Les écolo-fascistes déglingos-révolutionnaires ne veulent pas sauver la planète, ils veulent la fin du capitalisme. Pour cela, ils veulent imposer le rationnement, la raréfaction et le renchérissement de l’électricité produite par les centrales à charbon polluantes de Merkel en arrêtant Fessenheim victime de leur idéologie.
En clair, des vieilles centrales comme Fessenheim qui fonctionnent très bien depuis trois générations et sont bien entretenues en toute sécurité sont un défi permanent à leur idéologie anti-nucléaire absurde.
Le Figaro, le 1 février 2019 : “Les grandes manœuvres s’engagent autour de Fessenheim“. François de Rugy, adepte de la Transition idéologique, à Volgelsheim pour la ratification du projet de raréfaction et de rationnement de l’électricité contre la revitalisation du territoire, projet ratifié par l’État-Macron, l’EDF qui n’en peut mais, et les collectivités locales soumises aux délires des déglingos-écolo-gauchistes révolutionnaires.
Fessenheim (Haut-Rhin), encore et toujours trop propre et efficace pour une électricité à bon marché. Et c’est un comble aux yeux de la déclinologie des délires des déglingos-écolo-gauchistes révolutionnaires. C’est pourquoi les écolo-fascistes déglingos-révolutionnaires ont obtenu contre toute raison la fermeture de la doyenne des centrales nucléaires d’EDF en 2020, elle qui participe à la réponse des besoins “de base”. En France, l’électricité de base est à (95%) nucléaire et hydraulique : deux sources qui n’émettent pas de CO2 !
Pour des votes écolos qu’il n’obtiendra pas, Macron met en œuvre la transition idéologique absurde des écolo-fascistes déglingos-révolutionnaires qui exigent un repli de l’atome dans la production d’électricité de 75 à 50 % d’ici à 2035. Rugy, l’ex-ministre adepte de la très généreuse République des Homards et adepte de la Transition idéologique sectaire, a signé la mort de Fessenheim. Il veut supprimer un avenir économique à un bassin qui depuis les années 1970 vit grâce à la centrale, avec 5000 emplois directs, indirects et induits selon l’Insee. Le projet de dévastation du territoire doit accompagner la destruction économique de la zone.
La mise à mal du territoire de Fessenheim doit accompagner la dégradation économique de la zone située autour de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) dont la fermeture est prévue à l’été 2020.
La fermeture de la centrale de Fessenheim aura un impact économique majeur sur le territoire. La centrale génère des recettes fiscales importantes pour les collectivités et emploie directement 850 salariés d’EDF et environ 350 salariés permanents d’entreprises prestataires et nombre d’emplois indirects et induits.
Cette dérive idéologique anti-capitaliste des écolo-fascistes déglingos-révolutionnaires fait croire à la volonté d’un retour à la nature à travers les énergies renouvelables et le greenwashing des énergies fossiles.
Philippe Carhon : “Les producteurs de gaz, pétrole et charbon (rejet de CO2) sont très favorables aux éoliennes“. L’électricité ne se stockant guère, les caractères intermittent et aléatoire du vent et de l’électricité éolienne interdisent de compter sur celle-ci pour satisfaire les besoins de consommation “de pointe“.
En clair, les énergies renouvelables intermittentes, le solaire et l’éolien, sont la garantie de l’utilisation anti-écologique absurde et durable des énergies fossiles contre la protection juste de l’environnement ! Seule l’énergie nucléaire peut remplacer les énergies fossiles, tout en décarbonisant la production énergétique.
Fessenheim est la victime des écolo-gauchistes et écolo-fascistes déglingos-révolutionnaires, et aussi de la vanité, de l’arrogance, de l’apathie et d’un manque d’intelligence du gouvernement Macron.
Macron, adepte incompétent en politique comme en économie, l’arrogant totalitaire sans autorité et surtout clientéliste de la Transition idéologique pour le vote écolo en 2022, soutient l’écologisme prônant la décroissance contre la centrale de Fessenheim, ce qui correspond à un projet économiquement désastreux.
La seule explication à l’irrationalité des Rugy, adeptes révolutionnaires de la Transition idéologique anti-capitaliste, des écolo-gauchistes et écolo-fascistes déglingos-révolutionnaires, c’est la décroissance.
Pour cela, ils veulent punir les consommateurs pauvres et imposer le rationnement, la raréfaction et le renchérissement de l’électricité au prix fort pour faire payer encore et toujours par les consommateurs les conséquences économiques et sociales désastreuses du démantèlement de Fessenheim !
