Publié par Albert Bertold le 18 janvier 2020

Dans Le Monde (1) Sénécat revêt son uniforme de dictateur en herbe. Il exige que tout le monde obéisse au doigt et à l’œil et il se lamente que “Google semble bien démuni, voire complaisant, face à la diffusion de contenus climatosceptiques sur sa plate-forme de vidéos YouTube”. Quelle débauche de haine !

Le climat, c’est la nouvelle fixette des flics de la pensée. Cela nous ramène loin dans les souvenirs d’une Russie communiste où les gens se taisaient de peur d’être envoyés au goulag. Celui-là en a la graine et s’il en avait le pouvoir, c’est là-bas qu’il nous enverrait.

Obéissez ! Cessez de penser ! Conformez-vous à la vérité officielle, n’utilisez pas votre sens critique et votre intelligence, ne pensez pas par vous-même, dit Sénécat

Désintoxiquer YouTube des idées “subversives”

Les communistes chinois avaient des camps de rééducation, Sénécat veut désintoxiquer YouTube des idées “nocives”, qu’il considère comme dangereuses.

Il invite une complice, Julie Deruy, qui du haut de son incompétence (elle a autant de connaissances sur les sujets du climat que Sénécat, soit autant qu’un illettré) veut régenter les idées qu’elle n’aime pas. Il lui fait dire qu’il faut «détoxifier l’algorithme de YouTube». Ma sensibilité est assez exacerbée pour allumer des petites lumières rouges– cette somme de haine contenue dans ces propos est proprement stupéfiante et donne des frissons.

Obéissez !

Sénécat veut faire taire ceux qui doutent. Tous les mensonges et toutes les manipulations sont bons. Urgence absolue. Sénécat, pense comme la Stasi : “nous avons raison, alors nous allons vous faire taire”.

Il évoque une vidéo «L’urgence climatique est un leurre» de l’expert et physicien François Gervais, que je vous recommande chaudement (je vous la poste et vous encourage à la diffuser largement. Si vous ne le faites pas par conviction, faites-le en signe de résistance contre la tyrannie de l’extrême gauche, et surtout, faites-le pour agacer Sénécat, vous aurez accompli une bonne action).

La vidéo, par sa pertinence et son bon sens, a déjà été visionnée plus de 600 000 fois. Et contrairement à Sénécat et aux totalitaires du climat qui ne tolère aucune discussion, il s’agit d’un débat.

Sénécat veut retirer à Gervais le droit d’exister sur internet parce que “ses positions sont réfutées par l’immense majorité des spécialistes”.

Mon œil !

Ce n’est pas la vraie raison. Il ment Sénécat. Nous sommes, en réalité, en pleine dictature souriante.

Ce n’est pas Gervais que Sénécat vise, mais les 600 000 personnes qui ont regardé la vidéo et celles qui la regarderont. Sénécat veut vous rééduquer et vous forcer à penser comme il faut– comme il veut. C’est à vous que Sénécat veut interdire le droit d’entendre un point de vue différent. Vous les “fachos”, vous “l’extrême-droite”, nous la “fachosphère”. Vous qui avez à peine le droit d’exister, et certainement pas celui de penser et de vous exprimer.

Obéissez ! Cessez de penser ! Conformez-vous à la vérité officielle, n’utilisez pas votre sens critique et votre intelligence, ne pensez pas par vous-même, dit Sénécat du haut d’une autorité qu’il s’est octroyée.

Sur YouTube, 20 % des vues de vidéos climatosceptiques

De quoi parle-t-on ?

Selon le rapport Avaast [qui a étudié le contenu YouTube], entre un et deux contenus sur dix étaient mensongers (tout ce qui n’est pas conforme est mensonger).

Il s’agissait souvent de vidéos comptant des centaines de milliers, voire des millions de vues. A l’arrivée, ces vidéos représentaient 20 % des vues sur cet échantillon.

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/01/17/comment-la-desinformation-sur-le-climat-se-diffuse-et-se-finance-sur-youtube_6026186_4355770.html?fbclid=IwAR0yU4oUGBlIe1d1IZQ073jTGbuCtrJotIXY0tDKi0PmKthBnSysYkgczAE

Ah ? Avaast et Sénécat font autorité en matière de vérité et mensonge ? Il faut entendre “vérité officielle”, tout le reste est mensonge.

