Premièrement, il faut savoir que la totalité des hôpitaux publics et privés du territoire sont vides. Dans cette grande guerre menée contre le coronavirus, toutes les autres pathologies sont reléguées au second, voire troisième plan.
Ce que ceci veut dire, c’est que toutes les hospitalisations programmées et les chirurgies programmées de personnes qui ont réellement besoin de soins sont annulées. Les gens ayant pour consigne de rester chez eux pour ne pas attraper un rhume, finissent par mourir chez eux d’une insuffisance cardiaque, par exemple, pour laquelle ils n’auront pas eu la prise en charge nécessaire dans un délai donné. Car il faut savoir que cette panique généralisée ayant poussé au confinement, dans le but d’enrayer la propagation d’un virus « qui est déjà là » fait que la totalité des médecins libéraux, aussi bien généralistes que spécialistes, ferment leur cabinet. Les patients ne voient donc plus de médecin, et personne ne peut donc évaluer une éventuelle dégradation de leur pathologie chronique et ainsi les orienter vers un service hospitalier. Cela fait donc plus de 2 semaines en France occupée que la quasi-totalité des médecins et chirurgiens sont au chômage technique. Actuellement, aucun de nous ne comprend ce qu’il se passe. Nous nous demandons tous : « Où sont passés ces patients qui remplissent nos services toute l’année ? »
Les patients ressentant des symptômes inhabituels ont donc pour consigne de d’abord appeler le 15 afin qu’on leur dise quoi faire : « restez chez vous » ou bien « allez aux urgences ». Voici un exemple pour vous montrer l’absurdité de cette consigne : un patient ressentant une légère douleur thoracique en base droite avec une légère toux et un peu de fièvre, le Centre 15 lui dira que ce sont des signes fréquents de l’infection Covid-19 et qu’il doit rester chez lui, ça passera dans quelques jours. Pas de chance, c’est en fait une embolie pulmonaire et le patient peut se retrouver en état de choc hypovolémique à tout moment, en plus de nécroser ses poumons. On ne fait pas de diagnostic par téléphone. Sauf en cette période, visiblement.
Parlons maintenant des seuls services hospitaliers qui continuent de tourner à plein régime : les Urgences et les Unités Covid.
Les Urgences servent à filtrer les patients les plus suspects d’infection Covid, ou bien les patients qui peuvent avoir de vraies urgences vitales que l’on doit prendre en charge très rapidement, comme à leur habitude. Il faut savoir qu’un patient Covid+ que l’on considère comme « individu fragile » (soit moins de 70 ans avec des antécédents importants, soit plus de 70 ans) sera hospitalisé dans ces unités Covid.
J’ai été réquisitionné il y a un moment pour travailler dans une de ces Unités. A quoi ressemblent-elles ? Les services hospitaliers totalement vides, dont je vous ai parlé, sont réquisitionnés pour y entreposer des patients Covid+. Avant d’être transférés des Urgences vers ces Unités, ces patients sont étiquetés : soit ils ont moins de 70 ans et on les étiquette comme « réanimables » (s’ils se dégradent, nous ferons tout ce qu’on peut pour essayer de les sauver), soit ils ont plus de 70 ans et sont étiquetés LATA qui veut dire Limitation et Arrêt des Thérapeutiques Actives.
Je vais tenter d’expliquer brièvement ce que l’on fait pour un patient réanimable, et ce que l’on fait pour un patient en LATA dans ce genre de situation. Je rappelle que le tableau clinique d’une infection sévère au « coronavirus » correspond à une pneumonie, une infection des poumons qui s’attaque aux alvéoles pulmonaires. La phase terminale de ce type d’infection correspond en général à ce que l’on appelle un choc septique à point de départ pulmonaire : Le germe initialement présent dans les poumons et les voies respiratoires passe dans le sang et s’attaque à tous les organes vitaux : cœur, cerveau, foie, reins. Tout ceci entraîne un coma qui gêne davantage la respiration, une hypotension artérielle car le cœur ne peut plus fonctionner correctement, une augmentation de la toxicité dans l’organisme (soit à cause des médicaments, soit à cause de déchets produits par notre corps en permanence) car le foie et les reins ne fonctionnent plus.
