
Tawfik Hamid est un ancien membre de l’organisation terroriste islamiste Jamaa Islamiya. Médecin d’origine égyptienne, il vit aux États-Unis et milite pour une réforme de l’islam. Il avait publié le 7 décembre 2017 cet article en arabe sur le site de la télé Al-Hurra (La Libre), dans la rubrique « Sous un autre angle ». Voici sa traduction par Maurice Saliba.
L’annonce du président Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale de l’État d’Israël et d’y transférer l’ambassade des États-Unis fut un choc, bien que pressenti par beaucoup dans le monde arabe et islamique. Ce fut un « choc » pour eux, car ils n’avaient jamais vu un président américain tenir son engagement sur cette question. En même temps c’était un choc « attendu », car l’administration américaine avait déjà clairement exprimé son intention de prendre cette décision historique.
Quant aux musulmans, ils croient que Jérusalem est islamique, parce que le Messager (Mahomet) l’a visitée au début de l’islam dans un rêve (un voyage nocturne dit al-isrâ’ wal-mi’raj). Ils croient également – comme ils disent toujours – que le « troisième sanctuaire », la mosquée al-Aqsa, s’y trouve, étant donné que le premier sanctuaire est la Mosquée de la Mecque et le deuxième est celui du Messager (Médine).
À cet égard, les gens sérieux devraient poser plusieurs questions concernant Jérusalem et la relation du monde islamique avec cette ville.
Première question : pourquoi Jérusalem n’a-t-elle jamais été mentionnée dans le Coran pour être considérée comme un des sanctuaires religieux de l’islam ? Par contre, le nom de La Mecque s’y trouve : « C’est lui qui vous a épargné, comme à vos ennemis, les coups que vous pouviez vous porter les uns aux autres dans la vallée de La Mecque » (48.24). Même le nom de la localité qui est connue aujourd’hui sous le nom de Médine y est cité sous son nom d’origine Yathrib. « Et qu’au même moment, un groupe d’entre eux dit : ‘Ô gens de Yathrib !’ » (33.13). Par conséquent, il n’est pas surprenant de voir les musulmans considérer La Mecque et Yathrib comme villes saintes. Mais comment peuvent-ils considérer également Jérusalem comme ville sainte, alors qu’elle n’a pas été mentionnée une seule fois dans le livre d’Allah ? Est-ce raisonnable ?
Deuxième question : Qui vivait à Jérusalem au moment de l’avènement dudit « voyage nocturne » de Mahomet ? Ses habitants ne pouvaient pas être des musulmans, parce que l’islam, comme on le sait aujourd’hui d’un point de vue historique, n’avait pas encore atteint cette région. ‘Umar Ibn Al-Khattab l’a conquise quelques années après la mort de Mahomet, selon les chroniques islamiques qui situent l’invasion de Jérusalem ou plutôt la soi-disant « sa conquête » en l’an 637 de l’ère chrétienne (l’année 16 de l’hégire). Elle a commencé lorsque l’armée des musulmans, sous la direction d’Abû `Ubayda ibn al-Jarrâh, l’a assiégée au mois de Shawwal, qui correspondait au mois de Novembre 636 de l’ère chrétienne. Six mois plus tard, le patriarche Sophronios [Sophrone de Jérusalem, patriarche de la ville de 634 à 638] avait accepté sa reddition.
Ce qui veut dire qu’au moment du présumé « Voyage nocturne » durant lequel Mahomet serait rendu à la mosquée Al-Aqsa (la mosquée la plus lointaine), il n’y avait pas de musulmans à Jérusalem, mais des chrétiens et des juifs. Pour cette raison, l’on peut se demander comment appelle-t-on la « Mosquée al-Aqsa » comme mosquée alors qu’il n’y avait pas des musulmans à Jérusalem pour y faire des prières ? [De plus, Peu de temps avant sa mort, le patriarche Sophrone de Jérusalem avait obtenu du calife Omar qu’il rentre dans la cité sainte en pèlerin et non en conquérant, promesse que ce dernier n’a pas tenue.]
