Lettre ouverte à Benjamin Store, qui se prétend « l’historien de l’Algérie ».
Né à Constantine, en 1950, sa hantise était de ne pas rester prisonnier d’une seule histoire et c’est cela qu’il explique dans un nouveau livre, qui regroupe six de ces ouvrages.
Il y évoque sa vie et ses engagements à gauche.
Selon le quotidien « Libération », le nom de Benjamin Stora est indissociable de l’Algérie, paraît-il. C’est bien loin d’être notre avis, ou, alors, de quelle Algérie ?
Il aurait passé une grande partie de sa vie à l’étude (de bien loin) de ce pays qui n’a fait que le voir naître.
Il a été souvent déçu, dit-il, mais continue à croire au collectif et il y décrit les moments très forts de son existence.
La guerre d’Algérie, qu’il a très peu vécue, l’aurait habité tout au long de sa vie et il ne saurait pas ce qu’il serait devenu sans l’engagement politique de la France dans les années 1970, il avait 17 ans.
Donc, son regard sur la guerre et l’exil lui viendrait de « son savoir ».
Que peut bien savoir Benjamin Stora de la guerre d’Algérie, on se le demande !
Il nous répond : « Ce qu’il sait il l’a appris lors de ses recherches universitaires sur la révolution et la guerre d’Algérie alors qu’il était étudiant à Nanterre, avec René Rémond.
C’est René Rémond qui lui aurait dit :
“C’est bizarre, personne ne s’intéresse à l’Algérie. Puisque vous travaillez sur les révolutions, intéressez-vous donc à la révolution algérienne.”
N’était-il pas un tantinet “demeuré”, René Rémond, quand il lui affirmait qu’en 1970 “personne ne s’intéressait, en France, à la guerre d’Algérie” ? Alors qu’un million de Pieds-Noirs étaient rentrés en France depuis à peine 8 ans et que des dizaines de milliers de Harkis y étaient “concentrés”.
Donc, pour Benjamin Stora, cette réflexion totalement idiote “a été un bouleversement”.
René Rémond lui aurait présenté alors celui qui deviendra son directeur de thèse, Charles-Robert Ageron.
A l’époque, en 1970 donc, seuls quelques rares historiens travaillaient sur l’Algérie. A savoir Yves Courrière, Serge Bromberger, Philippe Labro, quant à lui, il n’y pensait pas trop.
A notre avis, il aurait dû continuer “à ne pas trop y penser”, ou alors s’intéresser davantage aux véritables “témoins” de cette guerre d’Algérie, ceux qui l’avaient vécu et qui s’y intéressaient bien davantage que ces historiens.
Ce n’est que dans les années 80 qu’il se serait “rattaché physiquement” à l’Algérie. N’était-ce pas un peu tard, Stora ?
Sa seule hantise était de rester prisonnier d’une seule histoire, d’une seule communauté, juifs ou Pied Noir. N’ayez aucune crainte, Benjamin Stora, vous n’aurez jamais la hantise d’appartenir à la communauté Pied Noir.
Toujours selon lui, “Le drame de l’Algérie serait l’existence d’une vraie solitude des incompris” et “Les juifs d’Algérie, après 1945, auraient eu peur de rester des indigènes privés de droits”, alors il a voulu être plus français que les Français.
J’ignorais qu’en 1945 les juifs d’Algérie étaient toujours des “indigènes privés de droit”. Stora devrait nous expliquer “cette annonce faite à Libération”.
Ce serait au Lycée de Saint-Germain-en-Laye, où il a côtoyé, lui qui demeurait à Sartrouville dans une HLM, des enfants lycéens du Vésinet ou de Marly, donc des enfants de “familles riches”, puisque leurs parents avaient été, pour la plupart, Algérie Française, et dont l’atmosphère était en contraste absolu avec celle de Sartrouville (c’est où, Sartrouville, en France ?), et c’est là que Benjamin Stora a découvert l’antisémitisme violent. Il l’a découvert en France et pas en Algérie.
