Le CO2 et d’autres gaz que le GIEC appelle « gaz à effet de serre » influenceraient le climat. Pourquoi ? Parce que le GIEC est convaincu par deux faits et deux hypothèses, en tout quatre bases dont tout le reste découlerait.
En science, il est permis d’examiner ces bases et cela sera fait après leur énumération. Précisons : toute théorie scientifique meurt automatiquement si une seule de ses prédictions ne se réalise pas.
- Soumis aux rayons solaires, le CO2 chauffe plus que l’air
- Le CO2 absorbe certains infrarouges
- L’atmosphère rayonne puissamment vers le sol et le réchauffe de 33°C
- Quasi tout – dans 1/, 2/ et 3/ – se passe par rayonnement.
Examinons ces 4 points:
- Le GIEC classe le CO2 « gaz à effet de serre parce qu’il chauffe plus que l’air au soleil. » Selon le GIEC, l’argon n’est pas un gaz à effet de serre car « il est transparent à tous les rayonnements concernés ». Dans la réalité, soumis aux rayons solaires, ces 2 gaz chauffent de manière quasi identique. On est en présence d’une absurdité…(1)
- Oui, le CO2 absorbe certains rayonnements infrarouges mais c’est pour communiquer leur énergie aux molécules voisines, azote, oxygène et argon pour l’essentiel. (2)
- Le CO2 perd donc instantanément son énergie et ne peut pas chauffer le sol.
- Dans l’effet de serre réel – qu’il s’agisse d’une serre ou de l’atmosphère – rien ou presque ne se passe par rayonnement une fois les photons solaires absorbés par le sol.
Testons ici le point 4/, car cela peut être fait par chacun à la maison et pour 20 euros :
Rappelons que la théorie du GIEC du CO2 coupable meurt automatiquement si une seule de ses prédictions échoue et montrons que chacun peut réaliser l’expérience de R.W.Wood de 1909. Elle a été reproduite avec grand soin par le professeur Nasif S.Nahle en 2011 (3). Je l’ai faite le 7-2-2020. Il faut 2 cartons d’environ 50 cm chacun, privés d’une des faces et peints en noir à l’intérieur. Un des cartons reçoit sur sa face libre un panneau de verre et l’autre reçoit un film de polyéthylène (utilisé en cuisine). On oriente ces 2 cartons vers le soleil et mesure les températures : elles augmentent de façon quasi identique dans les 2 cartons. Or, le polyéthylène est totalement transparent aux rayonnements infrarouges et il devrait laisser passer les rayonnements infrarouges hors du carton. Ce dernier devrait donc rester tiède tandis que le verre, qui est opaque (noir) aux rayonnements infrarouges devrait amener le carton à haute température car la chaleur doit d’abord traverser la paroi par conduction.
La température presque identique des 2 cartons prouve qu’il ne naît pas de rayonnement infrarouge dans une serre ou dans l’atmosphère. Comme les « gaz à effet de serre » opèrent par rayonnement et qu’il n’y a pas de rayonnement pour transférer de l’énergie, il ne pourrait y avoir de « gaz à effet de serre ». CQFD.
Il ne reste rien des 4 points d’appui du GIEC – insistons sur le fait qu’un seul défaut suffisait à éliminer cette théorie du climat. Elle est correctement présentée par https://laphysiqueduclimat.fr
Claude Brasseur
- (1) Paul Wagoner et al. : Climate change in a shoebox : Right result, wrong physics
- (2) Georges Geuskens : Le CO2 dans les basses couches atmosphériques (parties 1 et 2)
- (3) Nasif S. Nahle : Repeatability of Professor Robert W. Wood’s 1909 experiment on the Hypothesis of the Greenhouse Effect
Je travail avec les gaz, le WGP du CO2 est = 1, c’est à dire dérisoire.
Il y a des gaz plus inquiétant que le CO2 dont on parle moins qui eux ont un impact sur la santé et l’environnement.
Bonjour,
Question idiote: si l’effet de serre n’existe pas, comment fonctionnent les serres agricoles ??
@Edenrum
Il n’est pas dit que l’effet de serre n’existe pas mais qu’il n’est pas dû à un phénomène de rayonnement émis par le sol de la serre chauffé qui ensuite serait capté par le verre puis renvoyé vers le sol (en plus contraire au second principe de la thermodynamique).
