Publié par Dreuz Info le 28 février 2020

Les opinions exprimées dans cet article n’engagent pas la rédaction de Dreuz.info qui, de notoriété publique, ne soutient pas le RN.


Voici une première fournée de jeunes gens prêts à se battre pour la France et renverser la vapeur.

Ils savent que rien n’est gagné d’avance et que le chemin est potentiellement long et ardu. Mais leur objectif est bien de renverser le clan macronien et la dictature qui de manière ostensible pèse de plus en plus sur la France.

Une révolution se met en marche.

J’ai rencontré dernièrement à Auxerre, un couple de retraités qui avaient fui la France pour aller vivre au Portugal.

Ils avaient l’air parfaitement sereins et heureux de leur choix, vantant les mérites du Portugal – pays tranquille, sans histoire – et déplorant la situation française provoquée à leurs yeux essentiellement par les Gilets Jaunes – pour conclure abruptement notre conversation par : “La France est foutue”, une phrase qu’aucun français n’aurait jamais osé prononcer 5 ou 10 ans en arrière.

La chose frappante est que ce couple impute à une population misérable et ignorée du pouvoir l’échec irrémédiable du pays qu’ils ont quitté et par leur conclusion « La France est foutue » indique que le « sort en est jeté » et qu’au fond il n’y a plus grand-chose à faire.

Evidemment, aucune allusion n’est faite à l’encontre des dirigeants successifs qui par des mesures sociales aberrantes ont épuisé les classes moyennes et ont nivelé le pays par le bas : le lieu ne se prêtait pas à une analyse plus poussée.

Mais leur remarque fait aussi ressortir qu’en l’espace de deux quinquennats, les français ont pris conscience confusément, puis plus clairement que le destin de leur nation se tramait, sans eux, contre eux, au point que certains aînés préfèrent larguer les amarres, plutôt que de subir cette lente dérive et perdre pied….Et chacun sait que beaucoup de jeunes quittent l’Europe pour gagner d’autres horizons….tandis que les autres, ceux qui restent et végètent, finissent par désespérer et par manifester rageusement dans les rues des capitales contre des dirigeants sans vertu.

Le pays se fragmente, il n’y a plus de consensus national. La France est divisée, appauvrie, apeurée. Dans leurs réalités quotidiennes des français voient se multiplier les attaques au couteau – en réalité un djihad au couteau. Les médias sclérosent l’information et se taisent, les français ne réagissent même plus : Ils n’osent plus contrarier la virtualité dans laquelle le pouvoir médiatique les enferme : Silence, on tue. Le politiquement correct dessèche les esprits, impose une barrière à la perception de la réalité et à la contestation.


Ceux qui avaient vu en Macron l’Homme Providentiel, rasent les murs et sont atones. La France dont la Capitale Paris devient une pestilence n’est plus le Pays des Lumières, tant envié et admiré des autres nations. Toute l’Europe régresse, ou stagne à l’image de la Suède, ou de l’Allemagne qui sont en passe, de s’islamiser officieusement, en attendant de se soumettre et de proclamer leur nouvelle adhésion. En France, Macron simule la résistance à cette nouvelle vague, en s’affichant de manière provocante à Mulhouse avec l’une des adeptes de la religion d’Amour et de Paix revêtue d’une Burka.

Sarkozy, Hollande et surtout Macron avaient placé leur quinquennat sous le signe de « l’espérance », un terme « religieux » équivalent au prosaïque « espoir » que ces pseudo magiciens enveloppent d’un halo mystique comme pour mieux marquer sa connotation d’inaccessibilité.

  • Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, promet le 19 juin 2005 face à la famille de Sidi-Ahmed Hammache tué de deux balles perdues devant chez lui, à la Cité des 4000 à la Courneuve : « Les coupables seront retrouvés et punis ». « Dès demain, on va nettoyer au Karcher la cité des 4 000. On y mettra les effectifs nécessaires et le temps qu’il faudra, mais ça sera nettoyé. » 
  • Hollande veut « réenchanter le rêve français, celui qui a permis à des générations durant toute la République de croire à l’égalité et au progrès » [Discours au meeting du Bourget le 22 janvier 2012].
  • Quant à Emmanuel Macron, face à une audience subjuguée, comme hypnotisée, il lance : « lorsque tout parfois semble perdu ou morose, il faut penser Printemps » Et de combler notre interrogation par cette explication : Ce n’est pas la politique que nous subissons qui doit changer, mais c’est à nous de changer pour nous adapter à cette politique « par un grand combat de la volonté contre le renoncement »

A ces paroles vides de sens, les français ont répondu « OUI ».  Mais désormais, toutes ces fariboles pourraient-elles encore passer ?

