L’élection de Macron a été une incongruité qui confirma que jamais les socialistes n’abandonneraient le pouvoir à la suite d’une défaite électorale. Ils sont des opportunistes recyclés LREM trop peu démocrates pour respecter en quoi que ce soit le suffrage universel.

Il faudrait un cataclysme politique et social extérieur à la routine constitutionnelle pour les contraindre à déguerpir. Quand Macron a voulu inventer un comité de soi-disant experts pour se protéger de son incompétence et de sa désinvolture coupable face à la pandémie du Coronavirus, cet empressement parut peu crédible et peu adapté par rapport à l’importance de la question.

Il gêna encore plus la connaissance du problème, en conformité à ce qu’avait déjà pratiqué Macron pour que chacun puisse connaître la lourdeur de ses intentions dont il pouvait accabler ceux qu’il voulait séduire et manipuler afin de les transformer en serviteurs de son incompétence et du vide de sa pensée. Son appel à un comité de soi-disant experts pour se protéger de son incompétence et de sa désinvolture coupable face à la pandémie du Coronavirus a paru d’emblée d’autant plus saugrenu que Macron n’écoute personne.

Sans doute Macron s’était-il fié à une antique pratique des politiciens médiocres de se défiler de leur incompétence sur les autres pour tenter de sauver la face ! Cette imposture de Macron à la présidence de la République tombait à plat, tant elle semblait irréelle. La suite ne le fut pas moins. Non que Macron ait raté son opération en forme de simulacre, puisque, bien au contraire, il parvint, au-delà même de sa propre espérance, à imposer son comité fantoche dans tous les médias collabos et sur toutes les télés vulgaires en continu.

Mais l’aventure fut bientôt irréelle en ce qui concerne la lutte incohérente de ces pieds nickelés de la science face à la pandémie du Coronavirus. Cet embrigadement parmi les conseillers de son comité fantoche, ce à quoi tendait cette mystification, en amena heureusement certains à ne jamais à lui donner le moindre conseil, faute d’être écouté. Là encore, il est probable que le succès médiatique récent et provisoire de son comité fantoche ne fera pas long feu par le mélange malsain des idéologies de ceux qui le composent.

Ce système de dictature médiatique, et de démocratie usurpée en forme de démocrature du système LREM, avait incité Macron à estimer que la présence sous ses pieds de son comité fantoche, son prétendu brain trust soi-disant scientifique, à l’existence duquel croyait la presse collabo, ferait son effet sur l’électorat.

La presse collabo a fait tout son possible pour soutenir l’idée de son comité fantoche pour faire croire à la nécessité de coaliser une réplique nationale socialiste démocratique face à la pandémie du Coronavirus.

Mais le comité Fantôme de ces soi-disant experts ne servit pas réellement de conseiller à un homme qui n’en avait pas besoin, ou plutôt, qui n’en éprouvait nul besoin. Le seul domaine qui l’intéresse est la tactique. Avoir auprès de lui des intellectuels soi-disant experts et le faire savoir fait partie de sa tactique. Les écouter sur des sujets comme la réplique nationale face à la pandémie du Coronavirus, en aucune façon ! Ce n’est pas davantage pour les écouter, ni pour écouter les autres figurants de la recherche sur la pandémie du Coronavirus, qu’il inventa son Comité Fantôme. Pourtant, la ficelle est très grosse : le but de Macron est de masquer son incompétence et ses erreurs présentées comme fondées sur la science et pas sur sa politique.

Donc de présenter sa désinvolture coupable comme justifiant des mesures répressives et fiscales que le désastre de sa désinvolture coupable comportera très probablement comme objectivement nécessaires et justifiées par la science, et donc par conséquent des mesures répressives et fiscales jugées incontestables.

Quand le Pr Raoult dénonce les dangers d’une culture excessive du consensus, il subit les attaques des nantis de la caste du CNRS payés à de rien faire. Comme disait le Général de Gaulle : « Des chercheurs, on en trouve, mais des trouveurs, on en cherche ! » Les oisifs de la caste croient en l’intelligence collective des autres, c’est pourquoi la macronnerie ne manque ni de faux experts, ni des talents du progressisme vulgaire.

