Élu à la tête de l’OMS, le communiste et ancien ministre éthiopien de la santé Tedros Adhanom est accusé d’avoir passé sous silence trois épidémies de choléra en Éthiopie. Pourtant le Monde de gauche met en scène un parcours brillant et un personnage controversé !

Durant la décennie 1980-1990, à peu près toutes les victimes des famines se situent en Afrique et plus particulièrement dans les pays accablés d’un régime marxiste comme l’Éthiopie ! Contrairement à ce que les idéologues bobos du Monde de gauche prétendent, les famines les plus meurtrières de la décennie 1980-1990 se situent dans les pays communistes et ne peuvent donc provenir du capitalisme. En fait, le grand affameur du XX^ème siècle, c’est le socialisme !

Les causes majeures des famines modernes sont politiques. Parmi les plus célèbres de ces causes politiques figurent la collectivisation des terres en Union soviétique durant les années trente (5 à 6 millions de morts dans une seule république : l’Ukraine), le Grand Bond en avant de Mao Tsé-Toung (plusieurs dizaines de millions de morts), ou les transferts forcés de population en Éthiopie marxiste. Quand l’on a ces chiffres monstrueux qu’agitent les hypocrites ou les naïfs bobos du Monde de gauche, ils sont presque toujours dus à l’idéologie et à la seule décision d’un pouvoir communiste. L’Éthiopie marxiste, par une ingérence désastreuse déterminée par pure idéologie et sans nécessité économique, parvient à battre dans un seul pays plusieurs fois le record mondial des morts de faim ! (cité de Jean François Revel, La connaissance inutile)

Émeline Wuilbercq, le Monde de gauche : “Celui qui fut ministre de la santé puis chef de la diplomatie éthiopienne est loin de faire l’unanimité : il aurait passé sous silence trois épidémies de choléra. Une victoire historique ! C’est ainsi que la Commission de l’Union africaine (UA) a qualifié l’élection de l’Éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus à la tête de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il sera le premier Africain à diriger cette agence des Nations unies (ONU) spécialisée dans la santé publique et régulièrement critiquée pour son manque de transparence. Le docteur Tedros, qui n’est pas médecin et qui aurait nié trois épidémies de choléra, était donc le candidat idéal et le premier Africain à prendre la tête de la transparence à l’OMS !

En 1986, nommé expert au ministère de la santé sous le régime dictatorial de Mengistu Haile Mariam, il serait l’un des pires violeurs des droits de l’homme très controversé en Éthiopie. Tedros Adhanom était alors ministre des affaires étrangères (2012-2016) lorsque des manifestations des ethnies Oromo et Amhara, qui représentent près des deux tiers de la population, ont été réprimées dans le sang. La contestation a fait plusieurs centaines de morts et elle a mené, le 9 octobre 2016, à l’instauration de l’état d’urgence qui est toujours en vigueur. En Éthiopie, le gouvernement durcit l’état d’urgence avec de nouvelles restrictions ! Pour la journaliste Reeyot Alemu, incarcérée plus de quatre ans dans les geôles éthiopiennes et aujourd’hui en exil aux États-Unis, le nouveau directeur général est l’un des pires violeurs des droits de l’homme.

C’est pourquoi élire Tedros Adhanom à la tête de l’institution risque de ternir la réputation et la crédibilité de l’OMS. Accusations compromettantes : Frank Ashall, directeur de l’Africa Tobacco-Free Initiative reproche au docteur Tedros d’être davantage un homme politique (corrompu) qu’un spécialiste de la santé !

Lawrence Gostin, expert en santé publique, a accusé l’ancien ministre de la santé communiste d’avoir passé sous silence trois épidémies de choléra en 2006, 2009 et 2011, Tedros Adhanom préférant n’évoquer que les symptômes de la diarrhée aqueuse aiguë. Un terme technique employé pour désigner l’épidémie de diarrhée qui touche actuellement la région Somali, dans le sud-est de l’Éthiopie. Ces polémiques pourraient entacher l’image de l’OMS, déjà vertement critiquée pour son apathie face à l’épidémie d’Ebola qui a tué plus de 11 000 personnes en Afrique de l’Ouest entre 2013 et 2016. Tedros est sûrement le bon candidat !

