIEC ne tient pas à l’examen.
De plus, valider, si je l’ai bien compris, le principe rétroactif du GIEC revient à inverser le principe de causalité en physique (ce qui ne serait pas sans conséquences, vous l’imaginez bien)
Oui, mais pendant les périodes chaudes de la préhistoire, on ne retirait pas le carbone fossile pour le relarguer dans l’atmosphère.
C’est là que les analyses citées ci-dessus sont à discuter.
si vous êtes persuadés que le co2 est nocif, cessez de boire du champagne, toutes ces bulles lachées dans l’atmosphère…
“Science is the Belief in the Ignorance of the Experts” – Richard Feynman prix Nobel de Physique.
Sans CO2, pas de plantes ; sans plantes pas d’oxygène, ni de transformation du CO2 en nourriture pour les plantes donc pas de cultures = famine !
Vous voulez baisser le taux de CO2 dans l’atmosphère ?
Arrêtez de respirer
ULYSSE75010, quelle solution extrême ! j’en ris encore !
certain font du fric sur tout “maintenant electric” le diesel les finançier ont changer de salope pour tuer nos Enfants ?
Un seul mot: MERCI pour cet article!
Les “climatoseptiques” qui s’informent réellement , avec des éléments probants comme démontrés ci dessus ne peuvent que confirmer le manque de sérieux et de crédibilité du GIEC à la solde des gouvernements …………
Nous savons très bien que les gouvernements payent grassement et utilisent le GIEC qui leur permet de lever facilement des nouveaux impôts .
excellent article , nous ne pouvons que valider .
Merci pour votre travail.
Vous m’avez appris beaucoup de détail dans plusieures domaines et avez confirmé ma méfiance grandissante dans les dires et écrits du GIEC.
Merci à Dreuz et à tous et Bonne Année 2020
J’ai accumulé au fil du temps des dizaines de documents sur cette arnaque politico-financière mondiale, je dois dire que votre synthèse est très réussie. Chapeau !
Je la conserve précieusement.
Actuellement trop âgée pour m’associer à des efforts de recherches dans ce domaine je trouve néanmoins cet article louable car il fournit au lecteur l’occasion de réagir et de réfléchir sur des questions utilisées officiellement en ce moment pour nous “pourrir la vie”.
Positivons, comme le Candide de Voltaire qui nous invite finalement à “cultiver notre jardin”: Bon courage, et “bonne année 2020” quand même, j’espère !
merci, très bon travail
Les incendies sont monnaie courante en Australie mais ce qu’il s’y passe en ce moment est effrayant. C’est une région grande comme l’Ile de France qui est ravagée par les flammes faisant disparaître des millions d’animaux notamment le pauvre koala qui n’a rien demandé à personne ! N’étant pas scientifique je ne connais pas les raisons de ce désastre écologique et bien sûr économique et si le CO2 est impliqué, mais j’ai du mal à croire que l’homme est tout à fait innocent et qu’il s’agit simplement d’un caprice de la nature et de l’évolution naturelle du climat !
Qui se souvient encore du “Waldsterben”, la mort des forêts à cause des pluies acides, annoncée par des “experts” improvisés au cours des années 70 ? Et quoi dire de la “fin du pétrole ” avant la fin du siècle dernier, également annoncée par ces mêmes “experts”? Nous y avions cru au point de faire des réserves de carburant, pour rien… Aujourd’hui c’est le tour du CO2. Toutes les trente ou quarante ans, une nouvelle génération de soi-disant “experts” nous impose de faire ce qu’ils décident qui est bon pour nous, sans nous consulter. Mais pas moi. Cette foi-ci je refuse net.
Frank Milner : Je me souviens ,dans les années 70 il y avait “également” une espèce hurluberlu qui “prédisait” qu’ en l’an 2000 la terre allait manquer d’eau potable !!!!!!!!! Ce sont tous les mêmes ces alarmistes ; et je ne parle pas de l’autiste Suédoise manipulée ………….
Oui, mais … :
– Il y a maintenant des cigales à Lyon et à Chalon sur Saône qui chantent en été comme à Juan les Pins.
– Les vendanges commencent ici fin août alors qu’il y a plus de 50 ans c’était en octobre. Les degrés du vin on augmenté de 2 points.
