Publié par Guy Millière le 23 mars 2020

Je ne retire rien de ce que j’ai écrit sur la crise découlant de la pandémie actuelle. C’est une pandémie délétère.

Elle est née en Chine et en mentant à son sujet, les dirigeants chinois se sont conduits de manière criminelle, et il faudra en tirer des conclusions drastiques. La pandémie tue presque partout sur la planète, et particulièrement aujourd’hui en Iran, en Italie, en Espagne et en France. L’Europe est devenue le principal foyer de la crise.

Le coronavirus de Wuhan est contagieux. Les formes graves de la maladie tuent.

La gestion de la situation par divers gouvernements et, entre autres par le gouvernement français a été lamentablement inepte, et encore pourrais-je employer des mots plus durs. Il n’y a pour l’heure pas de vaccin disponible, quand bien même un vaccin a été mis au point et est en cours d’expérimentation à Seattle. Il n’y a pas de traitement utilisé de manière vaste, et des gens continuent à mourir.   

Je ne peux néanmoins pas ne pas m’interroger sur la panique absolue qui s’est emparée du monde occidental, qui me parait aggraver une situation déjà grave, et qui pourrait devenir plus dangereuse que la pandémie elle-même.

Des analyses des données disponibles ont été réalisées par Richard Epstein aux Etats-Unis et par Michael Levitt en Israël. Et elles convergent. Des articles de médecins vont dans le même sens. Les calculs de mortalité due à la maladie présentée par l’Organisation Mondiale de la Santé semblent faux et très exagérément pessimistes.

Michael Levitt explique que si la maladie avait continué indéfiniment à croitre au rythme des premiers jours de contagion, un cataclysme absolu aurait pris forme. Or, les mesures prises dans la région de Wuhan et à Wuhan ont fait que la contagion s’est brisée, et qu’un reflux s’est amorcé au bout de quelques semaines. Michael Levitt dit que si son analyse est exacte, la maladie aura bientôt disparu à Wuhan et en Chine. Les analyses de Richard Epstein aboutissent à des conclusions semblables.

Richard Epstein et Michael Levitt ajoutent que le nombre de cas détectés ne fait pas  sens, car, le virus étant très contagieux, il y a sans doute bien davantage de porteurs non malades dès à présent que de cas détectés (plus un nombre de tests important sera réalisé, plus le nombre de cas détectés montera en flèche), et que ce qui fait sens est le nombre de morts, qui est faible par comparaison au nombre de morts résultant chaque année de maladies telles que la grippe.

Ils précisent que, quand bien même il y a des exceptions, l’essentiel des morts sont des personnes âgées de plus de quatre-vingt ans à la santé fragile ou des personnes atteintes d’autres maladies dont le coronavirus a exacerbé la nocivité.

Ils disent que la gestion de la maladie en Corée du Sud, à Taiwan et à Singapour vient confirmer leur analyse, et que si, dans le monde occidental, l’Italie fait exception, c’est parce que c’est un pays où une large partie de la population est très âgée (de fait, l’Italie connait une hécatombe d’octogénaires).

Ils pensent que le coronavirus peut s’éteindre en quelques semaines, deux mois tout au plus, en utilisant dans le monde occidental les méthodes utilisées dans les trois pays d’Asie cités plus haut : Corée du Sud, Taiwan, Singapour. Ces méthodes sont simples :  détection des personnes porteuses du virus, isolement de ces personnes, soins administrés à ces personnes. Ce qui n’implique pas un confinement généralisé et l’arrêt de quasiment toutes les activités économiques. Ils précisent que si les tests de détection sont en nombre insuffisant, le confinement peut être limité aux personnes à risque (personnes âgées de plus de soixante-dix ans, personnes atteintes de maladies pulmonaires essentiellement).

L’Europe, au vu de la gestion de la situation (et tout particulièrement en elle l’Italie, l’Espagne et la France) va se trouver plongée dans une crise économique très grave. Si les méthodes utilisées en Corée du Sud, à Taiwan, et à Singapour viennent remplacer très vite le confinement généralisé, la crise économique restera très grave, mais ne s’approfondira pas davantage. Dans le cas contraire, elle sera bien plus grave encore. L’Italie et l’Espagne sont tout près de l’effondrement, et je crains qu’il ne s’y produise aucun changement de cap. La France est gouvernée par un ramassis d’incompétents et de gens sans scrupules, et un changement de cap ne semble pas s’y amorcer. Il s’y produit des choses très suspectes :  le professeur Raoult, français et reconnu mondialement, utilise un traitement qui marche (hydroxychloroquine plus doxycycline), et les autorités du pays ne l’écoutent pas ! La France et l’Europe seront-elles condamnées à mort par le fait qu’elles sont dirigées par des gens ineptes ?  D’ores et déjà, une très forte récession et une forte montée du chômage sont à attendre. Une phase de dépression est probable.