Cet effet de serre est dû à la convection interne et l’absence de convection avec l’extérieur. Le sol de la serre est chauffé, l’air de la serre s’échauffe à son contact, puis monte vers le sommet de la serre, est remplacé par un air moins chaud qui à son tour s’échauffe, etc. … jusqu’à un point d’équilibre atteint en fonction des pertes par conduction vers l’extérieur
Pour casser ou réguler cet effet, c’est simple on ouvre plus ou moins le sommet de la serre pour assurer une convection avec l’extérieur, c’est à dire faire partir l’air chaud et le remplacer par un air moins chaud.
Merci, je pensais que les rayonnements venant de l’extérieur étaient piègés à l’intérieur par les parois de la serre…
Question idiote, en effet ; ou mal formulée. cf “par ailleurs, une serre conventionnelle fonctionne essentiellement par blocage de la convection, ce qui va à l’encontre du fonctionnement de l’atmosphère : l’analogie est très mal venue.”
tiré de https://laphysiqueduclimat.fr/pourquoi-cet-ouvrage-sur-la-physique-du-climat
(revoir si besoin les définitions de la convection, du rayonnement et de la conduction, les trois modes de transfert d’énergie calorifique)
Selon l’explication ci dessus, le CO2 ne chauffe que l’air mais pas le sol et il ” absorbe certains rayonnements infrarouges mais c’est pour communiquer leur énergie aux molécules voisines, azote, oxygène et argon pour l’essentiel. (2)”.
C’est pour cette raison qu’il faut injecter du CO2 pour favoriser le développement des plantes dans les serres horticoles en plus du climat dû à l’air chaud dans la serre, les plantes poussent plus vite et se développent davantage.
Le CO2 est donc bénéfique pour les plantes et donc pour l’homme!
Mais alors quel est le but de toute cette a propagande climatique ? !
C’est clair: cette propagande climatique fait gagner DES FORTUNES à ceux qui promeuvent, vendent… les énergies dites “vertes”. Et le peuple se soumet à cette “Propaganda” incessante (lisez le livre d’E.Bernays!)
Plus les écolos qui nous font peur et en profitent pour nous proposer leurs solutions. Ils se font élire et s’enrichissent. Effectivement, nous serons taxés et paierons notre énergie très chère. Tout ça est prétexte à nous pomper.
@mia vossen
Oui, c’est bien pourquoi j’ai acheté des actions dans le domaine des énergies vertes ! J’ai pris + 50 % en 2019 ! mieux que le livret A ! Et ça continue à monter.
Et non je n’ai aucun scrupule, j’ai toujours dit que c’était une escroquerie, tant pis pour ceux qui ne me croient pas, moi j’en profite et de toute manière ça ne change rien au système.
Oui, je suis aussi cynique, et alors ?
“Précisons : toute théorie scientifique meurt automatiquement si une seule de ses prédictions ne se réalise pas.” Ah bon ? Je pense que cet énoncé est faux. Les théories sont des hypothèses, et tout notre savoir est hypothétique car il est limité à ce que l’on sait aujourd’hui jusqu’à plus ample informé. Autrement dit une théorie ne meurt pas si une seule de ces prédictions ne se réalise pas, mais elle meurt si parmi les problèmes soulevés par cette théorie, une autre théorie en concurrence vient résoudre les problèmes que la précédente théorie n’avait pas pu faire. Une théorie scientifique, bien qu’une seule de ces prédictions ne se réalise pas, n’en est pas moins la théorie scientifique qui se rapproche le plus de la vérité objective, si une autre théorie en concurrence n’a pas apporté de meilleures réponses aux problèmes sur lesquels la précédente avait capoté. Asics : anima sana in corpore sano.
Donc vous êtes en train de nous dire que tant que nous n’aurons pas parfaitement compris comment fonctionne le climat (ce qui signifierait être en mesure de prédire l’évolution de ce dernier en fonction de l’évolution des facteurs l’influençant), la thèse du GIEC reste valable ? malgré tout ce qu’elle implique en termes de (très) lourds changements de nos comportements et les conséquences à l’évidence désastreuses pour des millions de gens ? Et malgré les multiples failles de cette thèse ?
Pour répondre à votre 1ere question, au contraire vu qu’il existe des théories scientifiques qui remettent en cause des soit-disantes résolutions de problèmes scientifiques qui débouchent sur la théorie du giec. La théorie du giec est un ensemble de théories scientifiques en interaction aboutissant à la théorie du rca. Aussi le fait que de cet ensemble de théories, plusieurs d’entre elles soient réfutées par d’autres théories implique que la théorie du giec est fausse.
OK, cela dit l’assertion selon laquelle une théorie qui n’est pas vérifiée par les faits (i.e. contredite par l’expérience) une seule fois est fausse, cette assertion est exacte.
