Source : Lepoint
Alors qu’un rassemblement en mémoire de Sarah Halimi doit avoir lieu ce dimanche, Mes Tordjman et Touitou rappellent quelques principes de notre justice.
Fin décembre 2019, Kobili Traoré, l’homme qui avait, en 2017, frappé et défenestré Lucie Attal, aussi connue sous le nom de Sarah Halimi, a été déclaré irresponsable pénalement par la justice, à l’issue d’une audience devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris et après avoir été examiné par pas moins de sept psychiatres.
La justice a considéré que l’homme avait été atteint d’une bouffée délirante aiguë après avoir fumé du cannabis (une conséquence non prévisible de la prise de drogue), et que son discernement était donc aboli au moment des faits. Le Point s’est intéressé à ce fait divers qui a ému la France, et y a consacré une demi-douzaine d’articles (ici ou ici) pour tenter d’expliquer cette décision judiciaire. Nous avons également réalisé l’interview de l’avocat de la défense, Me Bidnic et celui de Me Szpiner, un des avocats des parties civiles.
L’arrêt de la chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris a entraîné une vague de colère qui s’est exprimée dans les médias, notamment par l’intermédiaire du grand rabbin de France, Haïm Korsia, qui a demandé à revenir sur cette décision dans le Figaro : « Il faut que le meurtre de Sarah Halimi soit jugé », a-t-il réclamé, en appelant à la ministre de la Justice. Alors qu’une manifestation en mémoire de Sarah Halimi devait se tenir ce dimanche à Marseille, Le Point continue de faire vivre le débat et publie la tribune que nous ont adressée Mes Tordjman et Touitou, avocats au barreau de Paris.
« Monsieur le Grand Rabin, n’ayez pas peur des juges,
Nous partageons l’émoi de la communauté juive que vous exprimez dans votre lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice publiée par Le Figaro du 25 décembre. Vous avez raison : il est très inhabituel pour le grand rabbin de France d’en appeler à la garde des Sceaux pour désavouer une décision de justice. Ce faisant, les avocats et citoyens que nous sommes estiment avoir le devoir d’éclairer la décision rendue par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris le 19 décembre dernier. Nous sommes en effet convaincus qu’une explication donnant les clefs juridiques de compréhension de cette décision serait de nature à calmer les polémiques, à faire cesser la désinformation et donc, à rétablir la sérénité.
Permettez-nous d’éclairer objectivement quelques-uns des éléments de l’affaire que vous citez dans votre lettre. Pour commencer, il est erroné de prétendre que devant la cour d’appel, lors de l’audience du 27 novembre dernier, “la parole des parties civiles a été confisquée”, ou que “le procès a été empêché”. Depuis le mois de février 2008, à l’initiative du président de la République Nicolas Sarkozy et de la ministre de la Justice, Rachida Dati, une procédure conçue pour régir les situations dans lesquelles les auteurs d’infractions sont déclarés irresponsables pénalement par les experts a été créée pour les parties civiles. Cette procédure se déroule comme pour tout procès, en audience publique mais devant l’une des formations de la cour d’appel qu’est la chambre de l’instruction.
Erroné de prétendre que (…) la parole des parties civiles a été confisquée
Sont conviées à cette audience, selon les articles 706-120 et 706-122 du Code de procédure pénale, toutes les parties au procès : les parties civiles et leurs avocats, le ministère public, le mis en examen et son avocat ainsi que les experts. Au cours de cette audience publique, les experts rendent compte de leurs travaux d’expertise, démontrent, justifient, expliquent à des magistrats professionnels et aux parties présentes comment ils sont parvenus à la conclusion selon laquelle un homme, en l’espèce Kobili Traoré, était au moment des faits sous l’emprise d’une abolition totale de son discernement.
Lors de cette même audience, les magistrats et toutes les parties, avocats ou non, peuvent poser des questions aux experts mais aussi au mis en cause. Cette procédure offre aux victimes un temps précieux pour comprendre et pour assembler les pièces du puzzle judiciaire qui leur était étranger jusque-là. Les membres de la famille de Madame Lucie Attal (aussi connue sous le nom de Sarah Halimi, NDLR) avaient donc toute leur place dans ce procès devant la chambre de l’instruction.
