La présidence de Donald Trump est la plus importante pour les Etats-Unis et pour le monde depuis la présidence de Ronald Reagan il y a quatre décennies.
Comme Ronald Reagan en son temps, Donald Trump a hérité d’une situation intérieure et internationale gravement détériorée par un prédécesseur désastreux, et il a été élu parce qu’il incarnait un espoir de redressement.
Comme Ronald Reagan et sans doute même davantage encore que lui, Donald Trump a dû agir dans un contexte où le mépris de la gauche planétaire s’est immédiatement déversé sur lui.
Comme Ronald Reagan, il s’est mis immédiatement au travail, et, malgré les insultes, les propos diffamatoires, les obstacles sur son chemin, il a avancé et obtenu des résultats remarquables.
Comme cela est arrivé pour Ronald Reagan, ces résultats sont largement ignorés ou ensevelis sous une propagande négative et omniprésente. Jusqu’à ce jour, Ronald Reagan se trouve décrit presque constamment comme un acteur de série B un peu niais, et le fait que ce soit sous sa présidence que l’économie américaine a connu sa plus longue période de croissance au vingtième siècle est occulté, et le fait qu’il ait mis en œuvre une stratégie qui a permis aux Etats-Unis de gagner la guerre froide et de provoquer l’effondrement de l’Union Soviétique grâce auquel des dizaines de millions d’êtres humains ont été délivrés du communisme et ont pu retrouver la liberté est occulté aussi.
En cet instant, Donald Trump se trouve décrit comme un crétin délétère et inculte, et la croissance et le plein emploi qu’il a rétablis aux Etats-Unis sont attribués à la chance et non à ses décisions, et son action contre le terrorisme islamique, pour l’endiguement de la Chine et pour une avancée vers un Proche-Orient plus stable, plus apaisé, et plus libre est totalement ignorée. Quasiment tous les livres parus sur Reagan en son temps étaient des livres falsificateurs et condescendants. Et c’est pire encore aujourd’hui pour Donald Trump.
En dehors des livres que je lui ai consacré pour rétablir la vérité, seul Drieu Godefridi s’est, courageusement, démarqué du mensonger conformisme ambiant, et ses livres, “La révolution Trump”* et “Le monde de Trump”*, sont tout aussi indispensables pour qui veut comprendre que mes propres livres, “La Révolution Trump ne fait que commencer”* et “Ce que veut Trump”*.
En cette année 2020 où Donald Trump arrive au terme de son premier mandat et sera sans doute réélu au mois de novembre prochain, décrire ce qu’il a accompli est indispensable. Je le ferai dans un prochain livre. Drieu Godefridi le fait dès aujourd’hui dans un livre que je recommande très vivement à ceux qui me lisent.
Le livre s’appelle “Reload. Comment l’Amérique invente le siècle”. Drieu Godefridi expose dans une première partie ce que Trump a accompli en politique intérieure : volonté de restaurer la frontière sud du pays aux fins de juguler l’immigration clandestine, déréglementation, baisse des impôts, libération de la production d’énergie, réforme de la justice dont l’axe essentiel a été le rétablissement d’une Cour Suprême respectant à nouveau pleinement la Constitution dont elle est la gardienne depuis que les institutions du pays ont vu le jour.
Il passe ensuite à la politique étrangère, et explique de manière remarquable la façon dont Trump procède avec la Chine communiste, l’attitude de Trump vis-à vis de l’OTAN et des Nations Unies, la réforme qu’il entend mener à bien au Proche-Orient (et qui avance), le recours à la notion reaganienne de “paix par la puissance”.
Il termine le livre en expliquant ce qui est en jeu dans ce que Trump est en train d’accomplir : un retour à une vision libérale-conservatrice du monde face à une vision socialiste, qu’il décrit comme socialiste-européanisante, et il parle d’une véritable guerre culturelle qui est effectivement en cours. Il pense que la vision libérale-conservatrice que porte Trump l’emportera et que le siècle qui commence sera américain.
Je le pense aussi. Et le livre de Drieu Godefridi devrait être mis entre les mains des dirigeants européens aux fins qu’ils discernent que la vision socialiste qui est la leur conduit le vieux continent vers l’impasse et le déclin.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
Drieu Godefridi, Reload!: Comment l’Amérique invente le siècle*, Texquis, 2020, 117p., 9,50 €
*En achetant le livre avec ce lien, vous soutenez Dreuz qui reçoit une commission de 5%. Cette information est fournie pour assurer une parfaite transparence des conséquences de votre action, conformément à la recommandation 16 CFR § 255.5 de la Federal Trade Commission.
