Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 19 avril 2020

William Audureau de la petite bande des Décodeurs partisans de Google-Le Monde pris en flagrant délit de mensonge avec la mise en scène de la surdose mortelle à la chloroquine pour dénoncer les dangers mortels de l’auto-médicamentation imaginaire, et dans ce cas à propos d’un fait divers bien réel.

Le texte partisan du journal Le Monde de gauche est le suivant : La surdose mortelle à la chloroquine, expliquée en sept questions : Un sexagénaire est mort après avoir ingéré du phosphate de chloroquine pour aquariums. Un fait divers qui illustre les dangers de l’auto-médicamentation. (Par William Audureau Publié le 27 mars 2020 Mis à jour le 31 mars 2020.) C’est un de ces faits divers tragiques, qui en période de pandémie prend des proportions incroyables. Mardi 24 mars, le ministre de la santé, Olivier Véran, alerte sur le cas d’un Américain mort après s’être auto-médicamenté (faux) à l’hydroxy-chloroquine (faux), médicament au centre de l’attention mondiale depuis que le Pr Raoult a affirmé qu’il pouvait permettre de guérir du Covid-19.

Les critiques sur les réseaux sociaux accusent le ministre de propager une Fake News en expliquant que le produit ingéré est en réalité un dangereux produit antiparasitaire toxique pour aquarium qui n’est pas un médicament. Si l’homme est mort pour avoir ingéré une surdose de substance toxique « comparable » à l’hydroxy-chloroquine (cela ne signifie rien pharmacologiquement), pour Audureau, ça justifie les précautions affichées par ceux qui jugent les conclusions du Pr Raoult hâtives. Ou c’est la preuve que le gouvernement est de mauvaise foi et ne prend pas au sérieux une thérapeutique capable de sauver des millions de vies.

La mystification est la suivante : Un sexagénaire est mort après avoir ingéré un produit dangereux : du phosphate de chloroquine pour aquariums. Un fait divers qui illustre, pour les mystifications des décodeurs du journal Le Monde, les dangers de l’auto-médicamentation qui n’existe pas dans ce cas précis. Pour faire marcher la machine médiatique à faire peur, William Audureau fait la critique de bas niveau du type du café du commerce : C’est un fait divers tragique qui en période de pandémie prend des proportions incroyables !

Le texte partisan du journal Le Monde de gauche rapporte : Mardi 24 mars, le ministre de la santé, Olivier Véran, alerte sur le cas d’un Américain mort après s’être auto-médicamenté à l’hydroxy-chloroquine !

Double mensonge attribué par journal Le Monde à Olivier Véran : il s’agit d’un fait divers qui n’a rien à voir avec l’auto-médicamentation puisque le produit antiparasitaire toxique et dangereux pour aquarium n’est pas un médicament ni même une substance pharmacologiquement comparable à l’hydroxy-chloroquine !

L’emballage du phosphate de chloroquine pour aquariums avertit : Le produit toxique et dangereux est impropre à la consommation humaine : « Not for human consumption« . L’hydroxy-chloroquine, qui n’est pas en cause, est employée par Véran pour effrayer les gens car le Pr Raoult est devenu la cible des théories complotistes du journal Le Monde. Le Monde de gauche diffuse chaque jour sa surdose complotiste mortelle appliquée à l’hydroxy-chloroquine et au Pr Raoult. Les cons du Monde de gauche, ça ose tout : Corrigé de l’intoxication complotiste mortelle appliquée à la l’hydroxy-chloroquine par Le Monde de gauche collabo pro-Macron : « Un sexagénaire est mort après avoir ingéré du phosphate de chloroquine pour aquariums« .

Fake News et désinformation de William Audureau du journal Le Monde de gauche : Un fait divers instrumentalisé et manipulé par Le Monde qui illustre sa surdose complotiste mortelle appliquée à l’auto-médicamentation imaginaire, non pas par la l’hydroxy-chloroquine-médicament, mais par une surdose toxique accidentelle absurde par un produit toxique et dangereux, le phosphate de chloroquine pour aquariums.

William Audureau : « Le ministre de la santé Véran (qui doit détourner l’attention des gens de la désinvolture coupable de Macron) alerte sur le cas d’un Américain mort après s’être auto-médicamenté (faux) à l’hydroxy-chloroquine (faux), mais après s’être intoxiqué accidentellement par le phosphate de chloroquine pour aquariums. Le ministre Véran et la surdose complotiste mortelle appliquée à l’hydroxy-chloroquine, c’est « un médicament au centre de l’attention » (des théories complotistes du journal Le Monde) depuis que le professeur Didier Raoult a affirmé qu’il pouvait permettre de guérir du Covid-19.