Donc YouTube attire donc 20 % de climatosceptiques.

Une personne normale vous dirait que 20 %, c’est plutôt peu pour un sujet sur lequel tant de personnes doutent, un sujet si controversé.

Pas un extrémiste.

Sénécat ne se reposera que lorsque 100 % se plieront à sa volonté. Ces 20 % qui doutent sur YouTube lui donnent des poussées d’urticaire– à moins que ce soit sa propre production de CO2 (comment Sénécat a-t-il adapté son mode de vie pour réduire ses émissions de CO2 ? Comme tous les dictateurs, en continuant à vivre sans aucune des limites qu’il veut imposer aux autres, en prenant l’avion chaque fois qu’il en a besoin tout en voulant retirer aux autres ce moyen de transport si polluant ?).

C’est la présence dangereuse et intolérable de ces vidéos publiées et visionnées par des gens qui doutent qui mobilise les énergies des tyrans du climat.

Sleeping Giants et chantage

Reproduisant les procédés des maîtres-chanteurs des Sleeping giants (je le soupçonne d’en faire partie) qui font du chantage aux marques, Sénécat publie les noms– logos à l’appui pour les exposer sur son mur de la honte– des enseignes qui font de la publicité, sont donc complices, et les invite, mais poliment, à démonétiser les climatosceptiques qui gagnent de l’argent avec leurs vidéos– Intolérable, il faut les asphyxier.

[Il y a] plus d’une centaine de marques dont les publicités ont été affichées dans des vidéos contestant l’origine humaine du changement climatique. On y trouve Carrefour, Danone, Uber, Decathlon, L’Oréal ou encore Red Bull. Plus surprenant, des organisations de défense du climat comme Greenpeace (via son antenne espagnole) ou le WWF en font également partie.

…/…

Ces acteurs deviennent ainsi, malgré eux, des sponsors de la désinformation.

Contactée par Le Monde, l’enseigne Decathlon «remercie»… et assure qu’elle n’était «pas informée de la diffusion de ses publicités par YouTube sur des contenus climatosceptiques».

…/…

« La majorité des marques ont été très surprises d’apparaître dans de telles vidéos», confirme Julie Deruy, d’Avaaz. Selon elle, la solution serait que Google interdise la publicité sur les contenus problématiques, notamment climatosceptiques.

Appel à la censure pure et dure

Dans son article où la haine et l’exigence d’obéissance transpirent à chaque ligne, Sénécat écrit qu’il a contacté YouTube pour leur demander de censurer les climatosceptiques. La réponse de YouTube oscille quelque part entre “nous ne voulons pas pénaliser les autres points de vue”, et nous réduisons la «désinformation nocive».

Contactée par Le Monde, la plate-forme YouTube rappelle que son «système de recommandations n’est pas conçu pour filtrer ou pénaliser des vidéos ou chaînes selon leurs points de vue». Elle assure toutefois avoir réduit la part des «contenus douteux» et de la «désinformation nocive» dans ses recommandations, et faire désormais la part belle aux chaînes qui «font autorité» dans leur domaine.

Nous sommes au cœur du sujet. Une vraie dictature s’est mise en place, soyez-en bien conscient, et si vous ne faites rien aujourd’hui, demain vous ne pourrez plus. Aujourd’hui, c’est YouTube. Demain, ce sera vous. Demain, vos enfants et petits-enfants iront peut-être en prison parce qu’ils auront un comportement anti-social sur le climat.

Ne vous trompez pas et alarmez-vous. Il ne s’agit pas du climat, sinon ils demanderaient qu’on plante des armes, meilleur moyen connu pour réduire le CO2, ils veulent contrôler votre vie : soit vous adhérez aux thèses officielles, soit vous êtes “nocif”.

L’homme ou pas l’homme ?

La NASA et la National Oceanic and Atmospheric Administration, deux organismes crédibles à mon avis et en qui j’ai confiance, affirment que l’année 2019 a été plus chaude de 0,98 degré Celsius que la moyenne des températures entre 1951 à 1980.

