
Selon le colonel britannique, Richard Kemp, la Chine est aujourd’hui la plus grande menace pour les valeurs, la liberté, l’économie, l’industrie, les communications et la technologie occidentales. Son objectif est de devenir la puissance mondiale dominante. Le dictateur, Xi Jinping n’a pas l’intention de causer un conflit militaire. Sa guerre n’est pas menée sur le champ de bataille mais dans les salles de conseil, les marchés, la presse, les universités, et le cyberespace.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit le texte de Richard Kemp, paru sur le site du Gatestone Institute, le 22 avril.
**************
Le Coronavirus : Un autre 11 septembre 2001 pour l’Occident
La pandémie de coronavirus ressemble à un autre 11 septembre 2001.
Al-Qaïda était en guerre contre l’Occident depuis des années avant la destruction des Tours jumelles. Mais il a fallu ces attentats barbares pour finalement galvaniser les Occidentaux, jusque là passifs, et les pousser à l’action.
Maintenant, nous avons le virus de Wuhan.
Contrairement aux attentats du 11 septembre 2001, nous n’avons aucune preuve que la Chine ait délibérément lâché ce virus sur le monde.
Il est évident, cependant, que cette crise est le résultat de la politique du parti communiste chinois et que les actions sournoises et irresponsables de Pékin ont permis la propagation du virus dans le monde entier, entraînant des dizaines de milliers de morts qui auraient pu être évitées.
Aujourd’hui, les commentateurs et les politiciens craignent que la situation actuelle ne déclenche une nouvelle guerre froide avec la Chine. Ils ne comprennent pas que, dans un schéma similaire mais d’une portée bien plus grande que le conflit djihadiste, la Chine mène déjà une guerre froide contre l’Occident et cela depuis des décennies, tandis que nous fermons les yeux et refusons d’admettre ce qui se passe.
La vérité, c’est que pour Pékin, la guerre froide entre la Chine et l’Occident, qui a commencé avec la prise de pouvoir des communistes chinois en 1949, n’a jamais pris fin.
Malgré la scission sino-soviétique et le rapprochement ultérieur entre les États-Unis et la Chine au début des années 1970, les États-Unis sont demeurés l’ennemi implacable des dirigeants chinois.
Comme pour les attentats du 11 septembre 2001, le virus de Wuhan doit obliger l’Occident à se réveiller et à riposter.
Aujourd’hui, la Chine est, de loin, la plus grande menace pour les valeurs, la liberté, l’économie, l’industrie, les communications et la technologie occidentales. Elle menace notre mode de vie même. L’objectif de la Chine est de se retourner contre les États-Unis et de devenir la puissance mondiale dominante d’ici 2049, un siècle après la création de la République populaire.
Dictateur à vie, Xi Jinping n’a pas l’intention de le faire par le biais d’un conflit militaire. Sa guerre n’est pas menée sur le champ de bataille mais dans les salles de conseil, les marchés, la presse, les universités, le cyberespace et dans les recoins les plus sombres.
Ceux qui défendent le droit de la Chine de concurrencer l’Occident sur des marchés libres et sur un pied d’égalité ne semblent pas comprendre que Pékin n’a pas de marché libre et n’a pas l’intention de jouer sur un pied d’égalité.
Leader mondial de la peine capitale**, la Chine est une dictature impitoyable qui torture, fait disparaître et emprisonne son peuple et contrôle son immense population grâce à une infrastructure de techno-surveillance qu’elle s’emploie à exporter dans le monde entier dans le but d’étendre jusqu’à nous son contrôle politique et économique.
Depuis des décennies, la Chine œuvre à sa stratégie à trois volets :
- construire son économie et sa capacité de combat, y compris le renseignement, la technologie, le cyberespace, l’espace, ainsi que sa puissance militaire;
- développer une influence mondiale pour exploiter les ressources et assurer son contrôle ;
- combattre l’influence des États-Unis et les éloigner de leurs alliés capitalistes.
La Chine a construit son économie sur l’argent occidental et aux dépens de l’Occident, par le vol de la propriété intellectuelle et de la technologie à l’échelle industrielle, la violation des droits d’auteur, l’extraction illicite de données, la cyberguerre, la tromperie, la duplicité, l’asservissement et le contrôle intransigeant de l’État sur l’industrie et le commerce.
