
Les Docteurs Fauci et Birx, membres du groupe de travail de la Maison-Blanche sur le coronavirus, présentent régulièrement les données de la pandémie du coronavirus aux États-Unis.
Ils n’hésitent pas à remettre en question les modèles de départ qui étaient très alarmistes. Selon le Dr Fauci, les modèles sont basés sur des hypothèses et valent en précision ce que valent les hypothèses. Il faut donc les réviser régulièrement. Paul Driessen et le Pr David R. Legates pensent que les scientifiques réchauffistes devraient les imiter afin de faire des prédictions plus réalistes et plus crédibles concernant les changements climatiques.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de *Paul Driessen et du Professeur David R. Legates, paru sur le site de Townhall, le 11 avril.
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Modèle climatique ou modèle Fauci-Birx ?

Le Président Trump et son groupe de travail sur le coronavirus ont présenté des chiffres effrayants lors de leur briefing du 31 mars à la Maison Blanche. Sur la base de données et de modèles datant maintenant de deux semaines, ils ont estimé que jusqu’à 100 000 Américains dans la partie inférieure des modèles, et 2,2 millions dans leur partie supérieure, pourraient mourir de ce virus qui se propage rapidement.
Cependant, le Président, le Vice-Président, et les Docteurs Anthony Fauci et Deborah Birx se sont empressés d’ajouter que ces chiffres élevés sont basés sur des modèles informatiques et sont «peu probables» si les Américains continuent de faire ce qu’ils font maintenant pour contenir, atténuer et traiter le virus.
Bien que le scénario du pire «soit possible», il est « improbable si tout le monde fait le genre de choses que nous prescrivons en ce moment ».
Le 31 mars, le Dr Fauci a déclaré que les modèles informatiques disaient que, même avec une atténuation complète, il est «probable» que l’Amérique pourrait encore subir au moins 100 000 décès. Mais il a ensuite ajouté un point très important :
- « La question est de savoir si les modèles nous disent vraiment ce qui se passe ? Lorsqu’on crée un modèle, on se base sur diverses hypothèses. Et les modèles valent en précision ce que valent les hypothèses qu’on utilise. Au fur et à mesure que nous obtenons plus de données, au fil des semaines, cela peut changer. Nous réinjectons les données dans les modèles et nous les réexaminons ».
Les données peuvent modifier les hypothèses – et donc les prévisions des modèles.
« Si nous obtenons plus de données qui ressemblent à la zone métropolitaine de NY-NJ, les chiffres pourraient augmenter », a ajouté le Dr Birx.
Mais si les chiffres qui arrivent ressemblent davantage à ceux de Washington ou de la Californie, qui ont réagi tôt et ont maintenu leurs taux d’infection et de mortalité à un bas niveau, alors les modèles montreront probablement des chiffres plus bas.
« Nous essayons d’empêcher cette augmentation logarithmique à la Nouvelle-Orléans, à Detroit et à Chicago, en nous assurant que ces villes fonctionnent davantage comme la Californie que comme la région métropolitaine de New York ».
C’est ce qui semble se produire, pour l’essentiel.
Si les taux de mortalité dus au coronavirus sont erronés ou gonflés, si d’autres hypothèses du modèle changent, si l’azithromycine, l’hydroxychloroquine et d’autres traitements, et si l’immunité des gens réduisent les infections – alors les fermetures d’entreprises et les recommandations de confinement à domicile pourraient (et devraient) se terminer plus tôt, et nous pourrons retourner au travail et à la vie, reconstruire l’Amérique et les économies mondiales … et éviter d’autres catastrophes comme celles-ci :
Des millions d’entreprises qui ne rouvrent jamais. Des dizaines de millions de travailleurs sans salaire. Des dizaines de billions de dollars qui ont disparu de notre économie. Des millions de familles qui ont perdu leur maison et leurs économies. Des millions de cas de dépression, d’accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques, de violences domestiques, de suicides, de meurtres-suicides et de décès prématurés dus à la dépression, à l’obésité et à l’alcoolisme, à cause du chômage, de la saisie et des rêves détruits.
Autrement dit, de nombreux décès dus aux mesures prises pour prévenir les infections et les décès dus au COVID-19 seront évités.
Il est essentiel que soient vérifiés à nouveau les modèles et les hypothèses et qu’ils fassent la distinction entre les décès dus au COVID-19 et ceux qui sont réellement dus au virus … et pas seulement associés ou aggravés par celui-ci, mais principalement dus à l’âge, à l’obésité, à la pneumonie ou à d’autres problèmes.