La Transition idéologique pour le démantèlement de Fessenheim est une médiocrité intellectuelle et morale. La médiocrité intellectuelle consiste à ne retenir que les seuls faits favorables à la thèse, voire à en inventer de toutes pièces, et à nier les autres, à les omettre, à les oublier, à empêcher qu’ils soient connus.
La médiocrité supprime le critère de l’efficacité pour diminuer les rejets de CO2 et ôte toute valeur de réfutation aux échecs. L’une des fonctions de l’idéologie est de fabriquer les explications mensongères qui l’en absolvent. Parfois l’explication se réduit à une affirmation mensongère pure, et à un acte de foi !
La médiocrité morale abolit toute notion de bien et de mal pour les idéologues écolo-sectaires. Car c’est l’idéologie qui tient lieu de morale. Ce qui est erreur ou vice pour le commun ne l’est jamais pour eux. On oublie qu’elle sanctifie la concussion, le népotisme, la corruption avec les producteurs de gaz et de pétrole et aussi de charbon. Les écolo-gauchistes et écolo-fascistes déglingos-révolutionnaires ont une si haute idée de leur propre moralité qu’on croirait presque, à les entendre, qu’ils rendent la corruption écolo-honnête !
La Transition idéologique pour le démantèlement de Fessenheim affranchit de la vérité, de l’honnêteté et de l’efficacité pour diminuer les rejets de CO2. On conçoit qu’offrant de si grandes commodités, l’idéologie est toujours en faveur auprès des médiocres. Si l’on renonce aux mensonges de la Transition idéologique, l’on est alors devant un monde qui exige une connaissance des faits unique et appropriée pour le climat. Rien de tel pour l’idéologue, qui plane au-dessus du vrai et du bien, qui est lui-même la source du vrai et du bien.
Dans ses commencements, la Transition idéologique pour le démantèlement de Fessenheim est une croyance dévastatrice qui évolue en syndicat d’intérêts. Bien que l’idéologie ne possède pas d’efficacité, en ce sens qu’elle ne résout aucun problème réel pour le climat, puisqu’elle ne provient pas d’une analyse des faits, elle est conçue en vue de l’action révolutionnaire anticapitaliste, et elle transforme la réalité au détriment d’une connaissance exacte. La Transition idéologique inefficace pour le démantèlement de Fessenheim rappelle la collectivisation utopique révolutionnaire des terres par Lénine et Staline qui a provoqué non pas l’abondance, mais la pénurie et la famine, avec des millions de morts en Russie et surtout en Ukraine. L’idéologie peut imposer à des millions d’hommes une aberration économique révolutionnaire fatale à l’agriculture et à la vie.
La collectivisation des terres n’est pas une réponse à une vérité agricole. C’est une vérité idéologique destructrice de l’agriculture qui a été répandue dans les pays communistes contre la vérité agricole la plus élémentaire. La collectivisation des terres par l’Union soviétique, la Chine, et Cuba, a montré que la gestion bureaucratique communiste étatique a ruiné l’agriculture traditionnelle sans créer une agriculture moderne.
Partout en régime communiste, on a imposé une idéologie collectiviste qui a provoqué l’effondrement de la production, la pénurie, la misère, les famines. Ce bilan désastreux n’empêche pas les idéologues, même ceux qui ne professent pas explicitement le marxisme, de préconiser les mêmes réformes agraires de type bureaucratique et à gestion centralisée qui ont partout imposé le modèle de la misère communiste.
Pareillement, la fermeture de Fessenheim aura un impact économique majeur sur le territoire. La centrale génère des recettes fiscales importantes pour les collectivités et emploie directement 850 salariés d’EDF et environ 350 salariés permanents d’entreprises prestataires et nombre d’emplois indirects et induits.
La Transition idéologique est l’exemple même d’une de ces notions familières dont l’apparente clarté s’évanouit dès que l’on veut les définir avec précision. La Transition idéologique est destinée à justifier la domination de classe des déglingos-écolo-gauchistes révolutionnaires par le mensonge et sans diminuer les rejets de CO2. La Transition idéologique est née sous l’emprise de l’incohérence et de la contradiction. Si elle est illusion et mensonge, comment peut-elle espérer être efficace ? Quoique l’on puisse qualifier la Transition idéologique d’irrationnelle, les idéologues prétendent s’appuyer sur une argumentation écolo-révolutionnaire !
