En 2003, les autorités chinoises ont dissimulé l’épidémie de SARS pendant des semaines avant que le nombre de décès et de rumeurs ne contraigne le gouvernement à révéler l’épidémie, à présenter des excuses, et à promettre à l’avenir une transparence totale concernant les futures épidémies.
Et nous savons maintenant de manière certaine et indiscutable qu’ils ont recommencé en décembre 2019. Lire à ce sujet mon enquête (1). Mais ce n’est pas tout ce qu’ils ont caché…
- Début décembre, et peut-être même fin novembre, les médecins travaillant sur les premiers cas avertissaient le parti communiste chinois qu’un nouveau virus constituait une menace réelle.
- Le parti communiste chinois a alors tenté de dissimuler leurs mises en garde.
- Ils ont arrêté les médecins. Ils les ont forcés à faire des rétractations.
- L’un d’entre eux a été contraint de plaider coupable d’avoir «répandu sur internet des rumeurs concernant la dangerosité du coronavirus et perturbé l’ordre social» et il a dû signer une confession officielle alors qu’en fait ce qu’il disait était vrai.
- Ce n’est que le 31 décembre que l’Organisation mondiale de la santé a été informée de la situation.
Tout ça, nous le savons, nous l’avons dénoncé dès le mois de janvier, et nous avons publié les vidéos de chinois lanceurs d’alertes qui tentaient de prévenir le monde au prix de leur sécurité.
Pourquoi le régime a-t-il détruit les échantillons du laboratoire P4 ?
Le 1er janvier 2020, le parti communiste chinois a fermé le laboratoire de Wuhan et a détruit les échantillons du laboratoire, rapporte David Harsanyi, de la National Review (2).
Harsanyi note :
“Au début, les communistes ont détruit des échantillons et supprimé des informations vitales qui auraient pu contribuer à atténuer les dégâts de cette nouvelle souche de coronavirus”
https://www.nationalreview.com/2020/03/covid-19-is-the-chinese-governments-curse-upon-the-world/
L’information est confirmée par d’autres témoignages.
- Caixin Global, une publication indépendante, a rapporté que les laboratoires de génomique avaient séquencé le coronavirus le 27 décembre, mais que les responsables locaux et nationaux leur avaient ordonné de remettre ou de détruire les échantillons et de ne pas divulguer leurs conclusions.
Voici ce qu’écrivait Caixin Global :
La plus haute autorité médicale chinoise a émis un ordre de censure après que les laboratoires de Wuhan, qui ont séquencé le coronavirus, aient découvert qu’il ressemblait au virus du SRAS qui a tué près de 800 personnes en 2002-2003, fin décembre, selon les médias chinois.
En outre, les fonctionnaires de Wuhan n’ont délibérément pas informé une équipe de santé de Pékin lors d’une visite le 8 janvier que le personnel médical local avait déjà été infecté par des patients, afin de garder sa contagiosité secrète.
https://www.nationalreview.com/news/chinese-authorities-gagged-laboratories-in-december-over-coronavirus-sars-connection/
- Le 1er mars, le Times publiait également un article accusant la Chine d’avoir détruit les échantillons de coronavirus découverts dans le laborantin de Wuhan (7) :
Les laboratoires chinois ont identifié un virus mystérieux comme un nouvel agent pathogène hautement infectieux à la fin décembre de l’année dernière, écrit Philip Sherwell, depuis Bangkok, mais ils ont reçu l’ordre d’arrêter les tests, de détruire les échantillons et de supprimer la nouvelle.
Le 1er janvier, un responsable régional de la santé à Wuhan, centre de l’épidémie, a exigé la destruction des échantillons de laboratoire qui ont permis d’établir la cause d’une pneumonie virale inexpliquée.
https://www.thetimes.co.uk/article/chinese-scientists-destroyed-proof-of-virus-in-december-rz055qjnj
Je pense que la Chine doit au monde de s’expliquer sur les raisons qui l’ont poussé à détruire les échantillons découverts dans le laboratoire de Wuhan.
Problème avec leurs explications : les communistes mentent pour exister, on ne peut pas leur faire confiance. On ne peut pas croire ce qu’ils disent. Pour un communiste, la propagande est une obligation existentielle, une nécessité vitale. Une question de survie. Sans propagande, sans police pour contraindre les gens, sans armée pour les faire taire et obéir, le communisme s’évapore dans l’air et plus vite que le coronavirus.
D’où vient le coronavirus ?
Nous savons depuis le 26 janvier – cela représente un siècle en “années coronavirus”, si l’on songe que plus d’un demi-million de personnes sont maintenant infectées dans le monde, et près de 25 000 ont perdu la vie (3) – soit depuis deux mois, que le virus ne vient probablement pas du marché aux fruits de mer de Wuhan.
- Dans un article rédigé par un grand groupe de chercheurs chinois de plusieurs institutions, et mentionné le 26 janvier par The Lancet (4), seulement 13 des 41 premiers patients hospitalisés qui ont eu des infections confirmées par ce qui deviendra le coronavirus chinois (2019-nCoV) n’avaient aucun lien avec le marché de Wuhan.
“Aucun lien épidémiologique n’a été trouvé entre le premier patient et les cas ultérieurs”, selon les chercheurs, explique John Cohen dans Science Mag le 26 janvier dernier (5).
Leurs données montrent également qu’au total, 13 des 41 cas n’avaient aucun lien avec le marché. “C’est un grand nombre, 13, sans aucun lien”, a déclaré Daniel Lucey, spécialiste des maladies infectieuses à l’université de Georgetown.
https://www.sciencemag.org/news/2020/01/wuhan-seafood-market-may-not-be-source-novel-virus-spreading-globally
Si le virus ne vient pas du marché, d’où vient-il ?
Autre question : si le virus ne vient pas du marché, pourquoi les autorités chinoises l’ont-elles fermé le 1er janvier ?
Lucey a une hypothèse : le virus ne vient pas du marché – il y est arrivé, puis en est ressorti (5).
Si les nouvelles données sont exactes, écrit-il, les premières infections humaines doivent avoir eu lieu en novembre 2019 – si ce n’est plus tôt – car il y a un temps d’incubation entre l’infection et l’apparition des symptômes.
Si c’est le cas, le virus s’est peut-être propagé silencieusement entre les habitants de Wuhan – et peut-être d’ailleurs – avant que le groupe de cas du désormais tristement célèbre marché aux fruits de mer de Wuhan ne soit découvert fin décembre.
“Le virus est entré sur ce marché avant d’en sortir”, affirme Lucey.
https://www.sciencemag.org/news/2020/01/wuhan-seafood-market-may-not-be-source-novel-virus-spreading-globally
Ma question Tchernobyl
- Jeudi 30 janvier, de nombreux sites d’information chinois publiaient le témoignage anonyme d’un technicien de laboratoire. Il prétendait travailler dans un laboratoire sous contrat avec des hôpitaux, et déclarait que sa société avait reçu des échantillons de Wuhan et était parvenue à une conclusion étonnante dès le matin du 26 décembre.
Les échantillons contenaient un nouveau coronavirus avec une similarité de 87% avec le SRAS, ou syndrome respiratoire aigu sévère.
Le lendemain, les dirigeants du laboratoire ont tenu des réunions d’urgence pour informer les responsables de la santé de Wuhan et la direction de l’hôpital, a écrit le technicien.