Nous ne pouvons pas nous permettre un remède pire que la maladie – ou un arrêt prolongé et mortel de l’économie nationale qui aurait pu être raccourci par des modèles réalistes et corrigés au fur à mesure.
Les modèles du «réchauffement climatique» ne correspondent pas à la réalité

Imaginez maintenant ce qui se passerait si nous avions la même approche honnête et scientifique pour les modèles climatiques ?
Si la Maison Blanche, l’EPA, le Congrès, l’ONU, l’UE et le GIEC reconnaissaient que les modèles climatiques valent ce que valent les hypothèses qui les sous-tendent?
Si, au fil des mois et des années, nous obtenions davantage de données réelles sur les températures, le niveau de la mer et les phénomènes météorologiques extrêmes, et utilisions ces informations pour affiner honnêtement les modèles ? Les hypothèses et donc les prévisions changeraient-elles radicalement ?
Si nous utilisions la science réelle pour nous aider à comprendre les changements climatiques et météorologiques de la Terre ? Et si nous basions nos politiques énergétiques et autres sur une véritable science qui examine honnêtement les influences naturelles et anthropiques sur le climat ?
De nombreux modélisateurs du climat affirment que nous sommes confrontés à des cataclysmes climatiques existentiels causés par l’homme et dus à notre utilisation de combustibles fossiles.
Ils utilisent des modèles pour justifier les appels au bannissement des combustibles fossiles qui fournissent 80 % de l’énergie américaine et mondiale, à la fermeture d’innombrables industries, entreprises et emplois, à la remise en cause totale de notre économie, à l’octroi de milliards de dollars de subventions aux entreprises de remplacement des combustibles fossiles et à la réduction drastique de nos déplacements et de nos modes de vie.
Ne devrions-nous pas exiger que ces modèles soient comparés à ce qui se passe en réalité ? Les forces naturelles ont provoqué des changements climatiques et des phénomènes météorologiques extrêmes tout au long de l’histoire. Quelles sont les preuves que ce que nous voyons aujourd’hui est dû aux émissions de combustibles fossiles, et non à ces mêmes forces naturelles ?
Nous ne voulons certainement pas de «solutions» énergétiques qui ne fonctionnent pas et qui sont bien pires que le prétendu «virus» climatique et météorologique créé par l’homme.
Nous avons les données climatiques. Nous avons des années de données. Les données montrent que les modèles ne correspondent pas à la réalité.
Les températures prédites par le modèle sont supérieures de plus de 0,5 degré F aux températures mondiales moyennes mesurées par les satellites – et les records « les plus élevés jamais enregistrés » ne sont que des centièmes de degré au-dessus des records précédents d’il y a 50 à 80 ans.
Les mesures réelles des ouragans, des tornades, des niveaux de la mer, des inondations, des sécheresses et autres records historiques ne montrent aucune tendance ou changement sans précédent, aucune crise imminente, aucune preuve que les humains ont remplacé les puissantes forces naturelles qui ont toujours déterminé le climat et le temps dans le monde réel en dehors des laboratoires des modélisateurs.
Les vrais scientifiques vs les militants réchauffistes
La vraie science – et les vrais scientifiques – cherchent à comprendre les phénomènes et les processus naturels. Ils posent des hypothèses qui, selon eux, expliquent au mieux ce dont ils ont été témoins, puis les confrontent à des preuves, des observations et des données réelles.
Si les hypothèses (et les prédictions qui en découlent) sont confirmées par leurs observations ou découvertes ultérieures, les hypothèses deviennent des théories, des règles ou des lois de la nature – du moins jusqu’à ce que quelqu’un trouve de nouvelles preuves qui viennent troubler leurs évaluations ou qui permettent de trouver de meilleures explications.
Les vrais scientifiques utilisent souvent des ordinateurs pour analyser les données plus rapidement et plus précisément, pour décrire ou modéliser des systèmes naturels complexes, ou pour prévoir des événements ou des conditions futures. Mais ils testent leurs modèles par rapport à des preuves issues du monde réel.
Si les modèles, les observations et les prévisions ne concordent pas, les vrais scientifiques modifient ou abandonnent les modèles et les hypothèses qui les sous-tendent. Ils s’engagent dans des discussions et des débats vigoureux.