Ils auraient pu personnellement interroger tant les experts que Monsieur Kobili Traoré et pu dire ce qu’ils souhaitaient lors de cette très longue audience. Ils ont choisi de s’y faire représenter par leurs avocats. Ce choix est le leur et doit être respecté.
Inapproprié de laisser croire à une forme de musèlement de la parole
Alors que cette procédure particulière a été créée pour les victimes, il est donc inapproprié de laisser croire à une forme de musèlement de la parole des victimes. Il est par ailleurs inexact d’écrire que “parler de l’assassin de Lucie Attal serait impossible puisque les faits ne sont pas établis par la tenue d’un procès”, tant cela ne correspond pas à la réalité.
Comme la loi le prévoit, l’audience publique a donné lieu à un arrêt motivé. Cet arrêt, comme avant lui l’ordonnance rendue par les juges d’instruction, rappelle que Kobili Traoré reconnaît avoir donné la mort à Madame Lucie Attal. L’imputabilité des faits n’a d’ailleurs jamais posé question dans cette affaire. Il s’agit de la raison principale pour laquelle aucune reconstitution n’a été organisée.
En outre, concernant la pathologie dont souffre Kobili Traoré, il est important de souligner que pas moins de sept experts se sont penchés sur son cas et tous, absolument tous, sont d’accord sur le diagnostic d’une bouffée délirante aiguë avant et pendant les faits. Six ont conclu à l’abolition du discernement, seul l’un d’entre eux a conclu à une altération du discernement.
État médical qui n’a jamais permis son incarcération
Dans son arrêt, la chambre de l’instruction reprend très précisément le cheminement médical et les conclusions de ces experts, tous présents ou représentés lors de l’audience. Ceux-ci étaient prêts à affronter les questions directes des victimes. Nous le savons désormais, elles n’ont jamais pu être posées en raison de leur absence.
Dans leur décision, les magistrats insistent longuement sur ce que recouvre la notion de “bouffée délirante aiguë”, telle que décrite par les experts. Pour rendre leurs expertises, ceux-ci ont bien entendu procédé à un examen clinique du meurtrier et recueilli sa parole. Ils se sont fait communiquer son dossier médical et ont eu accès aux dépositions des témoins entendus dans le dossier.
II est important d’indiquer que Kobili Traoré n’a, jamais, depuis la date de commission des faits en avril 2017, quitté le centre hospitalier psychiatrique de Villejuif. Son état médical n’a jamais permis son incarcération dans une maison d’arrêt.
Il n’y a pas de jurisprudence Traoré
Un autre point mérite d’être précisé.
En droit français, la consommation d’alcool et de stupéfiants est une circonstance aggravante permettant aux juges de condamner plus sévèrement les faits soumis. La cour d’appel, par un raisonnement motivé en fait et en droit, a jugé que le comportement de Kobili Traoré depuis le 2 avril 2017, dont a résulté la bouffée délirante aiguë du 4 avril, n’a aucune commune mesure avec les effets recherchés habituellement par un consommateur de cannabis.
Autrement dit, il n’y a pas de “jurisprudence Traoré”.
Dans un pays où les cas d’abolition du discernement prévus par l’article L 122-1 du Code pénal sont rarissimes, mais aussi où la prise en charge des prisonniers psychiatriques repose trop souvent sur les personnels pénitentiaires, la décision de la cour d’appel ne s’explique que par l’état médical dans lequel se trouvait le meurtrier de Madame Lucie Attal au moment où il a commis les faits.
Pas de permis de tuer des Juifs
L’antisémitisme n’étant qu’une circonstance aggravante du meurtre de Madame Lucie Attal, la déclaration d’irresponsabilité pénale de Kobili Traoré, sur la base des conclusions des experts réitérées à l’audience publique, rend le débat sur son existence sans objet. II n’est donc pas juridiquement acceptable de qualifier cette décision de justice de “permis de tuer des Juifs”.
La Cour de cassation est aujourd’hui saisie de la conformité juridique de l’arrêt rendu par la chambre de l’instruction. Les critiques formulées à l’encontre des décisions judiciaires doivent s’exercer dans le cadre des seules voies de recours prévues par la loi.