Allons, Stora, voulez-vous nous faire “avaler” qu’il n’y avait pas de lycéens “juifs” au Vésinet ou à Marly ? Qu’il n’y avait que des antisémites. Vous n’avez pas découvert l’antisémitisme en Algérie. Voulez-vous que l’on vous raconte quelques anecdotes sur l’antisémitisme en Algérie ?
En 1969 (enfin on découvre Stora) il a intégré l’OCI (Organisation Communiste Internationaliste) jusqu’en 1983 (14 années, cela marque un homme, non ?).
Puis il a enseigné durant quatre années dans les prisons, notamment à Poissy, et c’est de cette façon qu’il a pu rejoindre l’université.
C’est en rédigeant le “Dictionnaire biographique de militants nationalistes algériens” que Stora a découvert que “travailler sur le parcours de femmes et d’hommes engagés était très enrichissant”. Bien plus enrichissant certainement que de s’intéresser aux “colons”, à la “colonisation”, à ceux qui avaient “construit” son pays, et à cette France qui a fait des “juifs” des citoyens à part entière, alors qu’ils n’étaient que des “dhimmis” à l’époque musulmane.
Stora, toujours fidèle à Hollande, s’est séparé de lui quand il a été question de la “déchéance de nationalité”.
Bien entendu, il estime Macron qui, tout comme lui, “n’est pas prisonnier de cette mémoire douloureuse” (pour les Algériens s’entend, certainement).
Stora a dirigé le “Musée de l’immigration” de 2014 à 2020 et il estime que l’histoire de France, c’est aussi celle des immigrés, et que cette histoire ne sera pas achevée tant que l’immigration ne sera pas racontée à l’école.
Histoire qui, jusqu’à présent, s’est heurtée au “système colonial”.
Nous sommes particulièrement satisfaits de mieux vous connaître, Benjamin Stora. Jusqu’à présent on nous présentait un “soi-disant” historien de l’Algérie, à présent nous savons que vous êtes “un véritable historien de l’Algérie algérienne”.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.
Badiou, Stora et consort… J’ai remarqué que ces fervents fossiles communistes (souvent sectaires) sont la plus part du temps des fonctionnaires pour qui le “chute du mur” n’ a jamais provoqué un exode massif vers les paradis socialo-communistes pourtant tant vantés par eux.
Il en va de même avec ce Stora à qui il n’est jamais venu à l’idée d’aller se réfugier dans le paradis socialiste algérien. Non ce Stora préfère vivre en France en rêvant d’y reproduire l’échec algérien. Notons aussi les multiples soutiens de la caste politico-médiatique et universitaire massivement dominée par la gauche. Quant aux prix décernés ils ne sont que le résultat d’un gauchisme amoureux de son idéologie et soucieux de la diffusion de sa propagande.
je suis “pieds noirs”
Bonjour Manuel
je suis toujours sensible à tes ecrits témoignages ; normal ! ils me touchent particulièrement .
à propos de Stora , c’est impressionnant l’importance que donne une societé ignorante d’un sujet , à un homme qui ne connait l’Histoire de son pays natal …”qu’en cartes postales ” ou par des dires et ecrits des uns et des autres !
pensez donc : à l’indépendance de l’Algerie , il n’avait , je crois, que 12 ans ! douze ans ! à part quelques images effacées par le temps , que peut pretendre raconter concrètement et impartialement un gamin de la “Presence française” et de sa guerre , lui qui n’a pas “taté du djebel” et qui devait etre plutôt cloitré par ses parents , because son jeune age et l’insécurité ambiante !
N’empeche que ça cause, ça cause et ça écrit ! beaucoup! sur le sujet ! un comble !
oh.. prétendre que tout ce qu’il dit est inexact , ne serait pas sérieux vraiment ! mais on sent tres bien quand “on est pied noir” dans…” quel camp se trouve la balle” !