Dreuz.info : Fidèle à lui-même, le directeur général de l’OMS (communiste) a fermé les yeux sur les mensonges de la Chine. Les médias de masse comme Radio Canada demandent pourquoi Tedros Adhamon Ghebreyesus, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a attendu le 11 mars pour annoncer ce que toute le monde savait déjà depuis un mois, à savoir que nous faisons face à une pandémie du coronavirus. Voici pourquoi le chef de l’OMS, Tedros, a toléré les mensonges et la corruption du président chinois Xi. Le 20 mars, la porte-parole du Ministère chinois des affaires étrangères, Hua Chunying, a dirigé une rafale de tweets insultants vers les États-Unis : “Arrêtez de mentir comme un arracheur de dents !”

“Comme l’ont dit les experts de l’OMS, les efforts de la Chine ont permis d’éviter des centaines de milliers de cas d’infection“, disait l’un des tweets qu’elle avait adressés au secrétaire d’État Mike Pompeo.

C’était sa réponse à Mike Pompeo qui avait déclaré à Fox News : “La Chine a permis à des centaines de milliers de personnes de quitter Wuhan pour aller dans des pays comme l’Italie qui souffre énormément“. La porte-parole du Département d’État, Morgan Ortagus, a riposté dans un tweet supprimé : “Le 3 janvier, les autorités chinoises avaient déjà ordonné la destruction des échantillons du virus #COVID19, réduit au silence les médecins de Wuhan et censuré les inquiétudes en ligne. On doit tenir compte de cette chronologie“.

Quand la Chine a signalé que, pour la première fois, il n’y avait pas de nouveaux cas de virus de Wuhan, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus est passé par Twitter pour féliciter le pays de cette incroyable réalisation ! Dans The Hill du 17 mars, Bradley Thayer, professeur de sciences politiques à l’Université du Texas, et Lianchao Han, vice-président de Citizen Power Initiatives pour la Chine, ont demandé pourquoi ça leur avait pris autant de temps pour agir alors que les responsables de la santé de divers gouvernements les avaient avertis des semaines à l’avance de la dévastation généralisée due au coronavirus. Ils jugent que Tedros a fermé les yeux sur ce qu’il s’est passé à Wuhan et dans le reste de la Chine. Ils disent qu’à la suite de sa visite en Chine, en janvier, il a aidé le président chinois Xi Jinping à occulter la gravité, la prévalence et l’ampleur de l’épidémie de COVID-19.

Les lanceurs d’alerte chinois ont été réduits au silence. Certains ont tout simplement disparu. Le virus a causé la mort et la misère dans le monde entier et si Tedros avait fait son travail correctement au lieu de se mettre à genoux devant Xi, une grande partie de cette souffrance aurait pu être évitée. L’Italie, parce que le Premier ministre du pays a pris la décision stupide d’adhérer au projet chinois “Ceinture et route” en 2019, a été spécialement touchée. L’Iran, qui a également choisi de participer à l’IRB, a aussi été gravement touché.

Nous savons que la première infection est apparue fin novembre à Wuhan. Le pays a attendu plus d’un mois pour en informer l’OMS. La Chine a vigoureusement fait circuler l’information selon laquelle le virus aurait été introduit dans son pays par des membres de l’armée américaine qui s’étaient rendus à Wuhan en octobre pour une compétition sportive. C’est un mensonge complètement absurde qui malheureusement a été répercuté dans certaines parties du monde. Il trouve aussi un écho auprès de ceux qui veulent que ce soit vrai, comme les médias anti-Trump de masse de gauche américains. Non seulement la Chine nie que la grippe de Wuhan est originaire de son pays, mais elle exige des excuses des États-Unis pour ce mensonge !

