Les élections primaires démocrates suivent leur cours, et il est utile d’en parler en disant la vérité. Une décantation s’opère.
Il devient de plus en plus clair que la candidature se jouera entre deux candidats. L’un des deux sera celui qui perdra au mois de novembre quand Trump sera réélu, ce qui ne fait plus guère de doute.
L’un s’appelle Bernie Sanders. C’est un marxiste qui aime Lénine, Fidel Castro, et d’autres criminels du même genre. Des vidéos anciennes de lui le montrent en train de parler du bonheur des Cubains sous le régime qui a ruiné le pays. Il promet les soins de santé gratuits, l’université gratuite, et des impôts en hausse vertigineuse. S’il était élu, il ruinerait les Etats-Unis aussi vite que Hugo Chavez a ruiné le Venezuela. Les dirigeants du Parti démocrate le savent et s’évertuent à lui savonner la planche. Ils ont réussi en 2016, et ont trouvé un moyen de faire passer Hillary Clinton devant lui en usant de divers subterfuges. Ils font la même chose cette année et le fiasco du caucus d’Iowa s’explique de cette façon : il a été en Iowa le candidat qui a obtenu le plus grand nombre de voix, mais un système faisant que les électeurs des campagnes ont compté davantage que ceux des villes l’a fait apparaitre en deuxième position. Il a gagné dans le New Hampshire où il n’y a eu aucun moyen de le faire finir deuxième. Il va gagner dans le Nevada ce samedi, et il sera difficile de le faire finir deuxième comme en Iowa, car il a huit points d’avance en cet instant sur son concurrent le plus proche. Il a la faveur des jeunes gens et suscite l’enthousiasme des électeurs de gauche âgés de 18 à 25 ans. Les électeurs de gauche plus âgés sont bien moins enthousiastes. A l’évidence, les professeurs gauchistes qui prolifèrent dans les lycées et les universités font bien leur travail et produisent des abrutis qui pensent que le “socialisme scientifique” est la huitième merveille du monde. C’est tout à la fois consternant et inquiétant, mais c’est ainsi. Quand bien même les dirigeants du parti démocrate entendent s’évertuer à faire perdre le dénommé Bernie Sanders, ils sont dans une mission impossible : s’ils parviennent à leurs fins, les fans de Bernie Sanders ne voteront pas, ou en faible nombre en novembre, et ce sera excellent pour Trump. Si les dirigeants du Parti démocrate ne parviennent pas à leurs fins, un nombre certains de Démocrates qui ont passé l’âge d’être totalement abrutis s’abstiendront, et ce sera excellent pour Donald Trump. Comme le dénommé Bernie Sanders est né juif, il fait diffuser en ce moment des spots publicitaires dans lesquels il se décrit comme imprègné de valeurs juives : ce sont sans doute ses valeurs juives qui en font le candidat le plus anti-israélien et le plus “pro-palestinien” de tous les candidats encore en lice, parmi lesquels pourtant les anti-israéliens et les “pro-palestiniens” ne manquent pas. Ce sont aussi ses valeurs juives qui le conduisent à faire campagne avec les deux islamistes antisémites élues sous étiquette démocrate à la Chambre des représentants, Ilhan Omar et Rashida Tlaib. Je ne sais combien de Juifs voteront pour lui au cours des élections primaires et combien voteront encore pour lui s’il est le candidat démocrate, mais les Juifs américains votant systématiquement démocrate, il y en aura sans doute un nombre certain, hélas.
