Dans deux jours (le 24 avril), ce sera le début du ramadan. En France, cela ne devrait se traduire par rien de spécial mais cette date est cependant surveillée de très près par les autorités : alors que la situation sanitaire et économique est, pour le dire gentiment, encore un peu confuse, le gouvernement sent qu’une période de nouvelles incertitudes et de tensions s’ouvre devant lui.
Cette année, le problème est en effet d’autant plus aigu que sont normalement « confinés » certains endroits où ont généralement lieu les versions les plus festives du ramadan français.
Ce confinement, au départ décrété pour éviter une extension foudroyante de l’actuelle pandémie, s’étale maintenant depuis un mois et se maintiendra un mois de plus avec tous les ingrédients réunis pour que les choses se passent sinon mal, au moins de façon complexe : l’économie est à l’arrêt, les forces de l’ordre sont sur les dents, et l’arrivée des beaux jours ne pousse pas spécialement les populations à rester au chaud chez elles.
Ainsi, même si – comme l’a révélé un récent article du Canard Enchaîné – les policiers ont reçu pour instruction d’éviter certaines cités par crainte d’un embrasement peu propice à éteindre les foyers épidémiques, cela n’empêche pas certaines frictions d’exister : à Grigny ou Chanteloup, aux Mureaux, à Mantes-la-Jolie ou à Villeneuve-La-Garenne, les activités festives de plein-air se multiplient depuis les échauffourées, les guet-apens et les rodéos jusqu’aux tirs de mortiers sur les forces de l’ordre.
Il faut dire que, dans ces quartiers, les rentrées régulières d’argent sont compliquées par le confinement. Quant aux trafics de tous genres, ils sont interrompus tant par manque de clients que de matériel ou d’opportunités.
Certes, si l’on peut raisonnablement supposer que les principaux grossistes en produits stupéfiants et autres herbes amusantes ont encore un confortable matelas d’argent liquide devant eux, il en va différemment de la piétaille qui vit chichement du trafic et des petits boulots, souvent au noir, qu’il leur est impossible d’exercer à présent. Traditionnellement, les cités les plus industrieuses sont aussi les plus calmes ; avec le confinement, l’industrie a disparu et l’oisiveté, mère de tous les vices, pousse le vague-à-l’âme de certains vers des extrémités trop festives et résolument peu citoyennes.
Jusqu’à présent, les médias, se contentant essentiellement d’insister sur le lourd tribut sanitaire payé par certains départements les plus turbulents, ont fait assaut de précautions pour ne surtout pas détailler les heurts qui se multiplient pourtant dans les quartiers émotifs.
Même si l’avalanche de cas est à portée d’une recherche Google, le journalisme n’ira pas jusqu’à compiler l’état des lieux : ce serait dommage de multiplier les articles anxiogènes à ce sujet alors que le pays traverse déjà des périodes difficiles en découvrant que son système de soin, pourtant inondé d’argent public, patauge dans les pénuries multiples et consternantes. Ce serait encore pire si, d’un coup, les Français se rendaient compte qu’ils paient – fort cher – pour des forces de l’ordre dont le seul fait d’armes sur les quatre dernières semaines aura été de pruner compulsivement des citoyens qui vont trotter dans les bois, faire pisser le chien ou acheter un pot de peinture au supermarché du coin, en lieu et place de faire régner l’ordre et la discipline dans les quartiers les plus émotifs de la République.
Evidemment, les plus charitables d’entre nous pourront croire que ceci n’est que la conséquence malencontreuse d’une désorganisation complète (mais temporaire, rassurez-vous !) de l’État. Cette hypothèse, forcément hardie, n’est pourtant pas la plus probable puisqu’il s’agit, on l’a vu, d’un choix : tenter la mollesse et l’apaisement, « quoi qu’il en coûte » apparemment. En somme, à l’absence de stratégie (patente dans le cas sanitaire) s’ajoute maintenant la stratégie de l’absence en matière d’ordre sur le territoire : absence de l’État et de la police.