Un patient réanimable dans notre service : Il arrive avec de l’oxygène pur aux lunettes ou au masque pour l’aider à respirer, nous adaptons le débit d’oxygène en fonction de ses besoins (estimés par la Saturation en Oxygène) et dans la majorité des cas : nous ne touchons absolument pas à son traitement ! Nous rajoutons des antibiotiques en comprimé dans certains cas, ils ne sont pas du tout prescrits de manière systématique. Les médicaments qu’il prend à la maison, nous les lui donnons, et nous ne faisons rien d’autre. Ces services que l’on nous présente comme des zones de guerre, totalement débordés, sont en fait des unités de surveillance où nous ne faisons presque rien. Je n’ai jamais eu de journées aussi tranquilles que depuis le début de cette crise. Si un de ces patients se met à décompenser, à passer dans un état de Détresse Respiratoire Aiguë avec une hypotension artérielle, un pseudo-coma, etc. le protocole nous dit de l’intuber, de perfuser ce patient avec 2 à 3L de solution salée sur 3 heures pour faire monter la pression artérielle et ainsi irriguer les organes vitaux, de balancer des antibiotiques en intraveineuse, de balancer de la noradrénaline en intraveineuse si le remplissage par la solution salée n’a pas fonctionné comme prévu. Tout ceci afin de stabiliser les fonctions vitales pour laisser le temps aux antibiotiques de faire leur travail.
Je suis passé plusieurs fois dans des services d’urgences et de réanimation, je sais donc que l’âge n’est pas toujours le facteur déterminant quand nous décidons de réanimer un patient ou non. J’ai déjà vu des tentatives de réanimation chez des patients de 80 ans passés, car il y a une maxime que nous aimons répéter pour nous donner bonne conscience : Nous avons une obligation de moyens, mais pas de résultat. Ce qui veut dire que n’importe quel patient qui arrive entre nos mains, nous nous devons de faire tout notre possible pour le sauver, même s’il s’avère que c’est mal parti dès le début.
Parlons maintenant des patients LATA en Unité Covid :ceux-là ont donc souvent plus de 70 ans. Comme les jeunes, ils arrivent dans nos services avec de l’Oxygène sur le nez, le plus souvent avec un débit de 2 à 3 L/min. Si jamais ces vieux patients commencent à nécessiter un débit plus important d’oxygène, de 6 à 7 L/min (ce qui peut être expliqué par le fait que ces vieillards traînent leur pneumonie depuis environ 7 jours le plus souvent, vu qu’on leur ordonne de rester chez eux), on considère qu’ils ne survivront pas à leur infection. 6 ou 7 L/min d’oxygène, c’est la limite entre la vie et la mort dans ces Unités. Une fois ce stade atteint, l’étiquette LATA entre en jeu. Considérant que ces vieilles personnes vont de toute façon mourir (vu qu’on ne les réanimera pas, coucou l’obligation de moyens), nous leur injectons un cocktail de Morphine et d’Hypnovel en intraveineuse. Ces deux molécules, nous les utilisons par ailleurs en Soins Palliatifs : elles induisent un coma artificiel, effet bien connu, et elles ont également un effet dépressif respiratoire. Elles ont en fait un effet décontractant musculaire, particulièrement au niveau des muscles respiratoires (diaphragme, muscles intercostaux, muscles du pharynx, etc.) et entraînent donc une asphyxie médicamenteuse. Les médecins, si attachés à l’éthique, appellent ça une « mort douce ». Dans ces unités, nous tuons donc artificiellement des patients que l’on condamne dès leur sortie des Urgences. A aucun moment nous ne cherchons à faire de la médecine avec eux.
Ces décès sont ensuite comptabilisés comme victimes du coronavirus, alors qu’ils sont en fait les victimes des médecins français.
Les familles de ces victimes ne peuvent même pas se rendre compte de quoi que ce soit. Avec ce confinement, les jeunes patients n’ont droit à aucune visite. Les patients en fin de vie (ceux qui ont bénéficié du cocktail LATA), ont droit à une seule visite par jour. Les proches doivent donc se mettre d’accord pour décider qui ira voir le futur mort. Et ce visiteur n’aura pas le droit de visiter à nouveau dans la semaine en cours. Ils n’ont donc aucun moyen d’apprécier l’évolution clinique de leur proche, car nous tenons rarement plus d’une semaine sous Morphine et Hypnovel.