L’autre candidat est Michael Bloomberg. C’est, lui, un capitaliste et un milliardaire dont la fortune est dix fois supérieure à celle de Trump. Mais c’est un capitaliste façon nomenklatura capitaliste mondiale, qui pense comme tous les capitalistes de gauche que les pauvres doivent tendre leur sébile, se taire, faire ce qu’ils ont à faire et laisser ceux qui savent, comprennent et ont une intelligence supérieure gérer et gouverner. Il a été maire de New York, sous étiquette républicaine, façon patricien républicain, et avait acheté sa position de maire à coups de centaines de millions de dollars. Il voudrait faire la même chose, pour la présidence du pays cette fois. Il a déjà dépense plus de quatre cent millions de dollars pour s’imposer, et il compte mettre beaucoup plus, et semble penser que la présidence des Etats-Unis s’achète, et qu’il pourra l’acheter comme il a acheté la mairie de New York. Il déteste et méprise Donald Trump, et c’est pour l’heure son principal argument de campagne. Il s’était illustré en tant que maire de New York sur deux points : il avait instauré pour la police de la ville une politique dite stop and frisk (arrêter et fouiller) qui avait été assez efficace contre la criminalité, mais lui avait valu l’hostilité des minorités ethniques, dont les membres étaient bien plus souvent contrôlés que les blancs ; il avait fait interdire dans les restaurants fast food les gobelets de boisson grand format, pour, avait-il dit, pousser les gens à consommer moins de sucre et à veiller sur leur santé. Il passe son temps depuis quelques jours à s’excuser pour la politique stop and frisk en disant qu’il n’avait pas perçu que cela pouvait le faire paraître comme hostile aux minorités ethniques, et il se met en harmonie avec le Parti démocrate en tenant des propos très ouverts à l’immigration illégale et à un moindre contrôle des frontières. Il fait campagne essentiellement sur deux thèmes actuellement : le “dérèglement climatique”, et il promet d’être un président très écologiste, et l’interdiction des armes à feu. Ses deux qualités pour les dirigeants du Parti démocrate sont, d’une part, d’avoir un budget illimité, et ils espèrent qu’il pourrait être en moyen d’acheter la présidence, d’autre part, d’offrir une alternative à Bernie Sanders, que les autres Démocrates encore en lice n’ont pas pu offrir. Il est “modéré” par rapport à Bernie Sanders, ce qui n’est pas difficile. Il est très proche du dictateur communiste chinois Xi Jinping et semble partager sa vision des rapports entre le peuple et le gouvernement. Comme il a vraiment beaucoup d’argent, il a recruté des centaines de personnes censées jouer les agents d’influence dans les médias, les réseaux sociaux, les milieux politiques et les autres Démocrates encore en lice ont désormais du mal à recruter, car il paie très bien, et beaucoup plus que ce qu’ils peuvent offrir. Ils commencent à lui vouer une animosité certaine. Il a acheté sa place au débat qui aura lieu ce soir à Las Vegas, et ce sera sa première participation à un débat. Les intentions de vote en sa faveur sont en train de monter. Cela ne signifie pas du tout, s’il obtient l’investiture, qu’il sera élu. Aucun électeur de Bernie Sanders ne sera prêt à voter pour lui, d’autant plus que si Bernie Sanders n’est pas candidat, ils considéreront à juste titre que Michael Bloomberg lui a volé la candidature. Des vidéos de lui tenant des propos méprisants vis-à-vis du petit peuple abondent et commencent à circuler.
Bernie Sanders aura soixante-dix-neuf ans en novembre 2020. Michael Bloomberg aura soixante-dix-huit ans et fêtera son soixante dix-neuvième anniversaire en regardant Donald Trump prêter serment pour son deuxième mandat début 2021.
