Ce virus risque de précipiter la mort de plus que des hommes… Il accélère le processus de décomposition de nos fausses démocraties qui montrent dans la lumière aveuglante des scialytiques hospitaliers ce qu’elles sont véritablement: de véritables autocraties libérales -pour ne pas dire des dictatures.
A l’heure où j’écris, une loi dite d’urgence permet à l’employeur d’imposer à son salarié de prendre ses congés pendant la durée du confinement. Le sénat a limité la disposition à six jours ouvrables et l’Assemblée nationale a confirmé la chose en commission! Quel humanisme ! Quelle humanité ! Quelle générosité ! Quelle grandeur d’âme !
Ce sont les mêmes élus du peuple qui, il y a peu, crachaient sur la douleur de parents qui avaient perdu un enfant et auxquels il était refusé l’aumône de quelques jours de congés supplémentaires afin qu’ils puissent tenter de faire face, un peu, au malheur.
Quand les gilets-jaunes se sont dirigés un samedi vers l’Assemblée nationale pour y faire entrer enfin le peuple, même symboliquement, ils visaient juste: car le peuple n’est pas dans cette enceinte dans laquelle on ne trouve plus que des politiciens professionnels qui prétendent le représenter mais qui se contentent de jouir du pouvoir et de ses avantages.
Ce qui veut dire que la facture de cette épidémie, qui va être terriblement salée, va être partagée entre les pauvres et … les pauvres -ne parlons pas des assureurs dont le métier consiste toujours à échapper aux remboursements des dommages par des finasseries contractuelles. Les riches y échapperont car leur argent est déjà ailleurs, inaccessible à ce qui reste d’un pouvoir d’État qui, de toute façon, sous régime maastrichtien, ne leur cherchera pas noise !
Macron et les siens, les maastrichtiens de droite et de gauche, n’ont en effet pas décidé de réquisitionner les fortunes planquées dans les paradis fiscaux. Pas question que les riches paient alors qu’ils ont constitué leurs fortunes en fraudant le fisc, ce qui veut dire: en ne payant pas l’impôt avec lequel on peut, entre mille autres choses, construire des hôpitaux et les maintenir en état de marche… Tout citoyen français qui dispose d’un compte en Suisse ou dans un quelconque paradis fiscal doit être tenu pour responsable de la mort de qui n’aura pas pu bénéficier d’un respirateur hospitalier, responsable et coupable. On lira la liste de quelques-uns de ces assassins en appendice.
Il serait pourtant légitime de dénoncer enfin ce qui a mis la santé publique dans cet état que des soignants se trouvent dans l’obligation de trier les vieux à l’entrée des services d’urgence, une terrible responsabilité qui réactive une pratique de sinistre mémoire: à droite ceux qui vont vivre, à gauche ceux qui vont mourir. Le personnel hospitalier n’a pas fait autant d’années d’études pour sélectionner dans un genre de Jugement Dernier dont ils seraient les dieux des élus à sauver et des damnés à tuer! Ils n’ont pas vocation à travailler dans un abattoir! Il en va pour eux d’une insupportable souffrance psychique, mentale et spirituelle qui s’ajoute à leurs fatigues professionnelles, à leur épuisement. Eux ne disposent pas de ces pitoyables cellules psychologiques qui sont envoyées sur place pour toute une classe, comme quand une diarrhée de cantine envoie six enfants d’une école en observation hospitalière pour une demi-journée…
Car, ceux qui tuent, ce ne sont pas ceux qui, sur le terrain, sont obligés de tourner le pouce vers le bas en présence d’un corps trop atteint, de poumons ravagés comme jamais, ce ne sont pas ceux qui, sans masques, se retrouvent au contact de la mort, ce ne sont pas ceux qui, couverts de sang et de bave, de morve et des postillons des grabataires, touchent et portent ces corps comme la piéta le corps de son enfant mort, mais ceux qui, dans les bureaux, depuis des années, ont rayé des lignes comptables sur des budgets sous prétexte de rentabilité.
Ce genre de criminel tue avec un silencieux: en fermant les hôpitaux après avoir estimé qu’ils perdaient de l’argent ou qu’ils ne dégageaient pas assez de bénéfices; en donnant l’ordre de privilégier les actes rentables, au risque de les multiplier sans raisons véritables; en décrétant que, dans les petites villes de province, ces structures de proximité sont trop dangereuses sous prétexte que les chirurgiens n’y effectuent pas assez d’actes pour être professionnels et efficaces; en incitant les hôpitaux à développer l’activité ambulatoire parce qu’elle réduit la durée des séjours, ce qui expose les malades aux complications faute de suivi; en traitant par le mépris l’appel au secours des personnels soignants qui manifestent depuis plus d’un an et à qui Macron promet d’agir sans procéder autrement qu’en saupoudrant ici ou là, mais sans jamais entamer la véritable révolution qui consisterait à découpler la santé publique du critère de rentabilité.
Ce qui doit primer dans un hôpital n’est pas qu’il soit rentable, mais qu’on y soigne tout le monde, riches et pauvres. De même, ce qui doit primer dans une école n’est pas qu’elle soit rentable, mais qu’on y fasse triompher l’instruction publique sans distinctions sociales. Mais aussi: ce qui doit primer dans la police ou dans l’armée n’est pas qu’elles soient rentables, mais qu’elles disposent des moyens d’assurer partout l’ordre public et républicain. Et l’on pourrait ajouter à la liste la culture, le renseignement, la justice, etc.
La République, c’est cela: le souci de l’intérêt général et du bien public avant l’intérêt privé de quelques-uns, d’un groupe ou d’une aristocratie de milliardaires. Hélas, le marché a gangrené la totalité du corps social au point qu’il a évincé la politique et qu’il se fait passer pour une politique, pour la seule politique d’ailleurs: or, il n ‘est pas une politique mais le seul intérêt du Capital.