Les vrais scientifiques ne laissent pas les modèles ou les hypothèses se substituer aux données, aux preuves et aux observations du monde réel. Ils ne modifient pas ou n’«homogénéisent» pas les données brutes ou historiques pour faire croire que les modèles fonctionnent réellement. Ils ne modifient pas leurs modèles après avoir comparé les prédictions aux observations réelles ultérieures, pour faire croire que les modèles «fonctionnent ».
Ils ne «perdent» pas ou ne cachent pas les données et les codes informatiques, ne restreignent pas l’examen par les pairs à des cercles fermés de collègues partageant les mêmes idées qui protègent leurs réputations et leurs financements respectifs, ne prétendent pas que « le débat est terminé » ou n’essaient pas de faire taire quiconque pose des questions gênantes ou critique leurs revendications ou leurs modèles.
Les modélisateurs climatiques ont fait tout cela – et bien plus encore.
Pour parler franchement, voici ce que disent les modélisateurs du climat : Nous n’avons pas besoin de données, nous avons des modèles. Si les observations sur le terrain ne sont pas conformes aux prévisions de nos modèles informatiques, c’est le terrain qui a tort.
Les modèles climatiques ont toujours surestimé le réchauffement. Mais même si les modélisateurs ont admis que leurs modèles sont révisés après coup pour faire croire qu’ils ont prédit les températures avec précision – ils n’ont pas tenté de modifier la sensibilité du climat pour qu’elle corresponde à la réalité. Pourquoi pas?
C’est parce qu’ils savent que les scénarios de catastrophe sont vendeurs.
Les prévisions de catastrophes les maintiennent à leurs postes, leur permettent de profiter des subventions de recherche – et protègent leur pouvoir de dire aux législateurs et aux régulateurs que l’humanité doit prendre des mesures immédiates et draconiennes pour éliminer toute utilisation de combustibles fossiles – tant pis pour les conséquences économiques, humaines et environnementales.
Ils n’admettront probablement jamais leurs erreurs ou leur duplicité, et encore moins leur responsabilité.
« Lavez-vous les mains ! » a bien plus d’impact que « Vous pourriez sauver votre propre vie, celle de vos enfants, des dizaines de vies ». En ce qui concerne le changement climatique, c’est la planète que vous sauvez.
Avec le changement climatique «d’origine humaine», on nous montre toujours le pire des scénarios : le RCP 8.5, le « si ça continue comme ça » … dix fois plus de charbon utilisé en 2100 qu’aujourd’hui … la « catastrophe totale».
Les climatologues alarmistes savent que leur scénario a une probabilité de 0,1 % et qu’il ne suppose la découverte d’aucune nouvelle technologie énergétique au cours des 80 prochaines années.
Mais les technologies énergétiques ont incroyablement évolué au cours des 80 dernières années – depuis 1940, le début de la Seconde Guerre mondiale !
Qui peut croire que les technologies ne changeront pas au moins autant à l’avenir ?
Les scénarios catastrophes sont encouragés parce que la plupart des gens n’ont pas les connaissances voulues pour les remettre en question. Les électeurs et les citoyens n’accepteront des mesures et des sacrifices importants que si on leur présente des scénarios catastrophes extrêmes.
Conclusion
L’équipe Fauci-Birx a introduit des données actualisées dans ses modèles, et personnes ne croient aux prévisions du tandem Chine communiste/OMS concernant les infections et les décès dus au coronavirus.
L’équipe Fauci-Birx fait de la science basée sur des données réelles.
Exigeons une approche tout aussi honnête, factuelle et basée sur des preuves pour les modèles climatiques et le « dangereux changement climatique provoqué par l’homme ». Notre énergie, notre économie, nos moyens de subsistance, nos vies et nos libertés en dépendent.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source:
https://townhall.com/columnists/pauldriessen/2020/04/11/faucibirx-climate-models-n2566726
* Paul Driessen est analyste politique senior pour le Comité pour un avenir constructif et auteur de livres et d’articles sur les questions d’énergie, d’environnement, de climat et de droits de l’homme. David R. Legates est professeur de climatologie à l’université du Delaware.
Excellent.
Merci d’avoir traduit.