Nous vivons, Monsieur le Grand Rabbin, en ce moment en France, une époque troublée. La justice souffre des coups de boutoir incessants de ceux qui, loin d’en comprendre le fonctionnement, préfèrent la facilité de crier aux loups avec la meute. Il ne peut être soutenu que la mission première de la justice pénale serait de “cautériser les plaies”. Rendre justice, c’est avant tout sanctionner l’auteur d’une infraction si les conditions juridiques le permettent. La réparation psychologique des victimes, évidemment souhaitable, ne peut être le prérequis d’une décision de justice.
Un des fondements de notre État de droit
Tout se passe désormais comme si le principe selon lequel on ne juge pas les fous, existant depuis le Talmud et le droit romain, ne devrait plus s’appliquer lorsque le crime est trop atroce. Il s’agit pourtant de l’un des fondements de notre État de droit.
Monsieur le Grand Rabbin nous sommes convaincus qu’il nous appartient à tous, juristes ou non, de refuser la facilité, de prendre le temps de la réflexion et de l’explication pour cesser d’effrayer nos concitoyens, la justice devant être rendue dans la sérénité. Il s’agit de la condition essentielle du bien vivre ensemble.
Veuillez agréer, Monsieur le Grand Rabbin, l’expression de notre plus respectueuse considération. »
* Maud Touitou et Emmanuel Tordjman
Avocats associés
Les auteurs de ce long plaidoyer se contente d’affirmer que :
1 – il existe des lois dans ce pays
2 – les lois sont régies par une procédure
3 – la procédure a été respectée
4 – il n’y a donc aucun problèmes
Sauf que :
1 – si la bouffée délirante aigüe eu lieu exactement quand il était dans l’appartement de Sarah Halimi, dans ce cas, la décisions d’aller dans cette appartement est-elle ou non comprise dans la bouffée délirantes aigüe ?
Si oui : pourquoi ne pas avoir battus et défenestrés les voisins par le balcon desquels il est passé pour aller dans l’appartement de Sarah Halimi ?
Si non : la décision d’aller dans l’appartement de Sarah Halimi est donc une décision en pleine conscience, mais dans ce cas pourquoi cette appartement à l’exclusion de tout autre ? N’y a-t-il pas une décision à caractère antisémite qui nécessite qu’on s’interroge ?
2 – la non-reconstitution des faits : contrairement à ce qui est affirmé dans le texte , la question n’est pas de savoir si Traoré est l’auteur du “meutre-assassinat- accident de la voie publique” mais pourquoi la police, sur place, en nombre et armées n’est pas intervenue.
Ces premières questions me semblent naturelles, y répondre est une obligation mais je suis certain qu’il ne se passera rien.
“Elle” a raison, il ne se passera rien. Il y a plusieurs Me Tordjman et quelques Me Touitou, il est donc difficile de les identifier. Il est probable qu’ils sont membres du Sdk de la Magistrature et donc du côté du musulman contre le juif ou le chrétien. Leur argumentaire juridiquement exact vise surtout à dissuader le Grand Rabin de tenter d’obtenir une réouverture du procès. Car il y a effectivement plusieurs anomalies. 1 : les premières expertises concluaient à la responsabilité, la dame juge a convoqué de nouveaux experts qu’elle a choisi elle même, selon quels critères ? 2 : le comportement de Mr Traoré montre la préméditation, notamment son ton très calme quand avant de défenestrer il a averti voisins et policiers de ne pas rester sur le trottoir car une vielle dame va se suicider. 3 Traoré était un psychopathe connu, comment se fait-il qu’il n’était pas hospitalisé ou au moins sous traitement. 4: Le comportement étrange de la police qui monte au troisième étage, entend les cris de douleur, les supplications de Mme Attal et les hurlements islamistes de Traoré et décide d’attendre placidement au pied de l’immeuble l’arrivée de la Brigade Antiterroriste.
Rien n’établi que cette “bouffée délirante” est bien réelle … et PAS, tout simplement simulée …. en effet … l’expertise judiciaire se déroule longtemps APRÈS la commission des faits….
( et PAS sur les lieux et directement après commission des faits !)