Nos politiques sont donc en train d’orchestrer des décès à la pelle dans les hôpitaux, et utilisent ces morts pour créer une psychose générale dans un but que je n’arrive pas encore à visualiser.”
Un tri de chirurgie de guerre…
et nous sommes confinés normalement pour éviter cela.
Tout à fait désolant et j’imagine difficile a vivre pour des confrères non préparés à laisser mourir sans rien tenter.
On nous avais enseigné lors de l’école des officiers de réserve que la France se préparait à un guerre radioactive,chimique ou bactériologique…On n’ose imaginer le scenario.
Courage fuyons et autruche svp au plus haut niveau
Très bonne remarque.
La médecine d’Etat dans toute sa splendeur technocratique !
Tant qu’on n’agira pas à la chinoise (rechercher,juger,condamner,executer) les hauts fonctionnaires responsables n’auront aucune raison de changer leur manière de “travailler au bonheur des Français” !
Autant dire que c’est pas demain la veille !
Responsables mais pas coupables !
Vive la république !
Ce témoignage est-il crédible ? Il faudrait avoir le nom de ce médecin, l’unité où il a travaillé etc – je sais que Dreuz fait un travail sérieux, mais les sources sont nécessaires – vu le caractère accablant, et surprenant sur certains aspects, de ce témoignage. Par ailleurs, certains autres échos parlent carrément d’euthanasie de masse. Si cela se confirme, il faudra établir s’il y a une volonté délibérée, une incompétence tragique, un manque réel de moyens, et éventuellement les trois à la fois. Il y a beaucoup de brouillard autour de toute cette situation – et l’histoire nous montre que certains savent profiter des périodes de brouillard. D’ailleurs plus personne ne parle de la Syrie, de Poutine, de l’Iran, d’Erdogan, du Mali et de tous les autres.. ?
@ Ze Kir
Comme vous j’ai de gros doutes. On nous ferait un village Potemkine à l’envers : des soignants qui se plaignent d’être débordés et de manquer de lit alors que tout irait à peu près bien pour eux. Et en admettant que ces soignants soient dans les zones fortement impactées, il est bizarre qu’ils demandent le confinement de la France entière beaucoup moins touchée dans de nombreuses zones.
Peut-être la crainte que l’épidémie se répande rapidement et ne soit plus maîtrisable par manque des moyens élémentaires. Vu la vitesse de réactions pour se procurer tout ce qui manque et pour trouver des solutions opérationnelles on n’est pas sorti de l’auberge (confinée) !
je devais me faire opérer le mois dernier ! il parait que ça peut attendre dit le gouvernement! en interdisant aux cliniques privées de faire leur métier, comme s’il s’agissait d’un café ou d’une salle de gym
Si l’Info est authentique et vérifiée , qu’est ce qui empêche de la passer sur tous les supports, et demander des explications aux Gouvernants,
Nous ne sommes pas , sur une Île , en pleine Cambrousse , dans une Forêt perdue , ni dans un Pays du Tiers Monde…..
Là ça devient grave , si c’est la réalité…..
Le Peuple doit se lever afin d’éviter le Pire.
J’ai aussi des doutes sur la crédibilité du témoignage. Il est probablement difficile pour la personne de témoigner à visage ouvert, mais…
Si c’est vrai, j’espère qu’ils ont tous gardé le protocole ECRIT qu’il décrit, à défaut la photo d’une observation de malade, à défaut des noms de patients…
Ce qui est vrai, c’est le décret autorisant l’euthanasie (sans la nommer) en prescrivant de Rivotril dans les maisons de retraite
Ce qui est vrai c’est que les Ehpad n’envoient pas (ou plus?) leurs patients aux urgences, le nombre de décès dans les Ehpad est impressionnant
Ce qui est aussi vrai, c’est que les chiffres d’hier de Salomon montrait que 45,6% des décès totaux concernaient des patients résidents dans des Ehpad (avec ou sans hospitalisation) (chiffres de France Santé) et ce pourcentage augmente tous les jours
Enfin les morts “à leur domicile” ne sont pas comptabilisés par France Santé
Merci à DREUZ pour cet article qui donne froid dans le dos !