Et cela même s’il n’existe pas de théorie expliquant le phénomène étudié, ou s’il existe des théories ne se vérifiant pas dans tous les cas.
Vous établissez une gradation des théories, certaines étant “plus vraies” que d’autres, mais formellement, une théorie qui n’est pas vraie est fausse, une théorie étant censée se vérifier systématiquement.
Voir par exemple cette définition trouvée sur Wikipédia et qui, il me semble, fait consensus parmi les scientifiques :
“En philosophie des sciences, une théorie scientifique doit répondre à plusieurs critères, comme la correspondance entre les principes théoriques et les phénomènes observés. Une théorie doit également permettre de réaliser des prédictions sur ce qui va être observé. Enfin, la théorie doit résister à l’expérience et être compatible avec les nouveaux faits qui peuvent s’ajouter au cours du temps, ou rester valide dans de nouveaux domaines non encore explorés lors de sa première élaboration. Si ce n’est pas le cas, la théorie doit être corrigée, voire invalidée en dehors de son premier domaine.”
(Wikipédia, Théorie)
Après, nous sommes peut-être en train de couper les cheveux en quatre, étant manifestement d’accord sur la non-validité de la thèse du RCA.
Il y a confusion ou incompréhension entre cette phrase : “toute théorie scientifique meurt automatiquement si une seule de ses prédictions ne se réalise pas” et celle-ci ” l’assertion selon laquelle une théorie qui n’est pas vérifiée par les faits (i.e. contredite par l’expérience) une seule fois est fausse, cette assertion est exacte”. La 1ere implique que si 1 prédiction sur 10 ne se réalise pas (mais les 9 autres oui) la théorie est fausse, raison pourquoi je n’étais pas d’accord. La 2e implique qu’après 10 expériences jamais la théorie s’est avérée est vraie.
Je ne comprends pas trop le GIEC.
Le principe de l’effet de serre qui nous importe, est celui qui piége la chaleur au sol et pas celui qui l’emmagasinerait dans la “structure de la serre”? Que le CO2 chauffe ou pas n’est pas la question. La question serait plutôt quel est le pouvoir de réflexion thermique du CO2 dans un sens avec des rayons solaires ayant un spectre lumino-thermique défini et dans l’autre sens avec le rayonnement terrestre et un autre spectre lumino-thermique (différent d’ailleurs en fonction de l’endroit : banquise, mer, forêt, ville …le jour et la nuit …).
Je ne suis pas certain de la validité du test des cartons non plus, car la terre n’est pas un corps noir. Elle rayonne différemment en fonction de sa topographie et de sa nature. De plus l’expérience proposée revient à charger 2 condensateurs thermiques identiques (les cartons peints en noir) reliés à une source de potentiel identique (le soleil) via 2 résistances différentes (le panneau de verre et le film). La température obtenue au bout d’un laps de temps important sera nécessairement la même. seule la constante de temps (de charge change), RxC (résistance thermique x capacitance thermique). En gros une mesure après à un temps de 5 fois la constante de temps la plus élevée , la différence de température est quasi nulle.
Température finale = To x (63% + (1-63%)x 63%+ ….) soit environ To – Epsilon
Epsilon étant proche de zéro.
Il ne faut pas confondre “peint en noir” (pour créer moins de réflexions directes) et corps noir d’albédo 0, limite quasi théorique. Dans les deux cartons, la température monte simultanément et identiquement. Faites l’expérience!
Merci pour cette expérience et son argumentation, je vais voir le lien sur la physique du climat….
De toutes façons les rapports du GIEC sont biaisés dès le départ:
-leur objectif est OFFICIELLEMENT de rechercher le réchauffement d’origine humaine
-ils “recherchent” donc avec un RESULTAT FIXE A L’AVANCE
-ils transmettent leurs rapports “scientifiques” aux dirigeants politiques,qui leur disent exactement ce que le rapport final doit contenir.
On voit donc que les rapports publiés NE SONT PAS DU TOUT SCIENTIFIQUES.
Si on ajoute que Mann , l’inventeur de cette fumisterie de courbe en crosse de hockey , est incapable de faire condamner pour diffamation les vrais scientifiques qui l’accusent d’avoir truqué cette courbe , on voit tout de suite que tout ça est un gigantesque pipeau.
Non, cet article est faux et les arguments ne tiennent pas.
Pourquoi, par temps calme (sans vent), pas de gelée si il y a des nuages et gelée si le ciel est clair? (température de l’air égale par ailleurs)
De même, enfumer des parcelles de vignes protège du gel. Le brouillard empêche les rayons infrarouge de “partir” vers le ciel et les renvoie partiellement sur le sol, ce qui limite le refroidissement du sol.