Elle continue d’étendre son influence déjà immense grâce à son initiative «Belt and Road» qui déferle sur le monde entier ; à des investissements massifs en Afrique, en Asie, en Europe, en Australasie et en Amérique du Nord et du Sud ; et à une agression directe dans le Pacifique, notamment dans la mer de Chine méridionale (où le programme d’îles artificielles de Pékin a provoqué l’une des plus grandes catastrophes écologiques de l’histoire).
Tout cela est soutenu par une opération de propagande de plusieurs millions de dollars, selon les termes du président Xi : « afin de bien raconter l’histoire de la Chine » — autrement dit: afin de faire avancer l’idéologie du PCC partout. Cela inclut l’achat du soutien ou du silence des médias mondiaux, les menaces et la coercition.
Un exemple très médiatisé de cette influence s’est produit l’an dernier, lorsque l’Association nationale de basket-ball des États-Unis (la NBA) a été contrainte de présenter des excuses publiques humiliantes après que le directeur général des Houston Rockets eut tweeté son appui aux militants pro-démocratie de Hong Kong.
Bien que le conflit militaire ne soit pas l’instrument stratégique préféré de la Chine, Pékin n’a pas négligé ses capacités de combat, dépensant environ 230 milliards de dollars par an, ce qui le place en deuxième position après les États-Unis.
Xi a reconstruit ses forces à une échelle sans précédent, en mettant l’accent sur une guerre navale contre l’Amérique.
Les options de contingence militaire prévues comprennent également des actions contre Taïwan et d’autres territoires qu’il entend contrôler directement.
La Chine est également devenue le deuxième plus grand vendeur d’armes au monde, y compris à des pays soumis à des sanctions des Nations unies comme la Corée du Nord et l’Iran.
Ce mois-ci, 15 véhicules blindés ont été livrés au Nigeria, dont des chars de combat principal VT-4, déjà en service dans l’armée royale thaïlandaise et, comme la plupart des équipements de défense de la Chine, intégrant des technologies volées à l’Occident. Les exportations d’armes de la Chine ne sont pas motivées principalement par la génération de revenus, mais comme un moyen d’imposer une influence et un contrôle, de se donner des intermédiaires et de défier les États-Unis.
Les investissements chinois pénètrent dans tous les coins du Royaume-Uni, ce qui leur donne une influence sans précédent ici comme dans tant de pays. Le projet visant à permettre aux investissements et aux technologies chinoises de pénétrer notre programme d’énergie nucléaire et notre réseau 5G vont rendre nos infrastructures nationales critiques plus vulnérables que celles de toute autre nation occidentale.
Même la BBC, qui reçoit des fonds de la Chine, a produit et a fait la promotion d’une vidéo de propagande en faveur de Huawei, au grand dam de certains de ses propres journalistes.
Tout cela en dépit des avertissements répétés du MI5 selon lesquels les services de renseignement chinois continuent de travailler contre les intérêts britanniques dans le pays et à l’étranger.
Le gouvernement chinois a dépensé des milliards de dollars pour créer des instituts Confucius dans le monde entier, principalement dans les universités. Il en existe plus de 500 dans le monde, dont 29 au Royaume-Uni et plus de 70 aux États-Unis.
Ces organismes, qui visent soi-disant à promouvoir la culture chinoise, sont utilisés pour infiltrer les universités et les écoles secondaires afin d’endoctriner les étudiants dans l’idéologie communiste, ainsi que pour des activités d’espionnage.
Plus de 100 000 Chinois étudient au Royaume-Uni. L’an dernier, le MI5 et le GCHQ (NdT: le Government Communications Headquarters est le service de renseignements électroniques du gouvernement du Royaume-Uni), ont averti les universités que leurs systèmes informatiques et de recherche étaient surveillés par les services de renseignement chinois qui utilisent les étudiants chinois comme espions.
Le directeur du FBI, Christopher Wray, a récemment déclaré que la Chine profite de la transparence des universités américaines pour voler des technologies, en utilisant des « intermédiaires» et en créant des «instituts» dans les campus américains.
Plus généralement, M. Wray a conclu qu’« aucun pays ne représente une plus grande menace pour les États-Unis que la Chine communiste ».