@Magali: dans le mille ! Excellent et un grand merci pour ce texte ! Il faut dire que le dérapage intellectuel se produit dès que l’on fait d’une hypothèse une vérité sans avoir vérifié l’hypothèse en question. Comme le mot l’indique, il s’agit de modèles. C’est d’ailleurs là leur intérêt. Idem pour la théorie de Darwin. C’est très intéressant, mais ça s’arrête là. La recherche n’est pas terminée. Ensuite, les modèles, comme chacun sait, sont, par définition, ajustables en modifiant une ou plusieurs variables. La recherche est un peu comme une corde reliée à une grosse caisse placée qui serait placée sur une étagère. Vous tirez sur cette corde et la caisse finit par tomber. Cela veut dire que les hypothèses et les théories émises par la recherche scientifique peuvent déboucher sur des résultats inattendus qui eux-mêmes ouvriront la voie sur d’autres domaines jusque là inexplorés ou peu exploités. Cela signifiera aussi qu’une science dite exacte n’est exacte que le temps que d’autres recherches ne la remettent pas en question. Aucune science n’est jamais finie et définitive. Et donc il en va de même pour la recherche scientifique. Sinon, ce serait trop facile. Selon de nombreux scientifiques, l’univers est très ordonné mais également beaucoup trop complexe pour que l’on puisse tirer des conclusions définitives sur l’un ou l’autre modèle ou sur l’une ou l’autre théorie, surtout sans que ceux-ci ne soient vérifiés. Cela tombe sous le (bon) sens. Alors toute cette clique de réchauffistes et autres darwinistes est constituée d’imposteurs.
« une science dite exacte n’est exacte que le temps que d’autres recherches ne la remettent pas en question » – ça n’a absolument rien à voir dans la définition d’une science exacte. Il y a sur ce sujet des définitions établies, et ces définitions ne sont pas révisables par l’opinion qu’en a un citoyen lambda.
Il n’est effectivement pas de mon ressort, ni dans mes intentions, de remettre certaines définitions en question. Sinon, on ne s’y retrouve plus, vous avez raison. Mais je pensais à ceci: les mathématiciens puristes vous diront que 1+1 n’égale pas 2 (par ex. dans le cas des problèmes de limites). Pour la gauche non plus, 1+1 ne fait pas 2, mais pour d’autres raisons qui n’ont rien à voir avec les sciences exactes. Et quand je parle ici de science exacte, je parle des résultats obtenus par la recherche (chilmie, physique, etc.). Désolé pour le raccourci et merci d’y avoir porté attention.
« … Le chilmi, le chilimili,. …, le schmilblik tient dans la main – tient dans la main ?
– oui, à quoi pensez-vous ?
– À rien, c’était pour faire avancer le schimli, le chili, le smilimili… »
Souvenir de ce cher Coluche. 😂
Dis, tu peux traduire, Yorel ? Merci.
Si je me suis mal exprimé, j’ai au moins le courage de le reconnaître. C’est pas comme certains.
Chère Magali,
quand un modèle mathématique comporte trop de paramètres, on peut lui faire dire n’importe quoi. Dans le cas de cette pandémie, il suffit par exemple de modifier la distance moyenne de déplacement, la probabilité d’être fumeur, le nombre de personnes que l’on croise, le risque de se toucher la bouche ou que sais-je encore d’autre et la courbe sera modifiée. Ça finira toujours par « coller ». L’estimation de cent mille morts me parait excessive pour la raison suivante: l’étendue du territoire. Il n’est pas surprenant qu’il a ait beaucoup plus de décès à News York. Le nombre de décès sera probablement inférieur à cinquante mille. Il faudra par contre beaucoup plus de temps pour éradiquer la pandémie. Le Président Trump fait face dans la tourmente. Je comprends le soucis de Trump qui est de faire repartir l’économie au plus vite. Pourvu que les USA s’en sortent ainsi que son Président.
Vu l’état mental de Biden, je me demande ce qu’il aurait fait en de pareilles circonstances… Pour le moment, confiné dans sa résidence, très épargné par les médias, surveillé par des médecins et protégé du stress par son épouse qui sert de plus en plus d’infirmière gériatrique, Sleepy Joe peut se contenter d’attendre. Il devra à un moment donné « sortir du bois » et être confronté à la dure réalité. On verra alors de quoi il est capable.
Le bonjour à la Belle Province.
Cordialement
« Je comprends le soucis de Trump qui est de faire repartir l’économie au plus vite. Pourvu que les USA s’en sortent ainsi que son Président. »
Il ne faudrait pas que le traitement soit pire que le mal. La paralysie prolongée de l’économie provoquerait un effondrement de la civilisation semblable à la chute de l’Empire Romain.
Dans la mesure où on ignore encore, 4 mois après le début de l’épidémie en Chine, si les personnes qui ont été contaminées sont immunisées et si un vaccin sera efficace, ni dans combien de temps, il faut prendre les mesures pour vivre avec ce virus pendant les mois à venir.