La clarification de ce phénomène se trouve dans le Coran lui-même. Ce livre utilise le terme « mosquée » pour tout lieu où le culte et la prosternation sont rendus à Allah le Très Haut. Cela signifie que le mot « mosquée » n’est pas un monopole propre à la religion islamique comme beaucoup le pensent. En réalité, il désigne tout lieu où on se prosterne pour adorer Dieu dans n’importe quelle religion céleste. Dans le récit des « Gens de la Caverne » par exemple [Coran sourate 18, El Kahf, « La Caverne »], connu il y a plus de deux mille ans, c’est-à-dire plusieurs siècles avant la naissance du Messager de l’islam, le Coran a utilisé le terme « mosquée » pour décrire un lieu de culte, un sanctuaire que les gens voulaient construire autour des gens de la caverne. « Ceux dont l’avis l’emporta dirent : Élevons sur eux une mosquée » (18.21).
Troisième question : Est-ce que « le droit des musulmans » sur Jérusalem est-il basé sur la vision du Messager ou sur son déplacement au cours de son soi-disant « voyage nocturne » mentionné dans le Coran ? « Gloire à celui qui fit voyager de nuit « son serviteur de la mosquée sacrée (d’Al-Haram) à la mosquée la plus éloignée » (Coran 17.1). Dans ce cas que dire si la communauté des Bahaïs disait aux musulmans que leur prophète a visité La Mecque dans ses rêves ?
Quatrième question : Que feront les musulmans des versets coraniques qui parlent de « la Terre Sainte », celle qu’on appelle historiquement la terre de Palestine ?
« Ô mon peuple, entrez dans la Terre Sainte que Dieu vous a assignée » (5.21).
« Ô Enfants d’Israël ! Nous vous avons délivré de votre ennemi et nous vous avons donné rendez-vous sur le versant droit (du mont Sinaï) » (20.80). Le versant droit signifie le plus généreux ou le plus béni » (20.80).
« Nous avons donné en héritage aux gens qui étaient naguère opprimés les contrées orientales et occidentales de la terre que nous avons bénies. Et la très belle promesse de ton Seigneur sur les enfants d’Israël s’accomplit pour prix de leur endurance » (7.137).
« Ainsi en fut-il. Et nous avons donné tout cela en héritage aux enfants d’Israël (6.59) ».
Cinquième question : Comment l’expression « le troisième des deux lieux sacrés » [deux mosquées ou deux sanctuaires : La Mecque et Médine] est-elle utilisée, puisqu’il ne peut y avoir qu’un premier ou un second des deux lieux sacrés ? L’expression utilisée ici est une erreur. On aurait pu dire « le troisième des lieux sacrés ou le troisième sanctuaire », mais on ne peut rien appeler « le troisième des deux lieux sacrés ou des deux sanctuaires ». Le Coran utilise ici, à titre d’exemple et non de manière exhaustive, l’expression « le deuxième des deux » : « Allah l’a déjà secouru, lorsque ceux qui avaient mécru l’avaient banni, deuxième de deux, quand ils étaient dans la grotte » (9.40). Donc, d’un point de vue linguistique, on ne peut pas qualifier quelque chose de « troisième des deux », comme c’est dans le cas « le troisième des deux lieux saints ».
Si l’expression la plus courante dans le monde islamique pour décrire la mosquée al-Aqsa est un terme erroné et linguistiquement impossible, cela ne remettra-t-il pas en question toute la crédibilité de l’ensemble ?
Cet article ne révèle que des interrogations substantielles qui nécessitent des clarifications et des réponses sérieuses. Que le débat s’ouvre.
Cette religion est basée sur une litanie de mensonges et des tombereaux d’abjections de la part du ‘beau modèle’.
POUBELLE !
non Jérusalem est pas islamique mais la capital de l’État Juif
Capitale des 13 tribus d’Israël et pas seulement de Juda (juifs), il faudra bien que Juda admette un jour qu’il a des frères qui vont eux aussi revenir en Erets Israël et non en Erets Yéhoudah ! Mais Yéhoudah est toujours le premier dans les guerres et les marches (y compris dans le désert) la royauté lui appartient et à ce titre il doit s’inquiéter du tout Israël et certainement pas réclamer tout l’héritage pour lui seul !! Ceci dit Jérusalem n’est absolument pas « islamique » c’est une malhonnêteté intellectuelle et spirituelle d’affirmer cela.
Voici ce qu’écrivait le Dr Mordechai Kédar de l’université de Bar-Ilan – Israël en janvier 2011.
L’acceptation d’un état juif par les « Palestiniens » est-elle possible ?