Comme la réalité est glaçante ! Lire cet article, nous montre une image tellement différente de ce que l’on nous montre quotidiennement, que cela en est effrayant.
Oui, oui et oui, il vaut mieux “rester chez soi”, que de se retrouver dans cet endroit à l’aspect morbide, et si on doit s’y retrouver, espérer de toutes ses forces en sortir le plus vite possible guerit !!!
De toute façon, il fait bien faire semblant de s’apercevoir, maintenant avec le coronavirus, que l’Hôpital Public était depuis bien longtemps devenu un lieu non digne de ce qu’il devait être et que sa gestion par manque de moyens, la fermeture de lits, le manque de médecins spécialistes, etc…était devenu plus qu’empirique.
Mon frère qui souffrait depuis plusieurs mois d’un cancer de la prostate qui devait être opéré, a vu cette opération sans cesse remise à des mois suivants et ceci en dépit de ses analyses qui devenaient de plus en plus effrayantes…. L’opération neuf mois après est devenue inutile (toujours par manque d’anesthésistes). Il a fallu en venir à la chimiothérapie. Mais la maladie était tellement avancée, ayant envahie la majorité de ses organes…Ils ont dans l’affolement décidé une chimio « féroce »…Il est tombé dans le coma pendant la première séance de cette chimio…Il est mort une semaine après, au moi de juillet de cette année, dans un semi-réveil, parce qu’ils ne voulaient pas l’endormir totalement. Il était arrivé juste avant une polémique sur des médecins et des infirmières qui auraient précipité la mort de quelques patients…
https://www.francetvinfo.fr/sante/soigner/seine-maritime-un-couple-de-medecins-suspecte-d-avoir-euthanasie-plusieurs-patients_3724347.html
Alors ils avaient peur d’un dosage trop fort pour l’endormir totalement…
Imaginez quelqu’un qui est éveillé de temps en temps pendant une semaine, et qui réalise qu’il va mourir ?
Imaginez la famille, à qui l’on a dit, qu’il fallait attendre ce moment fatidique, qui accompagne son parent qu’il chérit. Le voir par moment totalement conscient de sa situation ?
C’était déjà cela l’Hôpital, français, avant le coronavirus !
Je pense que ce médecin devrait donner son nom et son numéro à l’ordre des médecins..
Curare et hypnovel servent à endormire etintuber le malade pour une réanimation et non pour organiser son décès.. je veux bien qu’il y ait un tri comme en médecine de guerre mais …
@Karcenty,
Je pense que vous n’avez pas compris.
Presque l’intégralité de son corps avaient des métastases, bien sûr qu’ils voulaient le réanimer. D’ailleurs, le coma était partiel, puisqu’il se réveillait par à coup. Ils essayaient de le sauver, mais ils nous ont dit, qu’il était plus certain, qu’il allait partir… Tout le reste de ses organes ne fonctionnant plus.
Non ! Si auparavant, la défaillance a été nette. Quand on s’est décidé de s’occuper de lui, il a eu une équipe formidable.
Je pense que mon frère a pâti des nombreuses manifestations, des fonctions médicales, qui ont fait que tout était perturbé pendant des mois. Pas d’anesthésistes, des courriers administratifs qui se contredisaient, manque de coordination, etc.
Merci
Aline ; toutes mes condoléances.
Je ne suis malheureusement pas étonné…
Selon que vous soyez riche ou pauvre etc…
Le “aimes ton prochain comme toi-même” a du plomb dans l’aile.
Par contre l’inversion des valeurs montre son véritable visage morbide !
Qu’ HM vous protège, vous et les vôtres.
@ christopher.dee,
Merci beaucoup. Il est vrai que parler d’une seule vie, aujourd’hui pourrait paraître indécent. Mais non justement, j’en ai assez de ces statistiques qui tournent en boucle, sans trouver le moyen de les donner ces satanées statistiques, autrement que de cette façon si spécifiquement mathématique, qui ne devrait être jamais employée quand on parle d’êtres humains…
J’ai l’atroce impression que la mort (des autres) potentiellement en masse ne choque guère nos experts…Soit ! Nous savons qu’ils se doivent d’être pragmatiques, mais tout de même je me demande s’ils ne le sont pas trop, au point d’en perdre le plus petit soupçon d’empathie envers l’humain.