Voilà pourquoi Macron, qui ne connait que ce logiciel, ignore ce qu’est la politique et se retrouve chef de l’État alors qu’il n’a pas quarante ans -c’est d’ailleurs pour cette raison, son innocence, que l’État profond a tout mis en oeuvre pour le placer là où il se trouve, c’est un formidable pantin désarticulé, un pion jadis rutilant, un second couteau ébréché. Voilà aussi pourquoi, dans cette situation exceptionnelle, il décide tout et le contraire de tout, n’importe quoi, c’est le triomphe historique du “en même temps”! On ne craint pas le virus mais on le craint, on ne confine pas mais on confine, on ne ferme pas les frontières mais on les ferme, on ne sort pas mais on peut sortir pour voter, on ne porte pas de masques, c’est inutile, mais on en fait fabriquer des millions, etc…
Dès lors, quand Ségolène Royal, tout au gonflement de sa propre baudruche, attaque Olivier Veran, l’actuel ministre de la santé , pour sa responsabilité passée, elle oublie juste de dire qu’avant de grossir le rang des macroniens, ce monsieur vient lui aussi, comme tant d’autres, du Parti socialiste, dont elle fut la candidate aux présidentielle, et que ce Parti socialiste n’a plus de socialiste que le nom depuis qu’en 1983 un certain François Mitterrand l’a jeté à la poubelle afin de pouvoir rester au pouvoir -ce qui lui a d’ailleurs plutôt bien réussi puisqu’avec cette forfaiture il a effectué deux septennats qui ont initié la casse de tout ce qui était public, hôpital compris, et qu’on lui doit aussi, comme autre héritage notable, d’avoir a mis la famille Le Pen au-devant de la scène politique…
Nous avions des millions de masques, nous n’en avons plus, où sont-ils passés ? Guéguerre picrocholine pour savoir si c’est à l’impéritie passée de la “gauche” qu’on doit cette pénurie ou à celle de la “droite”: mais c’est au deux, à la droite maastrichtienne et à la gauche maastricthienne qui, l’une et l’autre, en même temps comme dirait l’autre, copines comme cochonnes, ont mis la France dans cet état: merci Mitterrand! Merci Chirac! Merci Sarkozy ! Merci Hollande! Merci Macron ! Car ce sont eux qui ont rendu possible cette incroyable monstruosité que, dans cet hôpital public qu’ils ont tué pour en faire des usines à fric, le résultat soit qu’on trie les gens pour diriger les malades les plus atteints, dont les vieux, vers les pompes funèbres, pour ne soigner que les cas les moins préoccupants. De sorte qu’avec ces hôpitaux libéraux, le plus malade est le plus vite mort.
L’hôpital libéral, c’est un nouveau concept orwellien: on pourrait imaginer des slogans peints sur les murs de ces usines de mort que sont devenus ces hôpitaux-là, nos hôpitaux: “Plus vous serez malade, plus vite on vous expédiera au fond du trou!”. Ou bien, sur la porte du bureau des personnels soignants: “Aux urgences, évitez ce qui est urgent”. Au bureau des soignants: “Aux mourants, prodiguez la mort”. Au bureau du comptable: “Un bon patient est un client à tondre”. Et puis, à l’entrée du funérarium, ceci : “Aux morts, Maastricht reconnaissant”, car l’action des PFG doit se trouver bigrement en hausse.
Un dernier mot: chaque soir, au journal de vingt-heures, les journalistes, qui disposent ainsi de leur séquence “vivre-ensemble” (c’est leur moment homéopathique positif) nous montrent les gens qui, aux fenêtres, applaudissent le personnel soignant en faisant des pitreries, en tapant sur des casseroles, en chantant, en criant. Ils manifestent, nous dit-on, leur solidarité avec ces héros de notre époque qui bravent la mort dans leur métier! Très bien, très bien… Tout cela est vrai.
Mais combien, parmi ceux-là, postillonnant du haut de leurs balcons, gavés par la propagande maastrichtienne, ont voté pour des candidats qui, droite libérale et gauche libérale confondues, ont justement fabriqué cet hôpital kafkaïen où l’on contraint de pauvres soignants à distribuer la mort ou à conférer la vie en vertus de plans de route décidés depuis un quart de siècle par cette Commission européenne, qui n’est pas élue, et qui impose sa loi, aujourd’hui dans le sang et les larmes, les glaires et les crachats, aux sujets de l’Empire maastrichtien ?
Combien ?
Je n’ai pour ma part pas envie d’aller sur mon balcon pour bêler avec les moutons. Je pense à ces gens formidables, en effet, qui m’ont sauvé d’un infarctus quand j’avais vingt-huit ans, qui ont été près de moi lors de mes deux AVC, qui ont si bien accompagné ma compagne pendant les dix-sept années de son cancer et de ses chimiothérapies avant qu’elle finisse par mourir, et qui, de fait, méritent notre profond salut. Mais pas depuis dix jours…
J’ai plutôt envie de pleurer sur ce qu’est devenue la France tuée par ces assassins qui, eux, se portent bien…
Reproduction interdite, publié avec l’aimable autorisation de michelonfray.com
Appendice 1 :
Dans la Notice Wikipédia intitulée “Évadés fiscaux”, on peut lire ceci :”Challenges a fourni dès juin 2013 une liste de 86 contribuables apparaissant sur cette liste et faisant l’objet de poursuites. On comptait notamment Nina Ricci, Arlette Ricci, Jean-Claude Guidicelli, Simon Benharrous. Le 27 janvier 2014, le journal Le Monde a publié d’autres noms, dont Christian Karembeu, les frères Christian et François Picart, Alain Afflelou, Cédric Klapisch, Gérard Miller, Michel Tubiana, et Richard Prasquier. Tiens tiens, Gérard Miller, psychanalyste chez Drucker et Drucker chez les psychanalystes!
Arlette Ricci, héritière des parfums Nina Ricci, est condamnée le 13 avril 2015 à trois ans de prison dont un ferme et un million d’euros d’amende, pour fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale et organisation frauduleuse d’insolvabilité pour échapper à l’impôt”.
Appendice 2 :
Français établis fiscalement à l’étranger
Sportifs :
- Jean Alesi, réside en Suisse
- Marion Bartoli, réside en Suisse
- Julien Benneteau, réside en Suisse
- Arnaud Boetsch, réside en Suisse
- Arnaud Clement, réside en Suisse
- Nicolas Escudé, réside en Suisse
- Guy Forget, réside en Suisse
- Richard Gasquet, réside en Suisse
- Jean-Claude Killy, réside en Suisse
- Henri Leconte, réside en Suisse
- Sébastien Loeb, réside en Suisse
- Paul-Henri Mathieu, réside en Suisse
- Gaël Monfils, réside en Suisse
- Christophe Moreau, réside en Suisse
- Amélie Mauresmo, réside à Genêve en Suisse
- Stéphane Peterhansel, réside en Suisse
- Cédric Pioline, réside en Suisse
- Alain Prost, réside en Suisse
- Fabrice Santoro, réside en Suisse
- Florent Serra, réside en Suisse
- Gilles Simon, réside en Suisse
- Jo-Wilfried Tsonga, réside en Suisse
- Vincent Rives, réside en Irlande
- Jean-Philippe Gatien , réside au Delaware aux Etats Unis
Chanteurs :
- David Hallyday, réside en Suisse
- Patricia Kaas, réside en Suisse
- Florent Pagny, réside en Patagonie (Argentine)
- Michel Polnareff, réside aux Etats-Unis
- Yannick Noah, réside aux USA (le « personnage préféré des français… !!!)