La perception d’Israël comme état sans légitimité n’est pas liée à ses frontières. Cette perception est composée de cinq éléments :
1- Exigence de trahir l’islam
Dans la conception islamique, la religion juive a disparu avec l’apparition du christianisme et le christianisme a disparu avec l’avènement de l’islam. Cette conception est énoncée dans le Coran de la façon suivante : « la seule religion pour Allah est l’islam », ce qui signifie qu’Allah ne reconnaît aucune religion hormis l’islam. L’islam – tel qu’il se définit lui-même – est apparu comme l’annonce de la vérité, après que les juifs et les chrétiens, chacun à leur tour, aient transformé et falsifié la parole d’Allah qui leur avait été transmise, et pour cette raison Allah leur a retiré leur rôle religieux et le message théologique qu’ils véhiculaient et l’a transmis aux musulmans, qui seuls sont les « croyants » authentiques.
En conséquence, selon cette approche, l’islam n’est pas apparu pour coexister avec les religions antérieures comme leur égal, mais pour les remplacer.
Il s’ensuit que si le judaïsme est une religion qui a perdu sa signification et son rôle dans le monde, comment est-il possible de créer un état juif ? Comment est-il possible de prétendre qu’il existe une terre sainte pour le judaïsme après que cette religion ait été abolie ? Comment peut-on prétendre que les Juifs – appartenant à une religion qui n’a plus aucune signification – aient le droit d’un état sur une quelconque terre, après que ses fils aient « trahi » Allah et n’aient pas accepté la religion de vérité, l’islam ?
De fait, l’islam a accepté les Juifs en tant que « peuple du Livre » et non comme des infidèles, mais à condition qu’ils vivent soumis au pouvoir de l’islam comme dhimmis, c’est à dire de statut inférieur et s’acquittent du paiement d’un impôt personnel.
Avec la conquête de la Palestine, les juifs perdirent les droits qui leur avaient été octroyés par le Pacte d’Omar édicté apparemment par le Calife Omar al-‘Khattâb lors qu’il conquit le pays d’Israël en 638, et par lequel il régit les relations entre le pouvoir musulman et les populations soumises, chrétiens et juifs.
En conséquence, l’exigence d’Israël que l’islam reconnaisse l’Etat d’Israël comme le pays du peuple juif, est en opposition totale avec la conception la plus fondamentale de l’islam, à savoir que le judaïsme a disparu et a perdu toute signification. L’exigence formulée par B. Nétanyahou équivaut à exiger que l’islam reconnaisse le judaïsme comme religion légitime après qu’Allah ait décidé en personne dans le Coran que « celui qui choisit une religion autre que l’islam ne peut être accepté ».
2- Invention d’un peuple juif
Le judaïsme, selon la conception de l’islam, est la religion d’un groupe communautaire et ne constitue pas une entité ethnique ou nationale. Pour exemple, l’Irak est peuplé de nombreux groupes religieux : des musulmans, des chrétiens, des zoroastres, des mandéens, des bahá’is, des yézidis et des juifs. Ils font tous partie du peuple irakien et leur place est en Irak. Il y a donc des arabes irakiens musulmans, des arabes irakiens chrétiens et également des arabes irakiens juifs, appartenant à des communautés religieuses qui sont partie intégrante du peuple irakien.
Il en est de même au Yémen, où il y a des arabes yéménites musulmans et des arabes yéménites juifs. La situation est identique au Maroc et dans les autres pays de l’islam où il existe des communautés juives de la même façon qu’il existe des communautés musulmanes et chrétiennes.
De surcroît, il en va de même – d’après la conception islamique – dans les autres pays : un juif polonais est d’ethnie polonaise et juif de religion. Le juif français est un fils de la nation française dont la religion est juive et en conséquence il n’y a pas dans le monde de groupe ethnique juif, de la même façon qu’il n’y a pas de groupe ethnique chrétien ou musulman.
De façon surprenante, les communautés juives [de différents pays] décident soudainement qu’elles constituent un même peuple, qu’elles appartiennent au même groupe ethnique et que tous les juifs du monde entier se ressemblent, parlent la même langue, ont les mêmes coutumes, mangent les mêmes aliments, ont des coutumes vestimentaires et des danses semblables.