– Les mesures que vous commentez concernent le CO2 superficiel. À ces époques, le carbone enfoui dans le sol n’était pas relargué dans l’atmosphère, ce qui est le cas maintenant.
– Il n’y a plus de neige dans le haut Jura.
– L’effet de serre du CO2 est faible, mais c’est un plus qui a son importance.
Là où je rejoins Dreuz et Guy Millière, c’est que les mesures préconisées par la bande à Thumberg sont inefficaces et manipulations. En effet, la seule solution, si on veut diminuer le CO2, c’est de diminuer la production mondiale de carbone fossile. Or les COP 21 autorisent des pays à l’augmenter et pénalisent l’Occident. Et chacun y va de sa mesurette inefficace.
À votre énumération vous auriez pu ajouter les glaciers alpins qui fondent depuis le milieu du XIXème siècle (oui, plus de 150 ans).
Tout comme ils ont fondu dans le passé, puis repris du volume, puis à nouveau fondu, puis à nouveau repris du volume… c’est la succession des âges glaciaires et des périodes de réchauffement, dont la dernière connue, l’optimum climatique médiéval, a été très bien documentée, notamment par E. Le Roy Ladurie.
Bref, des périodes de réchauffement comme celle que nous vivons depuis un siècle et demi, la terre en a connu beaucoup dans le passé, sans que les activités humaines y aient été pour quoi que ce soit.
Confondre “le climat se réchauffe” et “l’homme est responsable du réchauffement climatique” est hélas fréquent, vous en donnez encore une fois la preuve.
Par ailleurs, je vois une contradiction dans vos propos quand vous dites “les mesures préconisées par la bande à Thumberg sont inefficaces et manipulations. En effet, la seule solution, si on veut diminuer le CO2, c’est de diminuer la production mondiale de carbone fossile.”
En effet, à ma connaissance “la bande à Thunberg” préconise bien la diminution, et même l’arrêt total, de la consommation d’énergies fossiles…
Au Moyen-Âge, les paysans montaient la Mer de Glace avec leurs troupeaux pour les faire paître là où il n’y a que de la neige aujourd’hui.
Ce que je constate, c’est qu’il fait de plus en plus chaud.
Si c’est le CO2 le responsable, il faut diminuer la production de carbone fossile. Et non dire de moins en consommer ce qui n’a aucun effet planétaire.
Mais le CO2 est-il le responsable ? Là est la question.
Comment voulez-vous diminuer la production de carbone fossile (pétrole, gaz, charbon) ?
Ce n’est pas nous qui le “produisons”, nous ne faisons que les extraire, éventuellement les transformer (raffinage), puis les consommer.
Les stocks souterrains de pétrole, gaz, charbon se sont formés il y a des lustres, bien avant que nous ne les découvrions… l’homme n’est pour rien dans leur “production”.
D’accord, disons l’extraction, ou l’exploitation.
L’effet de serre du CO2 est saturé et de ce fait le rôle du CO2 dans un quelconque réchauffement est quasi nul et surtout ne justifie d’aucune maniére les colossales et stupides dépenses engagées pour lutter contre les émissions de carbone et la transition énergétique
Yorel allias Henri Le Roy : Avant de démolir “les automobilistes” , il serait utile de s’attaquer au plus gros des problèmes ; C’est a dire les navires : quand on sait que les 10 plus gros navires du monde polluent plus que les 750 millions d’automobiles dans le monde !!!!!!!! Voilà un véritable combat .
“Il y a -530 millions d’années environ, la teneur en CO² était de près de 6.500ppm.”
Êtes vous donc plus vieux que Mathusalem, qui lui n’ a selon la Bible vécu que 930 ans ?
Vos instruments de mesures étaient donc d’une exactitude incontestables, sans précédents pour l’époque. Comment se fait il qu’ aujourd’hui il y ait une marge d’erreurs avec des instruments datant de “530 millions d’années environ” et d’une telle précision ?
Lisez la bible et vous constaterez qu’elle parle du climat QUE DEPUIS 2000 ans.
A commencer par ce texte de 2 Chron 7.13 et 14:
13QUAND JE FERMERAI LE CIEL ET QU’IL N’Y AURA POINT DE PLUIE, quand j’ordonnerai aux sauterelles de consumer le pays, quand j’enverrai la peste parmi mon peuple; 14si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, — je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays.