Eh puis l’Histoire de la France en Algerie , son conflit , c’est tellement complexe , tellement difficile à raconter sans manicheisme , les témoignages si nombreux, si divers , si contradictoires selon….
en fait B. Stora me fait penser à un jeune journaleux moderne qui prétendrait expliquer de long en large , à de vieux poilus… comment on vivait dans les tranchées !
c’est terrible ! alors que des témoignages vivants, concrets existent encore , on s’accroche à des “prétendues vérités toutes virtuelles”
Ainsi va le monde….. en espérant que ce virus de merde ne fera pas des siennes avec precipitation… je me demande ce qui sera débité , publié , y compris dans les manuels scolaires , dans quelques années par les “faiseurs d’Histoire”… quand plus aucun acteurs de l’Algerie Française ne vivra pour apporter l’eternel et dérisoire petit chouia de vérité !?
peut etre , espérons que non , nos descendants auront interet à se planquer sous une burqa …par sécurité !
bonne journée et bonne chance à tous
Les juifs d’Algerie sont des autochtones et non pas des « pieds noirs ».
Salut Millet
What it is ou what is it ….”autochtones” ??
que tes ancetres soient dans un pays depuis des millenaires (?) ou depuis 50 ans ; si toi meme tu es né dans ce pays …. il me semble logique que tu sois considéré comme un …”autochtone” non ? ou alors je ne comprends plus rien !
ou alors je t’assure que l’on pourrait “démenager” pas mal d’habitants de cette planète de leur lieu de naissance !
meme ces juifs algeriens (donc mediterraneens ) que tu qualifies de vrais “autochtones” de l’Algerie , viennent aussi d’ailleurs selon l’Histoire non ? comme toute population ! meme les premiers bipèdes ont foutu le camp d’Afrique (parait il ?) pour peupler le monde !
mais pardon je pense avoir mal compris ton affirmation :
tu voulais simplement dire que leurs origines et l’ implantation des juifs sur la terre algerienne etait anterieure à la presence française et les diverses vagues migratoires europeennes , ah ça oui !
mais là encore… du moment qu’ils s’affirment tous ou presque “pieds noirs” …
il fut un temps pas lointain ou tout les habitants de l’Algerie , “arabes” ,juifs ou europeens , meme ceux qui laisserent leur peau dans les ecatombes europeennes ,etaient qualifiés et se qualifiaient eux memes à juste titre …d’algeriens et africains ! normal !
l’indépendance et la nouvelle nationalité algérienne est venue bouleverser cette realité : nous , nous n’avons meme plus le droit de nous dire “algeriens” de naissance sans creer la confusion . un breton né à Brest qui vit à Paris depuis des lustres peut se dire breton jusqu’à sa mort ! moi je ne sais meme plus ce que je suis : alors je m’accroche à ma ville natale en affirmant fierement et jusqu’à ma mort que la seule chose dont je suis sur… c’est que je suis oranais !
pardon de mettre mon grain de sel sur une plaie , mais c’est juste pour discuter
je te souhaite une belle journée
Philippe Labro n’est pas un historien de l’Algérie, si ? Il est journaliste et romancier, et a écrit un très bon roman sur son temps en Algérie comme mobilisé, “Des feux mal éteints”. Mais historien, je ne sais pas…
Sinon une coquille :
“La guerre d’Algérie, qu’il a très peu vécu”
qu’il a très peu vécue, ‘e’.
Merci, corrigé.
Manuel Gomez, merci.
Evidemment que Stora ne connait pas l’Histoire de l’Algérie.
Mais la nomenclatura a besoin de ces Juifs de gauche qui décrivent le blanc comme un agresseur et l’étranger comme une victime.
Stora est du côté des victimes bien sûr, c’est trop cool.
bonsoir PHIL,
Je vous rassure tous les juifs n’ont pas la même analyse ni opinion que B Stora même s’ils n’ont pas la chance d’avoir fait des études.
Cordialement M.P
le Français Benjamin Stora et le Suisse Jean Ziegler m’insupportent. Ils méritaient d’être jugés pour leur engagement sans faille auprès des pires totalitarismes du monde, dès lors qu’ils peuvent cracher sur l’occident.
Dire du mal injustement, n’est-ce pas toujours attirer l’attention sur soi ? sachant que sans cela on n’est rien ou inexistant …………
un trotskiste reste fidèle à son idéologie quelque soit son origine
le mensonge reste leur principal façon de réagir
Oui, mais quelle que soit son origine.