Du point de vue de l’islam, il s’agit d’un mensonge éhonté du mouvement sioniste, qui a créé un peuple juif ex nihilo et tente de persuader le monde qu’un tel peuple existe. Plus grave encore, ces communautés juives décident de se rendre en Palestine, d’en évincer ses habitants d’origine et d’y instaurer un état dont le nom ne rappelle pas le peuple juif mais les fils d’Israël. Comment est-il possible de reconnaître cet état en tant qu’état d’un « peuple juif » qui n’existe pas ?
3- A qui appartient la terre
La Palestine a été « sanctifiée » en tant que terre musulmane par deux actes : le premier par sa conquête lors du règne du calife Omar ibn al-‘Khattâb aux environs de 630. De ce point de vue, la Palestine fait partie du groupe des pays qui étaient autrefois sous la domination de l’islam tels l’Italie, l’Espagne, la Sicile et une partie des Balkans, qui ont été islamiques dans le passé et en conséquence doivent réintégrer le sein de l’islam.
Le second acte est ancré dans la tradition islamique qui prétend que le calife Omar ibn al-Khattâb a défini le statut de la Palestine, de la mer jusqu’au Jourdain comme terre waqf islamique [donation religieuse faite à perpétuité] qui appartient à tous les musulmans pour l’éternité. Comment donc les juifs – dont la religion n’a aucune légitimité et ne constituent pas une ethnie – peuvent-ils prétendre exiger que les musulmans reconnaissent la conquête du pays de Palestine qui n’est « sanctifiée » qu’aux musulmans et uniquement à eux ?
4- Qu’en est-il de Jérusalem ?
L’islam craint qu’après que la Palestine ait été conquise en 1948, puis Jérusalem en 1967, les juifs entreprennent la construction du [troisième] Temple, ce qui aura pour effet pour le judaïsme de redevenir une religion pertinente. Cette situation vient interpeller l’islam né, comme expliqué ci-dessus, pour remplacer le judaïsme.
5- L’honneur arabe offensé
La reconnaissance d’Israël par le monde arabe comme état du peuple juif signifie l’acceptation de sa défaite en 1948 et de toutes les défaites qui ont suivi. La honte liée à un tel aveu est intolérable pour la nation arabe.
C’est ainsi que pour l’islam, l’Etat d’Israël n’est pas légitime d’un point de vue religieux du fait même du caractère caduc de la religion juive. L’Etat ne peut pas constituer le foyer d’une nation juive qui n’existe pas mais a été inventée par le mouvement sioniste et sa terre est une terre appartenant au waqf islamique « sanctifiée » pour les musulmans. En conséquence, l’exigence de B. Nétanyahou de reconnaître l’Etat d’Israël en tant qu’état juif ou qu’état du peuple juif est opposée à la foi islamique et met en cause l’essence même de l’islam qui a construit sa pertinence depuis plusieurs génération sur la caducité du judaïsme.
Le narratif historique de l’islam, qui a pris naissance au 7ème siècle, nie intégralement l’histoire juive en Erets Israël, bien qu’elle ait commencé deux mille ans avant l’islam.
En conséquence, la conclusion qui s’impose est que l’essence de la lutte [menée par l’islam] en ce qui concerne la légitimité d’Israël est fondamentalement religieuse, même si elle revêt apparemment la forme d’un combat territorial ou national. Même si l’Etat d’Israël subsistera sur un territoire d’un millimètre carré, il n’obtiendra pas la reconnaissance par le monde arabe et musulman en tant qu’état juif.
Traduction : David Pasder
Dreuz,
Ce commentaire de David Pasder mériterait d’être mis en article !
Cet article sur la pensée islamique, écrit par le prof. Mordechai Kédar, traduit par David Pasder et présenté ici par Maurice Saliba est d’une importance capitale.
ll explique de façon à la fois claire et magistrale pourquoi les Palestiniens (et les états arabo-musulmans) ne peuvent pas accepter l’existence d’Israel, c’est à dire la présence d’un état Juif à leur coté.
Le professeur Kédar montre avec clarté comment fonctionne le cerveau des dirigeants musulmans. Ceux-ci raisonnent uniquement en réponse à leur conditionnement islamique. Le Coran, les Hadiths et leurs récits traditionnels sont seuls à les guider. Ce que l’Occident considère comme des réalités historiques ou des intérêts politiques ne les concerne pas.