William Audureau : « Les critiques fusent sur les réseaux sociaux accusant le ministre de propager une Fake News alors que le produit en cause est un antiparasitaire pour aquarium et n’a donc aucun rapport avec le médicament. Si cet Américain est mort après avoir ingéré un produit toxique non médicamenteux voisin de la chloroquine, cela justifierait les précautions affichées par tous les complotistes du journal de gauche Le Monde qui jugent les conclusions du Pr Raoult hâtives. Il s’agirait bien d’une preuve que le gouvernement est de mauvaise foi et ne prend pas au sérieux une piste thérapeutique capable de sauver des millions de vies.

William Audureau : « Qu’a dit exactement Olivier Véran ? « Les cardiologues m’alertent sur le fait que (le phosphate de chloroquine pour aquariums) peut entraîner des troubles cardiaques. Aux États-Unis une personne qui en avait utilisé a été victime d’un arrêt cardiaque fatal. Oui à l’innovation, oui à la recherche effrénée, et par tous les moyens possibles, de traitement dans le respect des données de la science et de la sécurité et de la santé des gens (mis en danger par le phosphate de chloroquine pour aquariums toxique).

Il n’a pas été possible de trouver trace d’une prise d’hydroxy-chloroquine ayant entraîné la mort par crise cardiaque aux États-Unis. Quelqu’un est-il mort après avoir ingéré le phosphate de chloroquine pour aquariums au lieu de l’hydroxy-chloroquine ?Aussi, pour justifier la surdose complotiste par Le Monde contre l’hydroxy-chloroquine, un homme est bien mort en ingérant une surdose de phosphate de chloroquine.

Pour les théories complotistes du journal de gauche Le Monde, il s’agit de deux molécules différentes. Mais seule l’hydroxy-chloroquine associée à l’azithromycine, correspond aux recommandations du Pr Raoult.

Malgré cela, ce décès révélé par le réseau hospitalier Banner Health a été largement relayé dans les théories complotistes mortelles appliquées à la chloroquine au lieu de l’hydroxy-chloroquine et au Pr Didier Raoult par des médias américains anti-Trump et français pro-Macron (LCI, 20 Minutes, Le Figaro).

NBC News a diffusé ce fait divers survenu en Arizona : paniqué par la perspective de tomber malade du Coronavirus, un couple a ingéré une surdose de produit toxique dangereux non médicamenteux dilué dans de l’eau, un produit toxique dangereux contre les parasites d’aquarium à base de phosphate de chloroquine

Les deux personnes âgées ont été intoxiquées, l’homme est mort après son admission à l’hôpital.

Le médicament hydroxy-chloroquine et le produit antiparasitaire toxique sont-ils similaires ? Non !

« Les médicaments Plaquenil (sulfate d’hydroxy-chloroquine) et Nivaquil (basé sur la chloroquine) sont accompagnés d’excipients qui permettent à la molécule de résister à l’acidité gastrique. Alors que la poudre pour aquarium n’est pas d’une qualité pharmaceutique. L’antiparasitaire est vendu aux États-Unis sous forme de poudre pure. Colombo : Le décès est donc imputable au phosphate de chloroquine pour aquariums !

Pourquoi utiliser de la chloroquine pour le nettoyage des aquariums ? Ce produit toxique est utilisé pour prévenir les proliférations parasitaires et supprimer des organismes indésirables dans les aquariums.

Les spécialistes connaissent bien sa dangerosité. « Une surdose peut être rapidement létale pour les poissons et les différents organismes présents dans l’aquarium« , Quentin Barrault, aquariophile professionnel.

Le phosphate de chloroquine pour aquariums sous forme de poudre pure est un produit dangereux hautement biocide qui n’a rien à voir avec l’hydroxy-chloroquine associée à un antibiotique, l’azithromycine, qui correspond aux recommandations du Pr Raoult. Malgré cela, Le Monde de gauche pro-Macron diffuse chaque jour sa surdose complotiste mortelle appliquée à l’hydroxy-chloroquineet au professeur Didier Raoult.

La surdose toxique de chloroquine pour aquariums peut-elle être mortelle pour l’homme ? Oui.

Sous forme de produit toxique dangereux pour aquarium, une dose de 2 à 4 grammes de chloroquine est considérée comme virtuellement mortelle pour les humains. Un sachet de phosphate de chloroquine pour aquariums de la marque Mr Frags en compte 10. Si les membres du couple d’américains ont pris chacun 5 grammes, c’est suffisant [pour en mourir], dit Meunier. C’est inconscient d’en ingérer (surtout en abusant des doses toxiques) dit Quentin Barrault. L’emballage du phosphate de chloroquine pour aquariums avertit : Le produit toxique et dangereux est impropre à la consommation humaine : « Not for human consumption« .

Le Plaquenil (hydroxy-chloroquine) préconisé par le Pr Raoult présente des effets secondaires plus légers que la Nivaquine (chloroquine). Une surdose peut conduire à une insuffisance cardiaque et entraîner la mort, alerte le ministère de la santé. Même à dose normale, des effets indésirables peuvent apparaître car on ne réagit pas tous de la même façon. Il faut trouver la bonne posologie. Ben voyons ! Le médecin sait ça !