La population dans son ensemble est saturée : Les amarres sont rompues, les digues ont cédé, le respect du peuple envers ses dirigeants est un vain mot, et le terme « espérance » qui occulte le réel a perdu tout sens. Le peuple a compris que la classe politique vit loin des réalités des français, dans un « autre monde » où le mode de fonctionnement est le mensonge et la trahison. Place au réel, fin des affabulations, fin des diversions, place à l’action, place au peuple, à la vraie démocratie.

L’espoir est aussi une certitude, une conviction : dans le silence des médias des jeunes gens se préparent et veulent préparer leur pays à un nouvel avenir.

« Chaque période de trouble de l’histoire ouvre une brèche d’espoir, et la seule chose certaine et inchangeable est que rien n’est certain ni inchangeable ».

John Fitzgerald Kennedy

Et comme le défaitisme n’est pas une valeur sûre, et qu’objectivement, RIEN n’est foutu, il est temps de présenter les jeunes pousses qui en France sont prêtes à éclore dans les rangs de la Droite, ces lions et ces lionnes déterminés à se battre pour la survie de la France.

Nancy VERDIER

Ils sont jeunes et enthousiastes.
Jean-Yves Léandri vous présente :

Mathilde ROBERT & Adrien RUBAGOTTI

Les héritiers d’Auguste et Livie

Comme la Rome des César, la cité de Vienne est fondée sur un site prédestiné où se rencontrent le Rhône impétueux et six collines alignées en arc de cercle ouvert sur deux petites plaines rive gauche et la vaste plaine de Saint-Romain-en-Gal – Sainte-Colombe dans la boucle du méandre de la rive droite. Peut-être est-ce la raison qui décida l’empereur Auguste de s’y établir au Ier siècle av. J.C. pour répandre son influence jusque dans la Gaule narbonnaise.

C’est en ces lieux qu’a grandi Adrien RUBAGOTTI. Toute sa jeunesse a été bercée par l’exemplarité de son grand père, pompier professionnel, et de sa grand-mère, directrice d’école, tous deux dévoués au bien commun. Agé de 31 ans, il a effectué ses études à Vienne et s’est spécialisé dans la réalisation d’ouvrages chaudronnés.

Bon sang ne saurait mentir et Adrien RUBAGOTTI est passionné par l’histoire et le patrimoine de Vienne qu’il porte fièrement dans son cœur. C’est pourquoi, à 23 ans, il s’engage en politique et se présente aux élections municipales de 2014. Il est élu conseiller municipal et communautaire. Ce qui l’encourage à être candidat aux élections départementales de 2015 où il se qualifie pour le deuxième tour et réalise le très honorable score de 45%.

Elu assidu et impliqué, il est constamment guidé par le souci du bien commun et de l’intérêt collectif. Amoureux de sa ville dont il connaît les atouts et les enjeux d’avenir, sa solide expérience du terrain lui permet de bien appréhender les besoins et les attentes des viennois.

Fidèle à ses valeurs, l’unité nationale et la souveraineté française, il a relevé le défi des municipales et a bâti un programme, garant de la protection des habitants de Vienne, soutenu par une liste ouverte à tous les milieux sociaux et professionnels, à tous les âges et à différentes appartenances politiques ou associatives.

Il est épaulé dans ce combat par Mathilde ROBERT. Cette jeune femme énergique, âgée de 24 ans, s’est engagée en politique il y a une dizaine d’années. Elle est passionnément attachée au devenir de Vienne où ont vécu ses aïeux et qui a vu naître ses trois enfants.

Assistante de direction, reconnue pour son dynamisme et son volontarisme, elle est dotée d’une qualité rare en politique : sa forte capacité d’écoute qui lui permet de comprendre et de répondre à toutes les problématiques de la vie quotidienne des Viennois.

Ancienne secrétaire départementale du FNJ, elle a également été coordinatrice nationale du collectif « Audace » et secrétaire aux manifestations du RN 38. Mais, afin de se consacrer à ses enfants, cette jeune mère de famille a mis un temps entre parenthèses son activité de militante.

Aujourd’hui, c’est précisément pour l’avenir de ses enfants et face aux périls auxquels est exposée notre nation, qu’elle a décidé de reprendre du service actif. Et la voici en deuxième position sur la liste de rassemblement d’Adrien Rubagotti.

Aux dernières élections européennes, la liste macroniste a devancé la liste de Jordan Bardella d’à peine 300 voix. Au prochaines municipales, la liste d’Adrien RUBAGOTTI et de Mathilde ROBERT affrontera un maire sortant UMP et une avocate macroniste (étonnant quand on sait que cette profession est mise à mal par la réforme des retraites).

Cette dynamique, cette fougue et cette volonté de rassembler le plus grand nombre pour assurer le meilleur avenir à Vienne, donnent à ces deux jeunes authentiques patriotes de réelles chances de conquérir la mairie et de gérer cette belle cité, jadis gouvernée par Auguste et Livie.