EN TOUT ÉTAT DE CAUSE ….. ce crime était motivé par une haine préexistante …
( un antisémitisme avéré) comme l’enquête le montre ….
L’état actuel du “mis en cause” … est, semble-t-il, normal ET absolument PAS incompatible avec un procès …. (c’est ce qui compte aux yeux de la logique judirique)
Le “mis en cause” est, à ce jour, parfaitement capable de comprendre les faits qu’il a commis ET le procès qui en découle ….
RIEN NE S’OPPOSE DONC À UN BON DÉROULEMENT D’UN PROCÈS ÉQUITABLE !
( rien n’empêche la défense de présenter la thèse de “bouffée délirante” durant le procès …. les jurés étant parfaitement capable de juger la plausibilité ou non de cette théorie !)
Un argumentaire glacial que celui de ces deux avocats associés, juifs de surcroît !
Leurs propos font “froid dans le dos” !
Une politique éhontée de l’autruche !
Comment peut-on appeler cela de la justice !
Une totale dérive du droit & de la justice !
Une négation de l’évidence qui devrait crever les yeux !
Mais dans le règne du “surtout pas d’amalgame” tout est permis, tout est possible !
Le musellement imposé par la dictature de la dhimmitude n’est-ce pas !
C’est encore & toujours le combat de la Vérité & de la Lumière contre l’obscurantisme & les ténèbres!
Madame Couderc.
Une irregularite de l’instruction parmi d’autres: la juge d’instruction a refuse des le debut au BNVCA de se porter partie civile: elle a “justifie” sa decision par le “fait” qu’il ne s’agissait pas d’un meurtre antisemite. Or, il ne s’agissait nullement d’un fait, mais d’une autre simple opinion de Mme la juge, opinion d’ailleurs rejetee pres d’un an plus tard par le Parquet. On ne peut bien entendu justifier sa propre faute en se basant sur sa propre erreur, meme si cette erreur, evidente en soi, n’a ete prouvee pour les maniaques du Dalloz qu’un an plus tard.
Cet immonde assassin agressait déjà verbalement Mme Halimi avec toutes sortes d’invectives antisémites, et des plaintes avaient été déposées. Il y a donc des documents datés irréfutables. Et cette juge d’instruction n’a même pas honte d’écarter le caractère ouvertement antisémite de ce massacre à mains nues ?
De qui on se fout, dans ce pays ??
Dans ce pays on se fout du peuple simple, travailleur, intelligent pour le cas précis, patriotes et surtout non gauchiste!
Si je téléphone en conduisant, mon discernement est fortement altéré, voire aboli. Alors en cas d’accident grave, ça m’exonérera de toutes poursuites ?
Forcément, puisque justement c’était le même juge qui était en train d’appeler, et que cela vous avait très fortement troublé !
Quelle logorrhée pour justifier l’attitude des juges ! Il ne fait aucun doute que le futur “atteint de bouffées délirantes” qui tuera tous ceux qui ne connaissent pas un verset du coran ne manquera pas de remercier les auteurs de ce texte !
Mon avis qui en vaut bien un autre, c’est que la justice et donc l’état ne tient pas à un procès car la police serait alors montrée du doigt et devrait rendre des comptes devant son inertie alors qu’une femme se faisait massacrer avant d’être défenestrée !
Cela dit dit j’invite Maud Touitou et Emmanuel Tordjman à venir s’installer à Sevran ou Stains afin de prendre connaissance des règles du ” bien vivre ensemble”, notamment en demandant l’avis des familles juives obligées de retirer leurs enfants de l’école publique incapable de les défendre face à la violence dont ils sont l’objet !
Parmentier,
J’ai entendu hier en fin d’après-midi Me Torjmann s’exprimer.
Ça m’a fait vraiment mal d’entendre un avocat débiter un tel discours.
C’est à se demander qui est LA victime dans cette affaire.
Cela me rappelle une affaire se déroulant à Genève qui m’a particulièrement frappée, étant amie avec une proche parente de la victime.
Les experts, au cours de deux procès, se sont mis en quatre pour tenter de démontrer que l’assassin pouvait être récupérable.
Et pendant les péroraisons autour de cet individu, déjà violeur récidiviste, la malheureuse victime, morte à jamais, n’était plus qu’une sorte de figurante.