Au mois d’avril, s’il n’y a pas de vent et que la température avoisine les 0°C le soir, on est sûr d’avoir une gelée s’il n’y a pas de nuage. Mais si le ciel est couvert, pas de gel. C’est bien un effet de serre qui se produit. Idem pour les gaz dans l’air, et le CO2 retient les infrarouges plus que l’azote et l’oxygène.
Dans une serre, les rayons de courte longueur d’onde (visible) traversent le verre. Ils chauffent l’intérieur de la serre. La chaleur de la serre émet des infrarouges de longueur d’onde plus importante qui sont réfléchis par le verre, et donc retournent vers l’intérieur de la serre.
Bref, cet article est faux et n’est pas digne de figurer dans Dreuz Info.
Avez-vous des éléments démontrant votre affirmation selon laquelle “Pourquoi, par temps calme (sans vent), pas de gelée si il y a des nuages et gelée si le ciel est clair? (température de l’air égale par ailleurs)” – en particulier la partie “température de l’air égale par ailleurs” ?
En effet, il me semble avoir toujours observé que par ciel clair, la nuit, la température est plus basse que par ciel couvert ; ce qui explique la gelée blanche (ou la rosée) et peut fort bien s’expliquer par l’absence d’obstacle (les nuages) au phénomène de convection : l’air réchauffé par le soleil le jour qui s’élève vers les hautes couches de l’atmosphère la nuit.
Sinon, l’enfumage des cultures pour éviter les gelées ne semble pas avoir convaincu les professionnels, si on en croit des articles comme celui-ci : https://www.fellah-trade.com/fr/actualites-maroc/article/12681,arboriculture-difficultes-de-la-lutte-contre-le-gel ; il est bien davantage question de réchauffer l’atmosphère, avec chaufferettes ou autres.
Pour ce qui est de l’effet de serre, vous ne démontrez rien, vous affirmez. La démonstration contraire a été faite par l’expérience de R.W.Wood, rappelée dans l’article…
L’enfumage a fait ses preuves en viticulture. Créer un brouillard diminue le refroidissement du sol. À cause du rayonnement.
Ce qu’ont fait les viticulteurs de Côte d’Or en avril 2017.
Et pour le coup des nuages, ce n’est pas de la convection mais du rayonnement.
Dans le cas des gelées blanches, ou noires d’ailleurs, il n’y a pas de convection ! Il y a des flux laminaires d’air, descendants. À mesure que l’air descend au raz du sol, il se refroidit à cause de l’évaporation de l’eau du sol et sa température atteint les -3°C fatidiques.
C’est pourquoi les bas de coteaux sont plus gélifs que les hauts.
Dans les gelées de printemps, l’air au sol est, mettons, à -3°C, à 20m il est à 0 ou 1°C, et plus haut il redescend à des températures négatives. S’il y avait des convections, ce ne serait pas comme ça.
Avez-vous des liens, des références, pour étayer/expliquer ce que vous dites ?
Dit comme ça, désolé mais vous continuez à affirmer, vous ne démontrez pas.
Les scientifiques qui doutent de “‘effet de serre” du CO2 sont les auteurs du livre mis en lien par l’auteur de l’article (Camille Veyres et Jacques-Marie Moranne, qui sont quand même des scientifiques d’un certain niveau), mais aussi, par exemple l’auteur de cet article très détaillé, physicien qui semble bien maîtriser son sujet : http://www.science-climat-energie.be/2018/08/06/le-co2-et-le-climat-avec-et-sans-effet-de-serre/
Que de l’air froid descende au niveau du sol par nuit claire me paraît parfaitement logique (comme me paraît logique le fait que les fonds de vallées soient plus froids en fin de nuit) : l’air chaud monte, étant moins lourd, donc de l’air froid vient prendre sa place. Je ne vois vraiment pas en quoi cela prouverait qu’un phénomène radiatif et un “effet de serre” sont à l’œuvre.
Pour l’anecdote, je me souviens de cet article sur les martinets, ces oiseaux qui ne se posent pratiquement jamais, et qui dorment en “s’appuyant” sur des colonnes d’air chaud ascendantes, la nuit.
Non!
En haute altitude, l’air est très froid, l’air chaud n’y monte pas!
Voici un petit rapport sur le gel :
http://climatologie.u-bourgogne.fr/documents/theses_master/2016/M1_gavrilescu.pdf
Regardez page 6, le gradient de température par gel advectif et gel radiatif.
Là, nous parlons de gel et d’un effet de serre qui a toujours existé.