Christine Tasin : Coronavirus : ATD Quart-monde-migrants siège au Conseil scientifique qui conseille Macron ! Marie-Aleth Grard, nommée au Conseil scientifique, vice-présidente d’ATD-Quart monde, siège au Conseil Économique et Social, elle est aussi au Conseil supérieur des programmes de l’Éducation nationale et elle multiplie les rencontres avec les syndicats de l’EN, la FSU notamment qui comprend le Snes… Bref, de réseau en réseau, de commission en commission, de conseil en conseil, une noria de petits dictateurs non élus mais nommés par des politiques qu’ils instrumentalisent et qui les instrumentalisent font la loi. Si le Comité Fantôme était composé d’épidémiologistes, de microbiologistes, d’infectiologues, de virologues et autres spécialistes du domaine médical, il n’y aurait rien à redire. Malgré cela ce Comité n’est pas composé seulement de spécialistes de ces disciplines. Il est absurde que Macron, face à une épidémie dont la solution nécessite des connaissances en sciences naturelles, se soumette aux diktats des activistes écolo-gauchistes et à ATD Quart-monde-migrants et pas aux avis donnés en toute indépendance par les meilleurs spécialistes.

On peut comprendre que grâce à la dictature écolo-gauchiste du progressisme vulgaire, les véritables aspects sanitaires, économiques et sociaux seront irrémédiablement sabordés ! Voilà qui est très révélateur du Comité fantôme qui est en train de se conforter sous nos yeux et qui consiste à utiliser des experts soi-disant scientifiques pour cautionner une politique et dissimuler son caractère écolo-gauchiste vulgaire.

Les soi-disant scientifiques du Comité Fantôme font une double erreur. Même s’ils gardent leur liberté de parole, les épidémiologistes, virologues et autres spécialistes n’auraient jamais dû accepter de participer à cet organe dont la fonction essentielle est de maquiller une politique ultra-gauchiste en nécessité scientifique.

Ils accréditeront l’idée que les chercheurs subventionnés sont toujours au service du pouvoir, ce qui est une réalité objective et aussi un des thèmes de prédilection des théories soi-disant complotistes.

Le chef du Comité Fantôme est désigné par Macron et non pas selon des procédures scientifiques, par des choix codifiés, au sein du groupe des scientifiques qualifiés. Les membres du Comité Fantôme pro-Macron ont été désignés hors des procédures scientifiques par la faveur et selon le bon plaisir de Macron.

Une véritable confiance faite au civisme des vrais scientifiques ne peut se concevoir dans la mentalité arbitraire et antidémocratique de Macron. Et de surcroît, le secret des manipulations de Macron ne serait pas forcément respecté. Le chef et les membres du Comité Fantôme perçoivent pour leur acte de présence en tant que figurants une rémunération officielle s’ajoutant à leurs autres indemnités variées et salaires.

Or Macron préférerait renoncer plutôt que de filer du fric à des vrais scientifiques indépendants pour qu’ils se préparent au mieux à lui donner des arguments probants basés sur des vérités scientifiques.

La tendance est plutôt de vider de leur sens la plupart des arguments probants basés sur des vérités scientifiques. La faveur de Macron n’aura valu à chacun des ses copains qu’un tabouret bien rémunéré à la table de Macron, lui-même de petite taille, physique et mentale, intellectuelle et morale. Encore des belles casseroles de la gabegie à venir pour financer une institution Fantôme comme la plus bouffonne du monde qui devrait justifier la barbarie de la répression qu’il aura infligée arbitrairement à la France et aux Français.

Mais Macron ne leur donnera la parole que pour endosser le programme de la répression imposé à la France et aux Français. C’est pourquoi on ne peut considérer Macron que comme un petit manœuvrier sans doctrine, avec toutes les manipulations qui ont accompagné sa trajectoire pendant une dizaine d’années.