Le compte du technicien, qui comprenait des images détaillées des résultats des tests et des messages envoyés par le technicien, a été publié par le Washington Post (6). Des scientifiques étrangers confirmeront plus tard que la séquence génétique ressemblait effectivement de façon frappante à celle du SRAS. - Parallèlement, le journal britannique Daily Mail (8) suggérait le 14 février 2020 qu’il existait un lien entre le virus nouvellement répandu et le laboratoire national de biosécurité de Wuhan, en indiquant que ce laboratoire, qui fait partie de l’Institut de virologie de Wuhan, avait fait l’objet de préoccupations en matière de sécurité dans le passé, et que des liens intimes existaient entre ce laboratoire et l’armée chinoise.
- Un autre article publié par le Washington Times (9) suggérait que le “Coronavirus pourrait provenir d’un laboratoire lié au programme de guerre biologique de la Chine” et pointant du doigt l’Institut de virologie de Wuhan.
L’article cite les recherches de Dany Shoham, un ancien officier de renseignement militaire israélien.
Dany Shoham, analyste israélien du renseignement et docteur en microbiologie
Dany Shoham est titulaire d’un doctorat en microbiologie médicale.
- De 1970 à 1991, il a été analyste principal au sein des services de renseignements militaires israéliens pour la guerre biologique et chimique au Moyen-Orient et dans le monde.
- Il avait le grade de lieutenant-colonel.
- Il est maintenant chercheur au Centre d’études stratégiques Begin-Sadat de l’Université Bar-Ilan.
Interviewé par le Washington Times (9), il explique que :
“Certains laboratoires de l’institut [de Wuhan] ont probablement été engagés, en termes de recherche et de développement, dans des armes biologiques, au moins collatéralement, mais pas en tant qu’installation principale, de l’alignement chinois sur les armes biologiques”.
Le chercheur ajoute qu'”en principe, l’infiltration du virus vers l’extérieur peut se faire soit sous la forme d’une fuite, soit sous la forme d’une infection intérieure inaperçue d’une personne qui est sortie de l’établissement concerné de façon normale.”
https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:kgR8OVUaL58J:https://www.washingtontimes.com/news/2020/jan/26/coronavirus-link-to-china-biowarfare-program-possi/+&cd=2&hl=en&ct=clnk&gl=us&client=safari
Notez bien qu’à aucun moment il affirme que le virus a été intentionnellement lâché dans la nature. Les autres sources non plus.
Tous se contentent d’évoquer des problèmes de sécurité, et le fait que ce laboratoire est lié au programme de guerre biologique chinois – rien de bien spécial là-dedans, il y en a 50 dans de nombreux pays au monde.
Sans surprise, la Chine a nié avoir des armes biologiques offensives, mais un rapport du département d’État de l’année dernière a révélé des soupçons d’études secrètes d’arme biologique.
Dans le domaine de la recherche biologique non pirate, 50 laboratoires à travers le monde ont la classification de sécurité la plus élevée, et des centaines d’autres laboratoires existent, bien qu’avec des classifications de sécurité inférieures, précise Haaretz, qui a tenté de détruire, sans guère convaincre, les affirmations de Shoham (10).
Arrestation du Président du département de chimie et de biologie chimique de l’université de Harvard, ainsi que de deux ressortissants chinois
Cette information, publiée par le département de la Justice américain (11), je ne pense pas que vous la trouverez dans les grands médias. Elle a retenu mon attention, et je pense qu’elle doit être portée à votre connaissance.
- Le 28 janvier dernier, le département d’Etat américain arrêtait le professeur Charles Lieber pour avoir caché ses liens avec une université de Wuhan, en Chine.
- Le ministère de la Justice inculpait également Yanqing Ye, 29 ans “d’agissement pour le compte d’un gouvernement étranger”.
- Une troisième personne, Zaosong Zheng, 30 ans, ressortissant chinois, avait été arrêtée le 10 décembre 2019, et inculpée pour avoir tenté de quitter les Etats-Unis pour la Chine avec 21 flacons de recherche biologique dissimulés dans ses chaussettes.
Charles Lieber
Charles Lieber, 60 ans, est directeur du département de chimie et de biologie chimique de l’université de Harvard.
Selon les documents judiciaires publics, le Dr Lieber, chercheur principal du groupe de recherche Lieber à l’université de Harvard, spécialisé dans le domaine des nanosciences, a reçu plus de 15 000 000 $ de subventions du National Institutes of Health (NIH) et du ministère de la Défense (DOD).
À l’insu de l’Université de Harvard, Lieber est devenu en 2011, “scientifique stratégique” à l’Université de technologie de Wuhan (WUT) en Chine.
Selon les termes de son contrat de trois ans, l’université de Wuhan lui a versé 50 000 dollars par mois, tous frais payés jusqu’à 1 000 000 de yuans chinois (environ 158 000 dollars) et lui a accordé plus de 1,5 million de dollars pour établir un laboratoire de recherche à l’université de Wuhan.
Yanqing Ye
Yanqing Ye, 29 ans, ressortissante chinois, a été inculpé le 28 janvier de fraude au visa, fausses déclarations, et d’agissement en tant qu’agent d’un gouvernement étranger. Ye se trouve actuellement en Chine et n’a pas pu être arrêté.
Selon l’acte d’accusation, Ye est lieutenant de l’Armée populaire de libération (APL), les forces armées de la République populaire de Chine et membre du Parti communiste chinois (PCC).
Sur sa demande de visa, Ye s’est faussement identifiée comme “étudiante”, et elle a menti sur le fait qu’elle faisait son service militaire à l’Université nationale des technologies de la défense (NUDT), une académie militaire de haut niveau dirigée par le PCC.
Pendant ses études au département de physique, chimie et génie biomédical de l’université de Boston (BU) d’octobre 2017 à avril 2019, Ye a continué à travailler en tant que lieutenant de l’APL.
Zaosong Zheng
Zaosong Zheng, 30 ans, ressortissant chinois, a été arrêté le 10 décembre 2019 à l’aéroport de Boston. Il a été accusé d’avoir tenté de quitter les Etats-Unis vers la Chine avec 21 flacons de recherche biologique.
En août 2018, Zheng a mené des recherches sur les cellules cancéreuses au Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston du 4 septembre 2018 au 9 décembre 2019.
Le 9 décembre 2019, Zheng a volé 21 flacons de recherche biologique et a tenté de les faire sortir clandestinement des États-Unis à bord d’un vol à destination de la Chine.