Est-ce que ce livre “Reload” est en anglais? Car je voudrais lire en anglais.
SVP M. MILLIÈRE , j’ai un très grand respect pour vous mais SVP il ne faut pas insulter mon idole Ronald Reagan car a l’époque les russes était complètement fou car la guerre froide a fait en sorte que a plusieurs reprise les russes attendait juste l’occasion d’utiliser l’arme atomique bref Reagan a fait en sorte que la course a l’armement avait ruiner la russie ….. Trump pour le quelle j’ai un très grand respect a par contre lutter plus a l’intérieur de son Pays a cause du marécage et de la corruption démocrate généralisé mais au moins a l’extérieur il a mis dos au mur l’iran a mon plus grand des plaisirs + il a montrer a tous qu’il est un véritable ami d’Israel …. en passant a l’époque j’était militaire donc nous étions tous heureux d’avoir Reagan comme alliée car l’armée Canadienne est minuscule si ont la compare aux russes
Monsieur Michel, relisez bien, il n’y a pas d’insultes envers Reagan . Amicalement
Disponible seulement sur Amazon.fr ! Sera-t-il disponible sur Amazon.ca ?
La diplomatie, la géo-politique, sont des domaines difficiles à comprendre, car beaucoup de ce qui les concernent se fait dans le “secret de salles feutrées” et ce n’est que bien longtemps après, que le simple citoyen est mis au courant……..peut-être.
Cependant, il est vrai, que certains Présidents, avancent franchement devant leur Peuple et tentent, tant qu’ils le peuvent, de les informer de leurs actions, décisions et projets. Mais bien rares sont-ils……..
Cher Guy,
https://www.foxnews.com/politics/alan-dershowitz-obama-george-soros
Si l’action était poursuivie et les faits jugés, l’effet domino emporterait trois pions de la partie, mais sous quelle inculpation ?
Damoclès serait-il plus sage et tactique que Montesquieu ?
“volonté de restaurer la frontière sud du pays aux fins de juguler l’immigration clandestine”
‘Volonté’ ? Dans les faits les électeurs de Trump pourraient bien se sentir floués. Le mur est-il construit ? Les immigrés illégaux sont-ils renvoyés ? Les lois absurdes qui les protègent sont-elles abrogées ?
Il est urgent que ces choses soient faites si l’on tient à ce que les États-Unis ne soient pas trop transformés.
Oui. Oui. Oui.
Le mur n’est pas encore fini mais il avance bon train.
Les sans-papiers sont expulsés de plus en plus rapidement. Le président vient même d’envoyer des troupes d’élite de la police des frontières dans les villes sanctuaires pour prêter main-forte à ICE, et le Ministre de la Justice est en train de poursuivre en justice un certain nombre de villes sanctuaires parce qu’elles sont en infraction avec les lois fédérales.
Catch and release, c’est fini. Maintenant, les demandeurs d’asile doivent déposer une demande en bonne et due forme dans un poste-frontière, puis attendre au Mexique. D’autre part, à la demande du président, le Ministre de la Justice a nommé un grand nombre de juges de l’immigration pour expédier les dossiers. Ils acceptent moins de 10 % des demandes d’asile (les juges nommés sous Obama en acceptaient plus de 50 % !) et ils signent l’ordre de quitter le territoire le jour même quand ils refusent une demande d’asile.
Et puis, Trump a mis le Mexique face à ses responsabilités, ce qui fait qu’ils coopèrent. Résultat : le nombre d’appréhensions a chuté depuis juin dernier.
Un grand merci, Californienne, pour ces réponses détaillées et encourageantes.
Je vais me renseigner pour essayer de savoir ce qu’il en est.
Personne ne peut évaluer à ce jour combien l’action de D. Trump sera salvatrice pour les USA et pour le reste de l’Occident. Attendons la fin de son mandat et peut-être la fin du prochain pour pouvoir faire le bilan d’une présidence exceptionnelle. , qui va marquer le monde.
Cher Guy,
Cela mérite un article en français : https://www.zerohedge.com/markets/ecb-buys-lvmh-bonds-finance-tiffanys-acqusition-making-frances-richest-man-even-richer
Le type achète, sans les capitaux initialement, “à crédit” et se fait financer par … la BCE, l’acquisition contre des … titres, du papier à la valeur approximative. C’est-à-dire que la BCE délivre des fonds publics sur l’assise d’un collatéral de regroupements des PNB publics européens. Allez 10 milliards d’euro, cadeau !
Le dernier des margoulins peut acheter n’importe quoi, pour n’importe quel prix, qui sera ensuite financé par une banque centrale. Quel talent ?!