Monsieur Stora vous êtes un ignare, j’ai quitté l’Algerie à 11,5 ans et mes souvenirs sont intacts, issus d’une famille juive pied noire(venant dAlsace) j’ai contrairement à vous servi mon pays la France et sachez que vous ne représentez en rien les juifs d’Algérie plus patriotes et même un brin cocardiers. J’ai terminé médecin en chef de première classe (5 galons pleins) après une carrière militaire de 22 ans et vous m’insupportez avec votre légion d’honneur gagnée au service du FLN et dommage que l’OAS ait disparu vous eussiez fait une cible parfaite.
Taisez-vous ignoble révisionniste vos connaissances étant l’équivalent de celles de Macron c’est à dire nulle.
EXCELLENT, merci beaucoup pour ce commentaire.
Bravo pour votre réponse cher Monsieur. J’apprecie avec délectation chaque ligne de votre texte.
Je constate que suite à votre article , les langues se délient concernant ce personnage de stora. Il y a bien longtemps que je lis ou regarde des émissions de ce gaucho , qui a fait
de la guerre d’algérie , son gagne pain? alors qu’il n’a jamais du y mettre les pieds depuis son départ.
Il devrait demander un visa et retourner dans son si beau pays dont la population crève de faim, de liberté, et qui fait tout pour se sauver de cette terre, et venir renforcer la communauté algérienne en France
Coco Stora aurait donc découvert l’antisémitisme violent en France ? Mais pas en Algérie ??? Normal, il était tellement jeune que ce bougre n’a pas pu s’en souvenir !
Bonjour à tous,
Je ne crois pas que l’argument disant que Stora était trop jeune à l’époque de la fin de l’Algérie Française (12 nas) soit recevable.
J’avais 11 ans à cette époque et je vous garanti que je n’oublierai jamais ce que j’ai vécu, notemment au moment où les Moghaznis de la SAS où je vivais avec ma famille ont été désarmés et ensuite abandonnés.
Il est sûr qu’ayant vécu des évenements dramatiques comme la destruction de la ferme de mon père et d’autres, cela ne me permets pas de m’ériger en censeur ou en historien auto-proclamé de l’Algérie.
Mais, on peut se renseigner, s’instruire, lire et ainsi (peut être) pouvoir porter un regard sur cette période, je ne dirai pas neutre car c’est très difficile mais tenter de l’être.
Stora est un marxiste et il a dit que lorsque l’on avait été, on ne changeait pas. Il est dans la lignée des Sartre et conssorts donc, viscéralement anti Pieds Noirs, bien que l’étant lui même.
Cet homme à la mémoire sélective pour ce qui concerne les massacres en tout genre perpetrés par le FLN et se borne à évoquer la torture FRANCAISE.
Il ne parle pas de ses propres coréligionnaires Juifs qui ont fui l’Algérie alors qu’ils y étaient -pour certains- présents depuis plus de 2000 ans. Ils étaient plus de 130.000.
Remarquez, LUI au moins peu aller dans son pays librement avec tous les honneurs réservés aux imposteurs… Grand bien lui fasse.
Piednoirement votre.
Et oui, comment peut-on être Pied-Noir et communiste, certains ont payé mais il en reste au moins un, pour prouver leur bêtise (pour être gentil).
Pied noir j’ai quitté l’Algérie à l’âge de 24 ans.J’ai aujourd’hui 82 ans. Dans notre famille nous étions pour une autonomie de l’Algérie. Nous pensions que ce pays pouvait s’en sortir car les bases étaient bonnes et solides. Nous avons quitté l’Algérie dans le chaos. Nous y sommes retournés en 1980. Nous ne reconnaissions pas le pays que nous avions quitté 18 ans plutôt. La ville de Blida (ville des roses) où nous avons vécu depuis 4 générations (côté paternel) était sale, rien dans les magasins,pas de restaurant.Alors que Blida était une belle ville joyeuse, tout était triste. Les amis Algériens nous invitaient à venir manger chez eux. Nous avons rencontré beaucoup de monde. Tous , sans exception, nous ont dit regretter les Européens.Ma mère qui avait toujours la nostalgie de sa vie à Blida, ce voyage lui a coupé définitivement cette nostalgie et elle a mieux accepté sa nouvelle vie en France. Nous sommes loin de l’histoire racontée par B. Stora. Un escroc, un falsificateur de l’histoire.Un parasite socialiste.