Que le Parti démocrate n’ait pas un seul candidat présentable qui ne soit presque octogénaire est tristement significatif. Elizabeth Warren, qui est en train de couler, et qui a fait toute sa carrière en se faisant passer pour une indienne Cherokee, tient un discours aussi à gauche que celui de Bernie Sanders, mais en plus factice. Elle a soixante-dix ans. Joe Biden, qui est en train de couler lui aussi, semble atteint de sénilité précoce et est corrompu jusqu’à la moelle, est un tout petit peu moins à gauche, mais vraiment de très peu. Il a soixante-dix-sept ans. Pete Buttigieg qui coule aussi est le candidat gay, très gay. Il est présente comme modéré mais ne l’est pas du tout. Il a ravagé la ville de South Bend, Indiana, dont il était le maire, et le soutien de la communauté gay et lesbienne ne lui suffira pas pour durer très longtemps encore. Les minorités ethniques sont très peu ouvertes aux gens très gay. C’est un fait, et il fait campagne avec son mari, qu’il embrasse souvent en public. Amy Klobuchar, sénatrice du Minnesota, se présente comme une modérée elle aussi, mais elle ne l’est pas du tout elle non plus. Elle va s’estomper. Tom Steyer est un autre milliardaire, très à gauche, et il a mis beaucoup d’argent dans sa campagne, mais il n’en a pas autant que Michael Bloomberg, et il n’ira plus très loin. Tulsi Gabbard est la seule vraie modérée dans cet ensemble, et elle n’a dès lors jamais eu la moindre chance.
Les dirigeants du Parti démocrate savent qu’ils vont perdre. Il leur reste à cracher tout le venin qu’ils peuvent cracher. Les semaines à venir vont être sordides parce que les Démocrates sont fondamentalement sordides. Après la procédure de destitution ignoble et sans fondement, ils s’en prennent maintenant à William Barr, ministre de la justice, et ce n’est pas un hasard. Ils s’attendent à ce que le procureur John Durham rende un rapport accablant dans quelques semaines et à ce que des gens issus de leurs rangs finissent en prison.
Regarder du côté républicain est regarder d’un côté plus limpide. Donald Trump ne se contente pas de redonner sa grandeur à l’Amérique. Il lui a fait échapper à ce qui aurait pu être le parachèvement des années Obama. Le monde libre est passé très près d’une catastrophe. Lorsqu’on voit Hillary Clinton parler, la méchanceté et le mensonge sont immédiatement apparents. Je n’ose imaginer ce qu’aurait été une présidence Hillary Clinton. Mike Bloomberg a laissé entendre qu’il pourrait la choisir comme candidate à la vice-présidence avant de démentir. Cela en dit long sur Michael Bloomberg…
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Difficile à comprendre que des américains qui se sont battus contre tous les communismes depuis qu’il existe en soient à voter pour un Sanders!
A part la Chine qui est devenue plus capitaliste que les Usa tout en gardant un système politique dictatorial pour gouverner ….
Ce système qui a fait plus de morts et de pauvres que n’importe quel autre!!!
Faut-il qu’ils aient la haine démocrate !
Excellente analyse. J’aime l’introduction qui résume parfaitement la déroute et le délitement de la gauche US : “L’un des deux sera celui qui perdra au mois de novembre quand Trump sera réélu, ce qui ne fait plus guère de doute”. En sont-ils conscients, ou bien sont-ils aveuglés par la haine qu’ils vouent à Donald Trump, la plus belle success story américaine des cinquante dernières années ?
Bonjour David!
Personnellement, je crois que M. Millière a raison.
Les Dems sont parfaitement conscients qu’ils ne pourront pas battre Trump en 2020 avec cette bande de gauchistes mondialistes et de quasi-octogénaires sans charisme (Biden est sénile, Sanders a un programme socialiste fou et incohérent, Bloomberg n’a aucun sens du PR, Elisabeth Warren est une menteuse, stupide et folle).
Quand je pense à l’immense popularité de Bill Clinton, le candidat «I feel your pain» qui savait parler aux petites gens. Bloomberg est plutôt un candidat imbu de sa supériorité parce qu’il est riche, un «I don’t feel anything»!
Les Dems sont contraints d’envoyer au suicide politique les Biden, Sanders, Warren et Bloomberg afin de donner l’impression qu’ils veulent battre Trump.
En réalité, ils savent qu’en 2024, ils n’auront plus besoin de battre Trump et ça leur laisse le temps de trouver un leader charismatique (les Biden, Sanders, Bloomberg, Warren Buttigieg et Co auront été rayés de la carte ou auront pris leur retraite).