BENJAMIN, LE GILET JAUNE

La flambée des « gilets jaunes » a propulsé Benjamin Cauchy sur les plateaux de télévision où il a marqué sa différence par sa maturité politique et culturelle, contrairement à la plupart de ses camarades de combat.

Ce picard, âgé de 38 ans, père de deux enfants, ancien syndicaliste étudiant UNI, se déclare passionné par la chose publique, le débat d’idée, la politique, les relations sociales. Elu local à Laon sous l’étiquette UMP, il est cadre commercial dans une société de conseil en protection sociale des entreprises et salariés.

Au début de la crise des gilets jaunes, les médias nationaux et régionaux, les chaînes d’info en continu, télés et radios, lui ont permis d’accéder à une soudaine notoriété en émergeant comme porte-parole « non officiel » des gilets jaunes.

Spontanément, avec l’aisance d’un débatteur chevronné, Benjamin Cauchy explique son combat pour le pouvoir d’achat et contre le “matraquage” fiscal, il dénonce les dangers qu’Emmanuel Macron fait courir à la France par sa politique mondialiste qui écrase les plus faibles, par l’arrogance et le mépris avec lesquels il dénigre notre culture et notre histoire.

Très vite, il comprend que la répétition des manifestations chaque samedi à Paris recèle une double menace : récupération du mouvement par l’extrême gauche et traquenard gouvernemental qui va laisser libre-cours à la violence pour déconsidérer le mouvement. Pour remédier à cette dérive manipulatoire et violente, il crée « les gilets jaunes libres » qui réunit les partisans d’une contestation constructive.

Très médiatisé en raison de ses capacités à exprimer clairement les revendications des gilets jaunes, il totalise 91 apparitions sur les plateaux de télévision (dont chez J.J. Bourdin et L. Ruquier).

Fort de cette médiatisation et de ses convictions politiques, il veut que le combat des Gilets jaunes débouche sur des solutions politiques et non sur l’anarchie. Après une tribune dans le JDD, il est reçu par le Premier ministre. En vain.

Alors, il publie aux éditions du Net : « « Prenez la parole, Votez ! » qui est le premier livre d’un Gilet jaune sur le mouvement qui bouleverse la France depuis le 17 novembre 2018.

Seule ombre au tableau, selon un journaliste, Benjamin Cauchy aurait naguère fréquenté des membres de l’Union Corporative pour la Défense et l’Entraide Languedocienne (UCODEL), groupe nationaliste considéré comme « ultra droite ».  Ce qui paraît étonnant quand on sait son attachement à la personne de Jacques Chirac auquel il tente de rendre hommage aux Invalides le 29 septembre dernier, en vain puisqu’il est refoulé par les services de sécurité en raison de son appartenance au mouvement des Gilets jaunes.

Sollicité par Nicolas Dupont-Aignan, il a accepté de figurer sur la liste de Debout La France aux élections européennes, contrairement à Erik Tegnér qui a décliné l’offre. Malgré l’échec cuisant de cette liste, Benjamin Cauchy s’est « encarté » à Debout La France dont il est devenu le porte-parole et a acquis le surnom de « dauphin ».

Soutenu par Nicolas Dupont-Aignan, il se présente aux élections municipales à Vigneux-sur-Seine et a constitué une « liste de large rassemblement, avec des habitants compétents » : « Agir ensemble pour Vigneux ».

Les priorités de son programme : « ramener l’ordre et la sécurité » en renforçant les effectifs et les moyens financiers de la police municipale et en développant la vidéosurveillance ; donner un cœur et un centre culturel à la ville pour mettre fin au bétonnage « anarchique » de la ville ; recourir au référendum d’initiative communal, par fidélité sans doute au célèbre RIC réclamé par les gilets jaunes.

EDWIGE, LA LIONNE D’AQUITAINE

Elle n’avait que 9 ans et, déjà patriote, faisait partie du conseil municipal des jeunes de la ville de Salles, en sud Gironde.

Vingt ans plus tard, ayant connu les tracasseries quotidiennes d’un chef d’entreprise et prenant conscience des périls qui assaillent la France, elle décide de s’engager activement en politique, d’abord à l’UMP intéressée mais vite déçue par Nicolas Sarkozy, puis en 2012 au Front National où elle milite sans compter ni son temps, ni ses efforts.

Très vite, Edwige DIAZ se lance dans l’arène en se présentant en 2015 aux élections départementales sur le canton des Landes de Graves. Défiant à la fois une coalition de gauche et une coalition de droite, elle réalise le score honorable de 28,18%, talonnant la droite (30,70%), la gauche emportant l’élection (41,12%), avec une abstention de 46,52%.

En janvier 2016, elle prend sa revanche en étant élue conseillère régionale d’Aquitaine sur la liste conduite par Jacques Colombier, figure historique du FN.