Ce genre de jugement imbécile qui rend les “déséquilibrés irresponsables de leurs crimes devrait bénéficier à tous les assassins islamistes. C’est une honte.
La question que je me pose est, est ce que la psychanalyse est une science exacte ?
Est ce que si 10 psys pensent que ce type est fou, alors on est sûr et certain qu’il est fou sans l’ombre d’un doute.
Est ce que tous les violeurs relâchés parce que jugés guéris par des psys n’ont jamais récidivés ?
@ Dmaot
Sur la planète Justice, même avec 10 psys, on a encore la marge.
L’assassin-violeur multirécidiviste Pierre Bodein – alias Pierrot-le-Fou – avait réussi à accrocher 53 “experts” à son tableau de chasse. Il les avait tous roulés dans la farine comme des débutants :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Bodein
Mémorable plantade judiciaire ! Encore pire que Outreau !
Lire: Selon le psychiatre Henri Brunner, « à cette date-là, tous les experts psychiatriques semblaient unanimes pour dire que Pierre Bodein était fou, moi y compris. Les événements m’ont donné tort. Le tableau clinique était trop spectaculaire. »
Il a bien dit “les événements m’ont donné tort.” Au moins un psy honnête.
Alors… est-ce que cette “justice” est sérieuse ?
Il ne faut pas confondre psychanalyse (qui s’adresse à des Jobastres par des individus autoproclamés comme G Miller) qui adore se faire appeler Docteur mais qui ne le sont pas, avec la psychiatrie qui est une spécialité médicale (7ans d’études de médecine + 4 ans de spécialité) qui bien exercée est tout à fait crédible et scientifique et qui soigne et parfois guérit mais une bouffée délirante dure un certain temps et ce taré a été conseillé par des gens pas très futés car chez les noirs une bouffée délirante exprime souvent une dépression pas très déprimé ce barbare et parfaitement conscient de ses actes donc la prison à perpétuité et incompréhensible
Voilà cela évitera j’espère de croire ces islamo-bobo-gauchos débitant leurs fadaises.
C’est encore et toujours la même litanie : le France est un pays tellement merveilleux qu’il n’y a pas d’ennemis. Tout au plus de ci de là des victimes de la sciété et/ou des détraqués psychologiques. Et, comme la France comme autrefois l’URSS est un pays du bien, il convient de soigner et/ou réinsérer ces pauvres gens.
Un cinglé de chez nous (= non muze) prend un entonnoir le met sur la tête et monte à l’échelle un détraqué psychologique musulman prend un couteau et égorge des infidèles en criant Allah(haha) machin chouette.
Personnellement, j’utilise une passoire, l’entonnoir manquant de stabilité sur la tête.
Ces avocats ne parlent que de procédures. La morale, la conscience, le bon sens, l’évidence, ont disparu de la Justice…
C’est vraiment très grave.
Au fait, ces avocats parlent du fait que l’assassin a pu parler librement. Ils ne savent donc pas que le Coran permet de MENTIR ! Beaucoup de musulmans sont des experts en mensonge, puisque c’est considéré comme une vertu si cela permet de faire avancer la oumma.
Ce verdict VA FAIRE JURISPRUDENCE, contrairement à ce qu’ils dit. Tout assassin de juifs pourra désormais affirmer qu’il a eu une aliénation mentale momentanée.
Oui, dans la tête de milliers, voire de millions de musulmans, on ne risque plus grand chose, en France, désormais, à massacrer les juifs. Il est temps pour eux de faire leur alya …
Voici la vérité, contrôlable. Elle est bien loin des discours lénifiants de ces avocats
https://www.jforum.fr/paris-le-frere-de-sarah-halimi-bouleverse-la-manif-p-tenno.html
Merci, MAV, de ce lien.
C’est du lourd…
cette décision inouie est stupéfiante, honteuse et qui a été adoptée par deux fois par des “juges” qui ont ignoré le bon sens, suivi une idéologie de l’excuse permanente envers certaines catégories de la population!
ces juges font que la “justice” française n’est plus crédible, un permis de tuer
si le dieu de serge gainsbourg était un fumeur de havane, allah est un fumeur de cannabis cf coran 8: 18 aussi ça n’est pas vous qui les avez tué mais Allah
@ MAV
Merci pour le lien.