Un haut responsable du Parti Communiste Chinois (PCC) a admis sans se gêner que les instituts Confucius constituent « une partie importante de la propagande chinoise à l’étranger ».
De plus en plus dépendantes des financements étrangers, les universités occidentales ont subi des pressions de la part des responsables chinois pour censurer les débats sur des questions politiquement explosives comme Hong Kong, Taiwan, le Tibet et les événements de la place Tiananmen (en 1989).
Peu de gens en Occident reconnaissent pleinement la menace qui pèse sur nos propres économies, notre sécurité et notre liberté. Nombreux sont ceux qui refusent de s’exprimer pour quatre raisons :
- Premièrement, la crainte de se retrouver dans le collimateur de la Chine, de provoquer des dommages économiques ou d’être accusé de diffamation.
- Deuxièmement, la crainte d’être accusés de racisme, une préoccupation facilement exploitée par l’État chinois dont le racisme flagrant n’est que trop évident.
- Troisièmement, la conviction que nos valeurs démocratiques peuvent changer l’esprit de ceux qui s’opposent à nous. L’espoir que l’exposition de la Chine au libre-échange, y compris son entrée dans l’OMC en 2001, ait cet effet s’est avéré terriblement illusoire et n’a servi qu’à renforcer le régime totalitaire de Pékin.
- Quatrièmement, de nombreux dirigeants politiques, hommes d’affaires, universitaires et journalistes ont été achetés et financés par Pékin, que ce soit par des incitations financières ou par le chantage.
Comment l’Occident peut-il riposter ?
Bien qu’elle soit encore militairement et économiquement inférieure aux États-Unis, la Chine est une puissance économique formidable et croissante, imbriquée dans les économies occidentales à un degré sans précédent.
Nous devons commencer à nous séparer de la Chine et à la sanctionner, à rapatrier et à utiliser des sources alternatives de fabrication et de technologie, à restreindre les investissements en capitaux dans ce pays et à freiner les investissements chinois ici, en particulier dans nos infrastructures.
Nous devons re-dynamiser et développer notre propre technologie, abandonnée depuis longtemps à la puissance inexorable chinoise.
Nous devons faire respecter les normes du commerce international et agir vigoureusement pour prévenir et sanctionner l’orgie de vols industriels de la Chine, que nous n’avons jamais remise en question pendant les dernières décennies.
Nous devons repousser globalement l’impérialisme et la propagande de Pékin partout où ils se produisent.
Nous devons également nous préparer à un conflit militaire, en mettant l’accent sur la dissuasion de l’agression chinoise.
Les États-Unis devront mener la riposte comme ils l’ont fait précédemment pendant la guerre froide, mais pour qu’ils réussissent, l’Europe et nos alliés du monde entier devront les soutenir à long terme.
Ce n’est pas une question de parti politique, cela doit devenir un élément fondamental de la stratégie occidentale à long terme.
C’est une tâche qui peut durer des décennies et qui sera très risquée et coûteuse.
L’alternative est de rester accroché à l’État communiste chinois et de laisser les générations futures souffrir des conséquences incalculables de notre continuelle et aveugle inaction.
* Le Colonel (retraité) Richard Kemp a commandé les forces britanniques en Irlande du Nord, en Afghanistan, en Irak et dans les Balkans. Il est membre distingué du Gatestone Institute.
** Selon Taïwan News, la Chine a procédé à des milliers d’exécutions en 2018, dépassant de loin les chiffres de tous les autres pays réunis – le chiffre exact est classé secret d’État.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources :
- https://www.gatestoneinstitute.org/15915/coronavirus-west-911-moment
- https://www.taiwannews.com.tw/en/news/3680658
« la Chine est une puissance économique formidable et croissante, imbriquée dans les économies occidentales à un degré sans précédent. »
Quand on pense que le pouvoir se vante d’avoir commandé des milliards de masques, surtout à la Chine, et que 3 mois après le début de la pandémie la 6ème puissance mondiale n’est toujours pas capable de fabriquer elle-même ses masques, on se dit que ceux qui nous gouvernent veulent absolument dépendre de la Chine communiste. On ne trouve toujours pas de masques en France !!!
