Publié par Guy Millière le 10 avril 2020

Quand le professeur Didier Raoult a mis en ligne une vidéo proposant le traitement de la maladie provoquée par le coronavirus communiste chinois (je refuse d’utiliser le nom COVID 19 mis en place par l’OMS sous obédience chinoise), j’ai le très net sentiment qu’il pensait légitimement son travail de médecin et n’imaginait pas provoquer une tempête et s’attirer le déferlement de haine qui s’est abattu sur lui depuis. 

Il disposait d’une solution qui permettait de faire baisser la charge virale, d’éviter à des malades de passer en soins intensifs, voire d’être placés sous respirateurs, avec à la clé des séquelles durables, voire la mort. Cette solution reposait sur des médicaments peu onéreux et très disponibles, qui ont fait leurs preuves depuis longtemps, et dont les effets secondaires et les contre-indications sont connus. 

Non seulement des vies pouvaient être sauvées, mais les malades guéris cessaient d’être contagieux, et l’encombrement des hôpitaux, et l’horrible sélection entre malades susceptibles d’être sauvés et malades condamnés à agoniser seuls pouvaient être évités.

Il énonçait une façon de procéder qui avait fait ses preuves en Corée du Sud, à Singapour, à Taiwan : dépistage massif, confinement limité aux personnes testées positives et, séparément, aux personnes à risque, traitement des malades. Il disait que le traitement qu’il proposait, l’hydroxychloroquine, était très largement utilisé en Asie, où on ajoutait du zinc et un antibiotique, et que lui, il utilisait l’azithromycine, un antibiotique communément utilisé pour traiter les maladies respiratoires. 

La tempête et le déferlement de haine ont commencé immédiatement et sont venus du Ministère de la santé, et de professeurs de médecine dont on a vite découvert qu’ils étaient financés par des laboratoires pharmaceutiques tentant de mettre au point des traitements qui restent à expérimenter et qui seront beaucoup plus onéreux. Un parfum nauséabond et mortifère de corruption s’est installé dans l’atmosphère. 

Macron n’a pas pris position, mais son absence de prise de position a été et reste une prise de position. Il a mis en place deux « comités scientifiques », parfois appelés par le ministre de la Santé Véran comités de « savants », destinés à acquiescer. 

Le professeur Didier Raoult a été traité d’imposteur et de charlatan. Des discours ont monté disant que les médicaments proposés n’avaient pas fait leurs preuves pour traiter la maladie provoquée par le coronavirus communiste chinois (ils avaient parfaitement fait leurs preuves depuis des décennies pour plusieurs maladies, faut-il le préciser ?), et qu’il fallait procéder à des tests scientifiques condamnant, dans une situation d’urgence, des malades à recevoir un placebo et donc a voir leur maladie s’aggraver. Des discours se sont ajoutés disant que les effets secondaires étaient beaucoup plus graves que ce qui était dit (nul ne s’en était aperçu jusque là !), et que le professeur Raoult était peut être un criminel. 

Les stocks d’hydroxychloroquine ont mystérieusement disparu en leur intégralité, et un vol a été évoqué (quelqu’un est sans doute parti les mains dans les poches avec des kilos et des kilos de médicaments sortis d’un lieu soigneusement gardé, c’est très plausible…). 

Alors que l’hydroxychloroquine était en vente libre en France (signe de son extrême dangerosité !) jusqu’à la mi-janvier, elle a été placée par la ministre de la Santé Agnès Buzyn sur la liste des substances « vénéneuses », ce juste au moment où ladite Agnès Buzyn dit avoir compris que l’épidémie allait devenir pandémie et frapper la France comme un « tsunami », et avoir prévenu les plus hautes autorités de l’Etat du tsunami à venir. (Le classement de l’hydroxychloroquine par Agnès Buzyn sur la liste des substances « vénéneuses » juste à ce moment-là, et le fait qu’Agnès Buzyn ne pouvait ignorer que la Chine à ce moment-là utilisait massivement l’hydroxychloroquine pour enrayer l’épidémie sur son sol est, cela va de soi, un pur hasard et une stricte coïncidence : le hasard et les coïncidences font des choses extraordinaires, et il faut être adepte de théories du complot, pour ne pas penser que le pur hasard et les coïncidences existent. 