Acteurs :
- Daniel Auteuil, réside en Belgique
- Emmanuelle Béart réside en Belgique
- Laetitia Casta, réside au Royaume-Uni
- David Habibi, réside au Canada
- Alain Delon, résident et citoyen Suisse
Auteurs:
- Anne Marie Mitterrand (3), réside en Begique
- Christian Jacq, réside en Suisse
- Marc Levy, réside au Royaume-Uni
Patrons et Actionnaire :
- Jacques Badin (Carrefour) réside à Bruxelles en Belgique
- Thomas Bata (marque de chaussures Bata) réside en Suisse
- Famille Baud (dont Jean Baud), (marques Franprix et Leader Price), résident en Suisse
- Lotfi Belhassine, (président d’Air Liberté), réside en Belgique. Il a fui la France car l’ISF représentait 93% de ses revenus
- Claude Berda, (AB Groupe), réside à Cologny en Suisse
- Des membres de la famille Bich (Groupe Bic) résident en Suisse
- Michèle Bleustein-Blanchet, une des héritières de Publicis, réside à Cologny en Suisse
- Corinne Bouygues, réside à Genève en Suisse
- Pierre Castel, PDG du groupe Castel Frères (Cristalline, Thonon, Vichy Célestins, 33 export, Saint-Yorre) réside près du Lac Leman en Suisse
- Des membres de la famille Mulliez (Auchan, Décathlon, Mondial Moquette, Norauto et Kiabi), résident en Belgique
- Georges Cohen, groupe Sogeti, (informatique et armement), réside en Suisse
- Bernard Darty, fondateur de Darty, réside en Belgique
- Jean-Louis David, fondateur des salons de coiffure, réside en Suisse.
- Des membres de la famille Defforey, à l’origine de la société Carrefour, résident en Belgique
- Des membres de la famille Despature, dont Paul-Georges Despature, propriétaire des marques Damart et Somfy, résident en Suisse et en Belgique
- Paul Dubrulle, (co-créateur du Groupe Accor) et ancien sénateur-maire de Fontainebleau, réside à Cologny en Suisse
- Des membres de la famille Ducros résident à Cologny en Suisse
- Pierre-François Grimaldi (iBazar), réside en Belgique
- Eric Guerlain, (Groupe Christian Dior), réside en Grande-Bretagne
- Daniel Hechter, créateur réside en Suisse
- Philippe Hersant, (groupe Hersant presse) réside en Belgique
- Philippe Jaffré, (ancien président dElf)
- Robert Louis-Dreyfus et des héritiers Louis-Dreyfus (Groupe Louis-Dreyfus, Olympique de Marseille) résident à Zurich en Suisse
- Des membres de la famille Mimram, dont Jean-Claude Mimram, (Compagnie sucrière sénégalaise…) résident à Gstaad en Suisse
- Alexandra Pereyre de Nonancourt et des membres de la famille, (propriétaire des champagnes Laurent-Perrier), résident en Suisse
- Denis Payre (1), (fondateur de Business Objects), réside en Belgique ou il a démarré une nouvelle société, Kiala, qui a embauché 100 personnes
- Des membres de la famille Peugeot, (Groupe PSA), résident en Suisse
- Jean Pigozzi, (héritier des voitures Simca), réside en Suisse
- Michel Reybier, (ancien PDG de Justin Bridou, Cochonou, Aoste), réside en Suisse
- Jacques Tajan (2), (ancien premier commissaire-priseur de France), réside en Belgique
- Des membres de la famille Wertheimer, (Chanel), résident à Cologny en Suisse
- Antoine Zacharias, (ancien PDG de Vinci), réside à Genève en Suisse
- Roger Zannier, (Kookaï, Z, Kenzo, Oxbow, Chipie et Absorba), réside à Cologny en Suisse
- Alain Ducasse, cuisinier, a troqué sa nationalité française pour rejoindre Monaco
- Famille Primat (Schlumberger Limited)
- Benjamin de Rothschild (Groupe financier Edmond de Rotschild)
- Famille Lescure (Seb, Tefal, Rowenta, Krups, Moulinex, Calor… )
- Famille Murray
- Nicolas Puech (Hermès…)
- Famille Zorbibe (Lancel)
- Famille Lejeune (SEITA…)
- Philippe Jabre (Jabre Capital Partners)
- Famille Harari (laboratoire Negma)
- Famille Taittinger (4) (Champagne Taittinger)
- Denis Dumont (Enseigne Grand Frais)
- Michel Lacoste (Vêtements Lacoste)
- Nicole Bru-Magniez (Laboratoire UPSA)
- Alain Duménil (Acanthe Développement)
- Bruno Moineville (Réseaux câblés de France)
- Hugues de Montfalcon de Flaxieu (Maxiris)
- Christian Picart (Buffalo Grill)
- Thierry Roussel (Carat Group, SGFC, Onassis)
- Paul Dubrule (Accor)
- Maurice et David Giraud (Pierre et Vacances)
- Jérôme De Witt (Horlogerie De Witt)
- Dominique Frémont (Mauboussin)
Liste dressée par Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
La politique se délite ou se d’élite…
Les complotistes diraient: ” ILS ONT TROUVÉ UN MOYEN IMPARABLE DE SE DÉBARRASSER DES VIEUX, DES MALADES CHRONIQUES, ET DES FAIBLES, POUR NE PLUS AVOIR À PAYER LES RETRAITES, ET CE, À L’ÉCHELLE MONDIALE… ET CEUX QUI VEULENT S’OPPOSER À CE PROJET, IL FAUT LES MARGINALISER (dont le Docteur Raoult), DISCRÉDITER LEURS SOLUTIONS OU DÉCOUVERTES PAR TOUS MOYENS: médias gauchistes, scientifiques courtisans, ministres au ordres, députés filandreux, médecins d’opérettes, mais “silence labo !”
Cela s’appelle de l’EUGÉNISME, un eugénisme bien masqué, évidemment !