Il est évident qu’il faut cesser de dépendre de ce genre de pays, totalitaires, belliqueux, absolument pas fiables. Il y a des multitudes de pays dans le monde beaucoup plus fiables, à la fois au niveau des entreprises et du pouvoir en place. Comme avec l’Iran des mollahs, notre gouvernement fait tout à l’envers, une fois de plus.
« Une usine de fabrication de masques va ouvrir d’ici début mai au Blanc-Mesnil, dans le 93.
L’usine doit permettre de créer environ 500 000 masques par jour et doit être créée en deux semaines pour être opérationnelle début mai. Soutenue par la région Île-de-France, l’usine appartient à un homme d’affaires franco-chinois. »
C’est pas merveilleux ça ?
source: Franceinfo
https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/seine-saint-denis/coronavirus-usine-fabrication-masques-va-ouvrir-debut-mai-au-blanc-mesnil-1819400.html
sixieme puissance mondial ?
en quoi exactement?
La Chine est, de loin, la plus grande menace pour les valeurs, la liberté, l’économie, l’industrie, les communications et la technologie occidentales. Elle menace notre mode de vie même. L’objectif de la Chine est de se retourner contre les États-Unis et de devenir la puissance mondiale dominante d’ici 2049, un siècle après la création de la République populaire.
Il y a déjà longtemps que je le dis presque mots pour mots
La PCC ne s’en cache même pas car c’est sa politique officielle concernant l’Occident et les USA en tête de liste qui sont le GARANT de notre mode de vie.
Nous sommes responsable de notre DÉPENDANCE envers ce pays surtout nos élites et hommes d’affaires qui ont délocalisés nos entreprises pour faire encore plus d’argent sur le dos des travailleurs et consommateurs. Voila ou le mondialisme nous a conduit, dans un véritable cul de sac et je crois que: aucun
pays occidental ne jugera ni ne condamnera la CHINE COMMUNISTE de ce DÉSASTRE qui nous atteint tous. Aussi dans le pays alliées de la CHINE COMMUNISTE tel la RUSSIE qui eux aussi sont atteint si le grand V. POUTINE
aura une déclaration a faire sur cette pandémie qui atteint aussi son peuple. Je le crois assez fort pour dire tout haut ce qu’il pense.
Très bon article Merci Magali
Savez-vous:
Le suédois Volvo Cars (automobile), l’italien Pirelli (pneus), les français Club Med (tourisme), St Hubert (margarines) et Lanvin (mode), les allemands Kuka et KraussMaffei (machines-outils): autant de fleurons passés sous pavillon chinois.
Depuis 2000, 60% des investissements chinois en Europe viennent de groupes étatiques contrôlés par Pékin.
Percées à l’Est et au Sud
Les pays d’Europe orientale n’ont accueilli que 1,5% des investissements chinois dans l’UE en 2018, et l’Europe du Sud 13%, selon Rhodium. Ces régions se montrent cependant particulièrement bienveillantes envers Pékin.
L’Italie est devenue samedi la première puissance du G7 à signer un protocole d’accord pour intégrer les « Routes de la soie », le colossal projet d’infrastructures piloté par Pékin, à la suite d’autres pays européens (Grèce, Portugal, Hongrie, Pologne…).
Athènes a cédé en 2016 son port du Pirée au géant chinois du fret Cosco, qui contrôle également en Espagne les ports à conteneurs de Valence et Bilbao.
Le Portugal a, lui, tissé d’étroits liens avec Pékin à la faveur de la crise financière, recevant, selon Rhodium, 6 milliards d’euros de capitaux chinois, qui ont ciblé sa première banque privée, l’assureur Felidade et le gestionnaire du réseau électrique (REN).
Et Lisbonne ne s’est pas opposé à l’OPA lancée par China Three Gorges sur l’électricien Energias de Portugal (EDP), premier groupe du pays.
En République tchèque, une visite de M. Xi en 2016 avait scellé des investissements massifs du chinois CEFC dans des médias, le transport aérien et un club de football. Le patron de CEFC, Ye Jianming, a même été l’éphémère conseiller économique du président tchèque Milos Zeman.
https://www.dw.com/fr/les-investissements-chinois-sous-surveillance-en-europe/a-48294182
Comme je l’écrivais ici récemment, il faut identifier les pays, qui comme la Chine, abusent les peuples, à commencer par le leur (Vénézuéla, Turquie, Iran…) et instaurer des « non-relations » radicales comme avec Cuba.
