Des dizaines de milliers d’Iraniens protestent dans les rues de Téhéran et de plusieurs grandes villes demandant la démission de Khamenei.
La destitution du «Guide Suprême» qui les mène à l’abîme, c’est du jamais vu, tant ils sont ragaillardis par l’élimination de Soleimani. Ils réclament la fin de la dictature des Mollahs, suite au crash provoqué par la DCA iranienne, qui a, intentionnellement ou non, provoqué 176 morts.
Les Iraniens, peuple courageux, n’en peuvent plus de ce régime hideux qu’ils subissent depuis 40 ans. Un peuple d’entrepreneurs et d’intellectuels, avec une grande civilisation derrière lui, ne peut pas s’accommoder d’ignares totalitaires de la pire espèce pour les gouverner.
Il n’y a que les pays occidentaux et asiatiques avides de commerce, y compris avec le diable, les politiciens et journalistes de gauche et ceux qui rêvaient de voir ce pays anéantir Israël et compléter «l’œuvre» d’Hitler, pour soutenir ces pourritures à la tête de l’Iran. Ils sont très heureux d’être débarrassés de Soleimani, un tortionnaire, à la tête d’une véritable Gestapo en Iran. Un ami iranien de longue date, toujours très bien informé sur ce qui se passe dans son pays, me disait ce matin que si Trump se présentait aux élections en Iran, il serait élu à 75 % au moins, tellement il est populaire et depuis l’élimination du Satan Qassem, il l’est encore plus !!!
Toute la communauté iranienne, ou au moins la très grande majorité vivant à Los Angeles, un peu partout en Californie et à Las Vegas 7 à 800 000 personnes, pense que c’est le début de la fin pour ce régime qui a perdu son pilier le plus important. Trump a réalisé un coup de maître historique.  ;
Mon ami iranien me rappelait qu’aucun président américain depuis Carter, ni Reagan, ni les Bush père et fils, ni Clinton, ni Obama, n’avaient jamais tenu la dragée haute aux Ayatollahs qui se sont sentis bien plus puissants qu’ils ne le sont grâce à la faiblesse des gens qu’ils fustigeaient, prenaient otages, combattaient, tuaient et humiliaient et qu’ils ont fini par se prendre pour une grande puissance. Trump a changé la donne et ça laissera des traces dans l’Histoire.
Pour conclure, mon ami iranien m’a dit : «souviens-toi, le détonateur de la révolution contre le Shah a été l’incendie d’un cinéma»…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eber Haddad
Bientôt le retour à la Perse d’antan dont la Reine fut une fille d’Israel???
Une revanche de l’histoire serait tellement bienvenue avec la chute de ces gestaltistes enturbanés!
Le Peuple Iranien mérite le bonheur et la liberté et je ne comprends pas que les journalistes soutiennent les mollahs dictateurs et arriérés Quand vont-ils enfin soutenir le peuple iranien ?
Pourquoi Trump affirme-t-il qu’il ne souhaite pas un changement de régime en Iran ? Il a les moyens économiques et militaires si besoin pour y parvenir…
Les bonnes vieilles habitudes de la gauche qui finit par s’acoquiner avec les pires dictatures parce qu’anticapitalistes, anti-occidentales ou anti-américaines.
La Libye et l’Irak aussi auraient mérités le bonheur et la liberté. On voit aujourd’hui où on en est .
Le problême avec le jeunesse Iranienne, tout commes les autres musulmans d`ailleurs, c`est que leur choix ce n`est jamais la démocratie,(Au début tout est beaux.), mais dans les faits,c`est toujours soit dictatures, soit islamique, nous occidentaux pare naiveté ou je ne sais quoi ,croient que l`Islam va se civilisé, LA BLAGUE!!
On l`à vue avec l`Irak et l`état islamique, l`islam chiit ou sunnite, ils n`en ont rien à foutre de la démoncratie, DE LA LIBERTÉ!!, ils vont s`entretuers entres tribues, clans ou groupes terroristes interposés ,comme en Irak ou les autres pays musulmans!!
Je voudrais me tromper, mais les faits sont l`à! les pays musulmans démocratiques???? TRÈS RARES ,AUTANT DIRE INEXISTENT.
L’Histoire est vraiment ironique, en effet, ce sont les jeunes étudiants et les intellectuels qui renversèrent le Shah d’iran et aujourd’hui ce sont à nouveau les jeunes et les intellectuels qui souhaitent que ce régime islamique autoritaire soit renversé.
Pour plus d’explications voici l’excellent article de Marc Daou en date du 02 février 2019 :
Quarante ans après, que reste-t-il de la révolution iranienne ?
L’Iran se prépare à commémorer le 40e anniversaire de la révolution islamique.
La République islamique d’Iran célèbre le 40e anniversaire de la révolution qui a porté au pouvoir, après la chute du shah, l’ayatollah Khomeini et les religieux. Entretien avec Azadeh Kian, professeure en sociologie politique, spécialiste de l’Iran.
Le 11 février 1979, l’ayatollah Ruhollah Khomeini et les religieux s’installaient au pouvoir en Iran après la chute du shah. Quarante ans plus tard, que reste-t-il de la révolution ? Quel est le bilan de la République islamique iranienne ?
