Publié par Magali Marc le 24 avril 2020

Les Démocrates ne sont pas du genre à gaspiller une crise. Nancy Pelosi se prélasse dans sa villa de luxe et retarde l’adoption du Paycheck Protection Program. Alexandria Ocasio-Cortez se réjouit de la baisse du prix du pétrole et dit aux gens de refuser de retourner au travail. Andrew Cuomo envoie promener les chômeurs manifestant à New York en leur disant qu’ils n’ont qu’à se faire embaucher dans les entreprises «essentielles».

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit la chronique de Kurt Schlichter, parue sur le site de Townhall, le 23 avril.

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Les Démocrates appellent de leurs vœux une dépression économique

Le Parti de l’Ane malveillant cherche activement à plonger le pays dans une dégringolade économique, tout en ayant l’air de ne pas y toucher, mais que ferait-il différemment s’il était au pouvoir ?

Rien.

Il ferait exactement ce qu’il fait en ce moment – il ferait la promotion des Chinois communistes qui bouffent des chauves-souris, il retarderait l’aide nécessaire pour faire fonctionner l’Amérique et, de manière générale, il essayerait de nous maintenir tous enfermés dans le noir à perpétuité.

Il est juste de supposer que vous prévoyez les conséquences des actions que vous entreprenez, et la conséquence des actions que les Démocrates entreprennent est la ruine économique. Le fait est qu’ils sont tout à fait d’accord avec cela si c’est ça qui peut les ramener au pouvoir.

Les Démocrates ne sont pas du genre à gaspiller une bonne crise, et cette grippe de Wuhan est une très bonne crise si votre objectif est d’établir l’hégémonie de la gauche.

L’économie de Trump était en plein essor après la quasi-décennie du marasme Obama, et les gens commençaient à goûter à la prospérité. Mais une Amérique heureuse et prospère est une chose que les Démocrates ne peuvent pas supporter.

Tout ce que les démocrates avaient à vendre, c’était des cris répétés de «RACISME» et de «RUSSIE», et leur porte-drapeau était ce taré de grand-père Aux-mains-Baladeuses, qui promettait de nous replonger dans le cauchemar de l’échec mondialiste.

L’avenir s’annonçait sombre, ce qui signifie qu’il s’annonçait, en fait, lumineux pour le reste d’entre nous.

Le coronavirus chinois est un rêve devenu réalité, un Deus Ex Pangolin qui, après une série interminable de fuites dans les médias, de mises en accusation, d’enquêtes et d’effondrements médiatiques, pourrait finalement être la solution magique qui fera tomber Trump.

Suis-je en train de dire que les Démocrates exploitent la pandémie à leur avantage ? Eh bien, oui. Tout ce qu’ils font est cohérent avec cela.

Tout. Non, dans l’abstrait, beaucoup d’entre eux ne préféreraient probablement pas que des dizaines de milliers d’Américains meurent (je reçois assez de tweets de gens qui souhaitent ma mort pour savoir, de leur propre bouche crasseuse, que certains veulent absolument que nous mourions), mais leur attitude semble être que si le destin vous envoie des dizaines de milliers d’Américains morts, autant en profiter.

À la lecture de ce texte, il y aura des gauchistes démocrates, des conservateurs traîtres et et peureux qui vont protester et pousser des cris d’orfraie parce que j’ose mentionner cette vérité manifeste.

Permettez-moi donc de recommander à ceux qui sont contrariés d’aller se calmer en dégustant un bon bol de glace au chocolat artisanale, dont on m’a dit, en toute fiabilité, qu’elle rend tout supportable.

Absolument personne ne croit que les Démocrates ne vont pas profiter de cette crise pour traîner le Président Trump dans la boue.

La plupart d’entre eux sont assez rusés pour au moins tenter de dissimuler leurs véritables intentions, mais certains le crieront haut et fort, comme l’a fait la cheffe des Dems gauchistes, Alexandria Ocasio-Cortez (AOC) lors de l’annonce de la baisse du prix du pétrole.

Dans un Tweet, elle s’est dite positivement éblouie par le fait que des millions d’Américains vont connaître la misère!