Conclusion
Je dis et répète que la Chine n’a pas, selon moi, répandu volontairement le coronavirus. Je dis qu’un accident s’est peut-être produit au laboratoire. Je dis que ce laboratoire a d’autres activités que celles déclarées.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
- https://www.dreuz.info/2020/03/19/coronavirus-la-chine-est-coupable-dun-crime-contre-lhumanite/
- https://www.nationalreview.com/2020/03/covid-19-is-the-chinese-governments-curse-upon-the-world/
- https://www.worldometers.info/coronavirus/#countries
- https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30183-5/fulltext
- https://www.sciencemag.org/news/2020/01/wuhan-seafood-market-may-not-be-source-novel-virus-spreading-globally
- https://www.washingtonpost.com/world/2020/02/01/early-missteps-state-secrecy-china-likely-allowed-coronavirus-spread-farther-faster/
- https://www.thetimes.co.uk/article/chinese-scientists-destroyed-proof-of-virus-in-december-rz055qjnj
- https://www.dailymail.co.uk/news/article-8003713/China-appoints-military-bio-weapon-expert-secretive-virus-lab-Wuhan.html
- https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:kgR8OVUaL58J:https://www.washingtontimes.com/news/2020/jan/26/coronavirus-link-to-china-biowarfare-program-possi/+&cd=2&hl=en&ct=clnk&gl=us&client=safari
- https://www.haaretz.com/world-news/.premium-how-coronavirus-conspiracy-theories-went-viral-and-the-israel-connection-1.8710683
- https://www.justice.gov/opa/pr/harvard-university-professor-and-two-chinese-nationals-charged-three-separate-china-related?fbclid=IwAR1288tfoL291-3rgaIUiwNtnSZWx_w6xlSW1XH0zsb613LXjd5P7YjgoQk
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
+1
On peut compléter pour enrichir avec d’autres sources, mais tout y est. Merci.
L’intention n’est vraisemblement pas au départ (sauf une personne qui aurait fait un burn out dans le Labo et aurait créé le problème à titre TRES personnel ; pas impossible dans le contexte de pression du PCC, mais l’hypothèse de “fuite involontaire” est plus probable.
L’intention est ensuite : ne pas immédiatement prendre des précautions sanitaires, partager avec les autres nations, mais au contraire prendre des précautions administratives, policières, pour cacher, cacher, cacher encore… et attendre l’ultime moment pour informer quand les allers et retours ont diffusé le virus dans le monde entier.
Des dirigeants chinois responsables de crimes contre l’humanité et d’abord contre leur propre peuple, qui compte si peu, avant le monde, qui compte encore moins…
Donc c’est bien une “bombe à retardement”, qui va faire très très très mal à tous ceux qui ont un lien avec ce terrible évènement……..
Jean-Patrick Grumberg
Je dis et répète que la Chine n’a pas, selon moi, répandu volontairement le coronavirus. Je dis qu’un accident s’est peut-être produit au laboratoire. Je dis que ce laboratoire a d’autres activités que celles déclarées.
Moi je ne suis pas aussi magnanime que vous, je ne donnerais pas a XI JINPING
le BON DIEU sans confession.
Nous n’arriverons JAMAIS au même niveau de la propagande mensongère du PARTI COMMUNISTE CHINOIS. Ils sont CHAMPION toute catégorie.
Ce laboratoire travaillait a un virus pour une guerre bactériologique qui ne détruit pas toute les infrastructures de l’occident ce qui ne donnerait rien dans un échange nucléaire avec les USA, ils ont tout simplement perdu le contrôle d’une arme qui sans avertissement aurait pu faire une VICTOIRE totale sur les USA.
M. Grumberg,
Dans un flash, il est indiqué : “Procureur général adjoint Jeffrey Rosen: “ le #coronavirus répond à la définition légale d’un agent biologique et la propagation intentionnelle du virus pourrait être poursuivie pour terrorisme”
Le Procureur général vise-t-il par cette phrase ceux qui ne respectent pas la distanciation sociale ou le confinement ? ou bien est-ce un message destiné à la Chine, et une accusation voilée ?
merci de votre réponse
“Tous se contentent d’évoquer des problèmes de sécurité, et le fait que ce laboratoire est lié au programme de guerre biologique chinois – rien de bien spécial là-dedans, il y en a 50 dans de nombreux pays au monde. Sans surprise, la Chine a nié avoir des armes biologiques offensives, mais un rapport du département d’État de l’année dernière a révélé des soupçons d’études secrètes d’arme biologique”. — Tiens-tiens-tiens, c’est comme en Iraq, autre pays du socialisme au grand coeur, vous savez ce pays ami de Chirac, de Pasqua et de nombreux autres traitres abreuvés aux mamelles du programme ONUsard “Pétrole contre Nourriture”, ce pays où il n’y avait soi-disant pas d’ADM non plus, alors que c’était tout le contraire. Intéressant ça, non? Aujourd’hui, d’autres camarades remplacent les camarades d’autrefois et tentent de couvrir à nouveau l’état-voyou, le rogue state, en semant le bordel dans la tête des gens.
“Je dis et répète que la Chine n’a pas, selon moi, répandu volontairement le coronavirus. Je dis qu’un accident s’est peut-être produit au laboratoire. Je dis que ce laboratoire a d’autres activités que celles déclarées”. — Au final, ça ne change pas grand chose. C’est même pire encore. On ne saura jamais la vérité. Nous aurons droit à des versions z’officielles. Mais les accidents accidentels n’arrivent jamais ! Cela ne veut pas dire qu’il y a une conspiration. De toutes façons, cela ne change rien. Nous avons nos morts et le reste à venir. Pour l’instant, les Chinois, ces petits barakis sournois, me donnent la jaunisse.
Patrick Boulechitey
Nous avons nos morts et le reste à venir. Pour l’instant, les Chinois COMMUNISTES , ces petits barakis sournois, me donnent la jaunisse.
J’ai ajouté ce dénominatif que vous aviez oublier. Tanr qu’a moi je suis un ANTI COMMUNISTE PRIMAIRE
25 ans de services dans les forces du temps de la guerre froide
Bonjour M.Grumberg , il peut etre utile de se reporter au reportage télévisé du 16 novembre 2015 de la RAI dans la série investigative ” Léonardo ” .
Ce reportage mentionne une collaboration scientifique entre le laboratoire P.4 de Wuhan et l’universite de Caroline du Nord .
je viens de le signaler dans mon commentaire a l’article de Christian Larnet ce matin a 11.54 .
“Je dis que ce laboratoire a d’autres activités que celles déclarées.”
C’est justement là le problème. Je suppose (mais je n’y connais rien) que les laboratoires P4 et ceux qui se préparent ou se préparent à une agression biologique pour se défendre ou attaquer autrui, sont un petit monde et que chacun connait plus ou moins les activités de l’autre.
la créature a peut-être échappé accidentellement à son créateur, mais il n’est de toute façon pas rassurant qu’une dictature communiste de plus d’un milliard d’habitants, habituée déjà à inonder le monde de ses produits de façon pas très loyale, soit capable de fabriquer une arme bactériologique.
Et pourquoi diable la France a-t-elle fourni cette technologie à la Chine ? c’est comme donner la technologie nucléaire à l’Iran. Il faut être idiot ou complice pour croire qu’une dictature va s’en servir pour le bien de son peuple (exclusivement…)
Bien vu. L’habitude du business avec des régimes dictatoriaux débouche souvent sur une hypnose des occidentaux à leurs dépends.
Bien sur nous sommes co-responsables du fait que nous faisons du commerce avec la Chine communiste et on peut quand même souligner que nous pays occidentaux nous sommes déchargés sur ce pays “en émergence” de tout nos problèmes de fabrication à bas coût! Alors c’est facile de dire qu’ils sont responsables mais nous sommes les donneurs d’ordres. Pour la pollution ils sont également montrés du doigt mais ce n’est pas étonnant puisque ça nous permet de moins polluer. Nous achetons de la m..de , vêtements , chaussures, équipements sportifs, et autres “cochonneries” sans valeur et j’en passe avec aussi tout ce qui nous permet de ne plus faire travailler nos ouvriers français chez nous : matériels et équipements de constructions automobiles etc… Allons nous prendre conscience que se décharger sur de tels pays totalitaires est extrêmement dangereux
Julie
MERCI DE LE DIRE
BRAVO
Le vrai virus, le plus dangereux, le plus menaçant, le plus létal… c’est le communisme, qu’il soit chinois ou musulman : IL NE PEUT PÉNÉTRER EN TERRITOIRE LIBRE QUE SOUS UNE FORME VIRAL, INSIDIEUSE, PERVERSE, INSOUPÇONNABLE… ou presque.