Jacques Colombier, patron de la fédération de Gironde depuis 32 ans, trouve en Edwige Diaz la personnalité solide qu’il espérait pour lui succéder. Il lui transmet le flambeau en 2016.

Fraîchement couronnée secrétaire départementale de la fédération de Gironde, Edwige Diaz conduit de front deux objectifs : mettre ses équipes de militants et de cadres en ordre de bataille pour la présidentielle de 2017, puis les législatives qui suivront. Candidate sur la 11ème circonscription de Gironde, Edwige Diaz atteint le score de 43% au second tour de l’élection législative, affirmant ainsi une légitimité incontestable.

A partir de cette étape, elle se lance à la conquête de la Gironde. Sa stratégie : être partout où on ne l’attend pas et où les adversaires négligent la population.

Le 28 février 2019, à Pessac, la députée LaREM de la 7ème circonscription organise un débat, exclusivement réservé aux femmes, autour de Marlène Schiappa et Emmanuel Macron. Les invitées sont triées sur le volet et garanties bienveillantes, afin d’assurer le succès de la prestation théâtrale jouée par le chef de l’Etat et de sa ministre à l’Egalité Femmes-Hommes.

Malgré cette organisation très cadrée où les intervenantes semblaient complaisantes (voire complices) vis-à-vis de la majorité, Edwige Diaz a réussi à se faufiler au milieu de l’assemblée et se dresse pour interpeller Emmanuel Macron et sa ministre.

Mettant à profit l’effet de surprise, elle évoque cette brûlante question que le système veut à tout prix éviter : l’immigration. Sujet qui nécessiterait pourtant un débat à lui tout seul si l’on en juge par la multiplication des quartiers où s’applique – en France –  la charia, les 60.000 femmes excisées, les mariages forcés ou la submersion du tribunal de Bordeaux par les affaires de violences et viols, résultats d’une immigration clandestine incontrôlée.

Le fixant droit dans les yeux, elle demande au président Emmanuel Macron de cesser de se voiler la face et d’organiser un grand référendum sur l’immigration tout en rappelant à Marlène Schiappa que cette immigration massive fait peser un réel risque pour les libertés et droits fondamentaux de la femme française. Question embarrassante qui déclenche l’ire de la députée et des représentantes d’En Marche, mécontentes qu’une trouble-fête dérange les cercles du politiquement correct dans cette messe macroniste.

Outre cet exploit accompli à Pessac, Edwige Diaz réalise des interventions remarquées sur les plateaux des chaînes d’information. Elle aborde tous les sujets : Europe, écologie, chasse, viticulture, santé publique, aménagement des territoires, dépenses publiques. Ainsi, elle ferraille contre la décision du président socialiste de la région Aquitaine d’allouer 1,8 millions d’euros pour l’achat d’un hôtel destiné à loger des migrants clandestins, présumés « mineurs non accompagnés ». De même, elle s’oppose avec force à une allocation de 50.000 euros destinés à l’Aquarius qui serait en infraction avec le Code de la Santé Publique (article R 1335-1 du CSP) et le Code de l’ONU. A cette occasion, elle demande que le conseil régional s’intéresse en priorité aux 181.000 personnes sous le seuil de pauvreté et aux 166.000 chômeurs qui (sur)vivent en Aquitaine.

Omniprésente sur tous les territoires de Gironde, intervenant aussi bien sur les médias nationaux que locaux, la notoriété de cette infatigable combattante voit sa popularité grandir de jour en jour. Elle totalise plus de 8.000 followers sur Twitter et en gagne au moins 6 par jour.

Reconnue pour être courageuse, opiniâtre, loyale, très humaine, fidèle aux valeurs de notre nation, Edwige Diaz est une authentique patriote qui incarne pour la France l’espoir d’une relève qui tranche avec une certaine génération tellement conditionnée par l’égoïsme, le matérialisme, l’indigence culturelle et la négation de la nation française.

Stratège émérite, elle a œuvré des mois durant pour convaincre plusieurs dizaines d’élus locaux de droite de réunir leurs forces afin de pouvoir battre la gauche et les macronistes. Elle a scellé cet accord d’union locale des droites dans l’association « Pour La France – La France Unie » qui soutiendra plusieurs listes d’union en Gironde.

Passant de la parole aux actes, elle a lancé une trentaine de listes en Gironde pour les prochaines municipales, elle-même étant tête de liste à Saint-Savin-de-Blaye dans le Nord du département.

Edwige Diaz aurait pu inspirer Jean Giraudoux : « Il suffit d’une femme de bon sens pour que la folie du monde sur elle se casse les dents. »

Pour l’avenir de la France, souhaitons-lui la meilleure réussite possible dans ses objectifs politiques.

Jean-Yves LEANDRI

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