En attendant, il ne faut pas s’auto-médicamenter. Une surdose d’hydroxy-chloroquine ? Il s’agit d’un argument récurrent à propos de la mort de cet Américain qui a ingéré du phosphate de chloroquine pour aquariums sous forme de poudre pure toxique : il est possible de mourir avec n’importe quel produit toxique !

Un médicament comme l’hydroxy-chloroquine (Plaquenil) est un remède utilisé depuis 70 ans.

Réaction du journal Le Monde qui diffuse chaque jour sa surdose complotiste mortelle appliquée à la lutte contre l’hydroxy-chloroquine et contre le Pr Didier Raoult : « Dimanche 29 mars, l’agence régionale de santé de Nouvelle-Aquitaine (ARS) a alerté sur des cas de toxicité cardiaque admis en réanimation après la prise d’hydroxy-chloroquine en auto-médicamentation » (À quelle dose ???). (William Audureau) À quand une attaque complotiste du journal Le Monde contre l’hydroxy-chloroquine comme remède au Covid-19 après une intoxication à l’eau de rose ? Les cons des déconneurs du Monde de gauche ça ose tout !

Le Monde dealer de désinformation de gauche qui continue à vendre sa surdose mortelle cardiaque d’intox contre l’hydroxy-chloroquine a déjà montré sa dramatisation médicamenteuse le 11 novembre 1978 !

Claire Brisset : La pilule contraceptive multiplie les risques cardiaques. Rendue légale en France par la loi Neuwirth en 1967, l’utilisation de la pilule contraceptive était déjà, à ce moment, en usage depuis près de dix ans aux États-Unis et de presque autant en Grande-Bretagne. Le recul, outre-Atlantique et outre-Manche, est bien supérieur à celui dont nous disposons en France pour évaluer les effets secondaires, à long terme, de la contraception orale. De nombreuses et très importantes études, entreprises dans le monde anglo-saxon, ont attiré l’attention sur les effets d’une absorption prolongée d’hormones contraceptives, et sur les risques d’hypertension artérielle et d’accidents cardio-vasculaires qu’elle entraine (Le Monde du 5 avril 1978).

En France, la dramatisation de ces risques, par les médecins, doit pouvoir faire peur aux gens !

20minutes.fr : Coronavirus : L’Agence du médicament alerte sur de « possibles » (c’est pas sûr) effets cardiaques de l’hydroxy-chloroquine : Vigilance pour les patients atteints du Covid-19 et traités par hydroxy-chloroquine. L’agence du médicament alerte sur des effets indésirables signalés, car les patients atteints du coronavirus « semblent » (c’est pas sûr) présenter une « fragilité particulière » sur le plan cardiaque. Les malades du Covid « sont plus fragiles sur le plan cardiovasculaire » (où sont les preuves ?) et plus susceptibles que les personnes lambda d’avoir des problèmes avec des médicaments qui sont délétères pour le cœur tels que l’hydroxy-chloroquine, a dit à l’AFP Dominique Martin, directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament. Une enquête de pharmacovigilance, lancée fin mars a recensé en moins de deux semaines une centaine de cas d’effets indésirables en lien avec des médicaments utilisés chez des patients infectés par le Covid-19, dont 79 cas graves dont 4 cas de décès (sur combien de malades traité ?) détaille l’ANSM.

Sept arrêts cardiaques signalés : La majorité des cas d’effets indésirables se répartissent par moitié entre lopinavir / ritonavir, un traitement contre le VIH commercialisé sous le nom de Kaletra et hydroxy-chloroquine. Pour une grande partie d’entre eux (combien ?) l’enquête a pu conclure à un « lien plausible » (pas certain) entre l’effet observé et le médicament pris par le patient. Un lien plausible n’a rien de scientifique !

Des effets indésirables cardiaques, la moitié du total, il ressort que quasiment tous (43 sur 53) ont été signalés chez des patients traités avec l’hydroxy-chloroquine, seule ou en association avec l’azithromycine.

Ces effets secondaires de l’hydroxy-chloroquine sont connus, mais « il semble » (on n’en est pas sûr) qu’ils soient « majorés » chez les patients du Covid. C’est un signal important qui renforce la nécessité de limiter l’usage de ces médicaments à l’hôpital, sous étroite surveillance médicale, insiste l’ANSM, alors que plusieurs voix dans le monde médical et le monde politique réclament la possibilité de prescrire l’hydroxy-chloroquine en médecine ambulatoire de ville de façon beaucoup plus précoce pour être plus efficace. En attendant les résultats des essais sur l’efficacité de ce médicament, le rapport bénéfice-risque paraît acceptable à l’hôpital dans le contexte d’absence de traitement connu, mais il n’est pas acceptable en ville, où un patient ne pourra pas être secouru immédiatement en cas d’accident cardiaque, prophétise Dominique Martin. Ben voyons !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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