Depuis la décision des Nations Unies en 1948 d’autoriser la création d’Israel ( et d’un état arabe palestinien à coté), le jeu est faussé. Car si les états Occidentaux raisonnent en termes de Géo-politique, de rivalités ou d’accords entre états, et de zones d’intérêts nationaux ou autres, les Palestiniens raisonnent et réagissent avant tout en tant que Croyants, en tant que Musulmans.
Tant que les dirigeants Occidentaux, presque toujours d’une ignorance crasse en ce qui concerne l’Islam et le monde musulman, continueront à etre aussi naifs, rien de bon n’arrivera.
Une possibilité d’entente viendra le jour ou le monde arabe et les Palestiniens cesseront de penser avec leur Coran dans la tête et utiliseront leur cerveau à la place. Mais ce n’est pas demain la veille.
Voilà un questionnement des plus intéressants, et cet article est hautement important, pour qui veut réellement savoir La Vérité, en particulier sur cet écrit qu’est le coran.
L’auteur utilise toute la logique pour démontrer à quel point il est illogique, pour les musulmans, de vouloir s’approprier une Terre et Sa Capitale, qui même dans leur livre saint, est dite être l’Héritage d’ISRAEL.
M. Tawfiq Hamid, permet par les questions, de démonter les rouages d’une propagande basée sur le mensonge et la fausseté. Quel courage ! , a-t-il risqué une fatwa ?
« L’auteur utilise toute la logique » oui mais est-ce que le terme « logique » a la même signification dans le monde musulman? Personnellement j’ai un gros doute.
JP , probablement…..pas, mais c’est déjà bien que cet auteur s’efforce, par questionnements, de les mener à une certaine réflexion, si cela est possible …..
niou. mener une certaine réflexion, leur conditionnement psychologique entamé DES LA NAISSANCE, le leur permet-il?
Il y a une réponse et une seule qui annule toutes les questions !!!
ALLAH n’est pas le DIEU d’ ISRAEL , le DIEU des JUDEO- CHRETIENS !!
UN ancien IMAM Professeur de la célèbre UNIVERSITE du CAIRE a expliqué que les polythéistes voyant les juifs et les chrétiens adorer un seul DIEU ont décidé que eux aussi voulaient devenir monothéistes ; c’est ainsi que MAHOMET a eu une » révélation » dans la grotte qu’il fréquentait régulièrement , disant que c’est lui le messager du monothéisme !!
De ce fait le véritable DIEU n’a pas changé , il avait un rival qui voulait le remplacer !!!
Le trône de JERUSALEM est convoité par ALLAH car le DIEU d’ ISRAEL a dit dans la BIBLE : ISRAEL est mon Peuple et JERUSALEM ma Demeure !!!
exacte, Jerusalem nous est il dit dans la bible, est la prunelle des yeux de Dieu.
Voici ce qui est écrit dans la bible contre ceux qui oseront toucher à Jérusalem:
Zach 12. 1 à 4/L
Oracle, parole de l’Éternel sur Israël. Ainsi parle l’Éternel, qui a étendu les cieux et fondé la terre, Et qui a formé l’esprit de l’homme au dedans de lui: 2Voici, je ferai de Jérusalem une coupe d’étourdissement Pour tous les peuples d’alentour, Et aussi pour Juda dans le siège de Jérusalem. 3En ce jour-là, je ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples; Tous ceux qui la soulèveront seront meurtris; Et toutes les nations de la terre s’assembleront contre elle. 4En ce jour-là, dit l’Éternel, Je frapperai d’étourdissement tous les chevaux, Et de délire ceux qui les monteront; Mais j’aurai les yeux ouverts sur la maison de Juda, Quand je frapperai d’aveuglement tous les chevaux des peuples.
Segond, L. (1996). La Sainte Bible
les arabes ne veulent pas seulement éliminer le peuple juif, comme l’a rêvé Hitler, mais conquérir le monde entier en éliminant toutes le religions qui le gênent. Exactement comme toute dictature qui se respecte
Moi , moi , j’ai la réponse
dans le Coran il est écrit en ce qui concerne la Mosquée » Al Aqsa »
que Mahomet dans son rêve de voyage nocturne , il y est inscrit
Al – Isra Wal-mi ‘ raj
Qu’elle est SVP la différence entre
Le Rêve et le Mirage ( wal-mi’raj )
Je pense que ça devrait s’appeler tout simplement
SPOLIATION
La mosquée sur le Mont du Temple a été construite un demi siècle après la mort de Mohamed…son voyage nocturne aurait donc été a partir d’une mosque qui n’existait pas a son époque ! Aussi la mosquée a été construite par la suite a cet endroit précis au dessus d’une église pour venir se substituer au christianisme, tout comme les chrétiens l’ont fait avant eux pour essayer de se substituer au judaïsme.