Compte tenu du nombre de morts attribuables à l’un comme à l’autre depuis des générations innocentes, IL EST TEMPS D’EN FINIR AVEC CES DEUX VIRUS qui n’ont ABSOLUMENT rien apporté à l’humanité à part la destruction de la part humaine le l’homme.
>e vrai virus…,vous oubliez tous les enfants européens et américains
qui sont, dans les écoles, de nos pays, infectes par leurs mensonges
socialo/communards
” IL EST TEMPS D’EN FINIR AVEC CES DEUX VIRUS qui n’ont ABSOLUMENT rien apporté à l’humanité à part la destruction de la part humaine le l’homme”.
ABSOLUMENT D’ACCORD AVEC TOI ALAIN. JUSTE UNE QUESTION: COMMENT???
Merci pour ce remarquable travail d’investigation.
J’ajouterais l’information suivante : Yves Lévy, Jean-Pierre Raffarin, Marisol Touraine, sont ceux qui ont vendu aux chinois le clone du Labo P4 Inserm-Mérieux de Lyon édifié à Wuhan, inauguré en 2017.
Ceci renforce l’idée que l’on a guère intérêt à aider les régimes dictatoriaux : ils finissent toujours par détourner la finalité de ce qu’il leur ait proposé voir offert
Si le président est immunisé peut être la population l’est elle aussi ce qui expliquerait la fin du confinement général ?
On n’aura jamais toutes les données et même si accusation de la part d’un travailleur étranger du labo P4, comment le prouverait-il ?
En attendant l’Italie, dans son malheur, se sent pousser des ailes chinoises.
Ils ont remplacé le drapeau EU par le drapeau chinois;
http://www.wikistrike.com/2020/03/des-italiens-retirent-le-drapeau-de-l-union-europeenne-et-hissent-le-drapeau-de-la-republique-populaire-de-chine.html
Peste ou communisme? mon coeur balance
Il y a ça aussi:
https://www.sciencemag.org/news/2019/07/mystery-surrounds-ouster-chinese-researchers-canadian-laboratory
https://www.bbc.com/news/world-us-canada-51317386
TRADUCTION:
3324/5000
Un mystère entoure l’éviction de chercheurs chinois d’un laboratoire canadien
Par Brian OwensJul. 19, 2019, 3:40 PM
Des chercheurs canadiens réagissent avec perplexité à la nouvelle qu’une «violation de politique» a poussé le seul laboratoire de recherche sur les maladies à confinement élevé du pays à interdire à un virologue chinois canadien de premier plan, à son mari biologiste et à un certain nombre d’étudiants de l’établissement.
Le 5 juillet, des responsables du Laboratoire national de microbiologie (LNM) de Winnipeg, au Canada, ont escorté Xiangguo Qiu, le biologiste Keding Cheng, et un nombre inconnu de ses étudiants du laboratoire et ont révoqué leurs droits d’accès, selon les médias canadiens. L’Agence de la santé publique du Canada, qui exploite le laboratoire, a confirmé qu’elle avait renvoyé une question «administrative» à la Gendarmerie royale du Canada, mais a déclaré qu’elle ne fournirait pas de détails supplémentaires en raison de problèmes de confidentialité.
Un certain nombre d’observateurs ont émis l’hypothèse que cette affaire impliquait des préoccupations concernant le transfert inapproprié de propriété intellectuelle en Chine. (On pense que tous les chercheurs impliqués sont asiatiques.) Mais Frank Plummer, un ancien directeur scientifique du NML qui a quitté en 2015, dit que le laboratoire n’est pas une cible évidente pour l’espionnage universitaire ou industriel. “Il n’y a rien de très secret là-bas, et tout le travail est publié dans la littérature ouverte”, dit-il. “Je ne sais pas ce que quelqu’un espérerait gagner en espionnant.”
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Le laboratoire travaille dans un large éventail de domaines biomédicaux. Qiu est connu pour avoir aidé à développer ZMapp, un traitement pour le virus Ebola qui a été accéléré lors de son développement lors de l’épidémie de 2014-2016 en Afrique de l’Ouest. Elle a été honorée à plusieurs reprises pour son travail sur ce projet, notamment avec un Prix du Gouverneur général pour l’innovation l’an dernier.
«Pendant que j’y étais, [Qiu] a toujours été hautement considérée comme un scientifique», explique Plummer, ajoutant qu’il était «choqué et perplexe» lorsqu’il a appris qu’elle faisait l’objet d’une enquête. «Elle a maintenu des liens avec la Chine, mais autant que je sache, elle était une scientifique canadienne régulière.»
Cheng, le mari de Qiu, a également travaillé comme biologiste au NML. Et les deux chercheurs ont occupé des postes de professeurs auxiliaires à l’Université du Manitoba à Winnipeg. Il dit qu’il a mis fin à leurs postes et réaffecté leurs étudiants à la suite de l’enquête.
Ni Qiu ni Cheng n’ont pu être joints pour commenter.
Cette évolution survient à un moment sensible pour les relations entre le Canada et la Chine. En décembre 2018, le Canada a arrêté le dirigeant chinois de Huawei, Meng Wanzhou, à la demande des États-Unis. En représailles, la Chine a arrêté deux hommes canadiens accusés d’espionnage et condamné un troisième à mort pour des infractions liées à la drogue.
Cela vient également du fait que les National Institutes of Health des États-Unis (NIH) ont fait part de leurs préoccupations quant au fait que certains bénéficiaires n’ont pas divulgué leurs liens avec la Chine et d’autres pays, ou ont mal partagé des informations confidentielles. Les inquiétudes ont conduit plusieurs universités à évincer des chercheurs d’origine chinoise et à restituer des subventions au NIH. La répression a soulevé des inquiétudes parmi la communauté sino-américaine du profilage racial. Au Canada, le Service national du renseignement de sécurité a longtemps mis en garde contre l’espionnage parrainé par l’État et, en 2014, le gouvernement canadien a allégué que la Chine était à l’origine d’une cyberattaque contre le Conseil national de recherches du Canada.
Et ça:
https://greatgameindia.com/coronavirus-bioweapon/
Tahar Tagul C’est assez déstabilisant… et même angoissant! Cependant on peut constater qu’on a participé nous aussi, français, à donner à un pays Communiste… des armes qui se retournent contre nous! Dans quel but? pourquoi la France se décharge t elle de la fabrication des médicaments, vaccins et autres produits et matériels sanitaires que nous savons parfaitement fabriquer nous mêmes? Juste pour que “certains” se remplissent les poches au détriment du peuple? C’est immonde! révoltant!
