Source : Coolamnews
Cette histoire commence assez banalement. Une maîtresse d’école se rend au domicile de tous ses élèves pour rencontrer les parents et faire connaissance avec leur environnement. Une méthode d’approche pédagogique assez répandue en Israël. Sauf que dans ce cas-là, l’institutrice ne s’attendait pas à ce qu’elle allait voir.
La stupeur d’une institutrice. Le rendez-vous avait été fixé dans une des rues d’un quartier défavorisé et laïc de Bne Brak. La maîtresse rencontre la mère d’une élève qui insiste pour que l’entretien ait lieu dans un jardin public. Devant la détermination de l’enseignante, la mère accepte non sans réticence, de la laisser entrer chez elle.
L’institutrice à peine à croire ce qu’elle voit : « la maison était tout simplement insalubre et vide. « Pas de meubles, pas d’armoires à vêtements, pas de décoration, rien », se remémore-t-elle. « J’ai alors compris pourquoi, cette élève arrivait en pantoufles à l’école, elle prétextait avoir mal aux pieds. J’ai compris pourquoi elle portait toujours les mêmes habits, pourquoi cette maigreur, pourquoi cette tristesse », poursuit-elle.
Il s’avère que la maman, sans travail, élevait seule sa fille et ne disposait que de maigres subsides alloués par l’état pour survivre. Craignant que les services sociaux, au lieu de lui venir en aide, lui retirent la garde de sa fille, elle survivait en lui assurant un toit et un repas par jour.
Des milliers de personnes se mobilisent
La maîtresse d’école s’est engagée à lui venir en aide et a fait appel à plusieurs associations, qui en une semaine à peine, ont fait évoluer la situation. Des milliers de personnes ont répondu à l’appel. L’appartement a été meublé, des vêtements ont été donnés et un supermarché s’est même engagé à approvisionner gratuitement la fillette et sa mère jusqu’à ce que cette dernière trouve du travail.
Ce qui n’a pas tardé, un parent d’élève vient d’embaucher la mère comme secrétaire. Enfin, les services sociaux ont débloqué une subvention spéciale d’aide à la subsistance et un nouveau logement afin d’offrir à la mère et à sa fille un nouveau départ dans la vie.
La ténacité de cette institutrice a permis une prise de conscience et toute la société s’est sentie concernée.
Ceci est la meilleure chose qui soit arrivée à la petite famille : leur reconnaissance en tant que famille fragile, faisant partie d’une société solidaire et non abandonnée par cette même société.
Cela s’appelle la vraie solidarité, celle qui vient du cœur avec des actes concrets. Tiens, l’état qui se croit partout indispensable et son chantage au “bien” n’étaient pas là. Son absence resserre les liens entre les personnes, ce que son omniprésence dans certains pays plus à l’ouest a complètement détruit !
Cette institutrice devrait être médaillée pour avoir mené réellement sa mission.
Combien de petits profs de “hautes et de basses écoles”, scrutateurs d’horloge, perroquets ennuyeux, grands flemmards à ressortir les sempiternelles polycopiés, inconsistants devant l’inspecteur pour mendier quelques points d’une pitoyable carrière, revendicards mais bien contents de gagner 3 sous de plus dans les écoles privées des petits bourgeois, ne prêtent aucune attention à leurs élèves ?
Vous vous souvenez, ces profs qui disaient : ” c’est pas au programme ! ”
Minable !
La bienveillance et l’altruisme sont des qualités primaires pour enseigner.
une instit bonne fée, ça n’est pas en france où elles sont, dans les “quartiers” insultées par les parents, menacées par des enfants de maternelle (témoignage donné par R&R ) fustigée par la hiérarchie quand elle osa dire la réalité
Je ne peux pas accepter que l’on parle des écoles privées des petits bourgeois ! Dans les écoles, collèges et lycées privés, il y a des enfants de milieux modestes, des femmes de ménages (ou techniciennes de surface) parmi les parents, des ouvriers ! ces personnes paient les frais comme tout le monde, la cantine comme tout le monde. Il est vrai que les familles qui le peuvent sont invitées à choisir une facturation de soutien qui est répartie entre les familles nécessiteuses. Dans la commune où je vis, il n’y a pas d’établissement scolaire privé mais, pour l’année scolaire 2018-2019, la municipalité (c’est-à-dire les habitants du village) a dû financer chaque repas à hauteur de 0.29€ : ça a donné plus de 4000 € d’augmentation de dépense par rapport à l’année d’avant – nous avons maintenant notre petite barre de logements sociaux…… ALORS, DANS QUELLES POCHES A-TON PRIS CETTE AUGMENTATION ????? Chez les petits bourgeois, les “salauds de retraités” ou chez les assistés locaux qui “travaillottent” ou ne font rien, qui sont soutenus financièrement par la communauté (CCAS), et vont à deux chercher leurs mioches à l’école en fumant tranquillement leurs clopes ?????? J’en ai marre de ces conneries, cherchez les feignants avant de détester les autres !
Françoise Giraud Tout à fait d’accord avec vous. Cet apriori est détestable. Habitant en Bretagne j’ai fait pendant de nombreuses années du soutien scolaire à des enfants d’école primaire, en difficulté, dans une école privée catholique, j’ai pu constater que la quasi totalité des enfants du CP au CM2 qui avaient des origines turques ou magrébines et qui avaient des parents très modestes étaient “chouchoutés” par l’équipe enseignante et la direction. La mixité sociale est une chance pour ces enfants encore faut il que l’école publique accepte “l’INTRUSION” de bénévoles dans leurs écoles….. ce qui n’est pas le cas!!!!! Alors la critique est facile encore faut il connaître les faits.