Cette évaporation complète du régalien dans ces cités est une nouvelle preuve du délitement de la République, mais c’est aussi un nouvel affront aux citoyens honnêtes et travailleurs qui paient, pistolet sur la tempe, toutes les taxes et impôts qu’on leur réclame pour assurer la continuité de l’état de droit. Parmi ceux-là, des habitants de ces quartiers, des commerçants, des indépendants, des citoyens pas moins méritants que sur le reste du territoire qui doivent déployer des montagnes de courage et d’abnégation pour supporter de vivre dans ces zones abandonnées de pouvoirs publics qu’ils payent pourtant bien trop cher. Le droit à la sécurité, essentiel dans une société qu’on veut libre, efficace et enrichissante, leur est, de fait, refusé, essentiellement parce que nos élites ont fait un choix, depuis des années, d’abandonner ces quartiers à leur sort.
Et alors que les tensions montent dans ces quartiers, alors que tout indique que les festivités du ramadan seront aussi souvent que possible un prétexte pour défier les autorités et embraser ces cités, et ce alors même que les rassemblements signifieront probablement de nouvelles contaminations et de nouvelles entrées en réanimation, on est en droit de se demander, exactement comme pour le système de soin, où diable sont passés les impôts qui auraient dû être consacrés à garantir l’état de droit…
En définitive, de la même façon qu’en choisissant le confinement pour éviter l’effondrement de notre système de soin, on aura le confinement ET l’effondrement et pas seulement du système de soin mais de tout le reste aussi, le gouvernement a là encore choisi l’absence pour éviter l’embrasement et vraisemblablement, on aura l’absence ET l’embrasement.
Ce pays est foutu.
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Ces quartiers vont terminer dans une épidémie de Peste !!!!
il n’existe pas de bon “musulman” ni de bon “islam” pas plus qu’il n’existe pas de bon “cancer”, de bon bacille de cock , de bonne malaria, de bonne lèpre ou de bonne peste bubonique
toute forme d’islam est criminelle et l’adhésion à cette horreur, c’est devenir “positif” au pire virus jamais conçu par l’homme et devenir ainsi porteur de la maladie, la pire de toutes depuis 1400 ans
bremin Oui c’est tout à fait ça! et nous les chrétiens n’avons plus aucun droit sinon celui de “la fermer”! C’est violent comme régime!
Excellent constat.
Il doivent servir de placebo dans les hôpitaux
Debecker
détrompez-vous ,c’est nos “vieux” qui servent malheureusement de placebo dans les hôpitaux
Ce désordre est anticipé de longue date. Macron y met la dernière main. Ordo ab chao.
Politicards vendus.
État policier.
Islam en fête
Ce pays est foutu.
Il faut bien comprendre l’Islam. Il s’agit d’une religion d’amour de la haine, de tolérance de tous les trafics et de paix des cimetières.
“Ce pays est foutu”……….avec M. Macron sûrement……………..
Avec un Vrai Président , Homme Vrai………….certainement pas !!!
Qui? Depuis la IIIe république, au moins, nous n’avons pas eu de gouvernement digne de ce nom!
Quelques saltimbanques doués pour le mensonge à jet continu, parfois depuis des décennies. Encensés par des politiques ou des médias aveugles, souvent volontairement!
Le terme même de “bavures policières”, le fait que des “voyous” abondamment recensés puissent porter plainte contre des policiers qui veulent simplement faire respecter les codes de bien vivre en société. L’emploi même du mot “société”devient une provocation pour trop de certains!!!
Religion de tolérance, d’ amour et de propreté
Bizarre cette religion, son dieu est un démon puissant, son livre est un tissus de contrevérités qui s’opposent les unes aux autres, d’appels au meurtre en tous genres, de falsifications de personnages bibliques…etc..
Et la gauche française s’en régale, la chouchoute et va même ainsi jusqu’à la promouvoir.
L’islam en pays communiste et chinois ne semble pas se réjouir de la gauche au pouvoir, ils y sont maltraités comme les chrétiens!
Mais nos socialistes n’ayant plus rien à raconter au bon peuple de France, et ramassent ainsi les restes jugés utiles à d’éventuelles ré-élections! De Mitterand à Flamby, il ne reste plus rien du socialisme sauf à essayer d’attraper ces pauvres bougres qui se trouvent mieux en France que dans leurs pays d’origine!
Enfin, cherchez sur la mappemonde où se trouvent les dictatures les guerres et les famines…dans les pays où règne cette religion d’amour et de paix…. comme dans nos prisons d’ailleurs!