L’autre partie du blitz de propagande de la Chine consiste à dire au monde que le président Xi est un héros qui a procuré des fournitures et une assistance médicale à d’autres pays. Pendant ce temps, on dit en Italie que Xi veut faire payer son aide humanitaire. Le refus de la Chine d’informer ses voisins de la crise a aggravé la situation pour le reste du monde. Si la Chine avait dit la vérité, le virus ne se serait probablement pas répandu aussi loin. Pourtant, Tedros a continué à faire l’éloge de la Chine pour sa transparence.

Alors pourquoi Tedros a-t-il permis à la Chine cette dissimulation ? Pourquoi défend-il la Chine ? Il est le directeur de l’OMS qui est une agence des Nations Unies. (Personne ne sera surpris d’apprendre que les États-Unis sont le plus grand contributeur de l’ONU). Selon Thayer et Han, alors qu’il aurait dû se concentrer sur les efforts mondiaux de lutte contre la pandémie, Tedros a politisé la crise et aidé Xi à se soustraire à sa responsabilité pour une série de méfaits dans la lutte contre l’épidémie. Thayer et Han l’accusent d’utiliser sa position pour défendre les violations flagrantes des droits de l’homme par le gouvernement chinois.

Barnini Chakraborty, de Fox News, a dit que le fait de maintenir de bonnes relations avec la Chine a d’énormes avantages, non seulement pour l’OMS mais aussi pour l’Éthiopie, le pays d’origine de Tedros.

Depuis plus d’une décennie, l’économie éthiopienne est largement dépendante de la Chine. Pékin a déboursé des centaines de millions de dollars pour des méga-projets dont un nouveau stade sportif national de 160 millions de dollars à Addis-Abeba, la plus grande ville et capitale de l’Éthiopie. La Chine construit la ville en partant de zéro, a déclaré à Politico Welibuw Buzenehe, un commerçant de la région. Sans la Chine, il ne se passerait pas grand-chose ici. La Chine est devenue le principal partenaire commercial de l’Éthiopie.

La Bank of China a investi 2,9 milliards de dollars dans le projet ferroviaire de 3,4 milliards de dollars reliant l’Éthiopie, pays enclavé, au port de Djibouti. L’argent de la Chine a contribué à la construction de la première autoroute à six voies d’Éthiopie. Pékin a le mérite d’avoir aidé à remodeler toute la ligne d’horizon d’Addis-Abeba avec des gratte-ciel et des tours. Mais ces derniers temps, la Chine s’est montré insatisfaite de ses investissements en Éthiopie après que des projets comme la ligne de chemin de fer n’aient pas réussi à générer le type de liquidités que les promoteurs espéraient. Si la Chine se retire d’Éthiopie, l’économie de ce pays africain pourrait s’effondrer, ce que le politicien communiste Tedros cherche désespérément à éviter. ($)

C’est un énorme conflit d’intérêts et il y a pire. Tedros n’est pas médecin et n’a aucune expérience de la gestion de la santé mondiale, mais il a quand même été élu directeur général de l’OMS, a dit Chakraborty !

Au début, Tedros a voulu nommer le dictateur zimbabwéen à l’époque, Robert Mugabe, ambassadeur de bonne volonté de l’OMS ! Après que des allégations de racisme, de sexisme et de corruption largement répandues au sein de l’organisation ont été rendues publiques par une série de courriels anonymes adressés à l’agence The Associated Press, Tedros a ordonné une enquête. Ces courriels ont été envoyés à des cadres supérieurs dont certains étaient accusés en détail pour des actions malhonnêtes et ainsi d’avoir mal dépensé (détourné) l’argent destiné à la lutte contre le virus Ebola au Congo. Après la publication de l’article de l’agence The Associated Press, l’OMS a déclaré qu’elle était au courant de ces allégations et qu’elle avait une tolérance zéro pour les fautes ou les discriminations. Puis l’OMS a fait l’éloge de Tedros et a affirmé qu’il avait défendu l’ouverture, la transparence et la diversité depuis qu’il était nommé chef de l’OMS. Ben voyons !