TRADUCTION
5000/5000
Arme biologique du coronavirus – Comment la Chine a volé le coronavirus au Canada et l’a armé
Par
GreatGameIndia –
26 janvier 2020 | Dernière modification le 25 mars 2020 à 23h52,
L’année dernière, une mystérieuse cargaison a été capturée en contrebande de coronavirus en provenance du Canada. Elle a été attribuée à des agents chinois travaillant dans un laboratoire canadien. Une enquête ultérieure par GreatGameIndia a lié les agents au programme de guerre biologique chinois d’où le virus est soupçonné d’avoir fui provoquant l’épidémie de coronavirus de Wuhan.
Remarque: Les conclusions de cette enquête ont été corroborées par nul autre que l’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle, qui a rédigé la loi sur la Convention sur les armes biologiques, suivie par de nombreux pays. Le rapport a provoqué une grande controverse internationale et est activement supprimé par une section des médias traditionnels.
Infographie basée sur ce rapport – L’histoire secrète du coronavirus
Contenus [cacher]
1 L’échantillon saoudien du SRAS
2 Le laboratoire canadien
3 Espionnage biologique chinois
4 Xiangguo Qiu – L’agent chinois de la guerre biologique
4.1 Infiltrer le laboratoire canadien
5 Le coronavirus de Wuhan
6 Arme biologique du coronavirus
7 Programme de guerre biologique de la Chine
7.1 Arme biotech
8 Couverture GreatGameIndia Coronavirus
Arme biologique du coronavirus
Coronavirus Bioweapon – Comment des agents chinois ont volé le Coronavirus au Canada et l’ont transformé en arme biologique
L’échantillon du SRAS saoudien
Le 13 juin 2012, un Saoudien de 60 ans a été admis dans un hôpital privé de Jeddah, en Arabie saoudite, avec une histoire de 7 jours de fièvre, toux, expectoration et essoufflement. Il n’avait aucun antécédent de maladie cardio-pulmonaire ou rénale, ne recevait aucun médicament à long terme et ne fumait pas.
Le virologue égyptien Dr Ali Mohamed Zaki a isolé et identifié un coronavirus inconnu dans ses poumons. Après que les diagnostics de routine n’aient pas identifié l’agent causal, Zaki a contacté Ron Fouchier, un virologue de premier plan au Centre médical Erasmus (EMC) à Rotterdam, aux Pays-Bas, pour obtenir des conseils.
Anomalies sur l’imagerie thoracique du patient saoudien infecté par le coronavirus
Anomalies sur l’imagerie thoracique du patient saoudien infecté par le coronavirus. Les radiographies thoraciques du patient sont présentées le jour de l’admission (panel A) et 2 jours plus tard (panel B) et la tomodensitométrie (TDM) 4 jours après l’admission (panel C).
Fouchier a séquencé le virus à partir d’un échantillon envoyé par Zaki. Fouchier a utilisé une méthode de réaction en chaîne par polymérase en temps réel (pan-coronavirus) à large spectre (RT-PCR) pour tester les caractéristiques distinctives d’un certain nombre de coronavirus connus connus pour infecter les humains.
Un laboratoire canadien acquiert un échantillon de coronavirus
Cette image de fichier non datée publiée par la British Health Protection Agency montre une image au microscope électronique d’un coronavirus, faisant partie d’une famille de virus qui causent des maladies, y compris le rhume et le SRAS, qui a été identifié pour la première fois au Moyen-Orient. DOCUMENT / LA PRESSE ASSOCIÉE
Cet échantillon de coronavirus a été acquis par le directeur scientifique, le Dr Frank Plummer (clé de l’enquête sur les coronavirus, Frank Plummer a récemment été assassiné en Afrique) du Laboratoire national de microbiologie (LNM) du Canada à Winnipeg directement de Fouchier, qui l’a reçu de Zaki. Ce virus aurait été volé au laboratoire canadien par des agents chinois.
L’Inde en livre de dissonance cognitive par GreatGameIndia
#FrankPlummer – Un scientifique renommé du Laboratoire national canadien de microbiologie basé à Winnipeg, la clé de l’enquête #Coronavirus, est décédé dans des conditions mystérieuses en Afrique. C’est lui qui a reçu un échantillon de coronavirus du SARS saoudien qui a été introduit en contrebande à Wuhanhttps: //t.co/VjvQMURTyT
– GreatGameIndia (@GreatGameIndia) 6 février 2020
Le laboratoire canadien
Le coronavirus est arrivé aux installations canadiennes du LNM à Winnipeg le 4 mai 2013 en provenance du laboratoire néerlandais. Le laboratoire canadien a augmenté les stocks de virus et l’a utilisé pour évaluer les tests de diagnostic utilisés au Canada. Des scientifiques de Winnipeg ont cherché à déterminer quelles espèces animales pouvaient être infectées par le nouveau virus.
La recherche a été effectuée en collaboration avec le laboratoire national de l’Agence canadienne d’inspection des aliments, le Centre national des maladies animales exotiques, situé dans le même complexe que le Laboratoire national de microbiologie.
Laboratoire national de microbiologie, Canada
Le Laboratoire national de microbiologie (Centre canadien des sciences pour la santé humaine et animale) sur la rue Arlington à Winnipeg. Wayne Glowacki / Winnipeg Free Press 22 octobre 2014
NML offre depuis longtemps des services de test complets pour les coronavirus. Il a isolé et fourni la première séquence du génome du coronavirus du SRAS et identifié un autre coronavirus NL63 en 2004.
Ce laboratoire canadien basé à Winnipeg a été ciblé par des agents chinois dans ce que l’on pourrait appeler l’espionnage biologique.
Espionnage biologique chinois
En mars 2019, dans un événement mystérieux, un envoi de virus exceptionnellement virulents en provenance du LNM canadien s’est retrouvé en Chine. L’événement a provoqué un scandale majeur, les experts de la guerre biologique se demandant pourquoi le Canada envoyait des virus mortels en Chine. Des scientifiques du NML ont déclaré
SUITE…
Après enquête, l’incident a été retracé à des agents chinois travaillant au NML. Quatre mois plus tard, en juillet 2019, un groupe de virologues chinois a été envoyé de force du Laboratoire national canadien de microbiologie (LNM). Le LNM est le seul établissement de niveau 4 au Canada et l’un des rares en Amérique du Nord équipé pour faire face aux maladies les plus meurtrières au monde, notamment le virus Ebola, le SRAS, le coronavirus, etc.
Xiangguo Qiu – L’agent chinois de la guerre biologique
La scientifique du LNM qui a été escortée hors du laboratoire canadien avec son mari, un autre biologiste, et des membres de son équipe de recherche serait un agent chinois de la guerre biologique Xiangguo Qiu. Qiu était chef de la Section du développement des vaccins et des thérapies antivirales du Programme des agents pathogènes spéciaux du LNM du Canada.
Xiangguo Qiu est un scientifique chinois exceptionnel né à Tianjin. Elle a principalement obtenu son diplôme de docteur en médecine de la Hebei Medical University en Chine en 1985 et est arrivée au Canada pour des études supérieures en 1996. Plus tard, elle a été affiliée à l’Institut de biologie cellulaire et au Département de pédiatrie et de santé infantile de l’Université du Manitoba. , Winnipeg, pas engagé dans l’étude des agents pathogènes.