En sus je subodore que le policier qui n’est pas intervenu durant 20 minutes, malgré les appels à l’aide déchirants et les cris de souffrance devait être d’une religion … pas très catholique ! Sinon, sa passivité complice est strictement inexplicable.
Très, très dérangeant pour les responsables de la police, pour le ministre de l’Intérieur et pour Macron !
@ MAV
Cette question, soulevée également dans l’article que vous avez joint, est effectivement une honte pour la police. D’où le fait dérangeant que la reconstitution n’ait pas eu lieu.
Quand j’entends Macron oser parler de crime à l’aveugle pour la dernière tuerie de Villejuif (alors que le terroriste a épargné un musulman, comme avant lui l’Afghan assassin de Villeurbane) et le juge Trevidic parler de l’islamisme qui a infiltré tout les appareils d’Etat, il y a de quoi s’interroger sur les compromissions, lâchetés et silences des juges. Et ces deux avocats se comportent comme de vulgaires kapos!
Mais enfin regardez qui le psychopathe de l’Elysée a envoyé à l’assemblée Nationale
C’est plus la France c’est l’Afrique et le Maghreb réunis.
Emmanuel Tordjman est l’avocat de Mediapart.
D’où viennent ces deux avocats dhimmis ? Il est glaçant de lire leur plaidoirie indigne. Quand cessera-t-on de psychiatriser les tueurs qui appliquent le coran ? Cela me rappelle Hannah Arendt et la banalité du mal pour “expliquer” Eichmann. On juge et on condamne à mort ou à perpétuité les criminels islamo nazis. Il n’y a rien d’autre à faire et ces simagrées sont déshonorantes.
Pourquoi, devant toute cette polémique, Madame la juge-expert-psychiatre-de-renommée-mondiale, ne vient t-elle pas demander à se justifier, qu’on lui tende un micro, et que le public s’extasie, ou s’ectasie devant de telles prouesses scientifiques.
Peur d’être conspuée, qu’elle soit déchargé d’un dossier qui soulagerait sa conscience?
Car enfin, dort elle d’un bon sommeil après ses élucubrations, ou a t-elle peur de subir une menace?
C’est bien la compétence des psychiatres qui est en jeu, car leur diagnostic est rien moins que scientifique et scientifiquement prouvé. Leur avis n’est qu’un élément du débat et ne peut en aucun cas être le seul déterminant
Ne vous trompez pas de combat, les psys peuvent être instrumentalisés par les juges.
A quand l’évaluation psychiatrique des juges ?
Et qui jugerait alors de leur capacité à juger ?
Quant aux baveux de cet article, ils sont trop propres sur eux pour être honnêtes (avis d’un perturbé psy par cette infamie de “justice” macronienne). Bref cette parodie de justice sent la manipulation politique et montre la malhonnêteté française.
Dire que les terroristes sont fous n’a rien de neuf, mais se servir d’un tel constat pour leur éviter une condamnation pénale lourde revient à approuver leur comportement !
Combien parmi nous sont convaincus que l’islam rend fou ?
Ce n’est pas une raison suffisante pour leur pardonner !
Traoré au bout d’une corde ou raccourci par une guillotine ne serait que justice.
J’ai connu Elisabeth Lévy plus inspirée, car elle aussi tient un langage semblable à celui des 2 avocats aussi bien dans Causeur que ce matin dans l’émission de Pascal Praud !
Le Talmud n’est pas la Thora , c’est une interprétation.
La Bible distingue entre meurtre (involontaire ) et Assassinat Ex 21-13 et 14 .
Il y avait donc six villes de refuges pour ceux qui avaient involontairement tuer un homme , Nom 35-6 trois de chaque coté du Jourdain .
Mais pas pour l’ assassin .Lev 24-21 …celui qui tuera un homme sera puni de mort.
Nulle part dans les écritures il est question d’ absoudre le fou .
David s’était fait passé pour un fou 1 Sam 21-13 .
Aujourd’hui il suffit de se shooter au cannabis 3 ou quatre fois avant de décider de tuer et il y aura de grandes chances que le crime ne soit pas puni!