Cé que je viens d’écrire vaut aussi pour les Etats-Unis. Quatre Etats importants ont opté pour un confinement généralisé, l’Etat de New York, la Californie, l’Illinois et le New Jersey. Dans la plupart des autres Etats, quatre-vingt pour cent des activités économiques sont à l’arrêt. Dans le Nevada et dans la ville où je vis, Las Vegas, l’arrêt touche plus de quatre-vingt-dix pour cent des activités économiques. Des faillites et une forte montée du chômage sont à prévoir dans tout le pays. Il faudrait absolument que les choses ne s’aggravent pas beaucoup plus, sinon une crise profonde pourrait survenir, et au vu du fait que les Etats-Unis sont la première puissance du monde, les conséquences seraient planétaires. Les Etats-Unis sont bien plus solides économiquement et financièrement que l’Europe, mais ne sont pas à l’abri de la dépression, et si les Etats-Unis entraient en dépression, la dépression en Europe n’en serait que plus intense.

Depuis que la pandémie est avérée, Donald Trump, quoi que disent les journalistes malveillants, gère remarquablement bien les choses, ce qui n’est pas surprenant, puisqu’il a dirigé une entreprise présente sur les cinq continents pendant quarante ans. Mais il doit faire avec ce dont il dispose.

Les moyens de tester sont encore en nombre insuffisant pour un pays de 330 millions de personnes, mais ils sont fabriqués, et les tests sont en cours (et contrairement à ce qui se dit de manière mensongère en France, ils sont pris en charge financièrement par le gouvernement fédéral). L’homologation par la Food and Drugs Administration du traitement utilisé par le professeur Raoult est en cours aussi, et Donald Trump a demandé qu’elle soit accélérée.  A la différence des autorités françaises, il respecte les travaux du professeur Raoult.

Il faudrait que très vite seules les personnes porteuses du virus soient isolées, et soignées (ou que le confinement soit limité aux personnes à risque) et que les activités économiques reprennent.

Une dépression aux Etats-Unis serait non seulement une catastrophe américaine. Ce serait une catastrophe mondiale.

Les médias de gauche aux Etats-Unis semblent souhaiter la catastrophe et paraissent penser que ce serait un bon moyen pour eux de voir Trump tomber. Ils s’efforcent de semer la panique.

Les gouverneurs démocrates prennent des décisions à même de tuer l’économie américain (l’Etat de New York, la Californie, l’Illinois, le New Jersey et le Nevada ont des gouverneurs démocrates) et semblent souhaiter ce que souhaitent les médias de gauche américains, pour les mêmes raisons.  Les principaux politiciens démocrates, et le candidat démocrate à la présidence font la même chose, et se montrent lamentablement incapables d’être à la hauteur de la situation (ils exercent des chantages et refusent que des lois soient votées à la Chambre des représentants s’ils ne peuvent y ajouter des décisions qui n’ont rien à voir avec la pandémie).

Une fois de plus Donald Trump doit se battre sur tous les fronts.  Il doit même se battre contre le docteur Anthony Fauci, directeur de l’Institut National des allergies et maladies infectieuses, qui fait tout pour freiner l’utilisation des médicaments qui ont un effet sur la maladie, ce qui n’est pas étonnant dès lors qu’il a un passé montrant sa proximité avec le parti démocrate (le journal Le Monde, en France, dit, bien sûr, qu’il incarne la “voix de la raison”).

Les dirigeants chinois, qui ont commis le crime initial, et qui ont sur ce qui leur reste de conscience des milliers de morts, discernent que si le monde occidental s’effondre, il n’y aura plus personne pour acheter chinois. Et, après avoir été les pyromanes assassins de masse, s’efforcent d’être les pompiers en envoyant des masques et du matériel vers les pays d’Europe les plus touchés.

L’administration Trump ne veut pas d’aide chinoise car elle sait que les dirigeants chinois, tout en jouant les pompiers n’oublient pas de faire de la propagande pour effacer leur crime. Et les dirigeants chinois trouvent des relais : dans les médias de gauche aux Etats-Unis, chez les Démocrates, qui ne veulent surtout pas qu’on dise que le coronavirus est né en Chine, et qui disent aux dirigeants chinois que si Joe Biden est élu, ils s’entendront avec la Chine et oublieront tout ce qui s’est passé.  

J’ose espérer que Donald Trump l’emportera une fois de plus dans les jours à venir et pourra faire redémarrer l’économie américaine, et j’ose espérer qu’il l’emportera en novembre. Je crains sans cela que le monde occidental rentre dans des temps obscurs, douloureux et très mortifères.

Depuis des décennies, les communistes et, dans leur sillage, la gauche entière, rêvent de détruire la civilisation occidentale. La dissémination du coronavirus de Wuhan sur la planète pourrait, si rien n’arrête la crise, transformer le rêve des communistes et de la gauche en réalité.  

L’élection présidentielle américaine de novembre prochain n’opposera pas Donald Trump à Joe Biden (en fait, à ceux qui se tiennent derrière le sénile Joe Biden). Elle opposera Donald Trump et les défenseurs de la civilisation occidentale, d’une part, et ceux qui veulent la destruction de la civilisation occidentale et qui souhaitent dès à présent la crise la plus grave possible dans l’ensemble du monde occidental, et voient dans les effets du coronavirus de Wuhan une opportunité, et non pas un fléau.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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