Certes, ils refusent de prendre en considération les arguments et les faits de la réalité sur les rejets de CO2 qui leur déplaisent, ce qui est la négation de l’esprit scientifique. Et ils aboutissent à cette abomination irrationnelle qu’est la fermeture de la centrale de Fessenheim. Tout idéologue croit et réussit à faire croire qu’il détient un système explicatif global, fondé sur une argumentation anticapitaliste écolo-révolutionnaire !
La Transition idéologique ne repose pas sur des preuves objectives et elle ne relève en aucun cas de la distinction du vrai et du faux. C’est un mélange de faits partiels, sélectionnés pour les besoins de la cause, et de jugements de valeur passionnels, soit les manifestations du fanatisme et non de la science du climat.
Le mensonge de l’idéologue anti-nucléaire, celui qui n’a rien du savant, s’apparente au mensonge du prophète et du réformateur religieux. Il veut imposer un régime écolo-totalitaire et légitimer l’absolutisme du pouvoir anticapitaliste écolo-révolutionnaire. On doit considérer la Transition idéologique et la persécution de la population de Fessenheim comme un acte idéologique autant que religieux, qui a pour fonction de légitimer l’absolutisme du pouvoir écolo-révolutionnaire. L’explication de la fermeture de la centrale de Fessenheim par le pur fanatisme suffit à rendre compte de ce qu’est un système idéologique et de sa capacité à nier la réalité.
La propagande anticapitaliste pour la Transition idéologique doit agir sur les masses en imposant des croyances collectives pour déboulonner une civilisation, sur le plan social et culturel, en manipulant et en influençant les esprits non avertis et non spécialisés des intellectuels, des cadres et des étudiants.
(adapté librement de Jean François Revel, La connaissance inutile)
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
La Konnerie en marche c’est de détruire ce qui fonctionne pour le remplacer par des placebos que l’on tentera vainement de cacher, comme la poussière sous les tapis!
Makeron énonce les choses et leur contraire provoquant chez l’électeur potentiel de ne retenir que ce qui représente ses propres aspirations et de les colporter comme paroles d’évangile, oubliant le tour de prestidigitation dont il est la victime!
C’est grave docteur?
Non mon petit, c’est minable, les média aux ordres,les marchands de tapis et leurs amis sont au pouvoir, sans oublier les lobbies imaginatifs et manipulateurs qui gravitent autour d’eux !
D’accord avec gregory sur le numéro du prestigitateur.
Il est vrai que les éoliennes ne se bâtissent qu’à la suite d’une filière financière -authentique corruption institutionnelle-, où tout le monde palpe, assez semblable à celle de la cocaïne depuis la Colombie jusqu’aux narines du bobo payeur du bout de la chaîne. Du fabricant (étranger) au maire du village, du paysan qui loue sa terre à l’entrepreneur qui fabrique l’infrastructure, en passant par celui qui fait la route d’accès, tout le monde se goinfre pour installer des bidules que les Allemands commencent à démanteler chez eux, le tout payé par le consommateur final qui n’a plus les moyens de se chauffer l’hiver ! Mais… c’est “pour la planète”.
Il faut détruire le capitalisme pour aller vers la société ouverte (Open Society) de Soros, le mentor de Macron.
Non pas le capitalisme mais un capitalisme d’Etat contrôlé démocratiquement par les “peuples”!
Les centrales nucléaires ne sont-elles pas indispenssable à la France, c`est quoi ce suicide collectife, les éoliennes vont générer plus d`éléctricités selont EUX!!???
Ces écolos à la cons, font beaucoups de ravage, NAIVETÉ QUAND TU NOUS TIENS.
À ce niveau ce n’est pas de la naïveté c’est de l’absence de raisonnement, de l’obscurantisme pur et dur.
“Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine… mais pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue.” Einstein.
Autopsie d’un escrologiste: Un seul neurone momifié.
Les pastèques auraient oublié que pratiquement tous les puits de mine sont fermés, et qu’il reste très peu de mineurs de fond aptes à reprendre.
Une phrase essentielle extraite de l’article ci dessus résume la question :
“Parfois l’explication se réduit à une affirmation mensongère pure, et à un acte de foi”
Ceci est l’exacte illustration du dialogue auquel nous avons pu assister récemment sur CNEWS entre E. Zemmour et Dame Wargon (excusez moi car j’ai oublié le nom complet de l’interessée, en responsabilités au Ministère de l’Ecologie )
Effroyablement insuffisante !!!