Pour répondre à ces questions, France 24 a interrogé Azadeh Kian, directrice du Centre d’enseignement, de documentation et de recherches pour les études féministes (Cedref) et professeure en sociologie politique à l’université Paris Diderot, spécialiste de l’Iran.
Quarante ans après la révolution de 1979, que reste-t-il des promesses de l’ayatollah Ruhollah Khomeini ?
Azadeh Kian : Les religieux se sont emparés de la révolution en laissant sur le chemin énormément de déçus, car les promesses de Khomeini n’ont pas été tenues. Le fondateur de la République islamique avait promis la richesse aux Iraniens et la redistribution au sein de la population. Or, la richesse du pays est accaparée par une minorité infime qui est au pouvoir ou qui est inféodée au régime, sans compter que la corruption, que les religieux avaient pourtant juré de combattre, est toujours en place.
La révolution a largement échoué et a été détournée, car au départ elle n’était pas islamique. Nous sommes vraiment très loin aujourd’hui de toutes les revendications énoncées dès 1977. Elles exprimaient une volonté de réformes émanant des étudiants, des intellectuels, des classes moyennes, urbaines et instruites, réclamant au shah d’Iran de respecter les libertés d’expression, de pensée, d’association inscrites dans la constitution de 1906. Au départ, ces mouvements ne souhaitaient pas renverser le shah, mais voulaient simplement plus de justice sociale. Le shah n’a pas eu l’intelligence d’entendre le message et reste responsable de la révolution qui a été confisquée par les religieux. Or, actuellement, 40 ans après l’instauration de la République islamique, il n’y a ni liberté ni justice sociale en Iran. L’écart entre les riches et les pauvres, qui existait déjà dans les années 1970, n’a jamais été aussi important dans le pays. De sorte que même les classes moyennes, qui étaient censées être le pilier du régime, ont perdu beaucoup de pouvoir d’achat du fait de l’inflation, de la crise économique, des choix économiques du pouvoir et de la corruption. Une situation aggravée ces dernières années par les sanctions américaines qui frappent le pays, qui est en plus miné par une pénurie de logements et un problème chronique de chômage très élevé visant en particulier les jeunes.
Dès le début de la révolution, de graves erreurs ont été commises, à la suite de choix idéologiques et politiques, notamment en privatisant l’État au profit de quelques groupes de personnes. La majorité écrasante de la population iranienne, à peu près 70 %, qui n’était pas encore née au moment de la révolution, voit son pays en ruine économiquement et régi par des lois moyenâgeuses. À commencer par la Constitution de la République islamique, les codes civil et pénal, qui ont fait perdre aux femmes beaucoup de leurs droits, contrairement aux promesses de Khomeini. Au final, au lieu de la liberté promise à la population, il n’y a eu que de la répression et ses légions de prisonniers politiques, et ce encore de nos jours. Khomeini avait pourtant affirmé que l’on pouvait être républicain et organiser des élections libres au sein d’un système maintenant un certain nombre de principes islamiques. Or, on ne peut constater que l’échec de ce projet.
À qui a profité l’instauration de la République islamique en Iran ?
La révolution a profité à ceux qui l’ont confisquée, et elle continue de profiter aux hautes sphères du pouvoir, aux cadres du régime, aux Gardiens de la révolution qui ont tout intérêt à la survie de la République islamique, aux écoles religieuses, et aux étudiants en théologie, dont une partie soutient corps et âme le système en place. Les Iraniens ultrariches également, car on ne peut pas devenir millionnaire en Iran si l’on n’est pas proche du pouvoir. Des spécialistes estiment que le régime jouit d’une base de soutien d’environ 10 à 15 % de la population, pas plus, car il a également perdu le soutien des classes populaires. Et contrairement aux idées reçues, il y a beaucoup de ruraux qui sont opposés au pouvoir, car ils se sont énormément appauvris ces dernières décennies. Du côté des femmes, la révolution a profité à celles issues de familles religieuses et traditionnelles, elles ont pu sortir de chez elles, faire des études supérieures et intégrer l’administration, les ministères et le Parlement. Et ce au détriment des femmes modernistes, qui étaient déjà présentes dans ces instances sous le pouvoir du shah.
Il y a eu quelques avancées, dans le domaine de l’éducation et du social notamment, grâce à des politiques mises en place par certains gouvernements, sous les présidents Rafsandjani et Khatami. Le taux d’alphabétisation avoisine actuellement les 100 % pour les enfants et les jeunes de 6 à 24 ans. À l’époque du shah, il n’y avait que 175 000 étudiants dans les universités iraniennes, dont seulement 30 % de femmes. Aujourd’hui, il y a plus de 4,5 millions d’étudiants, dont une majorité de femmes. Dans les régions reculées, frontalières, il y a toujours une école dans les villages, et les villageois ont accès à des médecins et à des moyens de contraception. Une volonté de progrès stoppée par l’arrivée au pouvoir du président Mahmoud Ahmadinejad, en 2005. Même s’il faut garder en tête que c’est le Guide suprême qui tient les manettes du pouvoir en Iran, et non pas la présidence.