Enfin, quand j’ai fait mon témoignage, c’était surtout pour rappeler, ce que le coronavirus à fait oublier à beaucoup…
C’est-à-dire, que juste avant, depuis des mois, Médecins et personnel de santé, ne cessaient de manifester, pour le manque de tout ce qui était nécessaire pour soigner :
– Matériel, médecins, horaires, etc.
Et soudain tout le monde est étonné de voir avec ce virus, que la France n’était pas prête ?
Mais de qui se moque t-on ? Le modèle de santé en France depuis des années tuent une multitude de personnes dans le silence le plus complet. À force d’amputer, réduire, diminuer, limiter etc. Quand ce n’est pas stopper net une multitude d’actes, de médicaments, de soins…
L’hôpital n’existait plus que par les valeureux médecins, et tous autres auxiliaires, jusqu’aux administratifs, qui cherchaient par tous les moyens à faire…Avec !
Bien sûr tous n’étaient pas des Saints et même parmi eux, on pouvait trouver de sacrées « vaches », qui aggravaient la situation par leur façon d’être. Mais ça on le trouve partout.
Voilà ! Oui c’est vrai mon frère s’il avait été opéré, quand il s’agissait juste de la petite tumeur, ne serait pas mort aujourd’hui…Mais malgré les efforts des plus empathiques (pas toujours tous, malheureusement), les rendez-vous étaient sans cesse remis, pour des visites ou actes importants.
Oui ! Je peux être en colère. Et pour le Coronavirus tout le monde a de droit d’être en colère !
La protection Santé en France n’était déjà plus suffisante en temps normal. Alors un tel imprévu !
Doute très fort.Si Dreuz veut emporter l’adhésion, il faut publier des données objectives permettant de localiser l’établissement décrit.
Par ailleurs, l’hypothèse n’est pas folle puisqu’on ne dispose d’aucun vaccin, même pas celui du Dr.Raoult. C’est d’ailleurs curieux que Macron n’ait pas parlé des vaccins autrement qu’en exaltant la “formidable puissance de la France”.
Ce demi silence alimente les fournisseurs de nouvelles douteuses. Alors, levez-le, sinon, taisez-vous.
Ce témoignage est tout à fait plausible, du moins dans certaines régions de France, si on en croit ces témoignages recueillis par Valeurs Actuelles :
“Dans certains de ces départements, les hôpitaux ont paradoxalement moins d’activité qu’avant l’épidémie. « Il y a 200 lits libres à l’hôpital de Périgueux puisqu’ils ont dû annuler les consultations et les opérations non urgentes » constate Jean-Pierre Cubertafon [député de Dordogne]”
“Bretagne, Occitanie et Nouvelle Aquitaine : ces régions épargnées par le coronavirus” : https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/bretagne-occitanie-et-nouvelle-aquitaine-ces-regions-epargnees-par-le-coronavirus-118137
Quoi qu’il en soit , Jupiter a parlé hier pour ne rien dire . Depuis le début lui et ces fantoches du gouvernement nous ont prouvé leurs incompétences a gérer ” cette ” épidémie en France ; pas un mots sur les masques , et le gel ………..
Nous aurons des masques quand l’épidémie sera terminée ; et en plus ils seront obligatoire sous peine de PV ……….Mais ce qui est bien plus stupéfiant a mes yeux , c’est que ce charlot va rendre visite avec toute une “armée” au Pr Raoult à Marseille pour soit disant prendre connaissance de ces travaux ; et hier PAS un mot ……………….
Je pense que les Français sont en droit d’avoir les tenants et aboutissants sur “Chloroquine” que le Pr Raoult préconise ; et surtout que les Français aient le libre arbitre de prendre ou pas la Chloroquine prescrite par un Médecin ………….
La dessus aussi il y a pleins de zones d’ombres …”.Big pharma ” gère la situation !
la France est une Union Soviétique qui aurait réussi, dixit Jacques Marseille
vous en avez la preuve par ce témoignage anonyme qui est corroboré par mon médecin traitant que j’ai consulté pour des symptômes proches du coronavirus.
