Publié par Guy Millière le 2 février 2020

Flavien Moreau. Le nom est français. Le prénom est chrétien. Le tout est converti à l’islam et au djihad, et a rejoint l’Etat Islamique en Syrie, puis est rentré en France et a été arrêté, jugé et emprisonné.

La peine infligée en 2014 était de sept ans d’incarcération, ce qui est très peu pour un djihadiste ayant rejoint l’Etat Islamique et montre l’état de déliquescence de la justice française. Le djihadiste Flavien Moreau sera vaguement surveillé pendant un an encore, puis libre de ses mouvements. D’autres gens aussi infects et dangereux seront libérés dans l’année en France. Cinq cent environ. Si des attentats et des meurtres se produisent et que leurs auteurs n’ont pas le temps de crier Allahou Akbar devant témoin, le gouvernement et les médias diront qu’il s’agit d’individus en phase dépressive et les coupables seront envoyés en institution psychiatrique sans même avoir à passer devant un juge.

Le nombre d’agressions sexuelles s’élève en France à quatre-cent par jour et est en hausse constante. Les agressions sans aucun motif, perpétrées pour le simple plaisir d’agresser, de mutiler ou de tuer sont plus nombreuses encore. Il s’en produit une toutes les quatre-vingt-dix secondes sur le territoire national. 

Les zones de non droit, qui n’étaient que quelques dizaines en France il y a vingt ans sont maintenant plus de sept-cent.

Le gouvernement français va faire revenir les femmes djihadistes qui avaient rejoint l’Etat Islamique, et elles seront sans doute envoyées en prison plus brièvement encore que Flavien Moreau. Leurs enfants reviendront avec elles, et ceux qui imagineraient que les enfants sont moins dangereux que les adultes ne savent sans doute pas que dans les milieux djihadistes les enfants sont formés à la haine des infidèles et au meurtre dès le plus jeune âge.

Un livre du pédopsychiatre Maurice Berger est paru récemment, aux éditions L’artilleur, appelé “Sur la violence gratuite en France”* (#). Il ne traite que d’un seul aspect de ce que je viens de décrire : les actes de violence gratuite commis par les enfants et les adolescents. Il emploie un vocabulaire souvent feutré, car il sait que ceux qui crient au “racisme islamophobe” sont prêts à sévir et à infliger aux contrevenants un assassinat financier et médiatique auquel peu d’entre eux survivent (Eric Zemmour est l’exception qui confirme la règle). Ce qu’il décrit n’en est pas moins bien davantage qu’inquiétant.  

Les actes de violence gratuite émanant de jeunes et très jeunes gens commis en France sont non seulement de plus en plus nombreux, mais de plus en plus délétères, et lorsqu’ils font l’objet de sanctions pénales, celles-ci sont infiniment légères au regard des crimes commis (dès lors qu’un djihadiste est relâché au bout de quelques années, il n’est pas étonnant qu’un “jeune” qui inflige des mutilations irréversibles écope de tout juste quelques semaines de prison, voire moins). Plus de quatre-vingt pour cent des criminels concernés sont maghrébins. Tous ont été habitués à la violence ordinaire en voyant leur père cogner sur leur mère. Tous raisonnent en termes d’appartenance au groupe auquel ils appartiennent et s’en prennent à tout ce qui est extérieur au groupe. Nul n’ignore que le Maghreb est musulman, et que la violence sur les femmes et sur les non musulmans est prônée par le Coran.

D’autres livres récemment parus traitent de “l’islamisme” et de ses méfaits, en soulignant, bien sûr, qu’il ne faut pas confondre islam et islamisme, et leurs auteurs se gardent de dire que ce qu’ils appellent islamisme est l’islam pris à la lettre comme l’exige le Coran, et que les Musulmans modérés qu’ils évoquent peuvent être considérés par les bons Musulmans comme frôlant l’apostasie.

J’ai publié il y a un an un livre appelé “L’ombre du djihad”*, qui explique tout ce qui doit être expliqué, sans rien édulcorer et le livre a été totalement boycotté. Renaud Camus a parlé de “grand remplacement” et a subi toutes les foudres imaginables, alors qu’il a raison et que le remplacement s’opère. L’islam monte en France, irrépressiblement. Et si rien n’est fait d’urgence, la France sera bientôt submergée par la barbarie.

© Guy Millière. Adapté d’un article publié sur les 4verites.com

(#) Maurice Berger, Chronique de la violence ordinaire, L’Artilleur, 2019, 190p., 15 euros.

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