Je ne suis pas pour l’arrêt définit de cette centrale, mais il faut vraiment la remettre sur pied, c’est certain……
C’est pas grave: Fessenheim n’est pas loin des centrales à charbon, il suffit de traverser le fleuve.
On se demande qui est dans le raisonnement sectaire et idéologique ici.
Vous raisonnez dans l’abstrait – exactement comme les gauchos et les écolos – sans rien connaître à la situation.
Il était plus que temps que cette centrale soit fermée. Si vous étiez un minimum informé, vous sauriez que cette fermeture se fait non sous la pression des écolos, mais sous celle de l’Allemagne et de la Suisse voisines – qui en l’occurrence ont selon moi parfaitement raison.
Apprenez que cette centrale se situe dans le Ried, la plaine d’inondation du Rhin, à quelques centaines de mètres de celui-ci, et au bord du Grand Canal d’Alsace (d’où vient l’eau pour la refroidir)
Apprenez également qu’il s’agit d’une zone sismique majeure. La ville de Bâle à 30 km a connu en 1356 le plus grand séisme de l’Histoire en Europe centrale et le deuxième après celui de Lisbonne.
Autrement dit, cette centrale est une parfaite candidate à une méga-catastrophe type Fukushima, et même bien pire, car située en amont du Rhin, qui serait lourdement contaminé jusqu’à Rotterdam. Le Rhin, c’est juste le plus grand couloir économique de l’Europe, et même son artère vitale, son poumon, au bas mot un tiers de son PIB, et ses régions les plus densément peuplées. Imaginez un instant qu’elles deviennent inhabitables? Ce serait tout simplement la ruine de l’Europe tout entière.
Il n’aurait juste jamais fallu construire une centrale à cet endroit, c’était insensé. On comprend que nos voisins aient peur. D’autant qu’EDF a largement minimisé les risques, prenant comme référence un séisme d’intensité 6.0, l’estimation la plus basse, alors que les études donnent généralement une intensité de 6.6 à 6.9 (de 8 à 30 fois plus intense, excusez du peu).
En regard de ce risque fou, le coût économique de la fermeture de cette aberration n’est même pas insignifiant, c’est juste rien, et n’a même pas à être pris en considération. Combien a-t-on eu de catastrophes qui ont coûté des milliards et des centaines de vie parce qu’on a mis en balance des gains dérisoires, ou qu’on n’a pas voulu engager des dépenses de sécurité pour économiser trois francs six sous, pour ensuite pleurer le jour de la cata?
Remercions déjà le ciel qu’il ne se soit rien produit depuis 40 ans, c’est un miracle.
Puisque vous aimez tellement les centrales, construisez-les en masse chez vous, à Paris, c’est justement une zone non sismique (mais inondable…). Pas en Alsace.
@Auguste75
Le débat de fond n’est pas Fessenheim mais est ce qu’il faut la remplacer par des éoliennes sachant que les éoliennes sont un désastre économique (coûteuses à installer et à entretenir !… à l’espérance de vie très limitée) les éoliennes à l’instar du grand bond en avant de Mao nous assurent de passer de l’ électricité la moins chère d’Europe (il y a 10 ans) à la plus chère du monde (dans 10 ans) mais Macron, Hidalgo and Co s’en tapent le coquillard puisqu’ils ne lisent jamais leurs factures d’électricité.
Si ils étaient avisés ils sauraient que les américains démantèlent leurs éoliennes.
De plus les éoliennes sont un désastre écologique, aux Texas ils ont relevé en moyenne 80 oiseaux morts par an et par éolienne !
Ce n’est pas de l’écologie c’est de l’idéologie mortifere virez ces écologistes de pacotille oui à l’écologie informée intelligente et pragmatique.
L’avenir c’est Cadarache, la fusion nucléaire c’est à dire non pas l’énergie solaire mais l’énergie du soleil et là attention ! Car pendant que l’on installe des éoliennes les chinois silencieusement prennent de l’avance et eux ne nous braderont pas leurs technologies mais nous la vendront à prix fort et s’assureront une électricité industrielle à bas prix.
Si j`ai bien compris ,les ingénieurs n`en savaient pas plus que nous dreuziens , des risques catastrophique , ou ont minimisés ces risques potentiels de cette centrale, à l`aveuglement du capitalisme!