Cette auto-complaisance a exaspéré certains critiques qui se demandent si l’on peut faire confiance à l’OMS, sous la direction de Tedros, pour mener une enquête sur elle-même. Ils ont souligné sa loyauté envers la Chine et ont demandé comment cela peut être bon pour le reste du monde. Thayer et Han ont écrit : “La pandémie de coronavirus a montré que Tedros n’est pas apte à diriger l’OMS. En raison de son leadership, le monde a peut-être manqué une occasion cruciale d’arrêter la pandémie ou d’en atténuer la virulence“.

Le monde est maintenant confronté à une augmentation des infections et de nombreux pays ont imposé des restrictions. En tant que dirigeant de l’OMS, Tedros devrait être tenu responsable de son rôle dans la mauvaise gestion des efforts visant à contrôler la propagation du virus. (Elizabeth Vaughn du blog politique Red State. Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.)

Daniel Girard, depuis les États-Unis : La crainte de l’OMS de déplaire à la Chine l’a rendue inefficace. Donald Trump a raison de critiquer l’Organisation Mondiale de la Santé. L’OMS se préoccupe davantage de ne pas froisser la Chine que de surveiller l’éclosion des pandémies. Le directeur général de l’OMS a reproché à Donald Trump de politiser le débat parce qu’il a critiqué l’OMS pour sa gestion du début de la pandémie du Covid-19 en Chine. Tedros Adhanom Ghebreyesus a renchéri en avertissant Donald Trump de faire attention à ne pas poser des gestes qui vont mener à plus de  morts. Le président américain est agacé. Alors qu’il ne ménage aucun effort pour contenir et affronter le Covid-19, il examine de plus près le début de la crise en Chine et les recommandations initiales de l’OMS. Donald Trump affirme qu’il va réfléchir à l’investissement américain dans l’OMS, qu’il trouve très centré sur la Chine alors que les USA en sont le principal contributeur.

Tedros Adhanom Ghebreyesus, ministre de la santé (2005-12) et ministre des affaires étrangères (2012-16) pour l’Éthiopie était le candidat de la Chine lors de l’élection à la tête de l’OMS en juillet 2017 !

Alors qu’il était en Éthiopie, la Chine a fait des prêts de milliards de dollars à son pays. Après avoir été élu directeur général de l’OMS, Tedros s’est rendu en Chine où il a décrit le système de santé chinois en des termes élogieux. Depuis lors, il n’a jamais manqué de mots élogieux pour le système de santé chinois.

Le 10 janvier, à la veille du premier décès à Wuhan, l’OMS a conclu, lors d’une enquête préliminaire en Chine, qu’il n’existait pas de transmission interhumaine significative du coronavirus !

C’est ce qui avait amené Tedros à féliciter les dirigeants chinois pour leur transparence. L’OMS a conclu qu’il était inutile d’appliquer des restrictions aux voyageurs. Il a fallu attendre fin janvier, lorsque les premières infections au Covid-19 hors de Chine ont été signalées, pour que le dépistage commence dans les aéroports. Malgré la multiplication des infections, l’OMS a continué à refuser des restrictions aux voyageurs.

L’OMS a déclaré l’urgence sanitaire en Chine le 30 janvier après le signalement de 10 000 infections. C’est à ce moment que Donald Trump a émis des restrictions concernant les voyageurs en provenance de Chine, ce qui avait occasionné des remontrances de la part du directeur général de l’OMS qui avait incité les autres pays à ne pas suivre l’exemple américain. En se prononçant contre la fermeture des frontières pour les gens venant de Chine dès le début de la pandémie, l’OMS s’est vraiment plantée affirme Donald Trump.