Il m’a dit qu’il a perdu 50% de son chiffre d’affaires mensuel depuis le début du confinement.
Cet exemple montre que la pandémie est une aubaine pour notre gouvernement socialiste de régler provisoirement le déséquilibre financier du système collectiviste de retraite par répartition qui est une pyramide de Ponzi.
Si la solution “finale” pour liquider les vieux vous déplaît, il est encore temps de signer
ma pétition en faveur de l’abrogation du monopole de la sécurité sociale.
A bon entendeur…
https://www.petitions.fr/pour_labolition_du_monopole_de_la_securite_sociale_en_france
Je ne pense pas que le gouvernement utilise le covid pour régler le problème des vieux, parce qu’il y a, je crois, quelque chose comme 14 millions de retraités en France et près de 730 000 personnes en EHPAD. Clairement le virus est un drame pour les familles qui perdent un proche mais n’arrivera pas à tuer assez de personnes âgées pour soulager les caisses. En revanche, le gouvernement fait preuve de peu de considération pour les personnes âgées. Déjà même avant que les décès ne soient si nombreux, il y avait une façon répugnante de “rassurer” la population en insistant sur le fait que les personnes âgées étaient les principales victimes. Et certainement, si elles le sont, c’est en partie à cause de leur faiblesse, et en partie à cause de la façon dont on les traité. Ceci dit, le gouvernement ressemble beaucoup à la population qui l’a porté au pouvoir. Beaucoup de gens abandonnent les personnes âgées et redoutent d’avoir à s’en occuper.
J’aurais moi aussi voulu des sources pour pouvoir diffuser cet article. Ce témoignage est plus que plausible. Ma voisine, infirmière en hôpital, pas à l’étage covid dit la même chose: elle n’est pas débordée du tout.
Décidément, dans une société basée sur la performance et la rentabilité, mieux vaut être jeune, riche et bien portant que vieux, pauvre et malade. Ici en Italie, la situation ressemble fort à la description anonyme qui nous en est faite ici. Les médecins ont instruction stricte de ne plus consulter leurs malades que par téléphone et les retraités sommés de rester confinés chez eux ou en maison de retraite. Ce qui signifie que nombre de pathologies graves qui pourraient être soignées ne le sont plus et que la mortalité des anciens explose. Et les vieux, terrorisés à l’idée de crever seuls, abandonnés de tous en étouffant à l’hôpital réfléchissent à deux fois avant d’appeler l’ambulance. Selon une enquête chiffrée et documentée (video à l’appui), réalisée par le journaliste italien Matteo Gracis, de nombreux services hospitalier sont …vides. Et l’on s’est bien sûr empressé de censurer son témoignage. Le chiffre impressionnant de décès recensés en Italie s’explique aussi par le taux élevé de la population âgée, qui est le plus élevé d’Europe … Ce qui veut dire aussi que le coût de maintien en vie des personnes âgées est aussi le plus lourd. Il faut donc, d’une façon ou d’une autre réduire le “stock” de vieux qui représentent une charge et des frais insolubles à charge de la collectivité. Et la Von der Leyen, dans un trait de génie qui caractérise ceux qui veillent sur leurs intérêts personnel, et largement soutenue par Macron, préconise de confiner les vieux au moins jusqu’à la fin de l’année. Histoire qu’un maximum d’entre eux en crèvent, faute de soins appropriés à leur état et abandonnés par leur famille interdite de visite pour cause de confinement imposé aux aînés. Deux mois d’arrêt forcé de nos économies leur auront causé des dégâts considérables, mais une population rajeunie et débarrassée d’une partie de ses “poids morts” (au sens propre et figuré) sera en mesure de relancer la machine avec l’apport de “chair fraîche” venue d’ailleurs que l’on emploiera au tarif et aux règles chinoises de contrôle et soumission à laquelle nos populations sont formées en ce moment. Que celui qui a envie de vivre dans cette société nouvelle lève le doigt.
Il semble malheureusement que ce soit bien la vérité.
Ils ne savaient plus comment se débarrasser des vieux…qui coûtent un “pognon de dingue” ….
Jacques Attali, l’avait prophétiser, ils ont juste mis la barre à 70 ans au lieu de 65.
Révoltant.
Il faut se débarrasser de cette oligarchie.