Quant à la discussion du rôle CO2 dans le réchauffement, c’est autre chose. Je sais que les avis diffèrent.
Mais ce qu’il faut retenir de ce problème, c’est que les politiques s’en saisissent pour nous imposer de nouvelles taxes, de nouvelles réglementations qui satisfont les lobbys amis, de pouvoir détourner l’attention des peuples des problèmes dont ils (les politiques) sont responsables.
Trump a eu parfaitement raison de déchirer la COP21. Laisser la Chine et l’Inde augmenter ses émissions de 25% (officiellement) et demander de réduire celles des pays occidentaux! Scandale écologique, ruine de nos pays, démagogie…
Personnellement, je pense que le réchauffement existe bel et bien. Il a probablement une origine partiellement anthropique. Mais que si c’est effectivement les CO2 fossile qui est responsable, la seule solution est de diminuer la production mondiale de carbone fossile, pétrole, charbon, gaz. Le reste (transport en commun, véhicules propres, etc…) c’est du pipi de chat. Et ça, personne ne le dit, sauf ceux qui ont vraiment compris. Nonobstant de savoir si ce carbone est bien le responsable.
@Yorel allias Henri Le Roy
Les nuages ? c’est comme une couverture que vous mettez sur un corps chaud, ça garde la chaleur. Cela n’a rien à voir avec l’effet de serre.
Pour la serre, justement ce que vous dites au sujet des infrarouges réfléchis (en fait ré-émis par le verre ) est une théorie totalement fausse. Ce serait un genre de mouvement perpétuel, donc impossible.
Le principal gaz à effet de serre c’est la vapeur d’eau, 40% des gaz à effet de serre, le CO2 de mémoire c’est 0.4 pour mille. D’autre part on inverse la proposition, ce n’est pas parce que il y a davantage de CO2 qu’il fait plus chaud… C’est parce que il fait plus chaud qu’il y a davantage de CO2. Enfin personne n’a prouvé l’origine anthropique du réchauffement. Par contre des scientifiques tout aussi éminents que ceux du GIEC, dont d’ailleurs des repentis du GIEC ont démontré que l’activité solaire avait une influence importante sur le climat, il ne s’agit pas du rayonnement infra-rouge, mais du rayonnement cosmique qui a une influence sur la formation des nuages et aussi de l’activité magnétique su soleil.
L’air contient 0,04 pour cent de gaz carbonique rebaptisé dioxyde de carbone….
“tandis que le verre, qui est opaque (noir) aux rayonnements infrarouges”
C’est quoi cette “science” à deux balles ? Chaque écolier sait que l’infrarouge émis par le soleil passe à travers du verre de nos maisons…
@aspirine
Oui, mais pas celui qui est émis par le sol chaud qui est dans une gamme de fréquence bien inférieure. Mais c’est tout à fait marginal, ce n’est pas cela qui fait l’effet de serre mais la convection interne.
Le verre ordinaire est effectivement transparent aux infrarouges de 0,8 à 1 micron émis par le soleil. Notons que le terre émet du sol des infrarouges de 3 à 300 microns.
“Michael Mann, climatologue et géophysicien à la Penn State University, est le créateur de la « courbe en forme de bâton de hockey » en 1998, qui semble montrer que les températures mondiales montent en flèche parce que l’humanité brûle des combustibles fossiles et rejette trop de CO2 dans l’atmosphère. Ses travaux inspirent le GIEC depuis 2001.” sauf que “Faute de preuves, le leader scientifique du changement climatique perd son procès contre un climato-sceptique”. Bref le GIEC n’est qu’un ramassis d’escrocs qui ne vivent que parce que la soupe est bonne et bien servie.
Bravo aux commentateurs ci dessus dont les arguments en faveur ou contre la théorie du GIEC démontrent une culture scientifique (et pratique..!) indéniable.
Permettez moi de souligner la validité d’une “disputatio” de style scolastique que le savant Claude Bernard a instituée par sa théorie des ‘”variations concomitantes” qui alimente ou infirme vos diverses démonstrations : oui, le vulgum pecus , ce cher troupeau maniable et crédule à volonté, se fait arnaquer systématiquement par des pseudo scientifiques animés et rétribués par les lobbies à la mode de la transition écologique.
Et quand ces mêmes lobbies animent et rétribuent les responsables politiques… le manque de rigueur scientifique est à l’origine de coûteuses mésaventures à venir !…
Je voudrais remercier ceux qui ont développé la synthèse présentée ici. Ils l’ont fait avec efficacité, précision et courtoisie. C’est exceptionnel d’avoir des lecteurs aussi instruits! Même les critiques sont souvent de qualité…