Ces “complotistes” ? J’en suis !
Oui, ceux qui nous gouvernent sont des assassins, eux-mêmes aux ordres de l’intelligentsia mondiale détentrice de richesses indues, et désireuses de dépolluer la planète en éliminant les gens, le plus possible, surtout ceux qu’ils jugent, du haut de leur incommensurable fatuité démoniaque, indésirables.
Ils vont bientôt instaurer le Gouvernement mondial… C’est bien en route, déjà, en filigrane.
J’ai plus de 78 ans, diabétique, handicapée, je suis sur leur tableau de chasse. ils ne m’auront pas, parce que j’appartiens à Dieu, pas à eux !
MAV, je vous rejoins totalement sur la description que vous faites de nos charlots aux manettes.
Mais ce matin j’ai entendu notre ministre de l’agriculture vanter la production française et marteler la nécessité d’acheter français.
Il a par ailleurs souligné l’incongruité de faire venir des USA des tourteaux de soja que nous pourrions produire chez nous.
Tiens donc ! Le bon sens retrouvé serait-il un effet secondaire (salutaire) de cette crise sanitaire ?
Michelle d’Astier de la Vigerie, je comprends votre commentaire tout à fait, cependant j’y vois autre chose : que la volonté des hommes ne peut rien contre la Volonté Divine. En effet, cette mondialisation effrénée depuis les années 1980 en particulier, se trouve face à un coup de semonce !
1) La résistance du couple dans son confinement en “face à face”, met à jour de bien nombreuses failles mais aussi de remarquables liens d’amour et de tendresse.
2) La famille dans son sens de soutien, d’amour inter-générationnel, fraternel, retrouve toute son importance et toute sa place dans la société.
3) Le lien humain, puisque l’être humain est grégaire et non pas une “île isolée”, naît à nouveau : solidarité entre voisins, entre familles, compréhension et empathie.
4) L’éducation que s’était arrogée l’ Education Nationale en plus de l’instruction, est à nouveau dans les mains des parents plus ou moins conscients de son importance, je l’admets.
5) Le télétravail est un ridicule pourcentage du travail, qui lui reste d’une manière ou de l’autre lié à l’humain, par le service à la personne, l’artisanat, l’agriculture et l’élevage, même si certaines productions sont automatisées.
6) La créativité qui était remplacée par l’utilisation de machines et d’outils informatiques, apparaît à nouveau dans toute sa splendeur bien plus que dans son aspect négatif.
Je laisse à votre réflexion, les nombreux autres points positifs que ce mal malgré les décès et les les chagrins, amène aussi.
Mais justement, j’ai fait ici tout un article sur le sujet !
https://www.dreuz.info/2020/03/19/corona-la-terreur-et-si-cetait-pour-les-chretiens-une-merveilleuse-opportunite/
Michelle d’Astier de la Vigerie, je l’ai effectivement lu et trouvé très bien ! C’est uniquement votre dernier commentaire que j’ai trouvé surprenant, après votre article, c’est tout.
Bonne journée et si vous êtes confinée, prenez bien soin de vous. Bien sincèrement.
@Michelle D’astier de la vigerie; BRAVO MADAME ; votre commentaire est TOTALEMENT EXACTE et on vivre pour les emmerder grave.
Une seule solution, Aux armes citoyens…..chasse à l’homme et pas de prisonniers pour tous ces salopards sans exception car coupables de génocide, de crime contre l’humanité, d’assassinat de masse, de non assistance a personne en danger, de haute trahison de la nation. Pas de Bisounours cette fois ci, que du sérieux comme a Nuremberg.
domino: C’est tout à fait cela qu’il faut faire. Aux armes Citoyens !!!!
Comme à Nuemberg? Vous plaisantez? Ce procès a condamné 18 personnes!
Revenons à nos sources d’antan ou l’ouvrier arrivé à acheter un appartement à Paris où à Montessons(78) où avec 50 franc par semaines remplissez son caddie ,où il passait un mois de vacances en Italie où aux Portugal et quand il rentrait aux bistrot avec ses copains de travaille payer la tourner Generale,la France de mon enfance de Molière Jaurès de Coluche et de Desproges est morte,dormez brave gens
bravo pour ce beau réquisitoire, toutefois, vous omettez un argument : la politique fiscale de la France. Si la France souhaite garder ses riches, il vaut mieux ne pas les saigner. si on tue la poule aux œufs d’or elle ne pond plus
Moi aussi, je considère que la fiscalité est aberrante et contre- productive, puisqu’elle fait fuir les très riches.
Nos zélites ne sont finalement pas si intelligentes et compétentes.
Par contre, trouver le nom de Gérard Miller dans la liste est JOUISSIF.
Ah le faux-cul !!!!!
Les œufs servent surtout à engraisser les actionnaires. Le ruissellement n’est pas pour les petits.
Publier une liste est un procédé scandaleux qu’il soit utilisé par la propagande palestinienne dans le cadre de commissions de l’ONU comme dans des listes antisémites. Alors que je suis reconnaissant à Dreuz ici ,je marque ma désapprobation totale sur le procédé. La liberté d’établissement est un droit fondamental. Les règles de taxation des profits sont un domaine “national” où la concurrence existe d’abord entre états. Le commerce est une activité nationale et internationale car des matières premières ne sot pas toutes produites dans l’Hexagone ….Les échanges sont soumis à d’autres instances que les gouvernements. Dans le cas de nombreuses sociétés “internationales”, s’en prendre à des dirigeants est un procédé indigne. Par contre, chanteurs et footballeurs qui permettent aux Autorités de flatter l’esprit français, a bien sa place. Mais alors, que dire de tous les Bobos qui font la morale à tout le monde mais se constituent des patrimoines sur le dos de la collectivité (Richard Ferrant, Président de l’Assemblée Nationale, l’indigné Mélenchon, propriétaire immobilier, ainsi que beaucoup de leurs collègues politiciens de droite comme de gauche , qui acquièrent et protègent leurs patrimoines de la “redistribution” autoritaire ….
La liste avait été publiée sur un mode ironique, pour féliciter la France d’avoir réussi à faire fuir autant de “riches” (https://www.dreuz.info/2012/12/18/liste-des-minables-exiles-fiscaux-qui-sallonge-chaque-jour/)
OK pour cette précision Gally, mais cela ne semble pas ironique suite au plaidoyer d’Onfray. Je ne le suis pas d’ailleurs. C’est la corruption de l’Etat qu’il faut pointer, dénoncer, et pas la richesse en soi, parce que l’argent, l’Etat en a eu assez pour pouvoir offrir ce qu’on est en droit d’attendre lors d’une épidémie comme celle-ci.