Mais devant la justice de Dieu , malheur à celui qui absout le coupable .Evidemment pour les incrédules ça n’a aucune valeur meme s’ils se servent du Talmud pour justifier le coupable
Mme HALIMI EST DONC UN MARTYRE A CAUSE DE SA FOI.
Toutes ces “excuses” ne serviraient-elles pas à couvrir UN SACRIFICE ? RITUEL ?
Il faudra dire et repeter (ca les vexera beaucoup) que leur attitude, comme celle de la plupart des gens qui, se disant de gauche, encensent le jugement (ou plutot son absence), est en fait une attitude d’extreme droite nationaliste. En effet, ils prennent la defense des corps constitues (police et magistrature) en face de ces grandes idees que sont la protection du citoyen et la justice. C’est en tous points comparable a ce que fut, en son temps, la position des antidreyfusards: qu’importe la souffrance de l’individu, pourvu que l’Etat ait raison !
J’hallucine en lisant cet article. Trouver des circonstances atténuantes à ce mec est une aberration ! Faut arrêter avec ces histoires de bouffée délirante et de manque de discernement. Ce mec est un assassin. La question est de savoir quelles sont les véritables raisons qui motivent la volonté de ceux, quel qu’ils soient, qui lui trouvent des circonstances atténuantes ?
+1
Kobili Traoré,un dangereux bouffon délirant surtout !
il y en a trop en France !
Texte à vomir !
La conclusion résume la faillite de notre époque. Nos deux auteurs énoncent : “Rendre justice, c’est avant tout sanctionner l’auteur d’une infraction si les conditions juridiques le permettent.”
Ils font donc précéder la justice de “conditions juridiques” préalables, c’est-à-dire du droit : la Justice ne naît pas du droit, elle lui est antérieure et c’est elle qui le fait naître. La Justice est un besoin vital comme respirer ou manger : c’est le besoin de manger qui va donner naissance à une infrastructure complexe qui s’appelle l’agriculture, et non l’inverse, non pas l’agriculture qui donne naissance à l’instinct de conservation appelé “faim”.
Ici, quand les auteurs font précéder le droit à la Justice, ils illustrent parfaitement la formule populaire : “du droit partout, de la justice nulle part”. Ils sont les parfaits sectateurs de ce système maladif et tyrannique qui est devenu un Golem. Lire Kafka, “la colonie pénitentiaire” qui décrit bien ce genre de personnes profondément malades et idolâtres de leur dieu-système.
Et cerise sur le gâteau, ils n’oublient pas, en conclusion, de nous servir le couplet sur le “vivre ensemble”. Ils nous donnent même le secret, la recette infaillible pour ne ne jamais râter notre “vivre ensemble” (dixit “la justice devant être rendue dans la sérénité. Il s’agit de la condition essentielle du bien vivre ensemble.”).
Ces cabotins n’auront donc pu se retenir : ces pauvres petits techniciens du droit (et techniciens apparemment laborieux) veulent en plus se poser comme experts de la morale, ou de l’éthique ou que sais-je : cantonnez-vous d’appliquer vos compétences aux procédures de divorces, d’assurances ou autres détails techniques de scribouillards et qui permettent aux parasites que vous êtes de gagner votre subsistance, mais faites nous grâce de vos “principes de sagesse”.
J’aimerais terminer en me soulageant par quelques insultes qui résumeraient assez bien ces personnes, je ne le ferai pas pour mettre en principe une vraie éthique, la Hassidout, qui nous enseigne la “Hitkafia”.
Par contre il serait intéressant que vous développiez ce concept juif pour nous qui aimons ce peuple & toute son infinie richesse & son génie accordés par le seul D.ieu Vivant & Vrai !
Madame Couderc
Merci madame Couderc pour cet hommage au peuple juif et à son héritage.