Dr Xiangguo Qiu – Agent chinois de guerre biologique
Dr Xiangguo Qiu, l’agent de guerre biologique chinois travaillant au Laboratoire national de microbiologie, Canada
Mais un changement a eu lieu, en quelque sorte. Depuis 2006, elle étudie des virus puissants dans le LNM canadien. Par exemple, elle a étudié les virus expédiés du LNM en Chine en 2014 (avec les virus Machupo, Junin, Rift Valley Fever, Crimean-Congo Hemorrhagic Fever et Hendra).
Infiltrer le laboratoire canadien
Le Dr Xiangguo Qiu est marié à un autre scientifique chinois – le Dr Keding Cheng, également affilié au LNM, en particulier le «Science and Technology Core». Le Dr Cheng est principalement un bactériologiste qui est passé à la virologie. Le couple est responsable de l’infiltration du LNM canadien avec de nombreux agents chinois en tant qu’étudiants d’un éventail d’installations scientifiques chinoises directement liées au programme de guerre biologique de la Chine, à savoir:
Institut de médecine vétérinaire militaire, Académie des sciences médicales militaires, Changchun
Centre de contrôle et de prévention des maladies, région militaire de Chengdu
Institut de virologie de Wuhan, Académie chinoise des sciences, Hubei
Institut de microbiologie, Académie chinoise des sciences, Pékin
Des chercheurs chinois surpris en train de voler un coronavirus dans un laboratoire canadien
Des sources affirment que Xiangguo Qiu et son mari Keding Cheng ont été escortés du Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg le 5 juillet 2019. Depuis lors, l’Université du Manitoba a mis fin à ses rendez-vous, réaffecté ses étudiants diplômés et mis en garde le personnel, les étudiants et le corps professoral contre les voyages en Chine. (Prix du Gouverneur général pour l’innovation)
Les quatre installations susmentionnées de guerre biologique chinoise ont collaboré avec le Dr Xiangguo Qiu dans le contexte du virus Ebola, l’Institut de médecine vétérinaire militaire a également rejoint une étude sur le virus de la fièvre de la vallée du Rift, tandis que l’Institut de microbiologie a rejoint une étude sur le virus de Marburg. . De manière notable, le médicament utilisé dans cette dernière étude – le Favipiravir – a été précédemment testé avec succès par l’Académie chinoise des sciences médicales militaires, sous la désignation JK-05 (à l’origine un brevet japonais enregistré en Chine déjà en 2006), contre Ebola et d’autres virus. .
Cependant, les études du Dr Qiu sont considérablement plus avancées et apparemment vitales pour le développement des armes biologiques chinoises dans le cas où des virus de la fièvre Coronavirus, Ebola, Nipah, Marburg ou Rift Valley y sont inclus.
L’enquête canadienne est en cours et il reste à savoir si des expéditions antérieures vers la Chine d’autres virus ou d’autres préparations essentielles ont eu lieu de 2006 à 2018, d’une manière ou d’une autre.
Dre Xiangguo Qiu avec son équipe au Laboratoire national de microbiologie du Canada
Le Dr Gary Kobinger, ancien chef des agents pathogènes spéciaux (à droite), et le Dr Xiangguo Qiu, chercheur (deuxième à droite) ont rencontré le Dr Kent Brantly et le Dr Linda Mobula, professeur adjoint à la Johns Hopkins School of Medicine et le médecin qui a administré ZMapp à Brantly au Libéria lorsqu’il a été infecté par Ebola lors de l’épidémie de 2014-2016. (Soumis par Santé Canada)
Le Dr Xiangguo Qiu a également collaboré en 2018 avec trois scientifiques de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine sur les maladies infectieuses, Maryland, pour étudier l’immunothérapie post-exposition pour deux virus Ebola et le virus Marburg chez des singes; une étude soutenue par la US Defense Threat Reduction Agency.
Le coronavirus de Wuhan
Le Dr Xiangguo Qiu a effectué au moins cinq voyages au cours de l’année scolaire 2017-2018 au laboratoire national de biosécurité de Wuhan susmentionné de l’Académie chinoise des sciences, qui a été certifié BSL4 en janvier 2017. En outre, en août 2017, la Commission nationale de la santé de la Chine a approuvé des activités de recherche sur les virus de la fièvre hémorragique Ebola, Nipah et Crimée-Congo dans l’installation de Wuhan.
Par coïncidence, le Wuhan Nat
SUITE
Par coïncidence, le Laboratoire national de biosécurité de Wuhan est situé à seulement 32 kilomètres du marché des fruits de mer de Huanan, qui est l’épicentre de l’épidémie de coronavirus surnommé le coronavirus de Wuhan.
Le laboratoire national de biosécurité de Wuhan est situé à environ 32 km du marché des fruits de mer de Huanan
Le Laboratoire national de biosécurité de Wuhan est situé à environ 32 km du marché des fruits de mer de Huanan, l’épicentre de l’épidémie de coronavirus
Le Laboratoire national de biosécurité de Wuhan est installé dans les installations militaires chinoises de l’Institut de virologie de Wuhan, lié au programme chinois de guerre biologique. Il s’agissait du tout premier laboratoire du pays conçu pour répondre aux normes de niveau de biosécurité 4 (BSL-4) – le niveau de risque biologique le plus élevé, ce qui signifie qu’il serait qualifié pour gérer les agents pathogènes les plus dangereux.
En janvier 2018, le laboratoire était opérationnel «pour des expériences mondiales sur les agents pathogènes BSL-4», a écrit Guizhen Wu dans la revue Biosafety and Health. “Après un incident de fuite de SRAS en 2004, l’ancien ministère de la Santé de Chine a lancé la construction de laboratoires de conservation pour les agents pathogènes de haut niveau tels que le SRAS, le coronavirus et le virus de la grippe pandémique”, a écrit Guizhen Wu.
Arme biologique du coronavirus
L’institut de Wuhan a étudié les coronavirus dans le passé, y compris la souche qui provoque le syndrome respiratoire aigu sévère, ou SRAS, le virus de la grippe H5N1, l’encéphalite japonaise et la dengue. Les chercheurs de l’institut ont également étudié le germe qui cause l’anthrax – un agent biologique développé autrefois en Russie.
“Les coronavirus (en particulier le SRAS) ont été étudiés dans l’institut et y sont probablement détenus”, a déclaré Dany Shoham, un ancien officier de renseignement militaire israélien qui a étudié le biocombat en Chine. Il a dit. “Le SRAS est inclus dans le programme chinois BW, dans son ensemble, et est traité dans plusieurs installations pertinentes.”
James Giordano, professeur de neurologie à l’Université de Georgetown et chargé de recherche en biowarfare à l’US Special Operations Command, a déclaré que les investissements croissants de la Chine dans la bio-science, l’éthique plus souple autour de l’édition de gènes et d’autres technologies de pointe et l’intégration entre le gouvernement et le monde universitaire augmentent la spectre de ces agents pathogènes étant militarisés.
Cela pourrait signifier un agent offensant, ou un germe modifié libéré par des mandataires, pour lequel seule la Chine a le traitement ou le vaccin. “Ce n’est pas une guerre en soi”, a-t-il dit. “Mais ce qu’il fait, c’est tirer parti de sa capacité à agir en tant que sauveur mondial, ce qui crée ensuite divers niveaux de dépendances macro et microéconomiques et de bioénergie.”