Onfray est d’une certaine façon une parfaite illustration de la célèbre maxime de Bossuet, « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. ». Il a beau, contrairement à toute la médiocratie française, tirer un constat très juste de la déliquescence de son pays, il n’arrive toujours pas à se tirer de sa lecture socialiste du monde. Il ne faut pourtant pas chercher loin pour savoir que la médecine française est parmi les plus dépensières de la planète (en euros / habitant), que la raison profonde de son état pitoyable n’est certainement pas un manque de moyens et donc que son craquage “les riches gnagnagna” est juste totalement ridicule : même en admettant qu’on plume les riches et qu’on foute tout le pognon dans la Sécurité Sociale, le seul résultat obtenu sera une France Venezuela à l’économie dévastée et certainement pas une médecine améliorée…
Contre exemple : la Corée du Sud a MASSIVEMENT privatisé sa santé, elle est l’un des systèmes de santé les plus privatisés au monde, bien plus que les USA. Le résultat ? Le nombre d’hôpitaux a été multiplié par presque 3 en 10 ans (J’espère qu’Onfray va lire ce commentaire et réaliser que tout son laïus “hôpitaux non rentables salop de libéralisme” vient de se fracasser sur la réalité) et au résultat, avec une part de la santé dans le PIB de 7.3%, les Coréens ont 12 lits d’hôpital par mille habitants, alors que la France avec ces 11.3% est à … 7 ! (L’Italie avec ses 8.9% et un système lui aussi quasi totalement public est à 3.4…) Y’a pas à dire, vive la médecine étatisée, ses CERFA et ses pénuries, ce salop de marché fermant clairement les hôpitaux…
@Gally: excellent !!!
Privé, public… qui est responsable ? qui décide ? qui cumule ? qui est réellement compétent ?… santé, justice, politique, police….
Notre état de droit existe-t-il encore ? Notre démocratie ? Ne devons nous pas tout reconcevoir avec plus d’adaptation et de modernité ?
Bruno LEMAIRE assurait que tout fonctionnaire devait démissionner avant de s’engager dans la politique, est-ce le modèle du gouvernement auquel il appartient ? Un médecin n’est-il pas fonctionnaire de notre système social ?
Si tous les exilés fiscaux sont prélevés à la source, ils font ce qu’ils veulent après. Ne sommes nous pas des nations de consommateurs ? Notre liberté existe-t-elle encore ? Ce gouvernement vient de montrer à quel point nous sommes en dictature : les médicaments en vente libre sont devenus interdits, les médecins n’ont plus le droit de soigner librement, l’information dans les médias est verrouillée….
VA-T-ON RÉAGIR ?
Vous dites juste au fond sauf que, une majorité de ces expatriés – quel qu’en soit le motif – revient ur nos télé nous donner des leçons à tous propos. comme l’interdiction de voter à droite (c’est mal), l’obligation d’accueillir des pov’migrants (c’est bien), l’interdiction de refuser le mariage de pédés ou des gouines (c’est mal) …. etc.
Alors, de temps en temps, une liste qui les sort un peu de l’ombre ou ils sont si bien planqués pour nous faire chier, çà détend.
J’aime beaucoup, humainement, Michel Onfray. J’ai plaisir à communiquer avec lui. Lui aussi je crois. C’est un honnête homme. Un ami commun me disait qu’il partage 95% de nos idées. Je lui répondais oui, et les 5% qui reste, c’est celles où il se trompe. Mais ça ne compte pas ! L’humain compte. La bonté compte. L’honnêteté compte. Et Onfray a tout ça.
Quant à la liste qu’il m’a empruntée, elle est tirée d’un article qui dresse cette liste pour la raison inverse de celle pour laquelle Michel s’en est servie. Tout mon article, que je viens de relire, était au second degré !
Moi aussi, je pense que c’est un honnête homme. Il n’a pas peur d’aller à contre-courant, de prendre des risques, il est courageux ; et à notre époque, c’est rare.
Il se trompe complètement sur l’économie, mais au moins, avec lui on peut discuter. Tant d’autres “élites” de ce pays refusent même de discuter… ils vous qualifient de facho, de réac, vous traitent comme si vous ne faisiez même plus partie de l’humanité. Il me semble qu’Onfray a déjà changé d’avis sur quelques sujets, dont l’islam (sauf erreur), ce qui prouve qu’il est honnête. Et au moins, cet article aura permis de pointer ses erreurs en économie, c’est déjà ça 😉
Si vous le dites, je vous crois volontiers sur parole. Mais Michel Onfray devrait sans doute utiliser certains termes tels qu’ils sont compris en français. Je n’aime pas que l’on décrive le libéralisme pour ce qu’il n’est pas. On n’a pas besoin de cela, étant donné que le libéralisme est déjà très mal perçu alors qu’il n’est absolument pas le problème. Toute la bonne analyse faite par Michel Onfray s’écroule d’un coup car il tire à côté de la cible en qualifiant le libéralisme de “monstre”. Avoir un bon fusil et une bonne vue et bien ajuster le tir ne sert à rien si on se trompe de cible, juste non? C’est à mon avis ce qui m’empêche de me rallier à son analyse. Sans rancune et sans tentative de censure. Mais j’apprécierais beaucoup qu’il nous explique de manière plus précise ce qu’il entend par “libéralisme” car ce terme est utilisé à tort et à travers par beaucoup de gens, y compris des intellctuels dont lui, c’est certain.
C’est le coté gauchiste de Onfray: toutes les entreprises font du profit au détriment des employés, au lieu de voir que la majorité des entrepreneurs créent des emplois en prenant des risques et en travaillant. Il met dans le même panier de grandes multinationales qui s’asseyent sur les droits de l’homme et la loi de l’offre et de la demande équitable.
Conclusion : ils peuvent le faire mais les sans dents n’ont pas le droit de dire qu’ils le font
Dommage de trouver sur Dreuz ce plaidoyer pour l’hôpital public.
Non, l’hôpital public est tout sauf la panacée, le privé est bien plus efficace :
“Gérer l’hôpital comme une entreprise” : https://www.contrepoints.org/2019/10/12/355558-gerer-lhopital-comme-une-entreprise
“Des services publics que le monde nous envie” : https://www.contrepoints.org/2018/12/12/332226-des-services-publics-que-le-monde-nous-envie
“L’hôpital libéral, c’est […] Plus vous serez malade, plus vite on vous expédiera au fond du trou!”