Les chefs d’entreprise de TPE, PME, ETI et Corporates doivent, de ce pas, aller demander des prêts directement à la banque centrale européenne pour faire leurs courses à l’international.
On n’a plus besoin des banques puisque l’on va chez l’imprimeur directement.
“Le type achète, sans les capitaux initialement, « à crédit » et se fait financer par … la BCE, l’acquisition contre des … titres, du papier à la valeur approximative.”
Ce n’est pas du tout ce que dit l’article, que vous n’avez visiblement pas compris du tout : les banques centrales ne financent jamais directement des entreprises ou des particuliers, l’article parle de rachat de dettes sur les marchés et de quantitative easing, ainsi que de taux de prêt négatifs (ce qui revient à dire que le préteur paye l’emprunteur, des types d’opérations qui ne concernent pas “le type” (Bernard Arnault et LVMH en l’occurrence, on se demande bien ce qui vous dérange à ce point chez lui pour étaler un tel mépris hargneux) mais la zone euro en général.
Le but de l’article de Zero Edge est de démontrer que la BCE, avec ses politiques monétaires, “trahirait” son rôle d’enrichir les populations. L’exemple de la dernière acquisition d’Arnault est utilisé pour montrer que cette politique de taux négatif est utilisée par des grands groupes pour lever de l’argent à des taux ultra intéressants pour eux, mais en aucun cas n’affirme que la BCE aurait “donné 10 milliards, cadeau”, vu qu’on parle de prêts, qui seront donc remboursé (Zero Edge précise même les durées : entre 2 et 11 ans), quand bien même le taux négatif fera qu’une partie marginale dudit prêt sera de facto financée par la BCE, vu que celle ci aura prêté à taux négatif aux banques qui elles fourniront les prêts.
Votre réflexion sur les TPE, … est donc hors de propos, vu qu’elles aussi bénéficient de cette politique de taux négatifs, quand bien même leur marge de négociation n’est évidemment pas la même que celle de LVMH : il serait bon de se rappeler que ce groupe à une capitalisation de plus de 200 milliards d’euros, un CA de 49 milliards et une résultat net de 6.35 milliards et qu’avec des chiffres pareils, il aurait sans souci pu négocier son emprunt de 10 milliards, quelque soient les taux du moment, l’emprunt aurait juste couté plus cher mais n’aurait pas été inabordable pour LVMH.
Vu votre incompréhension et de l’anglais (l’article de Zero Edge étant clairement une dénonciation du Quantitive Easing et certainement pas une affirmation que LVMH aurait touché “10 milliards cadeaux) et des mécaniques économiques en question, la sagesse voudrait que vous évitiez le sujet…
Vous avez raison sur toute la ligne. Je ne suis que couturière. Je ne savais pas que c’était de l’anglais. Je n’ai pas votre intelligence pour comprendre ces ficelles la. Si seulement, j’étais allée à l’école comme vous, j’aurais pu peut-être comprendre. Ce n’est pas avec mon maigre revenu que je peux aller dans la boutique. Je lis cela dans les pages des magazines chez mon coiffeur, à la ville. Vous ne m’en voulez pas ?
Gally,
Vous m’en voulez donc d’utiliser l’humour et leurs degrés ?
Quand j’ai commencé mon petit commerce de couture, je suis allée à la banque et là, sans un sous dans mes poches, rien ! aucun prêt …
Ensuite, je suis allée à l’Adie. C’est la banque des pauvres qui empruntent. Là, j’ai demandé le coût de l’emprunt : TEG 12% alors que depuis quelques années, on parle des taux négatifs. Moi aussi, je voulais racheter tous les couturiers turcs et chinois de mon quartier pour ne faire qu’une seule marque. Mais 12% !!!
Je suis allée au Crédit Municipal. J’ai choisi, au hasard, celui du socialiste Rebsamen et bien, les conditions et les taux … ditto.
Je n’ai pas pu aller à la SG, ils avaient fermé les agences.
Alors, je me suis assise et je me suis souvenue que j’avais eu, jeune, c’est-à-dire, au siècle passé, quelques cours d’économie avec un type à grosses lunettes, à barbe et à grandes oreilles, le professeur Strauss.
Là, je me souviens que je savais bien que les banques centrales ne prêtaient pas directement aux entreprises et aux particuliers, bien que le particulier “prête son épargne et sa sueur”, à la banque centrale (C’est un raccourci au 3ème degré comme pour le cadeau de 10 milliards).
En ce temps, si j’avais rendu une copie en inventant l’hérésie des taux négatifs, le professeur m’aurait jetée la copie au visage, la brosse et la craie dans un ricanement tel que l’éducation nationale c’est la prodiguer.