  • Notons qu’entre 1951 et 2020, la population est passée de 2,6 milliards à 7,7 milliards.
  • Il a bien fallu construire les logements, augmenter la production de biens de consommation, nourrir, permettre le déplacement, créer les emplois, et laisser respirer toutes ces personnes.
  • Si l’homme est coupable du réchauffement, cela veut dire que 5 milliards d’hommes et femmes sont coupables. Cela veut dire que pour réduire la température de 0,98 degré Celsius et revenir à la température acceptable de 1951, il faut se débarrasser de 5 milliards de personnes. Belle perspective. Vite, les humanistes du climat au pouvoir !

Voici quelques questions que le flic de la pensée va détester qu’on pose, et pour lesquelles il va encore nous faire censurer– notre précédent article a été interdit sur Facebook par son intervention :

  1. Cette hausse des températures a-t-elle été créée par l’homme ? Peut-être, peut-être pas. Mais quel homme ? Si oui, rien ne changera, car “l’homme” en question, c’est le Chinois et l’Indien.

    Ce sont les deux pays les plus pollueurs, et ceux dont le nombre d’habitants explose. N’ayant pas l’intention de faire quoi que ce soit pour réduire leur pollution, ils vont donc polluer de plus en plus– les Accords de Paris sur le climat d’ailleurs, les autorisent à polluer, et à polluer plus.

    Si le réchauffement est la conséquence de la pollution humaine, alors les pays occidentaux peuvent s’agiter tant qu’ils veulent, et imposer à leurs citoyens les restrictions et impôts les plus draconiens, ils pèsent très peu dans le problème, et donc dans la solution. Ils ne pourront pas faire baisser le thermomètre.
  2. Que la hausse des températures ait été ou pas créée par l’homme, l’homme est-il en mesure de l’inverser ? Rien n’est moins certain. Personne n’a apporté la preuve qu’il le puisse.
  3. Le GIEC affirme que le gaz carbonique est responsable du réchauffement, mais il n’explique pas– personne n’explique– comment 7 milliards de personnes, 10 bientôt, avec la technologie actuelle et connue, ont la possibilité de diviser les émissions par 3. Les solutions techniques n’existent pas encore. Restreindre à l’extrême le mode de vie comme le veulent les écolo-totalitaires n’est pas une solution viable et ils le savent– mais ne le disent pas.
  4. La hausse des températures est-elle naturelle ? C’est la question qu’on n’a pas le droit de poser parce qu’elle les empêche de contrôler notre mode de vie. Après tout, des hausses, la planète n’a pas arrêté d’en connaître, au cours des derniers millénaires– des articles du début du 20e siècle publiés dans le New York Times en attestent– et l’unanimité sur les causes est loin d’être établie.

    C’est même pour ça que Sénécat s’énerve : il veut par tous les moyens faire taire les opinions divergentes : n’est-ce pas un moyen formidable pour ensuite prétendre qu’il existe l’unanimité ?
  5. Le climat, pour Sénécat, n’est pas une science mais une religion. La science, la preuve scientifique, n’existe que par un seul moyen, c’est même à ça qu’on la reconnaît : l’incapacité de la détruire. Ce n’est pas en faisant taire les climatosceptiques que l’on confirme une théorie, mais en les invitant à la détruire. Si la théorie résiste, elle est établie.

    Ça, Sénécat ne le sait pas, puisqu’il est journaliste au Monde.

    Tout comme il ne sait pas que le nombre de scientifiques sceptiques du réchauffement croît exponentiellement, et que le chiffre de 97 % de consensus ne tient pas, écrit Richard Ton dans The Guardian, l’équivalent britannique du Monde en moins malhonnête (2). Et comme Dreuz l’a expliqué (3).

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Albert Bertold pour Dreuz.info.

  1. lemonde.fr/les-decodeurs/comment-la-desinformation-sur-le-climat-se-diffuse-et-se-finance
  2. https://www.theguardian.com/environment/blog/2014/jun/06/97-consensus-global-warming
  3. https://www.dreuz.info/2019/12/09/voila-un-autre-mensonge-sur-le-climat-le-fameux-97-de-consensus-parmi-les-scientifiques/

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