Si c’était vrai, les cliniques privées auraient fait faillite depuis longtemps, désertées par les patients. Le privé, au contraire du public, a tout intérêt à soigner aux mieux ses patients !
Quant aux “riches”, sommés par Onfray de payer : au-delà du problème du capitalisme de connivence, ils existe des riches ayant acquis honnêtement sur richesse, et qui investissant cet argent dans des entreprises RENTABLES, y compris l’hôpital (privé) parfois. Onfray voudrait que cet argent soit confisqué et réorienté vers des entreprises non rentables (l’hôpital public, qui est un trou sans fond)… misère.
Il y a 2 aspects : les cliniques privées choisissent leurs personnels et leurs médecins, donc ceux qui ne travaillent pas ne restent pas, mais ils choisissent aussi leurs patients: les suites opératoires d’une fracture du col du fémur chez un cycliste de 60 ans en bonne santé seront plus simples que celles d’une femme agée de 90ans diabétique et insuffisante cardiaque…même cotation chirurgicale!
A l’hôpital on a trop d’administratifs, certains personnels qui ne travaillent pas sont inamovibles, et à coté de çà on a des gens qui se dévouent pour leur patients et qui prennent tous les arrivants: donc pas facile d’évaluer et de comparer les deux systèmes.
Je ne nie pas que beaucoup de soignants de l’hôpital public sont des gens remarquables, dévoués (j’en ai fait l’expérience), mais comme pour l’islam par exemple, il faut distinguer le système d’une part et les gens d’autre part ; l’islam est une doctrine criminelle, et pourtant certains musulmans sont des gens de grande qualité.
Le système public est moins performant à tous les niveaux que le système privé (cf l’exemple de la Corée du Sud rappelé par Gally plus haut, par exemple), c’est une évidence. Vous parlez des administratifs trop nombreux et qui sont souvent des boulets, c’est justement le système public qui engendre ce genre de choses.
Alors pourquoi l’Etat ne fait pas appel aux cliniques privées pour sauver des vies étant donné que le service public est incapable de s’occuper de toutes les personnes contaminées.
Ils sont tous payés par le système social. C’est donc à nous (létat) de mieux gérer.
Moi aussi, je considère que la fiscalité est aberrante et contre- productive, puisqu’elle fait fuir les très riches.
Nos zélites ne sont finalement pas si intelligentes et compétentes.
Par contre, trouver le nom de Gérard Miller dans la liste est JOUISSIF.
Ah le faux-cul !!!!!
Il ne faut jamais oublier que les Paradis fiscaux n’existent que parce qu’il y a des Enfers fiscaux !!!
Monsieur Onfray, l’éventuelle “rentabilité ” des services de santé n’est pas une maladie honteuse…
Le problème vient de la gabegie financière de notre État qui ne permet pas de financer efficacement le système de soins…
Vaste débat…
Quand un président prendra des initiatives fortes avec le poing sur la table. S’ils ne veulent pas payer leurs impôts ces gens qui ont mangé dans la soupière de la maison France, alors qu’on leur retire la nationalité. Point final !!!
Il faudrait rappeler à ce Monsieur que les hommes de l’état français ont prélevé 1 000 milliards d’euros en 2019 sur les agents productifs. 1 000 000 000 000€, ça c’est de la politique libérale ! Il faudra aussi lui dire que l’état français est le champion d’Europe des prélèvements obligatoires devant les pays scandinaves désormais. Que le gouvernement redistribue près de 57% de la richesse créée dans ce pays. Et puis l’on constate qu’ il n’y a ni masque, ni gel et encore moins de tests pour l’immense majorité des administrés. Donc, à mon humble avis, au lieu de vilipender les individus qui ont chercher à préserver leur patrimoine en fuyant la rapacité des dirigeants, il vaudrait mieux réfléchir à l’utilité des dirigeants politiques et administratifs et au sens plus large, quel devrait être le rôle de l’état.
très juste !
il faut revoir notre constitution.
Vote blanc pour ne plus être obligé de choisir le moins nul, mais pouvoir les renvoyer à leurs moutons. RIC pour pouvoir les destituer…
Nous venons de subir une élection MACRONIENNE. Par un vote imposé en pleine crise de CORONA (reconnue par l’OMS), les maires peuvent être élus avec à peine 20% des voies des électeurs. Cette légitimité est significative du pouvoir en place.
Il suffit de profiter du contexte.
J’ai plutôt envie de pleurer sur ce que Michel Onfray est vraiment: un anti-Libéral primaire, un populiste et un démagogue dans le plus mauvais sens de ces termes. Il s’est encore fait remettre les mandibules à l’heure hier par Yvan Rioufol sur C8. Môôôsssieur le justicier social Onfray divaguait en direct, cette fois depuis l’île paradisiaque de la Martinique où la gôôôche caviar “vient dépenser son fric” (pour reprendre l’expression des démagogues jaloux). Aïyaïyaïe Michel, vous nous f’ray toujours rire tellement vous êtes le parangon de la fausse vertu et de l’autocontradiction.
onfray n’a jamais caché son proudonnisme !
dire ce qu’on pense sans recracher la bouillie bien pensante est ce de antilibéralisme primaire ?
Etre libéral n’est pas recracher la bouillie bien-pensante, justement. Où avez-vous vu du libéralisme en France, vous? Idem pour Onfray. Ce qu’Onfray considère comme “libéral” est libéral plutôt dans l’acception américaine et n’a rien à voir avec le libéralisme classique.
J’admire la dialectique de Michel Onfray, il a raison de cogner sur la Droite et la Gauche. Mais malheureusement il ne sait pas ce qu’est le libéralisme, celui de Frédéric Bastiat pour ne citer qu’un seul auteur. Tout ramener à ce qu’il appelle le libéralisme d’Etat le rend totalement inaudible. Non le système hospitalier n’est pas libéral il est entre les mains d’un État incompétent. Cet Etat devient bolchevique, est-ce du libéralisme ?
Qu’est ce que nous avons en France comme système santé ?
Des hôpitaux qui crient à l’indigence, une absence de masques et de tests pour le coronavirus, un manque de personnel compétent à cause des quotas qui nous emmer.. depuis 50 ans, une sécu toujours en déséquilibre budgétaire et qui dérembourse de plus en plus…
Au regard de notre nation nous avons engendré une Europe parasite, inutile, stérile, incapable, tétraplégique au sein de laquelle se gavent des milliers de salariés et de privilégiés profiteurs même pas élus.