En attendant, ils vont pouvoir passer encore 4 ans à dénigrer Trump, en espérant que la remontée économique des USA s’essouffle ou qu’un problème surgisse (quitte à le provoquer et/ou à le monter en épingle) qui donne envie aux électeurs de leur redonner le pouvoir …
C’est 2024 qui m’inquiète, pas 2020!
Magali Shalom !
Je suis entièrement d’accord avec ce que vous écrivez. Personne ne sait ce qui va se passer en 2024 aux USA. Je pense que les Américains – ceux qui travaillent dur et apprécient les réalisations hors pair de Donald Trump et dans la mesure où la dynamique Trump perdure – continueront dans la même voie, parce qu’il n’y en pas d’autre. Une condition toutefois : Donald Trump doit préparer sa suite. Des talents, comme Nikki Haley par exemple, émergent. D’autres pays, comme l’Angleterre et certains pays européens de l’Est, adoptent peu à peu le mode opératoire d’une économie libérale, seul moteur de croissance possible. Les pays qui resteront obstinément figés pour des raisons clientélistes dans la doxa délétère de l'”ancien régime” socialiste et soumis au danger létal d’une immigration malchance non contrôlée péricliteront.
Réponse à David et Magali. Le moment n’est pas venu de parler de 2024, mais je n’ai aucun doute concernant le fait que Donald Trump saura préparer sa succession, et trouver le candidat adéquat. Ce qui m’inquiète n’est pas cela mais le poids croissant de la communauté latino. La Californie a été un Etat républicain et a basculé sous le poids des latino. Elle est dans un état effroyable. Le Nevada où je vis a basculé en 2018 (en regardant les gens devant les bureaux de vote près de chez moi, je discernais ce qui allait se passer). L’Arizona risque de basculer, le Texas s’approche de la même situation et si le Texas bascule, ce sera fini pour les républicains.
@M. Millière : je crois qu’il faut faire le distinguo entre les Hispaniques intégrés et les autres.
Les Hispaniques intégrés sont des Américains comme les autres, et ils ont les mêmes préoccupations : l’emploi, l’économie, leur pouvoir d’achat… et la sécurité des frontières (peut-être plus que les autres Américains d’ailleurs).
Ceux qui regardent Univision, c’est une autre histoire, bien sûr. Mais est-ce qu’il y en a beaucoup qui votent ? Les spectateurs d’Univision, dans leur grande majorité, sont des jardiniers et des femmes de ménage.
Les Américains d’origine cubaine (très nombreux en Floride) sont très contents que Trump ait rétabli l’embargo sur Cuba. Les Américains d’origine vénézuélienne (nombreux aussi en Floride) sont tout à fait d’accord avec la position de Trump par rapport au Vénézuéla et par rapport au socialisme, et ils sont bien placés pour savoir ce qu’est le socialisme.
Je ne serais pas étonnée que Trump remporte 30 % des voix latino en novembre.
@ Guy Millière : j’allais poser une question allant dans ce sens, merci d’avoir répondu !
@ Californienne : 30% de latinos qui votent pour Trump, ça fait 70% qui ne votent pas pour lui, donc pour le candidat Démocrate a priori…
Ou alors ils vont s’abstenir. Les Hispaniques sont souvent catholiques et pratiquants, les positions extrêmes du parti démocrate (sur l’avortement en particulier) ne leur plaisent pas.
A la base, les Hispaniques ont des principes de vie qui sont très conservateurs, donc plus proches des Républicains, et ils vont finir par s’en rendre compte.
Cela dit Californienne, en 2016, les Hispaniques et Latino-Américains ont voté Clinton à 65%, Trump à 29%, et autres à 6%… Trump part quand même de loin.
cf https://en.wikipedia.org/wiki/2016_United_States_presidential_election#Voter_demographics
Il n’est pas PROSCRIT dans la constitution qu’un président ne puisse faire un troisième mandat car un autre l’a déjà fait F.D. Roosevelt si je ne me trompe pas.
