Publié par Bernard Martoia le 16 mars 2020

A priori rien ne lie Dieu, un penseur français du XVIII siècle et une pandémie du XXI siècle. Mais pour ceux qui ont un tant soi peu de culture générale, il leur est certainement venu à l’esprit cette citation de Bossuet : “Dieu se rit des hommes qui déplorent les conséquences dont ils chérissent les causes.”

Adaptée à notre temps exécrable, elle peut se lire ainsi : “Dieu se rit des hommes qui déplorent les conséquences (la pandémie du coronavirus) dont ils chérissent les causes (le manifeste progressiste d’un monde sans frontière).

N’en déplaise aux progressistes, le coronavirus nous rend un grand service en plaçant ces derniers devant leurs responsabilités dans la propagation foudroyante du coronavirus.

La colère de l’Éternel s’est abattue sur la tour de Babel incarnée par les institutions européennes, l’organisation des nations unies et l’élite cosmopolite de Davos.

En tant que conservateur chrétien, je considère cette pandémie comme une énième colère de l’Éternel afin de remettre de l’ordre dans ce monde gangrené par l’idéologie progressiste en faveur du mariage pour tous, la gestation pour autrui, l’avortement et la destruction des nations et des peuples par la submersion migratoire.

Puissent les victimes du coronavirus se compter davantage parmi les résidents des grandes villes qui vénèrent un monde sans frontière et sans Dieu que dans les campagnes ayant préservé l’Alliance avec l’Éternel.

Amen !

Reproduction autorisée avec la mention suivante :
© Bernard Martoia pour Dreuz.info.

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous

En savoir plus sur Dreuz.info

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading