Inutile de chercher dans vos livres d’histoire. En dépit des millions de morts, les grandes épidémies qui ont sévi au XXè siècle sont des non-évènements. Même si le Covid-19 représente un risque réel pour la santé, la réaction massive, disproportionnée, que cette maladie a provoquée présente les caractères d’un phénomène de psychose collective.
Qui est dans le vrai ? Ceux qui, jusqu’à ce mois de janvier 2020, des chefs d’Etat au plus modeste employé, ont continué à mener une vie normale en dépit des malades et des morts, ou nous qui avons décrété le renfermement général des populations, mis en berne l’économie et la culture, prenant ainsi un risque aux conséquences incalculables? A-t-on réalisé ce qui risque de se produire si l’économie mondiale ne se redresse pas rapidement ?
Les rues de Paris sont vides. On pourrait croire, si ce ne sont les arbres en fleurs en ce début de printemps, que la ville a été victime d’une bombe bactériologique qui aurait détruit toute vie.
Cette présence du vide, que l’on constate partout en France et ailleurs, cette horreur de la présence, est sans doute l’image de ce que la vie politique est devenue. Terne, morne, sans relief. Qu’avaient à nous dire les hommes politiques avant la crise du coronavirus Covid-19 ? Quasiment rien. Le discours politique pris dans les filets des experts et autres technocrates, tournait à vide, ne proférant que des banalités, des choses convenues, estampillées du sceau du « politiquement correct ». Lorsqu’ils tentaient de parler de la vie, de notre vie, celle de la plupart des gens, ils ne savaient que dire, ils ne trouvaient pas les mots pour nous parler. Personne ne les écoutait vraiment. La rupture entre la France du « haut » et celle du « bas » était totale. La parole ne circulait pas. Plus rien n’avait de sens. Le progressisme agressif des présidences de Hollande et de Macron, le triomphe de l’idéologie bio, acheva la déchristianisation du pays et lamina la « mystique républicaine ». C’est sur ce socle idéologique qu’arrive l’épidémie de grippe du Covid-19.
Face au danger de l’épidémie, un discours unique, obsédant, entêtant, fait une apparition fulgurante
On nous explique que cette réaction extrême repose sur la sacralisation de l’existence, de toute vie humaine. Or, que constatons-nous ? Que racontent les journalistes à longueur d’antenne ? Ils nous parlent des corps, mais uniquement des corps malades, souffrants ou morts. On chercherait en vain la vie dans ce discours. La beauté, la force, la pleine santé n’intéressent plus les médias. Toutes les manifestations sportives sont interdites. On ne doit pas montrer le corps vivant, le corps en mouvement, beau, puissant, transgressant les limites, affrontant, triomphant des obstacles. Il est évident que les sportifs « testés » pourraient continuer, sans public physique, à se rencontrer. Les matchs pourraient avoir lieu à huis-clos et chacun pourrait suivre à la télévision les exploits de ses champions. Mais cette image du corps sain, beau, en puissance n’est pas acceptable par ceux qui n’accordent d’attention qu’au corps souffrant, qu’au corps malade, qu’au corps mourant, qu’à la plainte douloureuse des victimes.
Le corps sera traité de semblable manière, qu’il soit jeune ou vieux, en bonne ou en mauvaise santé. Signe qu’ils sont porteurs d’une maladie honteuse, les corps doivent être cachés dans le secret des intérieurs. Tout contact entre les corps est prohibé. Le corps de l’autre est la source du mal. Il ne faut plus l’approcher. Il est dangereux. Les corps doivent être tenus à une distance de deux ou trois mètres. Il faut exorciser le mal incarné potentiellement dans tous les corps et impérativement le tenir à distance. Vade retro satanas.
Investir un lieu de souffrance et de mort
L’image d’une humanité souffrante doit être concentrée en un seul lieu : l’hôpital. C’est le motif pour lequel le pouvoir politique a interdit à la médecine de ville de prendre en charge les malades atteints de la grippe dite du coronavirus Covid-19. Les cabinets médicaux sont trop disséminés, trop propres. Ils n’inspirent aucune peur, ils sont sécurisants. Patients et médecins, s’y rencontrent librement. Pour que la terreur s’installe, il faut que l’hôpital retrouve l’aspect qui fut jadis celui de « l’hospice ». Ce lieu où en masse, anonymement, les corps viennent s’échouer, vient souffrir, mourir. Le personnel doit être lui-même perçu non dans une démarche de médecine moderne, mais dans une gestuelle d’épuisement ; dans une situation de pauvreté, de privation, de manque. Tous doivent être exténués. Ici, on n’exerce pas un métier. On est au mieux dans l’abnégation, voire dans le sacrifice de soi.
L’image de l’hérétique : le médecin qui soigne normalement ses patients
Le professeur Raoult, (et d’autres) ne cadre pas dans ce décor d’apocalypse d’un autre temps. Il fait son métier ! Sa démarche est anathémisée comme étant de l’ordre de l’hérésie. Il ose dire qu’il soigne les malades avec des médicaments classiques, quand le pouvoir se réfère à des rituels incantatoires d’officines secrètes ! Le pouvoir politique répète : on ne sait rien ! On cherche ! On implore ! Pour conforter son approche apocalyptique, il opte pour une médecine lourde. A ses yeux, seule une machinerie technologique extrême est susceptible de combattre cette maladie supposée inguérissable. Or, des médecins de plus en plus en nombreux osent braver l’interdit et dire : moi, je soigne et j’obtiens de bons résultats. Le pouvoir persiste à ignorer ces hérétiques.
On inonde les écrans de télévision d’images d’apocalypse où des milliers de gens sont jetés à même le sol, sur des paillasses, sur fond d’énumération sinistre des morts…2000, 3000, 4000…10 000…on sent comme une sorte de jubilation morbide à faire ce décompte. Charlette Burési me faisait remarquer que cette apologie de l’être souffrant, cette fascination pour la mort et concomitamment l’occultation de l’homme en bonne santé, son nécessaire renfermement, fait penser au culte du Juif mort (la Shoah) et à la condamnation sans appel du Juif vivant-Israël que l’on voudrait enfermer dans le passé, « confiner » avec les morts.
La séparation d’avec l’autre
Au nom de la protection de la vie, la société se met en scène, se concentre exclusivement sur l’image de la maladie et la mort, mille fois répétée, mille fois suggérée. Il n’y a plus que cela qui retienne l’attention générale. Les gens sont littéralement obsédés par le corps souffrant, le corps en danger, le corps fragile. La santé est décrite comme un état précaire, perpétuellement menacée par toutes les parties essentielles du corps : le souffle de l’autre est décrit comme un poison ; la main qui accueille, protège, défend, la main qui touche, palpe, caresse, façonne, travaille, cette main est décrite comme dangereuse et mortelle ; elle doit être gantée, lavée, et relavée sans cesse. Elle ne doit plus rien toucher. La main qui est le propre de l’homme devient la voix royale qu’emprunteraient la mort et la maladie pour frapper.
L’autre organe frappé d’anathème est la bouche. Elle doit être fermée et couverte. Tout ce qui vient d’elle doit être filtré, tenue à l’écart. Elle est le lieu par excellence qui donne la maladie et la mort.
Toute une mystique propre à un obscur Moyen-âge ( je ne parle pas ici du vrai moyen-âge, mais de la représentation que l’on s’en fait habituellement) et à l’Antiquité refait son apparition. La contamination prend la forme de la « souillure ». La traque à la « saleté » impose des gestes rigoureux. Cette saleté est attachée à la « chair », au plaisir. Alors on ferme les restaurants et autres lieux de désordre, où l’on ne contrôle pas ce qui sort et entre dans les corps, les miasmes qui s’en dégagent. La condamnation des contacts renvoie aux vieux interdits liés au culte de la chasteté. On rétablit le rituel des ablutions purificatrices. Toute une sociologie de l’assainissement se met en place : le port des gants, des masques, le lavage obsessionnel des mains, la distance, les gestes barrières, l’exclusion de l’autre…Toute la société est placée en « réanimation ».
Le malade, le contaminé, prend une véritable dimension cosmique. Même s’il représente une infime minorité de la population, la seule idée de sa présence suffit à « souiller » tout le groupe. On est dans la logique qu’évoque Sophocle dans Œdipe roi : toute la Cité souffre d’un mal affreux parce qu’un seul de ses membres est porteur d’un crime. Ici, la maladie est assimilable au crime. Tout malade qui ne respecte pas rigoureusement les procédures de purification, est considéré comme un criminel. On vous le répète à longueur de journée : vous sortez sans protection, vous mettez la vie des autres en danger ! Vous êtes un criminel !
Les maudits
En France, cette phobie moyenâgeuse atteint des sommets. Le malade inspire une telle terreur qu’on refuse de tester ceux qui sont « souillés ». Par définition, il ne faut ni les approcher, ni les toucher. Le mal doit être extirpé par un processus qui s’apparente à une forme d’exorcisme collectif. On attend l’expulsion du « démon ». Et comme cette « sortie » du démon tarde trop, on va désigner une catégorie d’êtres humains comme étant les porteurs du mal (sans les tester naturellement !). Pour rester dans la logique de la mystique archaïque, on crée une « caste d’intouchables », composées de personnes qui es-qualité sont dangereuses. On se fiche pas mal de savoir s’ils elles sont malades ou non. Ce qu’il faut pour sécuriser les autres, c’est l’existence d’un ensemble d’individus à ostraciser, à fuir absolument. Celles aujourd’hui qui semblent désignées pour remplir cette « part maudite », sont les « personnes âgées ». Une cohorte de gens les désigne pour remplacer les lépreux, les Juifs, les prostituées, que l’on tenait jadis soigneusement à l’écart. Certes nous dit-on, si on les cache, c’est pour mieux les protéger ! Fallacieux prétexte ! La protection-isolement des vieux dans les Ehpad se solde par une hécatombe !
Comme nous pouvons le constater, le remède que la société a trouvé pour lutter contre la maladie, n’est pas dans les traitements appropriés (il en existe de très bons et de très efficaces), mais dans un immense processus de refoulement des corps. Dans un premier temps de « tous les corps » indistinctement. Puis après le processus de « purification », de pénitence, de punition, de contrition, l’incarnation du mal sera désignée, il s’agit des vieux.
Lorsque les Français en 1940, fous d’angoisse et d’inquiétude fuient, dans un indescriptible chaos, l’avancée des troupes allemandes, la première décision que prend le Maréchal Pétain à peine installé au pouvoir, est d’ostraciser les Juifs. Renouant avec la pensée magique, avec la mystique sacrificielle païenne, Pétain se présente comme le sauveur de la nation puisqu’il a désigné le groupe maudit d’où vient le malheur. Le « sacrifice » des Juifs, apporte aux Français un soulagement immédiat, le sentiment d’être protégés, d’être sauvés. C’est un leurre naturellement. Ils en prendront conscience un peu plus tard.
Mutatis mutandis, avec l’épidémie du Covid-19, les adeptes de cette mythologie archaïque, et ils sont légions, souhaitent que le pouvoir désigne le groupe maudit et l’enferme. Les « vieux » représentent à leurs yeux, ce groupe.
Ceux qui réclament l’hyper-ghettoïsation des vieux, ne se rendent pas compte dans quel abîme de déchéance morale, ils sombrent. Pour « sauver leur peau », ils acceptent de renoncer à leur humanité, car ces vieux, sont leur père, leur mère, leur grand-mère ou leur grand-père etc. Comment une telle déchéance est-elle seulement envisageable ? Concevable ?
En réalité, le progressisme décadent est passé par là : l’homme dont il se réclame est celui de l’Union européenne, de l’OMS, du FMI et de l’ONU : c’est un être vide de toute détermination, qui n’est ni père, ni mère, ni oncle, ni fils, ni fille… il est l’un des multiples maillons de la chaîne du vivant. En tant que coquille vide, la façon qu’il a d’appréhender l’épidémie, le conduit à tout néantiser, à tout détruire.
La France, déchristianisée, ayant rompu avec la « mystique républicaine », soumise à la dictature du bio, voudrait fonctionner dans la logique asiatique. Faire comme les Chinois, les Coréens du Sud…est répété en boucle. On oublie un petit détail : dans la culture chinoise, le collectif prime ; la liberté individuelle ne compte pas. Pour notre civilisation judéo-chrétienne, pour l’Humanisme de la Renaissance, c’est l’inverse : l’individu libre et responsable est la base de l’édifice sociétal.
Le président Trump appelle à la révolte contre le confinement. L’un des seuls chefs d’Etat à ne pas sombrer dans la psychose collective, sera-t-il entendu ? Parviendra-t-il à sauver les Etats-Unis et le monde de l’effroyable marasme dans lequel tous s’apprêtent à sombrer ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
C’est la grenouille qui parle par la TV et la radio que j’ai jeté à la poubelle il y a 8 ans, pas de grenouille Eurabiatée, pas d’ordres, pas de de psychose, mais des fleures, des oiseaux qui chantent, et du côté de Didier Raoul et tous les médecins qui en cachette donnent son traitement, c’est le nouveau printemps.
Bonne année 🎆
Mr Touati c’est le progressisme FRANCAIS décadent est passé par là : le franchouillard dont il se réclame est EVIDEMMENT celui de l’OMS, du FMI et de l’ONU mais certainement pas celui de l’UNION EUROPEENNNE contre laquelle il votât en 2005, de peur de se trouver dans l’obligation de devenir discipliné, d’assumer les responsabilités de ses actes et de leurs conséquences, à l’instar de ses voisins d’outre Rhin.
Sidney Touati : Si je peux me permettre, vous oubliez que la liberté prend fin lorsque commence celle d’autrui. Le coronavirus est une maladie infectieuse pouvant s’avérer fatale. Alors, oui, parlons et reparlons de ce coronavirus afin que les gens prennent conscience qu’il peuvent devenir des criminels en puissance s’ils ne respectent pas la sécurité et l’hygiène sanitaire. Aujourd’hui on piétine certaines valeurs morales au nom de notre liberté d’actions (voir voir https://www.tdg.ch/monde/quebec-choque-ems-donne-nausee/story/24932532). Les historiens nous jugerons…
@ Norma. L’article que vous renseignez illustre dramatiquement les dégâts collatéraux dû au virus et Sidney Touati nous alerte également sur les dangers qui nous menacent aussi et auxquels il est urgent de réfléchir. Attention de ne pas nous laisser infecter nous aussi par ces redoutables dégâts collatéraux!
@norma
L’histoire jugera de la plus grande manipulation de de tous les temps mais je vous conseille de ne plus mettre le nez dehors l’hiver car la grippe saisonnière tue 650.000 personnes chaque année…avec un vaccin existant !
A ce jour il y a en 4 mois moins 200.000 morts !
Faites le compte et confiner dans la déconfiture de votre réveil économique !
A bon entendeur
Bravo Bien dit
je parle du commentaire de @Macallan
Moins de 100 morts (~75) de la grippe en France cette saison 2019/2020 !!!!
Il faut revoir vos chiffres !
C’est ce genre d’affirmation, dont on nous a rebattu les oreilles, qui a fichu un sacré doute dans tous les esprits.
Reste que je suis d’accord avec le fait qu’on en a fait tout un plat alors que le pourcentage de morts dans le monde et même en France reste très faible. Serait-ce la preuve qu’on nous cache ENCORE (et comme toujours) la partie immergés de l’iceberg des dégats a long terme sur l’humanité toute entière ?
Manipulation (au singulier ?) dites vous…. VRAI !
Mais laquelle:
– Génétique ou Politique ?
– Sanitaire ou économique ?
@Macallan, vous avez triplement raison. Mais les catastrophistes vous répliqueront que si on n’avait pas confiné, il y aurait dix, cent ou pourquoi pas mille fois plus de morts (quand on affabule, il n’y a pas de limites, alors autant y aller).
J’ai ainsi entendu sur un plateau télé la virulente Karine Lacombe déclarer hystériquement qu’il y aurait eu “des millions de morts” sans le confinement. J’aurais voulu pouvoir lui demander si elle avait fait une étude en double aveugle pour valider ses chiffres bidons. Ce sont des affirmations totalement gratuites. On ne pourra réellement faire une estimation que quand on aura des données épidémiologiques fiables sur la contagiosité, la létalité suivant l’âge et la condition sanitaire, etc etc. Pas avant des mois et même des années…
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Effectivement, on se demande pourquoi on ne confine pas chaque année de la même façon pour éviter la grippe. Si les gouvernants étaient logiques, il y a belle lurette qu’ils le feraient.
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Concernant le nombre de morts, vous avez aussi raison il faut les mettre en perspective avec les autres causes de décès (dont la première, je le rappelle, reste l’âge – en terme savant sénescence).
Pour ceux qui l’ignorent, en France métropolitaine, bon an mal an, durant les 4 mois d’hiver 220000 personnes (environ) décèdent.
Cette année, le chiffre (provisoire), à cause de la formidable super surmortalité due au coronavirus terriblement meurtrier pire que la peste de 1347, le nombre va dramatiquement s’élever pour atteindre le chiffre terrifiant de … 220000!
[c’est là : https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/000436394?idbank=000436394#Tableau%5D
[en passant, les stats de janvier-février ont été inhabituellement rectifiées et relevées de +5000 chacun par rapport aux chiffres du mois dernier. Etrange, alors que les chiffres provisoires de 2019 sont restés inchangés depuis leur publication. Je soupçonne les gars de l’INSEE d’avoir procédé à une réévaluation sauvage “à la main” pour inclure l’impact hypothétique du corona. Ca la foutait sûrement mal d’avoir moins de morts que l’an dernier sans épidémie particulière! Je parie pour une grosse revoyure à la baisse pour les chiffres définitifs]
Soyons, honnête : il faudra attendre d’avoir le chiffre d’avril voire mai pour évaluer l’impact de l’épidémie. Mais en attendant on est loin d’une épidémie super-meurtrière, en termes d’impact.
Car d’un autre côté le corona a paradoxalement protégé de la grippe, des pneumonies, etc., et donc réduit la mortalité due aux autres causes habituelles.
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Toujours dans la mise en perspective, au niveau mondial cette fois, entre 22 et 25 millions de personnes sont décédées depuis le 1er janvier (évalué en se fondant sur le chiffre annuel, et en incluant la surmortalité en hiver dans l’hémisphère nord – 90% de la population mondiale).
Dans cette perspective, les décès par le covid19 représentent donc environ 1% des décès sur cette période. C’est moins que les variations aléatoires… Statistiquement et démographiquement, l’impact est nul, on aurait eu le même résultat (et même pire) avec un hiver plus froid ou plus long qu’à l’habitude.
D’autant plus qu’il semble que cette année l’hiver était notoirement moins meurtrier (hors covid19) qu’à l’habitude
Cela signifie que si l’on n’avait pas identifié et repéré le covid19 et qu’il avait fait son œuvre silencieusement et insidieusement, on ne s’en serait pas aperçu dans les stats de mortalité.
Ok, c’est un peu une vue de l’esprit de statisticien, la submersion des services de réanimation ne serait pas passée inaperçue. Mais c’est pour dire qu’au niveau de l’impact démographique global, cette épidémie est insignifiante, une piqûre de moustique sur un éléphant. Et ce d’autant plus que la plupart des décédés étaient âgés et en fin de vie (désolé, mais c’est le cynisme du froid démographe qui parle. Il n’est pas là pour pleurer les morts, juste les enregistrer)
Je ne vous suis pas du tout.
D’abord la liberté ne s’arrête pas où commence celle des autres, ça c’est la loi du plus fort, le far-west ; la liberté de l’honnête citoyen désarmé s’arrête devant celle du bandit armé!
Non, votre liberté prend fin lorsque commence de droit de propriété d’autrui.
Quant à l’article cité, je ne vois pas le rapport avec la “liberté” mais plutôt avec l”irresponsabilité, l’irrespect du contrat qui liait le personnel du centre envers les résidents.
A moins que vous pensiez à l’utilisation abusive du droit de retrait ou de grève, donc on voit déjà les effets en France, et qui exploseront après le 11 mai.
A mon avis il faudrait plutôt appeler cela de l’EGOISME, du NOMBRILISME !
Un proverbe hélas dit bien la chose “chacun pour soi et Dieu pour tous”!!!
@norma
L’histoire jugera de la plus grande manipulation de de tous les temps mais je vous conseille de ne plus mettre le nez dehors l’hiver car la grippe saisonnière tue 650.000 personnes chaque année…avec un vaccin existant !
A ce jour il y a en 4 mois moins 200.000 morts !
Faites le compte et confiner dans la déconfiture de votre réveil économique !
A bon entendeur
@Macallan On peut se vacciner contre la grippe saisonière ! Si vous ne l’avez pas fait, c’est donc à vos risques et périls. Il n’y a en revanche aucun vaccin contre le coronavirus,
la responsabilité de celui qui ne prend pas des mesures sanitaires est don fortement engagée. Plaie d’argent n’est pas mortelle. Oui, l’histoire jugera notre immoralité du temps du coronavirus. Mieux vaut trop informer. Ce n’est donc pas une psychose collective, mais un avertissement collectif
@norma,
Je ne sais ce que. vous recherchez sur Dreuz ?
Je vous invite à regarder la nouvelle vidéo de Guy Millière ?
Bon confinement 😭
Votre voisin geôlier
Jamais eu de vaccin jamais eu de grippe Si je dois mettre du poison dans mon corps je le choisis, preferablement d’au moins 12 ans d’age et aussi “Single Cask”.
Ce qui est intolérable est cette volonté des “progressistes” de faire le bonheur des gens malgré eux : confiner les vieux “pour leur bien”, comme si les vieux n’étaient pas capables de savoir ce qui est bon pour eux ; comme s’ils allaient aller exprès, ou même avec insouciance, au-devant d’un virus particulièrement dangereux pour eux.
Quant à enfermer les personnes vulnérables pour protéger les autres, c’est d’un furieux ridicule : les autres, les non-vulnérables, par définition ne risquent rien s’ils contractent le Covid, du moins pas plus que s’ils attrapaient une grippe saisonnière.
La réflexion sur le port du masque obligatoire pour tous, la distanciation obligatoire pour tous, est également très intéressante : comment vont faire les gens, en particulier les jeunes, pour faire des rencontres, pour se marier, fonder une famille, s’ils ne peuvent même plus se voir, encore moins se toucher ?
PS : bravo au Président Trump, enfin du bon sens dans cet océan de crétinerie “progressiste”.
@Jacques Ady
Permettez moi de compléter votre phrase :
…dans cet océan de crétinerie « progressiste » et de terreur organisée qui essaie de nous amener à un bouleversement mondial où le mot liberté sera rangé dans les souvenirs .
Trump est le seul obstacle majeur pour ceux qui rêve de ce monde “leur poil à gratter”
Il est seul rempart et soutien dont le monde libre dispose .
Il n’est plus temps de tergiverser et se perdre en conjectures inutiles mais de se rendre compte de la menace et le soutenir dans toutes discussions afin d’essayer de faire prendre conscience à vos proches .
Personnellement j’ai l’impression de prêcher dans le désert mais j’essaie …
Le point d’orgue de cette crise orchestrée est au mois de novembre qui décidera de l’avenir du monde, les élections américaines !!!!
@Jacques Ady : Les non-vulnérables veut dire les non-infectés qui peuvent parfaitement le devenir au contact des infectés.
No comment .
Votre liberté vous appartient, confinez seul avec votre famille en étant payé à rien foutre avec l’argent des impôts … vous resterez vivant .
Perso je sors … de cette discussion stérile 😉! !!
@Macallan “Votre liberté vous appartient”, écrivez-vous, et la liberté des autres leur appartiennent aussi. Bonne soirée
@ Norma : et alors ? Un jeune en bonne santé qui contracte le Covid-19 aura au pire des symptômes semblables à ceux d’une grippe saisonnière, parfois beaucoup moins. Son risque d’en mourir est de l’ordre du 1/10.000ème, moins que pour beaucoup d’autres maladies.
À ce compte-là on ne fait plus rien, on ne sort plus, on ne prend plus sa voiture, on ne part plus faire de sport, on ne travaille plus, on teste terré et prostré dans sa chambre… et on finit par mourir de faim, parce que les aliments ne se fabriquent pas tout seuls.
J’ajoute que plus des personnes non-vulnérables attraperont le Covid-19, et plus on aura de gens immunisés (en principe), donc qui constitueront autant de barrières à l’épidémie – c’est d’ailleurs la raison pour laquelle une épidémie s’éteint d’elle-même quand une partie significative de la population a été infectée.
Le seul problème, c’est si une personne non vulnérable refile le virus à une personne vulnérable. Dans un monde respectueux des libertés, les personnes vulnérables se protègent elles-mêmes (confinement volontaire, masque à l’extérieur, “distanciation sociale”…) et il est demandé aux non-vulnérables de respecter les vulnérables et d’éviter de leur refiler le virus ; choses qui se font naturellement toute l’année dans tous les pays avec la grippe et autres maladies contagieuses. Une personne bien élevée qui a la crève évitera d’elle-même d’embrasser ou même de serrer la main aux autres.
Après, il existe toujours des irresponsables, qui se fichent un peu de transmettre leur virus aux autres ; mais ceux-ci sont rares et en général repérés et condamnés par les autres.
Alors ne paralysons pas toute la société, avec les conséquences dramatiques pour l’économie (donc à terme pour beaucoup de vies) et même pour les relations sociales en général que cela a.
Les gouvernements s’acharnent à inoculer une psychose collective d’une part en auguant de contaminations à progression exponentielle avérée, mais surtout pour masquer leur coupable impréparation à y apporter remède. C’est indéniable.
Cependant, outre la leçon déjà admise, de devoir réviser notre inimaginable dépendance à l’Asie en matière de biens essentiels, une nouvelle mise en garde commence à percer à l’occasion de la toute récente révélation du Pr Montagnier sur des manipulations de virus où la réalité dépasse la fiction des polars les plus imaginatifs.!.Là, Monsieur Touati, se trouve un risque REEL de psychose collective où les gouvernants auront à jouer une partition inédite dans le concert mondial des refrains protectionnistes..dont l’issue rivalisera avec celle de la bombe atomique..
Bonjour le brainstorming des “jours d’après le confinement “..!.