Quelle est aujourd’hui l’image de l’Iran dans le monde ?
L’image du pays est largement négative, celle en somme d’un pouvoir qui veut étendre et asseoir son influence dans la région, en s’ingérant dans les affaires d’autres États, au lieu de se tourner vers les besoins de sa population en faisant fructifier ses potentialités, qui sont nombreuses en Iran. Au lieu de cela, il lui impose une répression automatique et la prive des richesses du pays. Cette politique, en vigueur ces 15 dernières années, a également été en vogue au début de la révolution, lorsque le régime islamique a cherché à exporter son modèle révolutionnaire et son idéologie dans la région. Cette idéologie islamiste se fait largement au détriment des intérêts nationaux de l’Iran, qui a des relations très tendues avec les autres pays. Enfin, ceux qui ont instauré le régime islamique sont ceux qui sont encore aujourd’hui au pouvoir, alors que leur génération est minoritaire dans le pays. La moyenne d’âge des hommes de pouvoir est actuellement de 65 ans, alors que la moyenne d’âge du pays est de 30 ans. Ils ont exclu la jeunesse des affaires du pays, bien que celle-ci soit bien formée et reste très attachée à un pays dont elle est fière et qui existe depuis des millénaires. C’est pourtant cette jeunesse-là qui est aujourd’hui la principale source d’espoir pour l’avenir.
La République islamique d’Iran célèbre le 40e anniversaire de la révolution qui a porté au pouvoir, après la chute du shah, l’ayatollah Khomeini et les religieux.
AVEC L’AIDE DE LA FRANCE qui a hébergé ce bon vieux monsieur.
La france a toujours gardée en elle, dans ses entrailles son esprit révolutionnaire et, je me rappelle qu’elle a fait défilé des troupes russe lors d’un certain anniversaire de sa propre révolution. La france a toujours été sympathique pour les pays socialiste et communiste.
La République islamique d’Iran célèbre le 40e anniversaire de la révolution qui a porté au pouvoir, après la chute du shah, l’ayatollah Khomeini et les religieux.
Avec l’aide de la FRANCE
MOI AUSSI… DESTITUTION DE CET ENTURBANNE
Bravo au courageux peuple iranien. Puisse l’année 2020 être celle de leur liberté. Et God bless Trump.
des dizaines de milliers de courageux et courageuse qui lutte pour la liberté et confronte les gardiens de la révolution enragé de haine …. il fut un temp j’était Charlie et aujourd’hui je suis anti-mollah
il est dur que des prisons vont être construites avec des potences pour calmer les esprits
Qui connaît l’état des relations entre Rohani et le guide suprême ?
Ceci dit, évident qu’une théocratie musulmane est une dictature sanglante et corrompue jusqu’à l’os.
Le Shah avait fait de gros progrès dans l’alphabétisation des enfants et particulièrement des filles.
Au lieu de s’occuper du bien-être du peuple, les mollahs l’assujettissent et l’occupent avec la police des mœurs .
En occident aussi, manœuvre de diversion par réformes societales abjectes, incitation à des conduites hors-normes, destruction de la famille, police de la pensée, destruction du monothéisme , Pachamama au Vatican, Islam partout, rien n’a de valeur, tout se vaut, juste le plaisir immédiat…
L’un n’est pas pire que l’autre.
Il faut renverser les deux.
J’adore l’expression “ne peuvent pas s’accommoder d’ignares totalitaires de la pire espèce pour les gouverner”. Ils parlent donc de l’islam en général, celle que certains chez nous en occident appellent à tort l’islam modérée.
Osons donc une fois pour toute l’avouer !
Ces jeunes dénoncent la dictature et non l’islam qui en est la source, donc le régime pourra changer en apparence, mais il restera le même, et cela recommencera.
https://youtu.be/1DRu62Dsfn4
Extrait du discours de Poutine sur la perte des valeurs en UE, en occident en général cf USA, états démocrates etc ..,
Les iraniens doivent se libérer de l’Islam, sans s’occidentaliser.
Ils n’ont pas le choix entre 2 morts certaines, il existe une 3eme voie , la voix de la vie.
@ Janvier
Les deux premières phrases seraient interdites aujourd’hui en France ! Et pourtant, bravo a Poutine, ce qu’il dit est juste.
Bien sûr cette “théocratie”(??) ignare et corrompue ne correspond en rien aux besoins de la Perse moderne, et va se trouver balayée par les citoyens jeunes et connaisseurs des canons de la philosophie occidentale elle même héritière des canons de la sagesse biblique.
Bravo à ZACHARIE pour sa boutade en tête des commentaires ci dessus. S’agirait il d’une incroyable prémonition ???
la Déchéance du régime des mollah est fixée au 14 adar soit le 10 mars 2020.
L’ecclésiastique qui a fait un rapprochement entre les mollahs a oublié sciemment ou non de citer le Nom ESTHER de MORDEKHAÏ et de l’infecte AMAN et ses dix fils qui furent pendus lorsqu’il fût démasqué. C’était un 14 Adar.