Plus tard, même Hervé Le Borgne, ingénieux, m’aurait ricanée au nez d’aller imaginer pareil antagonisme : le prêteur qui paye l’emprunteur.
Je n’ai pas de hargne contre quiconque. Mais j’aimerai un traitement équitable des cas de figure, faudrait-il que je me laisse pousser de gros sourcils pour paraître.
Alors, moi, comme LVMH, je veux avoir accès, pour ma pme, au taux négatif pour mon projet de conglomérat de quartier qui va me permettre de monter et de montrer une entreprise capitalisable.
Mais la capitalisation n’est-elle pas un peu … surfaite ? Je me souviens d’un cas de figure : Babcock and Brown … une grande capitalisation de plus de 50 milliards qui a finie, en une semaine, en une … grande bankruptcy.
Bon comme vous semblez être un expert, et en anglais et en économie, assistez-moi dans ma démarche. Je vous nomme CFO de ma pme de couture. Je ne peux vous appointer de suite, mais à tempérament et sur résultat.
Vous parlez d’équité entre une PME et LVMH ? Mais vous avez vous même indiqué avoir suivi des cours d’économie, n’est ce pas ? Donc vous savez que le taux d’intérêt demandé est intimement lié au risque pris par le préteur, n’est ce pas ? Allez vous tenter de nous faire croire que pour le préteur, LVMH présenterait les mêmes risques de défaut qu’une PME française étouffée sous les règlements et les taxes, ces PME qui ferment en rafale depuis des années ? Vous allez aussi tenter de nous faire croire que si les taux négatifs n’existaient pas, LVMH emprunterait au même taux que la PME (alors qu’en réalité, s’il empruntait à 2%, la PME passerait à 14) ?
Ce n’est pas de l’équité que vous demandez, mais du socialisme, mâtiné de haine du riche… Enfin, en fait si, vous demandez de l’équité telle qu’elle est vue en France : tout le monde égal dans la pauvreté, coupons les têtes qui dépassent pour que les petits ne se sentent pas lésés…
L’économie est une théorie et non une science !
Le taux d’intérêt est lié au … copinage, puis on le maquille d’une parure. Hormis le taux de l’usure, rien n’est figé.
La PME ou LVMH (une PME également) présente le même risque, avec une échelle différente concernant les montants.
Vous citiez un résultat net de 6.35 milliards. Qui y-a-t-il dans ce résultat ? Qu’est-ce qui constitue ces produits ? des ventes seulement ou des ventes + des produits exceptionnels + provisions ? Et les charges ? report, etc ? Et les dettes hors bilan et le risque lié au tax planning ?
Si je vous lis LVMH ne souffre pas des “étouffée sous les règlements et les taxes”. LVMH, c’est bien la même entreprise que la mienne, immatriculée en France, sous lois françaises, non ? Pourquoi y-aurait-il une différence de traitement ? Aussi pourquoi pourrait-il y avoir une différence de 12% entre son taux et le mien … 12% !!!!!! ? Une différence liée au volume et à la négociation d’accord, mais une différence de 12% ! Logique ?
OUI SOCIOLO, HAINEUSE DU RICHE ! WAHOU !
Mon mari a bien ri et du coup, il me taquine. Enfin, j’ai une étiquette partisane. Ouf !
J’ai connu de vrais riches. Rien à voir. Des visionnaires et des décideurs.
Pour clore, je n’ai rien contre B. Arnaud, je n’aime pas ces sacs à main, uniformes et conformistes, toutes ses marques évidées de leurs substances, de leurs qualités, de leurs créativités. Les étiquettes sont fabriquées au Pakistan, et pour le reste, cela vient de partout. Avant, Jourdan, Dior, Gossard, etc se concurrençaient en technique, en esthétique, en qualité, en créativité …
Là, nous en sommes rendus au “luxe” ikea …
Camarade Gally, c’est l’international du sac à main qui vous salue ! 😉
“La PME ou LVMH (une PME également) présente le même risque”
Arrivé à ce niveau de déni, je laisse tomber.
Ha ha ha ! Merci pour votre message
J’ai relu et relu et relu votre explication, ma petite tête ayant des difficultés de compréhension.
Prenons l’hypothèse d’un taux négatif à -0,261% (taux de 2016) sur 5 ans.
Monsieur Arnaud va lever son emprunt de 10,000,000,000 € à -0,261% annuel sur 5 ans. Donc l’établissement financier va lui verser le montant et il va recevoir une somme complémentaire annuelle de 26,100,000 € (soit un “bonus” de 130,500,000 € utile pour restructurer le magasin).