Pourtant, même elle est suffisamment consciente pour finir par comprendre que c’était une erreur et supprimer son tweet joyeux.

Le fait est que les Démocrates sont le parti qui aggrave les choses.
Nous avons eu Mme Pelosi bavardant avec un médiocre animateur d’une émission de fin de soirée, montrant son dispendieux congélateur rempli à ras bord de pots de glace de luxe pendant que des millions de petites entreprises étaient réduites en poussière, attendant que Madame la Présidente de la Chambre des Représentants des États-Unis daigne enfin permettre de remplir le fonds PPP vide.

Avec chaque jour de retard, elle voit que de plus en plus d’Américains sont sans emploi – 22 millions à l’heure où j’écris ces lignes, mais d’autres sont à venir. C’est une ruine au même niveau que la Grande Dépression, mais la privilégiée de San Francisco merdique n’est pas pressée.

Ce n’est que lorsque les sous-fifres des État violets (les États où Républicains et Démocrates sont à égalité) ont commencé à couiner qu’elle s’est mise à bouger lentement, comme un paresseux.

Elle allait faire disparaître autant d’emplois et de petites entreprises qu’elle le pouvait avant d’inévitablement changer de comportement. Si vous avez été licencié la semaine dernière, vous pouvez la remercier elle et son parti d’ordures.

Les Démocrates veulent ralentir le dé-confinement.

Leur partisans habitent pour la plupart dans les grandes villes et y vivent à l’étroit dans des habitations facilement infectées. Ils vont mettre du temps à se remettre.

Mais dans les grands espaces frais et propres de l’Amérique rouge (républicaine), il n’y a pas besoin de ces absurdités de confinement continu.

Pourtant, les Démocrates, aidés et soutenus par les cafards dans les médias, exigent que chaque État soit traité comme s’il était le pire.

Nous sommes des monstres horribles – si je comprends bien – car nous voulons retourner au travail et ne pas faire faillite.

Selon eux, quelqu’un qui se promène dans une prairie du Nebraska va infecter tout le monde à Brooklyn.

Bien sûr, personne ne croit vraiment cela.

Non, leur plan consiste à tirer parti de la crise pour maintenir en confinement les zones favorables à Trump le plus longtemps possible afin d’y faire le plus de dégâts possible, nuire au président et démolir ses chances en novembre.

Si l’on ajoute à cela la tempête de mensonges des médias qui reprochent au Président de ne pas avoir pris de pause lors de la mascarade d’Impeachment bidon pour verrouiller le pays avant que nous ayons réellement des cas de coronavirus, leur stratégie est claire : utiliser la pandémie comme une arme.

Ce qui signifie que plus nous sommes atteints par le virus, mieux ils se portent.

Mais nous ne sommes pas censés en parler, du moins d’après ceux qui agissent de cette façon.

Mais il faut bien que quelqu’un en parle, et ce ne sera certainement pas nos médias orduriers.

Ce qui a commencé comme des mesures prudentes et temporaires basées sur un respect largement volontaire du bon sens est devenu un gourdin pour taper sur l’économie comme sur un bébé phoque.

Ils veulent envoyer cette marionnette sénile, Joe Le Pervers, dans le Bureau Ovale en utilisant le double mensonge que cette pandémie est en quelque sorte la faute de Trump et que les Démocrates ne vont pas rendre les choses beaucoup, beaucoup plus difficiles.

Encore une fois, qu’ont fait exactement les Démocrates pour contester l’hypothèse selon laquelle ils cherchent à augmenter la douleur dans le but d’obtenir un avantage politique à peu de frais?

Ils ont traîné le Président dans la boue.

Ils ont fait la promotion des Communistes Chinois et ont défendu les minables de l’OMS.

Ils se sont battus bec et ongles contre l’aide dont les petites entreprises ont besoin. Ils ont résisté à la réouverture de l’Amérique.

Les actes sont plus éloquents que les mots, et les actions des Démocrates disent très fort : « La destruction de la sécurité de votre famille est le prix à payer pour que nous reprenions le pouvoir. »

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source :

https://townhall.com/columnists/kurtschlichter/2020/04/23/the-democrats-totally-want-a-depression-n2567395

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