Programme de guerre biologique de la Chine
Dans un article académique de 2015, Shoham – du Centre Begin-Sadat d’études stratégiques de Bar-Ilan – affirme que plus de 40 installations chinoises sont impliquées dans la production d’armes biologiques.
Le programme de guerre biologique de la Chine comprendrait une gamme complète d’agents chimiques et biologiques traditionnels avec une grande variété de systèmes de livraison, notamment des roquettes d’artillerie, des bombes aériennes, des pulvérisateurs et des missiles balistiques à courte portée. #coronarovirus https://t.co/7qpDNNmqk7
– GreatGameIndia (@GreatGameIndia) 25 janvier 2020
L’Académie chinoise des sciences médicales militaires a en fait développé un médicament contre le virus Ebola – appelé JK-05 – mais peu de choses ont été divulguées à ce sujet ou sur la possession par le centre de défense du virus, ce qui a incité à spéculer que ses cellules Ebola font partie de l’arsenal chinois de la guerre biologique, a déclaré Shoham. National Post.
Le virus Ebola est classé comme agent de bioterrorisme de «catégorie A» par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, ce qui signifie qu’il pourrait être facilement transmis d’une personne à l’autre, entraînerait des taux de mortalité élevés et «pourrait provoquer la panique». Le CDC classe le Nipah comme une substance de catégorie C, un pathogène émergent mortel qui pourrait être conçu pour une diffusion de masse.
Le programme de guerre biologique de la Chine serait à un stade avancé qui comprend des capacités de recherche et développement, de production et d’armement. On pense que son inventaire actuel comprend la gamme complète des agents chimiques et biologiques traditionnels avec une grande variété de vecteurs, notamment des roquettes d’artillerie, des bombes aériennes, des pulvérisateurs et des missiles balistiques à courte portée.
Arme Biotech
La stratégie nationale de fusion militaire et civile de la Chine a fait de la biologie une priorité, et l’Armée de libération du peuple pourrait être à l’avant-garde de l’expansion et de l’exploitation de ces connaissances.
Weaponizing Biotech – La guerre de la Chine pour la domination biologique # coronoavirushttps: //t.co/MEVQ5VERJw
– GreatGameIndia (@GreatGameIndia) 25 janvier 2020
L’APL poursuit des applications militaires pour la biologie et étudie des intersections prometteuses avec d’autres disciplines, notamment la science du cerveau, le supercalcul et l’intelligence artificielle. Depuis 2016, la Commission militaire centrale a financé des projets sur la science militaire du cerveau, les systèmes biomimétiques avancés, les matériaux biologiques et biomimétiques, l’amélioration des performances humaines et la biotechnologie «nouveau concept».
En 2016, un doctorant de l’AMMS a publié une thèse, «Research on
SUITE ET FIN
Couverture GreatGameIndia Coronavirus
Pour les dernières mises à jour sur l’épidémie, consultez notre couverture Coronavirus.
EXCLUSIF: Coronavirus Bioweapon – Comment la Chine a volé le coronavirus du Canada et l’a armé
ASSASSINATION: Frank Plummer, scientifique clé chargé des enquêtes sur les coronavirus, est assassiné
INTERVIEW: Le Dr Francis Boyle, créateur de la loi sur les armes biologiques, déclare que le coronavirus est une arme de guerre biologique
CENSURÉ: Des échantillons de coronavirus ont-ils été détruits par la Chine pour couvrir l’épidémie?
Agent chinois de guerre biologique: Dr Xiangguo Qiu
Bio-espionnage: des chercheurs chinois surpris en train de voler un coronavirus dans un laboratoire canadien
Bio-espionnage: des agents chinois de la guerre biologique à l’Université de Harvard ont détecté des virus de contrebande
GGI IMPACT: La Maison Blanche va enquêter si le coronavirus était armé
ENQUÊTE: l’Inde va enquêter sur l’Institut de virologie de Wuhan
LIVRE: Wuhan-400 Coronavirus – 1981 Novel Predictions Virus Origin
Enquête scientifique sur l’origine mystérieuse du coronavirus: fichiers COVID19
TOP SECRET: le plan secret de la Chine pour armer les virus
Taiwan Intelligence: SRAS – Une arme biologique chinoise
Bio-Warfare: Weaponizing Biotech – La guerre de la Chine pour la domination biologique
Bio-Warfare: Rise Of China’s Biological Warfare Program
ÉTUDE: Des scientifiques indiens découvrent un coronavirus conçu avec des insertions similaires au VIH
VACCIN: La Chine utilise des médicaments anti-VIH pour le traitement des coronavirus
DIAGNOSTIC: tomodensitométrie – meilleur diagnostic pour le coronavirus
Bio-espionnage: le Canada enquête sur l’espionnage biologique en Chine
Épicentre du coronavirus: Institut de virologie de Wuhan
BOMBSHELL REPORT: Comment le coronavirus a fui du laboratoire de Wuhan
Laboratoire P4 de Chine: comment l’Alliance Chine-France a créé le laboratoire d’armes biologiques de Wuhan
Église de Shincheonji: un culte secret lié à une épidémie de coronavirus en Corée du Sud
Interview exclusive d’un ancien virologue: dissimulation du coronavirus
L’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle sur le coronavirus: TRANSCRIPTION
Origine du coronavirus: le sénateur américain Tom Cotton remet en question le récit de Mainstream Media
Rapport Caixin: suivre la source du nouveau séquençage du gène des coronavirus
ÉTUDE: Similitude étrange d’inserts uniques dans la protéine de pointe 2019-nCoV avec le VIH-1 gp120 et Gag
ÉTUDE: Un nouveau coronavirus capable d’infections humaines mortelles: une image émergente
GreatGameIndia est un journal sur la géopolitique et les relations internationales. Apprenez à connaître les menaces géopolitiques auxquelles l’Inde est confrontée dans notre livre exclusif India in Cognitive Dissonance. Les anciens numéros de magazines sont accessibles dans la section Archives.
Pour en savoir plus sur les activités de guerre biologique et chimique de la Chine contre l’Inde, consultez notre numéro exclusif sur l’histoire du narco-terrorisme.
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C’est très intéressant, je ne peux m’empêcher de regarder aussi les liens et de chercher davantage.
Merci JP Grumberg pour cet article très important pour la compréhension de la crise en cours. Un beau travail de journalisme d’investigation.
Rappelons-nous les déclarations d’un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, qui avait laissé entendre le 13 mars que l’armée américaine avait introduit le virus à Wuhan. Depuis, la Chine ne cesse d’accuser les États-Unis…
Ce que mérite la Chine, en retour, c’est qu’aucune grande entreprise internationale ne continue de produire chez elle. Ce serait la sanction méritée, la seule qui pourrait mettre à mal un régime totalitaire dangereux.
Lionel, oui nous arrêtons de “délocaliser”… mais les chinois garderont les usines avec le matériel, les brevets de fabrication etc… bravo nos dirigeants qui nous ont vendus à ce pays totalitaire communiste mais qui est un pays ultra libérale sur le plan économique…
Bon article comme d’habitude.
Tous ces éléments douteux me font douter de la non culpabilité de la Chine.
D’abord on fait disparaître les preuves et les éléments qui ont découvert la chose.
Puis on découvre que le responsable de l’OMS est un copain des chinois, puis la Chine cherche par tous les moyens à faire modifier la réthorique que le virus vient de Chine (par l’intermédiaire des suppots communistes, notamment aux États-Unis).