Isoler les populations à risque, adapter les mesures d’hygiène et de distanciation sociale, port de masque/visière, etc.
Adapter les horaires, les conditions et les lieux de travail pour permettre une reprise (même partielle) de ce qui ne peut être réalisé en télétravail, principalement le commerce et les services.
Certains pays européens y arrivent mais la France dirigée par la lenteur bureaucratique et paralysée par les syndicats saura-t’elle gérer le volet économique mieux que le médical ?
Merci pour le choix de l’article, je le trouve tout a fait judicieux.
L’équipe Fauci-Birx fait montre non seulement d’une grande honnêteté intellectuelle mais aussi d’une grande humilité, face à cette situation qui les dépasse.
C’est exactement tout cela qu’il manque aux « équipes scientifiques » du GIEC, leurs projections sont présentées comme réalités et tout autre point de vue est rejeté.
Ce genre de réaction me ferait penser à une forme de « secte climatologique »…
Gérer la réalité à partir des oracles de la bienpensance, c’est comme confier son existence aux diseurs de mésaventures.
Alain Finie, super commentaire…..rires
Merci pour cet article intéressant.
Il est vrai qu’il faut tenir compte de tant de variables ! Celle que l’on peut envisager déjà, mai il y a les aléas et les impondérables qui se rajoutent.
Et comme le fait valoir « cestmoi », dans son commentaire au-dessus, comment peut-on tenir compte d’une façon à peu près juste et chiffrable, du comportement de chaque individu, pour lequel les actions « barrages », sont tellement nombreuses et peut-être, selon ce qui concerne chaque individu, chacune de ces actions barrages est conditionnée par tant de choses.
Se rajoute à cela la fiabilité des statistiques que chaque Pays ou Région transmettent. Je pense que Trump devrait être plus transparent que la Chine…et l’on ne peut pas pointer, seulement ces deux Pays antagonistes.
Néanmoins avoir une idée, même imparfaite, c’est dans un tel cas, tout de même nécessaire.
Même avec le recul, je ne crois pas à un éclairement total – Cette satanée « politique », agissant toujours.
Mais bon…Que faire ? Pas d’autres solutions d’aller vers les informations les plus fiables…en ne perdant pas de vue, que celles-ci, ne sont pas à prendre comme paroles d’Évangiles.
le plan a plusieurs facette , mais le même objectif; terroriser les populations pour les rendre malléables.
ainsi elles accepteront les solutions mondialistes et leurs décisions bureaucratiques type celle de l’OMS. puis celles de l’énarchie, puis celles de l’eurocratie ,de la ploutocratie; soit baisse des libertés, surveillance des réseaux sociaux, faux choix lors des élections.
et cerise sur le gâteau gouvernement mondial pour le bien de l’humanité!!
Les gens du GIEC ne vont jamais se remettre en question de peur qu’ils s’aperçoivent qu’ils se sont pris les pieds dans le tapis et pour cause, comme dit l’article, c’est leur « gagne pain ». Si jamais ils écrivent la vérité, ils sont foutus. Mais les plus cons, ce sont quand même les hommes et femmes (c’est pour la parité) qui les suivent sans se poser la moindre question sur la justesse de leurs hypothèses. « De la discussion jaillit la lumière » (Nicolas Boileau, philosophe français du 17e siècle) le problème c’est que ceux qui ne sont pas d’accord sont traités comme des parias. C’est le même problème avec le Covid-19 et le cas du Pr Didier Raoult. On ne peut pas transformer des ânes en chevaux de course. J’ai néanmoins un très grand respect pour les ânes. Je voudrais ajouter « la prévision est difficile, surtout quand elle concerne l’avenir » (Proverbe danois ou citation de Pierre Dac) et qu’on pose de mauvaises hypothèses sans les vérifier concrètement.
se perdre en conjectures sur le climat à partir de données restreintes dans la durée d’une vie humaine n’a strictement aucun sens!
par définition le climat est variation: quand j’étais enfant avec les rudes hivers habituels dans le Jura vaudois, on avait deux mètres de neige, on devait creuser des galeries, et déposer les morts dans la grange en attendant le dégel…rien ne prouve que l’enneigement ne va pas revenir à l’identique dans 10 ans, ou dans 100 ans.
Pour le moment, on entend les cigales chanter à Lyon en été comme à Juan les Pins.
Ca fait 60 ans qu’elles chantent à Paris, les cigales, et personne ne se plaint…