La pandémie de coronavirus chinoise est sur une courbe descendante aux USA, et certains Américains sont impatients de relancer l’économie. Quand le Président Trump a fermé la frontière avec la Chine en janvier, Joe Biden, Nancy Pelosi, Bill de Blasio et d’autres gauchistes, ont accusé Trump d’être «xénophobe» et «hystérique».  Mais aujourd’hui, alors que la crise a fait 22 millions de chômeurs, les conservateurs veulent faire redémarrer l’économie tandis que la gauche traîne les pieds. Ayant vu bon nombre de ses objectifs politiques les plus fous se réaliser ou être à portée de main, la gauche démocrate n’est pas prête à laisser quelques manifestants niais qui veulent bêtement nourrir leurs familles et ainsi entraver le «progrès» gauchiste.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Kurt Schlichter, paru sur le site de Townhall, le 20 avril.

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Ils ne peuvent pas nous empêcher de rouvrir l’Amérique

Nous allons sortir de ce cauchemar, que cela plaise ou non aux politiciens du Parti Démocrate.

La pandémie se calme, l’Amérique en a fini avec cette absurdité de confinement, et l’inévitable réouverture arrive. Elle va commencer lentement, puis s’accélérer, puis devenir très, très rapide, et enfin ce sera terminé.

C’est ainsi que ces choses se passent.

Mais cela n’arrivera pas sans résistance.

L’Establishment gauchiste et les rats soumis des médias pensent clairement qu’il est dans leur intérêt que la crise de la grippe des «mangeurs de chauves-souris» se poursuive indéfiniment.

Ils pensent que cette pandémie nuit à Trump, et en plus ils apprécient vraiment de pouvoir exercer leur pouvoir sur les gens.

Il suffit de regarder les yeux de poupée morte de la Gouverneure du Michigan, Gretchen Whitmer, pour voir que le fait de forcer les magasins de grande surface à bloquer le passage de la section des semences lui procure une sorte de plaisir érotique.

Ça fait un peu peur.

Mais les gens en ont assez de ce cirque. Ils ont perdu patience.

On pouvait s’en préoccuper quand ça semblait être une chose de bon sens, mais maintenant c’est devenu seulement stupide.

Les choses s’améliorent mais les Démocrates en remettent avec une Loi sur la distance sociale digne de la Stasi. Vous avez des services de police qui tweetent que les manifestations ne sont pas essentielles, mais apparemment le fait de se conduire comme des petits fascistes l’est.
C’est fini !

Nous avons vu des manifestations (pour la ré-ouverture), et nous allons en voir d’autres, mais nous voyons aussi des rébellions silencieuses.

Après des semaines de vide déconcertant, les autoroutes désertes de Los Angeles se remplissent soudain à nouveau de gens qui prennent position en bougeant et s’aventurent à nouveau dehors.

Si cette paralysie pouvait être une fête pour les inutiles de la fonction publique, les journalistes et autres crétins non essentiels qui, pour une raison ou une autre, reçoivent encore leurs chèques de paye, c’est un désastre pour tous les autres. Mais nous sommes sur le point d’en finir.
Nous en avons assez d’être les dommages collatéraux de leur «trip» de pouvoir.

Cela n’aide pas que Nancy Pelosi, dont le nom de famille est «Marie-Antoinette» en italien, se pavane à l’antenne avec des animateurs d’émissions télévisées nocturnes, devant son double congélateur à $24 000, alors même qu’elle bloque le Paycheck Protection Program (NdT: un prêt destiné à fournir une incitation directe aux petites entreprises) dont nous avons besoin pour assurer la survie des petites entreprises du pays qui sont la colonne vertébrale de notre économie et les emploi de nombres d’entre nous.

Qu’ils mangent de la glace au chocolat artisanale !

Lorsque vous recevrez une lettre de licenciement de votre patron, vous devriez écrire un mot de remerciement à Nancy Pelosi, car c’est elle et ses collègues démocrates qui vous entubent.