“13QUAND JE FERMERAI LE CIEL ET QU’IL N’Y AURA POINT DE PLUIE”
C’est Dieu lui même qui parle.
Jean 3.8a:
8Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va.
Il y a de nombreux autres textes qui parlent de ce sujet. Les “climatologues” devraient lire la Bible et s’en inspirer, cela leur éviterai de transpirer pour rien et surtout de dire beaucoup d’anneries.
Chti : C’est dieu lui même qui parle , Tiens donc ! … Einstein a dit : Donnez moi la définition de dieu je vous dirais si j’y croit ………….
“SI” un dieu a existé , il t a longtemps qu’il a quitté cette terre ……Avec tout ce qu’on y voit !
SVP, regardez les graphes produits avec l’article et n’écrivez pas le “2” de CO2 en exposant (en haut). Il doit être en bas. Pour tous ceux qui ont fait ne serait-ce qu’un peu de chimie, cette faute répétée sans cesse donne un goût amer dans la bouche ! Surtout sur ce sujet !
Réflexions très intéressantes et qui me paraissent, en tant que scientifique, pertinentes.
Le moins que l’on puisse dire est qu’en effet la théorie du CO² comme seule et unique cause du réchauffement actuel observé est tout sauf certaine et démontrée.
D’abord parce que sa culpabilité est uniquement déduite de simulations informatiques.
Ayant travaillé sur la modélisation des systèmes physiques, et en particulier sur le fameux modèle climatique, je sais qu’il faut prendre les modèles avec de grosses pincettes, en particulier quand on veut les utiliser pour démontrer des théories, ce qui n’est pas leur but ni leur fonction. Car il s’agit bien de simuler, c’est-à-dire de reproduire.
L’objectif de départ du modèle climatique était de comprendre la dynamique du climat, la formation des phénomènes climatiques (comme El Niño) en fabriquant un modèle capable de reproduire les observations. La capacité prédictive elle était déjà beaucoup plus incertaine. Car on ne sait à peu près rien prédire des conditions externes de forçage qui régneront dans le futur : activité du soleil, volcanisme, magnétisme terrestre, traversée de nuages stellaires, etc.
Transformer ces modèles “compréhensifs” en simulateurs d’expériences sur le climat en modifiant les paramètres pour “mesurer” l’impact me paraît méthodologiquement douteux et franchement pas rigoureux.
Ce qu’on mesure en effet, c’est uniquement l’impact de l’augmentation du CO²… sur le modèle
[modèle : système d’équations mathématiques décrivant les différents phénomènes interagissant dans le système modélisé et donnant l’évolution de la valeur des grandeurs d’état.]
A noter que beaucoup de ces équations sont empiriques (obtenues par ajustement mathématique des paramètres de fonctions choisies arbitrairement, généralement pour leur simplicité et intuitivement) et ne reposent pas sur des théories explicatives fondées sur des hypothèses consistantes (à l’inverse de l’attraction gravitationnelle ou de la théorie de la relativité, dont les équations sont logiquement déduites des lois et principes physiques et non postulées a priori)
A noter encore que l’on résout ces équations par des méthodes mathématiques approchées (style Runge-Kutta) et le calcul informatique, car elles sont trop complexes pour admettre une solution analytique avec des fonctions simples connues.
Or les méthodes mathématiques de résolution approchées employées ont, on l’oublie complètement dans tout ça, aussi un effet sur les résultats en fonction du pas, de la résolution etc., surtout dans un système chaotique, sensible aux infimes variations de données – autrement dit qui diverge rapidement à mesure que l’on s’éloigne du point de départ.
Autre difficulté : pour éviter que le modèle “n’explose”, c’est-à-dire pour qu’il reste dans des valeurs réalistes et ne donne pas des résultats “impossibles” (genre 5000° à un endroit donné), autrement dit dans une fourchette de valeurs “raisonnables”, on lui met par-ci par-là des garde-fous arbitraires qui faussent encore la “résolution” informatique.
D’où la question primordiale qui n’est pas évoquée : à quel horizon ce que prédit le modèle n’a plus aucune valeur? cf prédictions météo : est-on capable de prédire la température à Paris du 6 janvier 2021?
Donc déjà, le moins que l’on puisse dire est que toutes les allégations sur le futur du réchauffement en fonction du taux de CO² repose sur une méthodologie, la simulation par des modèles résolus par le calcul informatisé, qui est très, très incertaine.