Ça aurait l’avantage d’être clair : on ne commerce pas avec vous.
Commercer avec vous s’apparente directement à du recel!
Lorsque la Chine « s’est ouverte au monde » que s’est-il passé ?
Le monde s’y est engouffré, avec l’espoir de bénéfices colossaux, de main d’oeuvre bon marché pour ne pas dire esclavagisée, de contrats juteux et autres utopies.
La Chine comme un animal de proie, s’est donc ouverte pour mieux refermer sa « gueule » et manger et déchiqueter toutes les autres économies, qui presque naïvement, si j’osais dire la chose ainsi, ont cru au « miroir aux alouettes » que le PCC leur tendait.
Donc je pense comme l’auteur de cet article, que Mme Marc a eu la gentillesse de traduire, qu’une guerre froide a déjà éclaté, qu’en fait cela fait bien longtemps qu’elle existe.
C’est la mondialisation qui la mise en exergue, mais elle a toujours existé.
C’est une guerre idéologique, commerciale, territoriale, qu’elle a d’abord mené envers les pays qui sont plus ou moins dans son giron, et qu’elle a ensuite étendue à l’Afrique.
L’Occident s’est offert lui-même en pâture, par pure convoitise, détruisant son propre tissu économique, territorial et idéologique. Il reçoit maintenant « la monnaie de sa pièce » et n’a qu’à s’en prendre à lui-même. Cependant, comme toujours, ce sont les Peuples qui ont souffert de la perte du travail, des valeurs, et de leur nation, qui vont « payer les pots cassés »………..
Il est connu depuis très très longtemps qu’il n’est jamais intéressant de commercer avec un chinois, puisqu’il remportera toujours la mise. Et ce, dans tous les domaines. Mais il y a toujours des petits malins, de préférence mondialistes, qui pensent y arriver.
Maintenant, quitte à vivre sous la coupe des USA ou des chinois….l’important serait d’être dégagé de toute contrainte et d’éviter de se faire coloniser par l’un ou l’autre.
Guy Mauve
Je ne suis pas d’accord avec vous, je sens un anti américanisme de bas étage
tant qu’a moi je préfère être comme vous dites pro USA car au moins eux ont
une conscience, on peut négocier au moins alors qu’avec les chintoks se sont toujours eux qui gagnent.
Aussi regardez bien comment le communistes de XI JINPING négocient avec les pays africains et autres et leur façon D’ENFERRER un pays qui ne peut facilement rembourser, Les USA ne font pas ce genre de choses.
Merci Mme Marc. Rien à rajouter.
1. Il y a à la manoeuvre une complicité manifestement cupide, malsaine, dangereuse, toxique entre la France ( la gauche , buzin, lévy ) et la Chine avec les laboratoires P4 à Wuhan.
L’usine de fabrication de masques à Plaintel dans les Côte d’Armor qui avait été fermée ne cesse de sollicité le Pouvoir pour reprendre la fabrication.
Quel destin veut-on nous fabriquer via Macron le théâtreux impubéral pion de la mafia sans frontière ?
Nous devons également nous préparer à un conflit militaire, en mettant l’accent sur la dissuasion de l’agression chinoise.
En effet on le vois déjà par leur comportement en mer sur les cotes Vietnamienne
et pays ayant accès a la mer en Asie dont cette chine revendique la suprématie en plus de construire des iles artificielles MILITARISÉES. A ce jeu il est fort possible qu’il y aie DÉRAPAGE face a L’US NAVY qui a des alliées de ce coté. Il ne faut pas abandonner TAIWAN a son sort pas plus d’ailleurs que Hong Kong qui ont des droits même s’ils en perdent de façon constante eux qui étaient habitués a la LIBERTÉ.
LA CHINE COMMUNISTE JOUE GROS JEU, il faut qu’elle sache qu’elle ne s’en sortira pas indemne si d’aventure elle provoque une guerre.
A suivre aussi toutes les entreprises qui vont se faire ramasser par la Chine suite au virus. Et aussi les grands hôtels, je viens d’apprendre que la palace 5 étoiles le plus connu à Bruxelles , hors chaine internationale, est en faillite suite confinement. J’imagine la reprise par un émir arabe ou un milliardaire chinois….