Publié par Jean-Patrick Grumberg le 24 janvier 2020

En 2019, à l’occasion de la Marche pour la vie, le président Trump avait délivré un puissant message vidéo aux participants pro-vie.

La Marche pour la vie n’est presque pas évoquée dans les médias, qui veulent faire croire au public qu’une écrasante majorité d’Américains sont pro-avortement. En réalité, ils sont une minorité.

Président Trump en 2019 :

Lorsque nous regardons dans les yeux d’un nouveau-né, nous voyons la Beauté et l’âme humaine et la Majesté de la création de Dieu.

Nous savons que chaque vie a un sens. Je parie que chaque vie mérite d’être protégée.

Et maintenant, Donald Trump est sur le point de devenir le premier président de l’histoire à participer à cet événement, qui en est à sa 47e année.

Donald Trump a décidé d’assister en personne à la Marche pour la vie, avec une apparition prévue à Washington, un signe extrêmement fort en direction des pro-vie, qui sont maltraités, calomniés et victimes de la propagande pro-choix des journalistes, mais également, et peut-être surtout en direction des journalistes et de l’extrême gauche qui fait trembler Washington.

Aucun président avant Trump, même les pro-vie, n’avaient osé assister à cet événement, bien qu’il passait sous les fenêtres de la Maison-Blanche, en partie pour ne pas secouer le statu quo de Washington, qui penche à gauche, et par crainte d’irriter la presse, totalement vendue aux thèses progressistes, et si rapide à détruire un opposant à leurs idées.

Le cardinal américain Raymond Leo Burke, membre de la Signature Apostolique, la Cour suprême du Vatican, sera présent à cette Marche.

Fou de rage, le président de Merrill pro-choix Amérique a qualifié la décision du président de “tentative désespérée de détourner l’attention de sa présidence criminelle et d’enflammer sa base radicale”.

Cause toujours coco, c’est tout l’inverse : le président Trump vient de montrer que les gauchistes, les Fake News, les journalistes, Hollywood, les Démocrates et même le procès pour le faire démettre, qui devrait l’encourager à faire profil bas, ne sont pas assez forts pour l’empêcher de faire et dire ce qu’il croit être juste.

Comme a déclaré George Soros à Davos, les Démocrates ont un problème, et c’est que l’instinct politique du président Trump lui permet d’anticiper les réactions des Démocrates, ce qui rend leur marge de manœuvre très délicate.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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