Sur le plan international nous participons au système “saprophyte”, parasite des laboratoires qui prolifèrent sur la misère et la détresse des peuples.
J’ai, certainement à l’instar d’autres citoyens , harcelé les députés et sénateurs de ma circonscription, sans le moindre résultat(ce qui n’est pas étonnant), pour qu’ils agissent ensemble à la création d’une Centre Européen Santé. L’Europe en a la dimension et la surface financière. Elle peut si elle le veut vraiment disposer de milliards d’€. et se doter d’un Pole Européen Santé composé d’un puissant Centre de Recherche, associé à un Centre de Ressources pour prévenir les catastrophes, ces deux centres seraient associés à un très gros et puissant Laboratoire de Recherche et de Production des médicaments. Une telle structure nous épargneraient les pénuries, les politiques mercantiles des labos, ainsi que les conséquences politiques des différents entre les états en mettant en oeuvre une réelle solidarité des états d’Europe.
Sommes nous très Cons, trop Cons, au point de ne pas pouvoir réaliser ce que Airbus a su faire en petit.
Michel Onfray toujours aussi pertinent. C’est hélas vrai, tous sont coupables, mais le dernier surpasse tous les autres. Non seulement comme dit Onfray c’est un “pantin désarticplé” mais son idéologie nous tue. Onfray se trompe il n’a PAS fermé les frontières alors que les autres l’on fait, peut être après tout cherche sans le dire à ‘immuniser ” toute la population en attrapant le virus afin qu’il s’éteigne de lui même. Johnson l’a dit mais ne la pas fait..j’en connais un qui ne l’a passait mais qui le fait.”les masques ça ne servent à rien”, ben voyons! Les sud coréens les taïwanais et les autres le savent bien
Très bon article de M. Onfray, il a raison il faut dénoncer ce système politique qui ne fait rien pour que les choses aille mieux en ce moment, c’est de l’incompétence totale … Je pense que si le Général de Gaulle serait encore là, il aurait pas attendu pour réagir et protéger le peuple…
En ce qui concerne les paradis fiscaux, c’est une honte de voir tous ces gens qui ayant mis leur argent ailleurs et travaillent dans notre pays ne payent aucun impôts, il devrait avoir une loi obligeant ces gens à donner 10 à 15 % de leur richesse pour aider ceux qui sont dans le besoin comme actuellement, loi valable dans tous les pays du monde…
Donc si on comprend bien, avec plus d’impôts, un “vrai” socialisme et des murs autour, ça marcherait mieux ! Avec l’âge, on croyait qu’Onfray avait commencer à comprendre certaines choses, mais comme disait ma grand-mère, “la caque sent toujours le poisson”…
C’est dans une crise pareille que jaillit la véritable personnalité des gens. J’avais de l’estime pour Onfray à railler Macron jusqu’à cet article qui révèle son âme foncièrement envieuse et vindicative.
L’envie est le carburant du socialisme. Il ne lui viendrait jamais à l’idée que la France étant un enfer fiscal, c’est la raison de la fuite des capitaux à l’étranger.
Onfray aurait siégé, avec plaisir, au tribunal de la Convention nationale qui humiliait et condamnait des milliers de gens à la guillotine.
Je suis désolé mais je ne lirai plus ce coco, recyclé dans la provocation, qui n’a aucune idée sur ce qu’il conviendrait de faire pour redresser la France.
Malgré la propagande du gouvernement pour masquer sa crasse incompétence, quelques Français commencent enfin à réaliser qu’ils doivent reprendre leur destin en main avec la liberté de s’assurer pour la maladie (fin du monopole de la SS), la liberté de cotiser pour ses vieux jours avec la capitalisation, la liberté de l’école, la liberté de l’information, etc, etc…
C’est une excellente idée d’avoir publié sur Dreuz un article de ce “intellectuel”, terme vaniteux propre à l’intelligentsia française.
Je me rallie aux commentaires ci-dessus qui soulignent, à juste titre, la distorsion entre un constat implacable et des solutions qui ne feraient qu’aggraver le mal.
C’est bizarre que Michel Onfray ne comprenne pas qu’un système où l’on exige toujours l’argent des mêmes pour une majorité appelée à grossir sans cesse va inéluctablement dans le mur.
La France se tiers-mondise dans l’abjection du Pouvoir.
Comme quoi l’état mafieux français qui rackette à tout va est contre productif et anti démocratique. Et où va notre argent dont ils s’approprient ?
J’ai beaucoup d’estime pour Michel Onfray et son intelligence déliée, élégante envers l’Être humain mais je suis toujours étonnée de constater qu’il confonde libéralisme avec capitalisme de connivence.
Il dénonce le libéralisme qui n’est que le respect de la bonne respiration de la libre entreprise du secteur privé par un Etat svelte, réactif, vigilant sur le bien fondé des droits et des devoirs pour tous. M.O. critique le libéralisme comme le font les gauches& cocos qui ne veulent que discréditer le secteur privé pour mieux le ponctionner au profit du ventre insatiable d’un état obèse et clientèliste qui se vautre dans une déviance anti démocratique par un secteur public dévoyé.
La France est vraiment malade du socialop-virus qui vous parle d’humanisme, de solidarité et de responsabilité à la sauce moraline mais qui entretient une indigence assujettissant à une redistribution faussée d’abord absorbée par des privilèges auto octroyés et la toxicité du clientèlisme
“Comme quoi l’état mafieux français qui rackette à tout va est contre productif et anti démocratique. Et où va notre argent dont ils s’approprient ?” – C’est vrai pour la France. Mais vous n’avez pas vu la Wallonie aujourd’hui République Populaire de Wallebananie dont le Bisounours-Président est Elio di Rüpo(vreté généralisée). Et puis il y a la Région de Bruxelles-Capitale avec Rudi Vervoort, son très charismatique Bisounours-Président franqueufeune. Tout ce qui est francophone est à chier aujourd’hui en Occident. Prenez le Québec (de canard) il fut un temps “gouverné” par un petit marquis du nom de Jean Charrette. Prenez la Suisse romande. S’il n’y avait pas la Suisse alémanique pour les remettre dans le droit chemin, les Suisses franqueufeunes seraient déjà dans l’UE depuis longtemps et il ne resterait que des minarets. Tant que tout ce petit monde sera socialiste, y compris les autres partis qui mènent la même politique, ça n’ira pas. Toutes les recettes “miraculeuses” du socialisme ont été essayées depuis 60 ans, ont toutes échoué et rien ne va. C’est pire que tout. Il faut donc changer de recettes avant de sombrer pour de bon dans la folie telle que définie par Einstein, non peut-être (comme on dit Bruxelles)?