Il n’est pas certain que dans le Coran initial non modifié et issue des Coronotes, on ne parle pas de Jérusalem comme la ville sainte. Les 1eres mosquées étaient d’ailleurs orientées vers Jérusalem. Mais ce Coran initial, n’existe plus. Tous les corans retrouvés aussi vieux soient-ils, ont été falsifiés. Le plus vieux coran connu, celui de Tachkent, n’échappe pas cette falsification.
Les mecquois, perdant leur avantage culturo-économique du aux pèlerinages, ont falsifié le Coran initial pour une version plaçant la Mecque au-dessus de Jérusalem et transformant les lieux de culte de HouBaal , dieu de la lune, en lieux de culte au « dieu le plus grand » (Allah Hou Akbar) qui reste le dieu de la lune. Preuve en est, le croissant islamique présent sur tous les drapeaux, billets de banque, mosquées …etc…
Une religion déviante, peut-être inoffensive au départ, est donc devenue une véritable idéologie meurtrière.
l’islam est une invention, par jalousie, ils ont copié les écrits de la torah, ancien et nouveau testament, et les évangiles aussi, pour remplacer les autres religions, c’est pour cela que dans le coran, c’est écrit : « les gens du livre », il faut écouter Bernard Raquin sur you tube vous expliquer, cette invention, et lui dit, qu’au temps de Mohamed, lui et son entourage, ont cru en la religion des juifs exilés en Arabie par l’empereur romain de Jérusalem, ces juifs ont fait croire à ces bédouins du désert, qu’ils avaient une descendance avec l’esclave Amar, son fils Ismael, serait le père des arabes, ce qui est faux, ça vaut vraiment le coup de l’écouter
Le coran aurait été écrit sur une période très longue, 600 ans, voir plus. Un professeur arabe d’une université de Paris se flattait de la mémoire des siens pour s’être rappelé après tant de siècles de la parole d’Hala, son prophète. Le coran n’est que l’imagination très fertile de religieux féconds en désirs rocambolesques. La femme doit être soumises, pourquoi pas.., le cochon interdit…pourquoi pas dans un pays chaud…les juifs et les chrétiens devront être soumis ou passés au sabre, pourquoi pas puisqu’ils viennent contrarier leur nouvelle religion conquérante…enfin, que des idées sorties de nulle part mais soit disant venu des paroles d’un prophète, maître du sabre, et chef de guerre contre tout ce qui lui est contraire.. Les voyages nocturnes racontés aux petits matins à ses « compagnons » démontre combien il était aisé de faire croire en ces rêves extraordinaires…. il en a été ainsi mais il faut savoir raison gardée et cesser de raconter tout et n’importe quoi.
« son voyage nocturne aurait donc été a partir d’une mosquée qui n’existait pas a son époque ! »
Si, mais pas dans cette région.
Tout est issu de la corânerie, un tissu de mensonges, de mauvais plagiats, de légendes piquées aux peuples ancestraux et de mégalomanie !
pour les musulmans la ville Jerusalem c est al kouds ou kuds qui vient des Juifs et Chretiens de l epoque de la ville enfin du patelin Medine la ville sainte en hebreu
kadosh ,avec eux ben c est devenu kuds enfin el kuds voila ,les tribus juives de medina
prier en direction de Jerusalem la ville sainte ,en plus vous avez des terroristes au sinai
les beyt el makdish qui vient de l hebreu beit hamikdash = le Temple de Jerusalem ,
on a faire a des voleurs de tout ce qui vient des Juifs et Chretiens .
Beit Hamikdash is the Hebrew phrase for the Temple that was first built by King Solomon, Mikdash comes from kadosh.
De plus en plus l’islam reconnait que sa place n’est ni sur terre, ni au ciel.
Le moment venu il ne faudra pas avoir de pitié pour cette charogne sanguinaire et ses adeptes et promoteurs.
On compte sur les anges pour nous monter l’exemple.