S’il y a quelque chose que Trump connaît, c’est bien l’opinion publique, et c’est pourquoi il se fait le champion de la réouverture des États-Unis, très bientôt.

Je ne suis pas de ceux qui ont pensé qu’il était fou de réagir à la grippe de Wuhan, mais il serait fou de continuer à réagir à la fièvre du Pangolin indéfiniment. Il est temps de libérer les États-Unis !

Les politiciens gauchistes qui bavent à l’idée de nous mener au bâton jusqu’à ce qu’il y ait un vaccin, c’est à dire jusqu’en 2021 ou en 2022, feraient mieux d’y regarder à deux fois.

Il n’y aura pas de «nouvelle normalité». Il y aura juste ce qui est «normal», et c’est à cela que nous devons revenir.

Nous n’allons pas nous éviter comme la peste en permanence , et nous n’allons pas porter des masques, ni éviter de nous réunir par groupes de plus de cinq indéfiniment.

Je vais aller écouter le groupe les Psychedelic Furs, Blondie et les rockeurs gothiques du Bauhaus en septembre, et c’est ça qui va se passer.

La grande panique chinoise contre le coronavirus a été bien amusante tant qu’elle a duré, mais c’est fini. La courbe a été aplatie. Les chiffres sont en baisse. Toutes les bonnes choses ont une fin, et cela doit aussi être le cas.

Il n’y aura pas de ligne brillante à franchir pour savoir que c’est fini. Différents endroits s’ouvriront à différents rythmes. Il y aura juste un jour où vous regarderez autour de vous et réaliserez : «Hé, ça s’est arrêté.»

J’ai fait beaucoup d’opérations difficiles avec l’armée et il y a la première partie où vous êtes en uniforme avec des armes et où le chaos règne et tout le monde panique et après un certain temps, ça atteint des sommets et puis soudain vous vous promenez en uniforme avec des armes et tous les autres sont retournés à leur vie normale et vous regardent d’un drôle d’air.

C’est en quelque sorte la situation dans laquelle nous nous trouvons maintenant. C’est terminé.

Oui, je sais que le virus de Wuhan est toujours là, mais nous l’avons sous contrôle maintenant. Nous allons commencer à revenir à la normale, même si les Démocrates vont devoir y être traînés à cor et à cri parce que eux, ils adorent la panique.

Le pouvoir, la dévastation économique et la capacité à diriger les gens et à les opprimer sont ce qu’ils aiment le plus.

Nous allons assister à un retour précipité à la liberté.

Ce qui va se passer, c’est que les États conservateurs vont commencer à s’ouvrir et ils vont commencer à s’ouvrir bientôt. Alors les gens qui vivent dans les États fascistes cauchemardesques comme la Californie et New York vont regarder le Texas et le Dakota du Nord et le reste de l’Amérique libre qui se trouve en dehors de la future République populaire et se demander pourquoi diable ils se font encore engueuler pour être allés à la plage.

Bientôt, ce sera une marée montante, car les gens demanderont à rouvrir.

Et puis la bourse va monter en flèche et le chômage va diminuer et nous allons oublier ce cauchemar.

Et Trump sera réélu, c’est ce qu’ils craignent plus que tout autre virus.

Et une fois que cela aura pris fin, il sera temps de réévaluer la situation. Ce sera le moment de réévaluer tous les scientifiques incapables de mettre au point un modèle précis pour sauver leur vie ou la nôtre.

Il sera temps de réévaluer tous les imbéciles mondialistes qui nous ont vendus à la Chine – au revoir Hoover Biden !

Et il sera temps de réévaluer tous ces Himmler-au-petit-pied qui n’ont que trop joui de cette calamité.

Mais d’abord, nous devons rouvrir l’Amérique, et cela va se faire plus vite que vous ne le pensez.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source :

https://townhall.com/columnists/kurtschlichter/2020/04/20/they-cant-stop-us-from-re-opening-america-n2567177

https://townhall.com/columnists/scottmorefield/2020/04/20/leftists-dont-want-the-shutdown-to-end-because-they-are-living-out-their-wildest-dreams-n2567208