Au Québec et aussi au Canada avec Jean Chrétchin et notre bâton de berger Justin Brideau.
Votre expression bruxelloise me fait penser à une autre, savoureuse, courante en Romandie :
“J’ai été déçu en bien”.
“Non, peut-être” n’a rien de bizarre. C’est en réalité une ellipse qui fonctionne comme suit: je fais un énoncé que je considère comme correct et pose la question: tu vas/vous allez peut-être me dire “non” alors que tu sais bien que j’ai raison.
Exemple: “la pluie, ça mouille” – tu vas peut-être me dire “non”, c’est ça? Et en bruxellois, ça donne: “non, peut-être?” ou en plus clair: “non, sans doute? Les deux termes “non” et “peut-être” ne s’excluent pas l’un l’autre. Il s’agit d’une question elliptique. C’est tout. Cela vient directement du flamand “niet, misschien ?” traduit littéralement en français. En français de Belgique et en wallon, nous avons quelques expressions qui viennent directement du néerlandais: “avoir des ruses avec quelqu’un” – signifie en flamand “se disputer avec quelqu’un” (ruzie maken met iemand) qui est devenu “avoir des difficultés avec quelqu’un”. “Tirer son plan” (zijn plan trekken) signifie “se débrouiller”.
“Avoir facile ou difficile à faire quelque chose” (gemakkelijk ou moeilijk hebben) signifie “éprouver de la facilité ou de la difficulté à faire quelque chose”. En wallon, on dit aussi “veille voltie” ce qui signifie littéralement en français “voir volontiers” mais en wallon cela veut dire “aimer bien” de manière polie, à l’ancienne. Mais cela vient du flamand “graag zien”: “ik zie je graag” ou “dji ti veuille voltie” voudra dire “je t’aime bien” (littéralement “je te vois volontiers”). Et voilà. En Belgique, les deux langues sont liées. En dialecte bruxellois, on dit aussi, par exemple: “ik ben in de escalier getombeerd”. Dois-je traduire? “je suis tombé dans l’escalier”. “Escalier” se prononcera évidemment “escalire”.
Excellent article !
Je me permets néanmoins de vous rappeler que Jean-Louis David est décédé en avril 2019.
Super article ! Je comprends mieux les individus malsains qui écrivaient à la Kommandantur ou qui s’y rendaient en catimini la nuit.
Loin de moi la moindre tendance exhaustive, mais ………..
Le plus gros problème de la France c’est l’impéritie crasse et scandaleuse du haut en bas de ce qui touche a l’état et notamment son administration, ses fonctionnaires de tous niveaux, a de rares exceptions près.
Travail même non fini et vite parti et ces mêmes hurlent quand le privé n’est pas a leur disposition quand ils sortent.
La France a plus de députés, fonctionnaires, sénateurs, …….. avec avantages servis en service ou en retraite, par million d’habitants que la plupart des pays au monde.
La relation de cause a effet est incontournable.
La tiers mondialisation de la France a dépassé son point de non retour.
Les défiscalisés français a l’étranger n’empêchent pas le Covid 19 de semer la mort de leur lieu de résidence.
Proverbe africain : celui qui nourrit le mieux le crocodile n’a qu’un espoir, être le dernier a être mangé.
J’ai un autre proverbe qui fait appel à la MODESTIE et à la POESIE. Il date de Babylone il a 2300 ans
“Si toutes les mers étaient de l’Encre et les marécages des Plumes et les cieux des Parchemins et les hommes des Scribes cela ne suffirait pas pour écrire la profondeur des préoccupations du gouvernement”
Nous avons besoin de solidarité , les critiques seront peut être justifiées lors d’un bilan.
Pour devenir au fond de l’article de M.Onfray qui est un véritable réquisitoire contre l’incurie ( et le cynisme surtout …) de cette nomenclatura mondialiste au pouvoir , qui assassine ( je pense que le mot n’est pas trop fort , assassinat étant un meurtre prémédité ….) le peuple français.
A quand un procès de Nuremberg pour juger ces salauds ( et là, le mot est faible ….) ?….
encore une preuve flagrante de ce que nos soitdisant elites intellectuelles ont ete formees a Socrate, Platon etc… mais pas a l economie. Et que le diplome leur autorise (car ils ne sont pas passes par la case Freud – ou y sont restes aveugles a leur ignirance et leur pedentisme- ) a prendre des airs sentencieux pour dire des “conneries”. Dommage aussi qu ils trouvent , sur leur charisme uniquement, des medias pour saboter l esprit critique des francais, plutot que les eduquer.
J’aime bien M. Onfray, mais je peux pas le suivre sur ce terrain. Les riches fuient la France parce que ce pays est un enfer fiscal.Les riches ne quittent pas la Suisse parce que la fiscalité y est modérée. Le système de santé dans ce pays est bon. Pour la France l’hôpital public ne souffre pas de moyens , il souffre d’une mauvaise gestion. Rappelons qu’il y a aujourd’hui deux fois plus de non-soignants dans les hôpitaux publics que de médecins. Pour être clair, les hôpitaux publics comptent 130.000 médecins pour 260.000 non-soignants, c’est-à-dire des administratifs ou des personnels ouvriers. C’est une proportion énorme. Dans les cliniques privées, on compte 40.000 médecins et 35.000 non-soignants. Ce rapport du simple au double illustre parfaitement les problèmes de gestion de l’hôpital public. Ce ne sont en rien des problèmes de moyens, ni de marché, mais plutôt de monopole et de management.
@ Liberté 5
Je vous rejoins totalement. J’ajoute cependant qu’il y a un problème de valorisation salariale. Ces professionnels de santé, à tous les échelons, ne sont pas assez payés. J’ai été opérée récemment, à l’hôpital public. On m’a proposé deux tarifs, du simple au double. Le tarif le plus cher permettait un confort et un dispositif resserré de personnels dûment choisis par le chirurgien. C’est évident que ce tarif permet à un chirurgien de l’hôpital public de gagner un salaire à la hauteur de sa dizaine d’années d’études et des risques qui sont les siens dans son quotidien.