C’est impossible depuis, la Constitution a été modifiée : deux mandats (élus), consécutifs ou non. Et si quelqu’un a été président sans être élu (par exemple le vice-président), il ne faudra pas qu’il l’ait été plus de deux ans s’il veut faire ces deux mandats élus.
C’est le XXIIe Amendement.
Tout ceci est tellement VRAI que nous au Canada envions un homme comme le Président D. Trump a la tête de notre pays surtout avec un justin trudeau tantôt la larme a l’œil, tantôt déguisé, tantôt incapable de résoudre les nombreux problèmes que nous rencontrons mais la main dans nos poches dépensant sans réfléchir sur les conséquences qu’il nous inflige et des presque 50% d’impôts que nous payons.et ce n’est pas beaucoup mieux dans chacune des provinces de ce pays.
NOUS AVONS LES GOUVERNANTS QUE NOUS MÉRITONS. Nous les avons choisis et nous nous sommes encore tromper et pire, nous devons vivre avec car ici il n’y a pas possibilité de les foutre dehors avant le terme de leur mandat.
Les gauchistes démunis de bon sens n’ont que la Haine contre Donald TRUMP comme les gauchistes d’ ISRAEL ednvers NETANYAHOU !! Les arguments sont minimes et la Haine Maxi !!!
Personne n’ira en prison suite au rapport de John Durham. Nous en avons eu un avant goût avec l’arrêt des poursuites concernant Andrew Mac Cabe, pourtant archi corrompu. Par ailleurs, Trump commence sérieusement à agacer son AG en interférant systématiquement avec des tweets notamment pour protéger son ami Roger Stone très lourdement et injustement condamné. Les abominables démocrates qui sont à l’affut du moindre faux pas du président, n’attendent que cela pour une nouvelle fois le mettre en accusation. Bref, tout cela ce n’est que du cirque qui ne débouche jamais sur rien. Ca permet certes d’écrire des articles, de faire de l’audience, mais les hommes de pouvoir et notamment les plus socialistes d’entre eux, resteront ce qu’ils sont et surtout ne seront jamais condamnés pour leurs diverses malversations. Sinon, un type incapable de fournir un certificat de naissance original, avec plusieurs numéro de sécurité sociale, au passé plus que trouble jamais investigué par les médias complices, pourtant élu et réélu président, serait revêtue d’une belle combinaison orange dans un quartier de haute sécurité depuis belle lurette.
Pour vous répondre et vous faire plaisir je pense :
https://www.westernjournal.com/mueller-team-prosecutor-doj-opening-new-investigation-comey-mccabe-strzok/?utm_source=email&utm_medium=ams&utm_campaign=can&utm_content=
La prison et l’exil c’est ce qu’ils méritent .
Mon expérience me dit qu’il ne faut surtout pas prendre ses désirs pour la réalité, sinon vous risquez d’être très déçu. Il ne fait aucun doute que toute la cohorte du fbi qui voulait fomenter un coup d’état contre un président légitime et démocratiquement élu, au prétexte que celui ci ne leur plaisait pas du tout, mérite de la prison ferme pour de longues années. Cependant, j’ai bien peur que ce ne sera jamais le cas. Ce n’est plus un marais qu’il faut assecher, c’est carrement l’enfer qu’il faudrait éteindre. Et tout Trump qu’il est, je redoute que la tâche ne soit hors de portée, tant le mal est profond. Enfin, juste une dernière chose, si le sénat avait basculé du côté démocrate aux élections du mid term comme la chambre des représentants, le Donald serait actuellement en train de jouer au golf sur les parcours de Mar a lago ; pour des accusations complètement bidons et surtout inconstitutionnelles. Cela dit, vous pouvez toujours esperez du monde politique qu’il rende la justice. Bonne route.
La question qui se pose : “Qui pour succéder à Trump dans 4 ans et demi ?”.
Nikki Haley
Marco Rubio ?
Ted Cruz !
Pourquoi pas le vice président Mike Pence?
Haley, Rubio et Cruz
sont inéligibles aux termes de l’art II, §1 clause 5 de la Constitution.