Un brilliant professeur (Raoult) suggère un traitement qui jusqu’à présent a permis d’obtenir de bons résultats. Mais on découvre qu’il est d’extrême droite !
Les socialo-communistes démocrates des É.-U. (les gouverneurs du Nevada et du Michigan) interdisent l’utilisation de ce traitement (de quel droit?). Il faut espérer qu’ils vont être traînés devant les tribunaux pour crime contre l’humanité.
Peux-t-on m’expliquer pourquoi un email contenant un lien sur un article de Jean-Patrick Grumberg est rejeté et n’arrive pas à son destinataire. Pourquoi un fichier Word contenant le lien arrive bien à son destinataire, mais le fichier ne peut pas être ouvert car il est soi-disant corrompu?
Un article récemment indique que les hôpitaux chinois refusent tout patient touché par le corona virus, car il n’y a plus de cas chez eux???
Tous les jours, de plus en plus d’éléments sortent qui ressemblent à un complot communiste international suscité par la Chine. Certains diront qu’ils ont eu quelques morts. C’est oublier ou ignorer que pour les communistes chinois, perdre quelques milliers d’habitants sur 1 milliard et demi, ce n’est pas si grave que ça, si ça leur permet d’atteindre leur objectif.
Tout ça est inquiétant,
JYC
On peut difficilement penser que le vaccin contre ce virus n’existe pas depuis des années.
On peut difficilement penser que ce vaccin n’a pas été fabriqué spécieusement par la clique soros-Obamakalergi-islamisation d’élite antéchrist-satanistes informés de tous les pays.
On devine que ces ambitieux au service du malin contre Dieu le créateur sont en train d’éteindre l’affaire en criant au loup comme des vierges effarouchées surprises nues en train de se faire sodomiser selon leur culture par des sémites experts, car ils ont vu que l’humanité en a encore dans le sac et qu’ils déclencheraient une troisième guerre mondiale contre l’islam, les francs maçons, les mafias surtout celles de l’avilissement des enfants, c’est à dire leur fond de commerce.
A monsieur Grumberg
Et la France ? Elle ne se doutait de rien ? Wuhan, ce nom ne lui disait rien ? N’avait elle pas les moyens d’anticiper ?
https://www.gouvernement.fr/sites/default/files/document/document/2017/02/23.02.2017_discours_de_m._bernard_cazeneuve_premier_ministre_-_ceremonie_daccreditation_du_laboratoire_de_haute_securite_biologique_p4.pdf
Discours de M. Bernard CAZENEUVE, Premier ministre à la cérémonie d’accréditation du laboratoire
de haute sécurité biologique P4 Wuhan, 23 février 2017
J’ai lu ces faits troublants (surtout l’arrestation du scientifique Lieber) mais j’ai du mal à me défaire de la thèse du virus passé du pangolin à l’homme…
Voilà ce qui arrive quand on joue à l’apprenti sorcier …………….
Un jour ça vous “pète” à la gueule !
Au point où on en est sur la cause de la fuite, on peut même imaginer qu’une dame pipi ou un agent de nettoyage du labo P4, par gourmandise, ait voulu se faire de la soupe aux chauves souris (dont ils sont friands) contaminées, en tant qu’espèce réservoir dans ces expériences et manipulations diaboliques.
Je commence à ressentir des chatouillements…
Chine: Une patiente affirme que des malades du coronavirus sont envoyés à la crémation…encore vivants.
Une accusation de la part de cette citoyenne hospitalisée qui fait froid dans le dos.
Femme: “Je l’ai vu de mes propres yeux. J’étais le lit numéro 18 et il était au 17. Il est arrivé le 28 au matin. Quand on lui a attaché la tête (traduction incertaine) ses pieds et ses mains bougeaient encore. Ils lui ont attaché les mains et les pieds puis ont utilisé un sac en plastic noir pour envelopper son corps, ils ont refermé la fermeture éclair puis enveloppé un autre sac.
Homme: Pour faire une crémation alors qu’il est encore en vie?
F: Oui, il a déjà été incinéré.Je te le dis, ils étaient “….” d’être surpris en train d’enfreindre la loi. Nous avons vu plusieurs vieux messieurs comme lui. Il était encore en vie, il respirait mais il a été incinéré.
H: Plusieurs comme lui?
F: Oui nous l’avons vu. Certains d’entre nous l’ont vu de leur propres yeux à l’hôpital. C’est vraiment triste.
H: Mon Dieu, c’est trop cruel. Un homme encore en vie devrait être sauvé.
F: Mais il n’y a pas de médicaments, on ne peut compter que sur l’oxygène. Comment les sauver?
Impossible à confirmer à ce stade.
video a cette adresse
http://www.wikistrike.com/2020/02/chine-une-patiente-affirme-que-des-malades-du-coronavirus-sont-envoyes-a-la-cremation.encore-vivants.html
Les marchés sont pires et le lab encore plus. Quelles nouvelles atroces.
Voici l’opinion d’un québécois qui jouit d’une réputation surfaite et, qui dit que le Président des USA a tord d’utiliser l’expression VIRUS CHINOIS
Il faut être vraiment déconnecté de la RÉALITÉ pour avoir pondu une opinion qu’il aurait dû garder pour lui-même étant donné L’IGNORANCE CRASSE qu’il a pour un pays comme la CHINE COMMUNISTE.
Cela vaut la peine de lire.
https://www.journaldemontreal.com/2020/03/28/la-responsabilite-de-la-chine
on dit bien la grippe espagnole, car elle a été découerte par les espagnole; même chose pour COVID19 en Chine
je suis d’accord avec cet article; j’ajoute que la Chine a dit avoir trouvé des virus proche du coronavirus dans un pangolin de Malaisie (capturé en campagne anti braconnage), et des chauves souris du Yunnan à 1000 km; comment ces annimaux auraient pu se rendre à Wuhan? pourquoi ils n’ont pas trouvé de virus similaires dans les animaux du marché de Wuhan? où sont ces animaux? en outre un rapport sur l’origine du virus par des chercheurs chinois du Yunnan Zhang et al., 2020, Current Biology 30, 1346–1351 April 6, 2020 a 2020 Elsevier Inc. dit bien que le premier patient ne provient pas du marché de Wuhan; ils spéculent sur une migration des chauves souris et leur attirances par la lumière verte du pond de Wuhan; (très peu probable); on sait aussi que l’institut de virologie de Wuhan travaillaient sur les virus de Chauve souris depuis le SRAS en 2002-3; ils capturaient des chauves souris dans les caves du Yunnan (a Jinning, cave Shitou) dans lesquelles ils ont trouvé le virus origine du SRAS Shi Zhengli (Doctorat a Montpellier en France) March 2016 Isolation and Characterization of a Novel Bat Coronavirus Closely Related to the Direct Progenitor of Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus; donc des chauves souris infectée étaient ramenées à Wuhan dans un laboratoire de l’institut de virologie; on sait aussi que le laboratoire P4 (haute securité) construit en collaboration avec le France a mis beaucoup de temps a se construire et etre accredité (debut en 2003, premiere pierre en 2011, accreditation 2017); la directrice generale de l’institut de virologie a été nommée en 2018 a 37 ans, sans autre experience similaire, ce qui ne rassure pas, mais bien sûr, cela n’enlève pas à ses qualifications.