Ou est passé mon commentaire?
Vous n’avez pas compris ce que j’ai écrit !
D’autre part, les tocards de profs font des listes marketing de courses pour les enfants alors que l’on sait que beaucoup de familles “classiques”, des actifs pauvres, n’ont pas les moyens de financer cela. Nous avons près de 10,000,000 de personnes pauvres en France (hors immigration).
Dans un pays civilisé où le gaspillage coule à flot, l’accès à la cantine devrait être gratuit pour chaque mineur ainsi que l’accès à un kit de fournitures scolaires (contre caution car certains voyous iraient en faire commerce …). Si l’uniforme et un téléphone portable communs étaient remis aux enfants, cela diminuerait grandement les agressions entre élèves (frustration, jalousie), sans parler des élèves aux comportements de voyous.
Tout comme les retraités devraient avoir l’accès à des repas “nutritivement” décents et à des logements décents et chauffés. Vous vivez libre car certains d’entre eux, ont combattu. Certains d’entre eux ont travaillé pour cultiver, pour nettoyer, pour construire et peu lettrés, n’ont eu accès à revendiquer leurs droits.
Je ne sais maintenant, mais avant, au cercle de l’union interalliée, un gaspillage alimentaire effarant avait lieu tout comme dans les grands hôtels et dans les administrations.
Les minima sociaux tout comme le smic sont insuffisants pour subvenir aux besoins des personnes et, encore moins, des familles.
Nous produisons des trillions de papiers virtuels et nous ne savons pas mettre un équilibre entre le point de suffisance vitale et la motivation de gains nettement supérieurs incitant à produire.
L’examen des données économiques familiales met en exergue que le smicard et l’employé perdent de l’argent, des subventions en participant à l’économie inclusive par leurs travails quotidiens. Aller travailler coûte plus cher que de ne pas aller travailler. Un paradoxe !
Il faut rappeler qu’outre le mécanisme virtuel des repo et de la création monétaire, ce sont les populations (toutes catégories confondues) qui créent une émulation économique et un environnement de vie.
Paris en feu tous les week end est aussi pénible pour l’activiste que pour la consommatrice quel que soit son pouvoir d’achat. Depuis 15 ans, les Champs-Elysées ont été transformés, chaque samedi soir, en terrain de guérilla inter-ethniques. Même au Fouquet’s, vous aviez devant un cohorte d’agents marocains et français en civil, sur le trottoir, pour couvrir le lieu.
Il y a 20 ans, garer une Rolls ou un véhicule similaire était toujours promis à des dégradations, même en province.
Je lis dans votre commentaire une approche peu altruiste. Vous avez scruté un montant de dépenses qui nourrit, en pleurant … mais demain, vous allez acheter un “sac à main de conne” qui vaut 50€ vendu 1000€ (c’est une allégorie). J’ai moi-même de nombreux sacs à main de “conne” mais j’ai nourri.
This story just made my day.
Thanks,
O.
-268
…….. LA MIENNE AUSSI
“craignant que les services sociaux ne lui enlèvent la garde de sa
fille…”, cela donne une drôle d’impression des services dits
“sociaux”, en Israel, Gaïa Dreuz; surtout quand on sait l’importance
que les enfants ont, en Israel.
L’institutrice en question a une méthode efficace, dans le cas
présent. Cela demande dévouement, abnégation et du temps de
moins consacré à ses propres enfants.
Le kibboutz avait cela de bon, que les enfants, malgré les ruptures
familiales, étaient toujours certains d’être bien pris en charge,
soignés, et éduqués.
Ô Béni soit tu l’Éternel d’avoir comme pratiquante cette Institutrice extraordinaire ainsi que tout les autres qui ce sont mobilisé pour aider cette pauvre mère monoparental car malheureusement dans d’autre société cette mère aurait été exploité …. vive le Peuple d’Israel
Le Hessed fait partie de nos gènes ce qu’a fait cette institutrice est naturel. Le peuple d’ISRAËL aime ses enfants. Ce n’est pas comme les voyous qui nous entourent qui se protègent derrière les leurs ou qui les envoient s’exploser pour qu’ils aient la chance de se taper 72 vierges. Le peuple juif aime la vie חי les autres la mort.
merci et encore merci GAÏA , de nous avoir signalé ces faits : même adulte et vacciné, l’adulte lecteur de DREUZ ne peut s’empêcher d’aimer les contes de fées..Trouvez nous d’autres exemples semblables pour nous réconcilier avec l’humanité.
Bonne soirée et bonne nuit.
C’est un des principes de base du judaïsme : si cette dame s’est retrouvée dans cette situation terrible, c’est aussi de la faute de la société, donc de chacun d’entre nous, parce qu’il est de notre devoir de créer une société juste et équitable. Dans le judaïsme, ce ne sont pas seulement de belles paroles, chacun est directement responsable de la communauté.
C’est juste. Le Talmud règle depuis longtemps une multitude de situations sociétales. Peu veulent les suivre et pourtant, tout y est presque écrit.
En France, avant la guerre, les religieux et religieuses apportaient
l’aide aux familles dans le besoin.
Il y avait des ecoles religieuses, des dispensaires ou l’on donnait les premiers soins,
de colonies de vacances et distribution de vetements aux necessiteux.
Mais il a fallu que les comunistes et socialistes s’en melent pour eliminer
toutes ces bonnes choses, pour en faire ce que nous avons aujourd’hui.
Merci à cette institutrice qui sort de classe pour connaitre le bien-être de ses élèves.
si les gens étaient tous aussi impliqués dans leur société – quel beau monde nous formerions!!