Haley, Rubio et Cruz sont américains de naissance (pas naturalisés), ils ont plus de 35 ans, ils ont vécu plus de 14 ans aux Etats-Unis et ils n’ont pas de casier judiciaire.
Ils sont donc éligibles.
Franck Boizard: Ma recommendation – Notre gouverneur en Floride – Ron DeSantis https://en.wikipedia.org/wiki/Ron_DeSantis Ici en français https://fr.wikipedia.org/wiki/Ron_DeSantis (la version française est très limitée)
Un grand avantage de notre système fédéraliste américain (principalement décentralisé) est qu’il permet aux personnes inconnues, exceptionnelles (ou non), de briguer des fonctions électorales au niveau local ou au niveau de l’état fédéré. Des personnes parties de rien, peuvent ainsi démontrer rapidement leur talent (ou leur incompétence) et s’élever dans l’échelle politique. Les gouverneurs des États sont fréquemment perçus comme des Présidents potentiels en fin de mandat.
Sanders n’a pas compris que son ralliement clair aux mouvements antiracistes de défense hystérique des minorités qui pourrissent les universités de néo-stalinisme ne pouvaient en faire qu’un candidat de la jeunesse blanche manipulée par des fanatiques et essentiellement qu’un candidat des minorités moins les noirs et leurs élites qui d’après certains articles se feraient acheter par les milliards de Bloomberg. L’électorat blanc justement de plus de 30 ou 35 ans ne veut rien savoir des démocrates et encore moins d’un Sanders qui prend à son compte un mouvement qui prend en grippe les hommes blancs de plus de 50 ans! La logique se trouve ou chez les démocrates?
Bloomberg lui semble prêt à acheter les États-Unis trois fois pour s’acheter la présidence et pourrait être le candidat démocrate à travers une corruption colossale donnant une nausée totale à tous ceux qui voient la démocratie américaine et occidentale sombrer à ce point.
Trump a de très bonnes cartes dans ses mains et ne vends pas le pays à l’ONU et aux organisations de gouvernance mondiale et ne cherche pas du tout à islamiser l’Amérique comme trop de dirigeants à la Trudeau, Macron et Merkel.
Aux É.U effectivement on peut encore penser selon les différences raciales et la réalité de l’électorat américain sans se faire accuser de racisme contrairement à la France.
Quelque soit le pays ou le continent, partout les socialistes répètent leur même incompétence et leur même haine.
La solution des démocrates serait d’imposer Michelle Obama juste à la fin. La “seule” qui pourrait correspondre à tout le monde…. Mais elle se ferait quand même laminer par TRUMP !!!!
quand je vois comment un chancelant ex-vice-président est capable de concourir pour la présidence, grâce à son “expérience”, je me dis que Mike Pence, qui a seulement 60 ans, et lui aussi de l’expérience, et beaucoup de qualités, peut parfaitement porter l’espoir républicain pour 2024.
pour des raisons personnel … j’ai été dans l’incapacité de regarder le débat démocrate ce soir a CNN mais le fait que bloomberg était pour la 1ier fois présent a sans aucun doute changer la dinamique donc ( j’espère de tout coeur ) ils ont tous attaquer bloomberg bref s’auto-cannibalisé mutuellement a mon plus grand des bonheurs …. de toute façon les gens ordinaire vont voter Républicain et en Passant Dreuz en a pas fait mention mais hier bloomberg c’est mis a dos tout le monde agricole en les traitant les agriculteurs de faible d’esprit …. ceci peux être ridicule mais bloomberg a affaibli d’un coup tout les représentants démocrate donc indirectement il a aider Trump
Le vote des migrants hispaniques (chrétiens pour la plupart) est certainement une des choses les plus convoitées par les gauchistes américains, tout comme l’est en France, le vote des migrants maghrébins (musulmans pour la plupart) que la gaucho-collabo courtise aussi beaucoup.
La gauche, à l’agonie, risque d’être fort agressive avant son dernier soupir………….
A bas les DemocraSSes !