Les médecins se sont vus interdire de prescrire le traitement. 

Pour faire semblant de répondre aux protestations résultant de l’interdiction, le gouvernement a fini par autoriser le traitement, mais seulement dans les hôpitaux [et si je lis bien le décret, seulement dans les hôpitaux militaires], pour les malades arrivés à un stade avancé de la maladie, donc à un stade où le professeur Raoult avait précisé qu’il est trop tard pour administrer le traitement [quelle intelligence derrière ce décret !]. Un ensemble de » tests » ont été mis en place, soigneusement conçus pour échouer, car ne reposant pas sur le traitement tel que défini [quelle intelligence derrière ces « tests » !]. 

Des médecins par milliers s’efforcent de faire leur métier dans ces conditions sordides, et de trouver des moyens de procurer le traitement à leurs patients malades, mais les pharmacies ne peuvent vendre le traitement, et des malades se le procurent au marché noir, quand ils y arrivent. Des pétitions circulent pour demander que le traitement soit rendu disponible, signées par des professeurs de médecine et d’anciens ministres de la santé [tous des charlatans aussi sans doute, comme diraient les professeurs de médecine financés par des laboratoires pharmaceutiques].  

Macron, le ministre de la Santé Véran et les plus hautes autorités de l’Etat restent sur leurs positions et s’abritent derrière diraient les professeurs de médecine financés par des laboratoires pharmaceutiques et des « savants » qui sont sociologues ou psychologues et s’y connaissent autant en maladies infectieuses que je m’y connais en fabrication de spaghettis au blé dur. 

Tous ces gens condamnent des milliers de malades à mort. Ce sont, à mes yeux, des imposteurs et des criminels. 

Des médecins trahissant leur devoir de médecin leur font cohorte, mentent et sont souvent invités à la télévision. 

Des gens spécialisés dans le crétinisme odieux, tels Daniel Cohn Bendit, font la même chose. 

Par un décret du 28 mars, l’utilisation du Rivotril pour les malades âgés qu’on a laissé glisser vers la phase terminale est autorisée, mais il ne faut surtout pas dire qu’il s’agit de permettre l’euthanasie, non… il s’agit d’accompagnement compassionnel, bien sûr… 

Une campagne de diffamation systématique se met en place pour démolir le professeur Raoult et pour anéantir son honneur et sa réputation. Mediapart, qu’on ne présente plus [salir est le métier d’Edwy Plenel], s’y emploie. Un autre site, qui ne me semble pas très fréquentable, « les crises », s’y emploie aussi. J’espère qu’ils sont bien rémunérés. Quand on se prostitue, n’est-ce pas…

Il y a désormais d’un côté l’essentiel de la gauche, ce qu’il est convenu d’appeler la macronie, la droite ectoplasme qui espère un strapontin dans la macronie, des médecins, des professeurs et des » savants » qui ne me semblent pas très propres, et de l’autre coté des médecins et des professeurs fidèles au serment d’Hippocrate, des milliers de braves gens en détresse et en colère, des malades qui se sentent piétinés, quelques journalistes courageux, et le professeur Raoult.  

Il y a des morts qui auraient pu être évités, des gens en soins intensifs, des malades âgés de soixante-dix ans ou plus à qui on donne ”compassionnellement” du Rivotril et qu’on envoie à la poubelle dans un sac plastique, post mortem. Il y a des effets de contagion très lourds. 

Il y a une économie à l’arrêt, une explosion du nombre de pauvres, de chômeurs et de faillites, un endettement abyssal du pays qui s’ajoute à l’endettement abyssal existant. Il y a un enfermement de toute la population dans des appartements transformés en prison pour innocents et au sein desquels des gens malades peuvent transmettre la maladie à des gens non malades. Il y a la libération de djihadistes qui, eux, étaient en prison pour de bonnes raisons. 