Tedros avait alors déclaré que les infections hors Chine étaient bénignes et qu’il n’y avait pas matière à s’inquiéter. C’est le 11 mars, après la propagation du Covid-19 chez 118 000 personnes dans 114 pays que l’OMS a déclaré le coronavirus pandémie mondiale face à un virus très virulent et extrêmement contagieux.

L’Éthiopien Tedros Adhanom, le nouveau directeur très controversé de l’OMS !

Isabelle Lasserre : Comment la Chine tire les ficelles de l’Organisation mondiale de la santé. L’OMS est accusée par les Américains d’avoir minimisé le nombre de morts de l’épidémie à Wuhan pour ne pas froisser Pékin. Donald Trump a protesté contre le biais pro-chinois du directeur, l’Éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus. Le président américain et les sénateurs républicains reprochent à l’OMS d’avoir sous-estimé l’importance de l’épidémie, de s’être rendue complice de la flagrante opération de dissimulation du Covid-19.

Sous la pression de la Chine, l’OMS n’a pas déclaré l’urgence internationale fin janvier et elle a repris sans retenue les éléments de langage du Parti communiste chinois. Pire ! Son président n’a eu de cesse de féliciter les autorités chinoises pour leur transparence depuis le début de la crise !

Brigitte Finkelstein europe-israel.org : Une sénatrice américaine réclame la démission du directeur de l’OMS pour avoir aidé le Parti communiste chinois à dissimuler l’épidémie de coronavirus !

La sénatrice Martha McSally (Républicaine-Arizona) a appelé le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, à démissionner, en l’accusant d’avoir aidé le Parti communiste chinois à dissimuler le nombre réel de cas de COVID-19. Les responsables chinois ont avoué qu’ils n’avaient pas compté les patients asymptomatiques. Des documents internes montrent qu’ils ont pris un certain nombre de mesures pour cacher au monde entier le nombre de décès et d’infections.

L’OMS a fait l’éloge de la Chine à plusieurs reprises, alors que les voyageurs en provenance de Chine ont propagé le virus du Parti communiste chinois, communément appelé le nouveau coronavirus.

“Je n’ai jamais fait confiance à un communiste. Et la dissimulation de ce virus dont ils sont à l’origine a causé de nombreux décès inutiles en Amérique et dans le monde”, a déclaré Martha McSally  sur Fox Business. L’OMS doit cesser de les couvrir. Je pense que le Dr Tedros doit se retirer. C’est tout simplement irresponsable, c’est inadmissible ce qu’ils ont fait alors que des personnes meurent dans le monde entier.”

Le collègue de Mme McSally, le sénateur Rick Scott (Républicain-Floride), a demandé au Congrès d’enquêter pour savoir si l’OMS a aidé le Parti communiste chinois à dissimuler la véritable ampleur de l’épidémie en Chine. “Ils doivent être tenus responsables de leur rôle dans la promotion de la désinformation et dans l’aide apportée à la Chine communiste pour dissimuler la pandémie mondiale”, a déclaré M. Scott dans un communiqué. “Nous savons que la Chine communiste ment sur le nombre de cas et de décès, sur ce qu’elle savait et quand elle l’a su – et l’OMS n’a jamais pris la peine d’enquêter davantage.

Leur inaction a entraîné la perte de nombreuses vie humaines.”

Moralité : Vous savez à quoi vous en tenir quand l’OMS fustige les pays qui n’en font pas assez pour combattre le coronavirus. Le directeur général de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus : “Ce n’est pas un exercice. Ce n’est pas le moment d’abandonner”. Face à la propagation du virus et un bilan de plusieurs milliers de morts, Tedros Adhano, président de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a déploré qu’une “longue liste” de pays n’en fassent pas assez pour combattre le coronavirus. Ben voyons ! TAKAYCROIRE !

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