@ Liberté5
Bonjour à vous. … ” B.Stora. Un escroc. Un falsificateur de l’Histoire. Un parasite socialiste.” …
Vous résumez très bien le bonhomme, Liberté5.
Je me trouvais en Algérie comme jeune sous-lieutenant de réserve vers la fin de la Guerre d’Algérie ( en 1960 et 61). J’y suis retourné une fois dans les années 70, pour mon métier.
Tout ce que j’ai vu ” de mes yeux vu” là-bas, comme on dit, tous les témoignages d’amis Pieds Noirs, tout cela, et tout ce que j’ai appris par la suite, va à l’encontre de ce que raconte ce Stora, qui est pour moi un être ignoble.
Et je m’aperçois en lisant les commentaires que je ne suis pas le seul à penser cela.
Un grand merci à Manuel Gomez pour son excellent article
Stora né en 1950 Connait de l’histoire de l’Algérie ce que certains lui ont appris. Comme beaucoup qui ne savent rien il n’a rien vécu et veut raconter. Fabrication d’une histoire polluée qui n’est plus qaue de la propagande anti française. Coupable d’avoir pollué des esprits faibles qui nous détestent ou nous haïssent. Un type à enterrer de façon anonyme.
Suite à la remarque dans le commentaire de Ben, il faut rappeler que, en très grande majorité, les Juifs originaires d’Algérie, considèrent Benjamin STORA, comme un traître, depuis ses premiers délires. Ce sentiment s’applique aussi à J. ATTALI et aux quelques propagandistes nuisant dans la presse générale. Mais hélas, jusqu’en 2003, le “politiquement correct” régnait en maître absolu, dans les merdia, la culture et les institutions juives de francekipu. Donc le sentiment de la majorité n’apparaissait pas. Il aura fallu la sinistre affaire “Am Israël Haï”, pour que le “politiquement correct” commence à se fissurer de façon visible. Cependant, des intoxiqués au gauchisme existent toujours ça et là et ils ne désarment pas.
On peut comprendre le cheminement de Stora en survolant rapidement l’Histoire d’après guerre. Staline, juste après 1945 ayant oublié sa peur et ses appels au secours vers les alliés lorsque la horde nazi a envahie l’URSS en 1941 pensait, la victoire acquise, envahir l’Europe entière pour la convertir au communisme. Cependant il ne savait pas ce que ferait les USA en cas d’agression. En attendant, sa politique se tourna à déstabiliser l’Europe en s’attaquant au pays colonialistes comme la France où l’Angleterre. Pour ça il pouvait utiliser les partis communistes (très puissants en France surtout en cette fin de guerre mondiale.) C’est ainsi que commença la guerre d’Indochine et plus tard celle d’Algérie. Comme tous les gens adhérant à la doctrine du communismes, Stora a trahi son pays (mais ces gens-là ont-t-il un pays ?) pour des intérêts servant une puissance étrangère. Il fait parti de ses « idiots utiles » que l’on voit fleurir aujourd’hui quant il s’agit de défendre des intérêts qui vont à l’encontre de ceux de notre pays. Le communisme est une forme de nazisme ou d’islamisme. Le communisme, qui comptait presque 30% de français après guerre, ne représente guère plus que 1% aujourd’hui, mais on n’en sort jamais indemne et les adeptes sont toujours contaminés. Alors tout ce que peut écrire ou dire ce genre d’individu en histoire (ou ailleurs) se trouve largement déformé par cette idéologie idiote et mortifère qui, rappelons-le, à fait 100 millions de morts dans le monde et la guerre d’Algérie n’en est qu’une infime partie même si elle nous a fait beaucoup de mal. Merci à Mr Gomez de nous rappeler ce que vaut ce genre de pitre.
sans commentaire:
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