Je ne développerias pas ici ce concept, parce qu’il s’agit d’une attitude (en l’occurrence, la retenue) qui trouve sa justification dans la mystique. La mystique juive a progressivement déplacé son centre d’intérêt ou son centre de gravité. Originellement, il y était question de D.ieu et du monde, comment D.ieu par un processus d’ “émanation” de dix sphères donne consistance à la matière. Par la suite, l’Homme devint le sujet plus central de la mystique et les dix sphères sortirent de la réflexion sur D.ieu pour servir à décrire l’âme humaine. Il y eut donc l’élaboration d’une psychologie fondée sur la mystique. La retenue ou le stoïcisme, dans cette perspective, deviennent une des deux façons de combattre le mal. L’une est la retenue, se tenir à distance, l’autre est la conversion : il existe parfois l’option de transformer le Mal en Bien. Il ne s’agit alors plus de détruire le Mal, ou de le contenir mais d’opérer sa métamorphose.
Si le sujet de la mystique juive vous intéresse, je vous recommande la lecture d’un livre d’Adin Even Israel (aussi appelé Adin Steinsaltz), “la rose aux treize pétales”.
Cordialement
J’en veux à Dreuz, en fait à Gaia. Une réflexion rapide aurait permis de comprendre que ce texte ne nous est pas destinés, nous public, mais qu’il s’adresse à la profession. C’est de l’entre-soi.
Ces deux travailleurs du droit, en écrivant ce texte, ont simplement voulu donner des gages.
Ils sont Juifs ou d’origine juive (Touitou, Tordjman) et veulent que l’on sache, dans leur milieu professionnel, qu’avant d’être Juifs, ils sont d’abord juristes. Ils pondent donc un texte insipide qui n’a pour seul mérite, que de s’opposer au Grand Rabbin de France et à la “communauté organisée”.
Ils montrent donc patte blanche à leur milieu en mettant en avant, avec beaucoup d’ostentation, que leur loyauté va d’abord à la corporation. Chez eux, pas de basse crispation tribale ou identitaire, mais une loyauté sans faille à la profession. Qu’on se le dise, et qu’on ne les exclue pas de missions ou de postes que leur origine aurait pu remettre en question.
Non, ce texte n’était pas destinée à être lu par le grand public, et c’est en pure perte que je l’ai lu, il s’agissait seulement de faire de la comm’ destinée à leur milieu professionnel.
A pinhas: vous avez tres probablement raison.
Attention : si la justice ne fait pas son travail, il est à craindre que le peuple le fasse à sa place… Comment peut-on en effet accepter de tels décisions dites “de justice” alors que nous constatons que des agressions quasi quotidiennes sont signées par des assassins qui revendiquent haut et fort leur attachement à une religion… Une question évidente vient à l’esprit : tous les musulmans seraient-ils irresponsables ?
L’excuse c’est que le criminel est fou… Sauf que pour croire tout ce qu’ils croient ils sont légitimement tous fous. Il ne faut rien lâcher et défiler aussi en dehors de Paris…
Entre le Grand Rabbin de France et les 2 avocats, je soutiens l’indignation de Monsieur Korsia, ses connaissances lui donnent plus d’éthique et de profondeur que ceux des avocats. Au sujet du vivre-ensemble, que je ne supporte pas forcément, Monsieur le Grand Rabbin en sait bien davantage, cela fait partie de son métier, de s’occuper de sa communauté et de tisser des relations avec les autres confessions, ce qui est admirable. Personne ne peut lui faire la leçon sur cette notion, qu’il gère constamment et courageusement, que ce soit en France ou ailleurs pour les autres Grands Rabbins des communautés en Europe.
Si la raison de ce texte est celle que dit Pinhas, alors je pense que Dreuz a bien fait de le publier. Ces 2 avocats font fausses routes car s’ils sont juifs, aux yeux des autres, ils seront toujours juifs avant d’être quoi que ce soit ; peu importe leurs compétences et leurs qualités, ceux qui haïssent les juifs, haïssent ce qu’ils font, ce qu’ils sont. Ça me fait penser aux collabos qui croient sauver leur peau en se rapprochant de l’ennemi. N’est ce pas ce qu’on appelle de la lâcheté ?
Là justice pour Sarah Halimi !!!! Une nouvelle affaire Dreyfus ? trop de zones d’ombres pour cet horrible crime antisémite , la vérité doit éclater , il faut se battre pour ça , le déni ça suffit !!!et que ces juristes retournent dans leur tour d’ivoire et continuent à marcher les yeux grands fermés .