 À l’époque de la lutte contre la pandémie du Coronavirus, Macron n’a toujours pas encore élaboré ni, plus exactement, entériné, car ce n’est jamais lui qui élabore, un programme sanitaire clair et déterminé. Il a encore moins dirigé le pays comme un vrai président. On ne peut donc que soupçonner l’immense banalité des idées, changeantes et contradictoires au gré des circonstances, auxquelles il se laisse aller à souscrire, ni mesurer l’étendue de son indifférence au vrai et au faux dans la lutte contre la pandémie du Coronavirus, ni sonder la profondeur de son opportunisme intellectuel et le vide de sa pensée soi-disant intelligente et subtile.

Sans doute tente-t-il de cacher avec adresse à la télé, sous la vivacité de son bavardage, un sens de l’esquive. Mais il ne le comble pas et il ne l’aura jamais comblé à l’aide de ses seuls artifices verbaux, tant admirés des benêts LREM. Qu’on cite une seule idée originale de Macron et une analyse qui n’aurait pas vu le jour sans lui ! Et surtout, comment la France et les Français pourraient accepter l’arbitraire et les dérives de son pouvoir personnel ! Il faut se rappeler combien cette autocratie du progressisme vulgaire fait régner une atmosphère difficilement respirable pour tous ceux qui soi-disant conseillent Macron à l’Élysée.

Macron totalitaire ignore que les gouvernants sont les employés des citoyens et non leurs maîtres ni leurs abuseurs. Condamner cette morgue hégémonique de Macron totalitaire est une urgence absolue ! À ceux qui oublieraient aujourd’hui le poids de cette autocratie, particulièrement humiliante dans l’information-propagande incessante sur toutes les télés collabos en continu, il faut rappeler que la désinvolture coupable de Macron face à la pandémie du Coronavirus devra justifier des mesures répressives et fiscales qu’il aura infligée arbitrairement à la France et aux Français. Est-il normal que tout le monde, tous partis confondus, et tous les journaleux, tombe dans un unanimisme de plus en plus déplacé, car enfin, le mensonge et la fable de Macron sans défaut ne manqueront pas à l’avenir de subir la critique nécessaire d’une opinion éclairée.

Comme son Maître Hollande, ce même Macron considérait les journalistes « utilisables collectivement, et méprisables individuellement » : un régime qui tient la presse pour rien, juste un instrument de pouvoir. Et on ajoute que la question de la légitimité autocratique via l’élection au suffrage universel ne se pose pas dans l’esprit de Macron qui pense, en terme de monarchie républicaine, à une « monarchie élective » de droit divin.

Macron a mis en mouvement les violences sociales et la violence d’État. Il a utilisé les logiques de la violence d’État en instaurant une démocratie usurpée. Au cœur des institutions politiques modernes, Macron a instauré la violence de l’État socialiste LREM qui, en démocratie, est le plus souvent masquée, mais n’en reste pas moins toujours présente lorsque la domination du bloc bourgeois est menacée.

La violence de l’État socialiste LREM est dirigée contre les doléances de groupes sociaux rackettés comme les Gilets jaunes qui s’opposent à l’État socialiste LREM avec plus ou moins de vigueur pour mettre en avant leur vision politique et leurs revendications sociales. Si l’État socialiste LREM prétend au monopole de la violence, celle-ci a comme particularité d’être contestée comme illégitime bien que soi-disant soumise à un ensemble de contraintes juridiques et pratiques qui sont supposées en limiter l’utilisation arbitraire, abusive et désordonnée avec les éborgneurs armés de LBD contre des manifestants objectivement pacifiques.

La tyrannie de la minorité socialiste LREM-GOF-LGBT contre la majorité des Français du pays réel est une explication de la dictature des minorités dominantes socialistes LREM au service du bloc bourgeois totalitaire. Avec Macron, les classes dominantes du bloc bourgeois contrôlent le pouvoir politique et l’utilisent pour mieux exploiter les masses populaires et s’assurer de leur soumission. La domination politique du bloc bourgeois totalitaire a pour cause la domination des milliardaires qui ont fait élire Macron en 2017. Les classes dominantes du bloc bourgeois totalitaire n’abandonneront jamais facilement leurs privilèges et leur pouvoir, pour qui le contrôle de l’État est décisif pour opérer les bonnes affaires, les plus juteuses qui soient !

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