Moi, avec ma tpe/pme de couture, je vais lever chez l’Adie mon emprunt de 10,000,000,000 € à +12% annuel sur 5 ans. Donc l’établissement financier va me verser le montant et je vais devoir payer 1,200,000,000€ d’intérêts par an (soit une “perte” d’environ 7,200,000,000 € ; difficile de restructurer le magasin).
Pour moi, ce prêt m’aura coutée 7,200,000,000 € et, à lui, rapporté 130,500,000 € pour exactement le même usage et la même somme.
Outre la concurrence déloyale d’une situation à l’autre, l’iniquité de traitement de vous choque pas ???
Allô Gally ! Vous êtes là ?
Oui, je suis là, mais je ne suis pas sur de l’intérêt de répondre à quelqu’un répondant avec un ton sarcastique passablement déplacé quand on relève les erreurs et incompréhensions qu’elle fait : vous vous complaisez dans votre n’importe quoi, quel intérêt aurais-je à tenter de vous contredire, puisque vous ne lirez pas la réponse et enchaînerait sur un autre n’importe quoi ? En prime, j’ai déjà répondu, 7 minutes avant le laïus, à cette ridicule histoire de concurrence déloyale, donc bon…
Note cynique en passant : je serai un banquier, et j’entends un “chef d’entreprise” venir me tenir votre discours, je lui prête au taux le plus élevé, tant je m’attends au pire dans la gestion des comptes de ladite société et à sa probabilité de faire défaut en raison de ladite “gestion”…
J’aime bien aussi parsemer les textes de fautes, cela agace les profs normatifs.
Par exemple : ” ricanement tel que l’éducation nationale c’est la prodiguer “
Tous ces livres font du bien (je viens d’en commander 3). La propagande anti Trump est grossière. Deux livres sont utilisés en ce moment par la propagande médiatique française ” Je Twitte donc je suis ” de Guillaume Debré (TF1). Ce soir sur C News Pascal Praud s’est surpassé pour “assassiner Trump”. IL citait les tweets du livre ci dessus référencé en qualifaint Trump de grossier, utilisant la diffamation et les insultes. Mais comme d’habitude les opposants démocrates et leurs méthodes ne sont jamais mentionnés et cités. Celui qui écoute cela pense que Trump attaque tout azimut des gens innocents et surtout le matin …
Un autre livre vient aussi de paraitre, écrit par un Français qui serait le conseil des 2 communistes Sanders et Warren. Je n’arrive pas à m’en souvenir. L’auteur dit que les inégalités se creusent aux US , que les très riches payent moins d’impôts que la classe moyenne etc , Etc … En fait l’économie par Trump c’est tourner le dos au peuple, donc le tromper …
C’est vrai, Ronald Reagan était présenté comme un acteur de série B américaine…
Le comparatif avec D Trump est pertinent. Cet article nous rafraîchit la mémoire !
En ce temps-là, au Vatican, le pape Jean-Paul II – alors en pleine forme – n’était pas socialo-compatible, et avait aussi contribué à l’effondrement de cocoland… Même si c’est anecdotique, je me souviens de la façon dont JP II avait interpelé Gromyko, ministre des affaires étrangères de 1957 à 1985.
La glasnost et la pérestroïka étaient lancées, les caisses de l’URSS étaient vides, la guerre en Afghanistan allait avoir raison des derniers roubles…
Je travaillais en URSS et on sentait bien l’odeur de fin de règne même si personne n’avait imaginé que l’empire soviétique allait s’effondrer brutalement comme un château de cartes, conséquence de la chute du mur de Berlin en 89, et après 70 ans de révolution bolchévique…
Le taux du rouble au marché noir était passé – à partir de 1987 – de 3 à 5, puis 10, puis 20… Après 1989, tous les russes possédant des roubles les convertissaient en devises… et puis vint l’anarchie dès l’arrivée de Boris Eltsine en 1991 et des oligarques. Certains ont eu du nez et avoir un peu d’argent de côté permettait de faire des affaires en or… Evidemment, les oligarques achetaient des pans complets de gisements de matières premières ou de l’industrie, mais les autres achetaient des appartements, vendaient des oeuvres d’art… le business concernait tout ce qui avait une valeur marchande, d’autres exportaient du bois…
J’avais compris qu’il ne fallait pas assimiler les russes à l’URSS (pourtant plus patriote qu’un russe, ça n’existe plus) comme aujourd’hui il ne faut pas faire d’amalgame en Iran : le régime des mollahs ne représente pas les iraniens !