En regardant la France de loin, j’ai un sentiment d’horreur et de répulsion. J’aimerais penser que l’horreur et la répulsion en moi cesseront un jour. Il faudrait pour cela qu’un jugement vienne pour la bande à Macron et la nomenklatura qui l’entoure, mais je dois dire que je doute que le jugement puisse venir. 

J’ajouterai que la bande à Macron, que je considère comme une association criminelle [j’écris « bande à Macron » comme on écrivait bande à Bonnot il y a un siècle], a une lourde responsabilité, dont l’impact déborde de la France. 

Si la bande à Macron ne s’était pas conduite de cette façon, il est vraisemblable que le traitement proposé et utilisé par le professeur Raoult serait plus largement utilisé ailleurs en Europe [il est utilisé en Espagne et en Italie, où il fait baisser le nombre des morts]. Il est vraisemblable aussi que Donald Trump, qui voudrait qu’il soit plus largement utilisé aux Etats-Unis, pourrait plus aisément écarter ceux qui font obstacle à son utilisation, la gauche démocrate et le docteur Fauci, la gauche démocrate parce qu’elle veut un maximum de morts et de désastre économique pour espérer gagner en novembre, le docteur Fauci parce que c’est un adepte du principe d’extrême précaution et parce qu’il penche à gauche. La bande à Macron fournit des arguments à la gauche criminelle américaine ! 

Une enquête récente a montré que l’hydroxychloroquine est considérée par les médecins de la planète entière comme le meilleur traitement aujourd’hui disponible de la maladie provoquée par le coronavirus communiste chinois. Cette enquête n’aura aucun écho en France. La bande à Macron veut-elle débarrasser le pays de milliers de personnes de soixante-dix ans et plus ? Non… Je n’ai pas ce genre d’idées, mais je me sens tout de même rassuré d’être aux Etats-Unis, loin de la bande à Macron.

Comme pour montrer un peu plus son arrogance, Macron s’est rendu en Seine Saint-Denis pour dire que c’était un département où on respecte exemplairement le confinement, et pour le prouver, il a parlé devant une foule de gens agglutinés cherchant à le photographier et qui, c’est évident, respectaient le confinement. Plus rien ne m’étonne de ce personnage… Macron vient de rendre visite au professeur Raoult, à Marseille. Pourquoi ? Le saura-t-on un jour ?

On me dira qu’en mars, il n’y avait pas assez de masques, et pas assez de tests, pour adopter en France la façon de procéder qui a fait ses preuves en Corée du Sud, à Singapour, à Taiwan, et qu’a proposée par le professeur Raoult. Mais dès lors qu’Agnès Buzyn et le gouvernement savaient dès la mi-janvier, était-il impossible de prévoir et d’acheter dès ce moment ce qui manquait ? Vraiment ? On prend en haut lieu les Français pour un ramassis d’imbéciles. 

On les traite comme des moutons qu’on emmène à l’abattoir. 

Quelques médecins, quelques politiques sauvent l’honneur, ils sont rares. 

Je trouve que le professeur Raoult a bien du courage de rester en France. 

Je lui exprime ici publiquement mon estime et mon admiration. 

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

PS Ne doutant pas que certains me diront que le professeur Raoult avait dit en février que la maladie provoquée par le coronavirus chinois serait une banale grippe et que la maladie a été plus grave, je répondrai que la maladie aurait été une banale grippe si les recommandations du professeur Raoult avaient été suivies. Les pays d’Asie sont les seuls à avoir procédé comme le professeur Raoult l’avait proposé et à avoir administré l’hydroxychloroquine d’emblée. Corée du Sud : 4 morts pour un million d’habitants. Score pour Taiwan : 0,2. Pour Singapour : 1. Pour la France : 187. 


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