
Huit ans avant qu’il dirige l’attaque de l’ambassade des Etats-Unis de Bagdad en décembre dernier, Hadi al-Amiri était l’invité du président Barack Obama dans le bureau Ovale à la Maison-Blanche.
Hadi al-Amiri était le ministre irakien des transports sous le Premier ministre de l’époque, Nouri al-Maliki, et il faisait partie de la délégation de Maliki qui s’est rendue à la Maison-Blanche en décembre 2011, dans le Bureau ovale.
Celui qui a dirigé le siège de l’ambassade américaine à Bagdad, soutenu par l’Iran, a été accueilli à la Maison Blanche par Barack Obama il y a huit ans avant de devenir l’un des « hommes » de Téhéran en Irak.

Al-Amiri est l’un des responsables de l’attaque contre l’ambassade des États-Unis à Bagdad, qui a été prise d’assaut et incendiée par des militants pro-iraniens. Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a partagé une photographie d’Amiri avec les émeutiers, le désignant comme « mandataire iranien » et qualifiant les personnes qui se trouvaient à ses côtés de « terroristes ».

Chef d’une faction chiite pro-iranienne de premier plan, Amiri exerce un grand pouvoir au sein des Forces de mobilisation populaire (FMP) sanctionnées par l’État irakien. Il a été désigné par Pompeo avec trois autres personnes, comme le meneur du siège.
La facilité avec laquelle Amiri et les autres commandants ont traversé la zone verte fortement fortifiée, a alarmé les responsables américains, qui avaient noté la présence accrue de ses milices autour des bâtiments diplomatiques ces dernières semaines.
Ancien combattant qui s’est battu pour Téhéran dans la guerre Iran-Irak, Amiri a été accusé de terrorisme contre les Etats-Unis, d’avoir aidé l’Iran à expédier des armes à Bachar al-Assad en Syrie, et il a été photographié en train de s’incliner devant le Guide suprême de la République islamique, l’Ayatollah Ali Khamenei.
En tant que commandant du Badr Corps, un vassal iranien au sein du FMP, les hommes d’Amiri ont également aidé les Etats-Unis dans leur lutte contre ISIS en 2014 et 2015. Mais une récente série d’attaques de missiles par la branche Kataeb du Hezbollah du FMP, qui a culminé avec la mort d’un entrepreneur américain sur une base américaine au nord de Bagdad, a révélé que les amis d’Obama et de John Kerry dans la région peuvent rapidement devenir des ennemis.
Le président Donald Trump a ordonné aux jets de l’armée américaine de frapper les bases du Hezbollah de Kataeb, et 25 terroristes ont été tués. Amiri, qui était parmi les milliers de personnes qui ont afflué aux funérailles des terroristes dans la capitale irakienne, a ensuite été le leader des foules qui se sont précipitées à travers la zone verte et ont fait une brèche dans l’ambassade américaine.
Une invitation à la Maison-Blanche qui passe mal
L’homme de 65 ans avait déjà été remarqué comme « très préoccupant » par des membres du Congrès lorsqu’il avait été invité par Obama en 2011.
- La députée Ileana Ros-Lehtinen, alors présidente de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, avait déclaré au Washington Times qu’il était « extrêmement inquiétant que la Maison Blanche juge bon d’accueillir Al-Amiri dans une discussion sur l’avenir de l’Irak ».
Au lieu de l’invitation d’Obama, sa place était plutôt dans une salle d’interrogation du FBI et d’autres organismes américains chargés la lutte contre le terrorisme.
- Le général James Mattis a déclaré que sans des alliés comme Amiri au sein du gouvernement irakien, le gouvernement d’Assad se serait effondré dans les premières années de la guerre civile syrienne.
- Louis J. Freech, directeur du FBI sous l’administration Clinton et dans les premiers mois de l’administration Bush, avait été choqué par le fait qu’Obama ait permis à Amiri de mettre un pied à la Maison Blanche.
Il l’avait condamné à l’époque en disant qu’Amiri, avec l’IRGC, était engagé dans « d’innombrables actes de terrorisme, qui sont des actes de guerre contre les Etats-Unis ».
Freech a également déclaré qu’il aimerait « s’asseoir et parler avec lui (Amiri), lui montrer des photos et lui poser des questions », en ce qui concerne l’attentat à la bombe contre les tours Khobar en 1996, qui a tué 19 membres de l’USAF en Arabie saoudite.
L’administration Obama avait minimisé la présence d’Amiri à Washington, soulignant les rencontres que George W. Bush avait tenues avec des Irakiens « peu recommandables » dans l’engagement contre Saddam, dont le dirigeant du SCIRI Sayyed Abdul Aziz al-Hakim en 2006.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Quand les USA vont-ils juger ces criminels tels que Obama, Clinton et Kerry
une fois pour toute.
ROSA
Obama est un musulman mal assumé.
moubarak hussein obama a surement était mis en place par le monde arabe et je reste convaincu qu’il était le patron de tous les mouvements terroristes arabes et islamistes et était et est toujours financer par ces états poubelles qui veulent imposer la loi islamique sur le monde.
Je crois aussi que BHO était le cheval de Troie de l’islam.
Les ricains auraient pu se méfier d’une pseudo conversion au christianisme, et sa proximité avec le pasteur antisémite et anti blanc Jérémie Wright,ainsi qu’avec Louis Farakhan , fondateur de « nation of Islam »
@ Jurassik park.
Je pense exactement comme vous et comme Ventura-David. Les faits et gestes d’Obama depuis des années m’ont convaincu, il y a déja longtemps, qu’il est resté ce qu’il était dans sa jeunesse, un musulman. Je crois aussi que sa conversion au christianisme est bidon (Takiya oblige) et que les Américains ont eu une taupe Islamiste à la Maison Blanche pendant des années.
Sans entrer dans trop de détails, voici quelques points saillants:
— la bague en or qu’il porte toujours et sur laquelle sont inscrits les premiers mots d’un verset du Coran ( Tapez: Obama’s ring sur votre clavier et vous saurez tout, en Anglais, avec photos à l’appui.)
— sa révérence obséquieuse devant le roi d’Arabie Saoudite pendant sa visite à Ryad.
— ses nombreuses déclarations pro-Islam, dont la plus fameuse ( je cite de mémoire): » Pour moi le plus joli son est l’appel mélodieux du Muezzin à la prière ».
–Le rôle trouble dans son administration de la confidente d’Hilary Clinton, Huma Abedin, dont les parents étaient des membres influents des Frères Musulmans.
— Le nombre très important de délégations musulmanes qu’il recevait souvent à la Maison Blanche.
— Ses liens étroits avec le haut responsable John Brennan, qui était son directeur de la CIA, et qui es soupçonné d’etre un converti à l’Islam, etc, etc.
Bref, si le bonhomme se retrouvait un jour devant un tribunal spécial, accusé de trahison, cela me paraitrait logique…. Pourquoi ne pas rêver un peu?
obama islamocompatible a été remplacé par un trump déterminé à remettre de l’ordre
macron islamophile aurait il un souci à se faire?
patphil
Au Canada nous avons aussi des traitres qu’ils soient a Ottawa, Toronto voir Montreal qui sont aussi des convertis mal assumés. Tous sont dans une croisade afin de DÉSARMER la population canadienne afin de pouvoir exercer un pouvoir dit AUTORITAIRE que personne ne contestera multiculturalisme aidant lors des élections dont une très grande population de musulmans qui sont maintenant sur leur sol conquis, c’est ce qu’ils prétendent et c’est a nous de se plier a leur doctrine.
« Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tuer? »
obama avait ouvert uniquement la porte de la maison blanche a ses amis donc c’est normal de voir de tel fréquentation …. trudeau au Canada fait la même chose
Nous sommes en guerre comme le disait Valls alors pas de quartier pour les traitres…. et les dhimmis!!
Au lieu de l’invitation d’Obama, sa place était plutôt dans une salle d’interrogation du FBI et d’autres organismes américains chargés la lutte contre le terrorisme.
Et par la suite ..a Guantánamo avec ses semblables
yvan
On a jamais OSÉ toucher a un seul cheveu d’OBAMA Hussein
il est noir et cela aurait été interprété comme du racisme.
Il pouvait donc faire tout ce qu’il voulait ou presque.
La difficulté de l’occident depuis des décennies c’est d’affronter la réalité et les adversaires qui veulent sa peau. Le monde des bisounours inventé par la gauche a affaibli le camp occidental, qui s’est couché devant les régimes totalitaires et les autocraties. L’Europe notamment se couche devant l’islam. Tous les jours des attentats islamistes ont lieu en France. La réponse éviter qu’il y en ait plus, et continuer à faire rentrer plus de musulmans. Alors D. Trump est un ovni pour cette gauche mollassonne et lâche. L’Iran est sous un régime totalitaire et terroriste. Pour lutter contre cela , il ne faut pas avoir l’esprit de Munich , mais l’esprit de combat. D. Trump l’a. Les Iraniens vont payer cher leur arrogance.