
Le monde se réveille avec la gueule de bois, et se rend compte des vrais dangers de dépendre de la Chine, parce qu’il a oublié qu’elle est communiste.
Préambule : en général, lorsque je traite d’économie, mes lecteurs s’endorment au second paragraphe. Et pourtant, je m’obstine, car certaines choses, si je ne les dis pas, qui va le faire ?
Avec le coronavirus chinois, de nombreuses voix se lèvent et réclament l’arrêt du mondialisme et des importations de Chine. Ils sont évidemment dans l’excès, car ils ne voient que les inconvénients. Et oublient que le problème, ce n’est pas tant la Chine que son idéologie communiste. Le made in India soulève rarement les passions.
Le mondialisme avec intelligence est une aubaine, une opportunité. Le mondialisme des stupides fonctionnaires qui ne comprennent pas ce qu’est une entreprise, qui signent des accords commerciaux sans queue ni tête, et reçoivent ensuite des tapes sur l’épaule des grands groupes industriels qui bénéficient des mannes et largesses de l’Etat, voilà le danger.
A qui la France vendrait-elle ses Renault, ses Airbus, son champagne, ses parfums et ses pneus Michelin, si le mondialisme disparaissait ? Et toutes ces petites et moyennes entreprises qui pèsent 13% du montant total des exportations françaises ?
La question n’est pas posée, elle dérange.
« Le plus gros fabricant de popcorn européen se trouve dans le Gers », indiquait la journaliste Justine Weyl sur le plateau de France 2.
« Il fournit 55 pays dans le monde, jusqu’aux pays du Golfe, et l’Asie du Sud-Est.
« …Le leader des herbes aromatiques surgelées se trouve en région parisienne. Il réalise 70% de son chiffre d’affaires à l’export dans 50 pays ».
https://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-2/13-heures/economie-les-entreprises-francaises-championnes-des-exportations_2591162.html
Protectionnisme, mondialisation, finance internationale, ultra-libéralisme : personne ne sait plus ce que les mots veulent dire, et ce que les concepts recouvrent. Après tout, on demande aux gens de voter sans trop poser de questions. Après tout, Emmanuel Macron est un beau gosse, c’est bien assez pour se qualifier et diriger le pays. Après tout, Marine Le Pen veut défendre les valeurs françaises – et la majorité des Français ne semble plus en être très friande, puisque son Parti perd toutes les élections.
Quand le monde va comprendre qu’il faut éradiquer le made in China ?
Voilà la question qui revient régulièrement, avec la pandémie du virus chinois. Mais elle n’est pas nouvelle. Je me souviens l’avoir entendue dans la bouche de Marine Le Pen et Arnaud Montebourg, qui réclament un protectionnisme sans mesurer le retour de bâton des pays concernés.
Il existe trois moyens de réduire les importations de Chine et d’ailleurs. Deux sont pour les fainéants, le troisième demande courage et intelligence.
- Imposer des droits de douane élevés,
- Bloquer les importations (pudiquement appelé protectionnisme) en déguisant cela sous des tracasseries administratives. Je l’ai connu avec les magnétoscopes japonais bloqués à Soissons pour protéger ceux de Thomson. On connaît le résultat.
- Rendre la compétitivité à son industrie – c’est la méthode appliquée par Trump qui a fait ses preuves, mais qui est aussi la méthode suisse, israélienne, sud-coréenne et de tous les pays qui gagnent.
Cependant, les fonctionnaires médiocres et les gouvernements idiots prennent toujours les décisions les plus stupides. C’est ce qu’ils ont appris à l’ENA où l’on n’enseigne pas à réfléchir, mais apprendre et répéter.
Appliquez le protectionnisme, et soyez assuré que les pays que vous visez vous rendront la pareille. Et bye bye votre fabricant de popcorn et d’herbes aromatiques surgelées…
Les politiques y pensent toujours trop tard. Alors les entreprises font faillite, alors les gens se retrouvent au chômage, alors il faut donner de l’argent à ces chômeurs (pendant qu’on laisse entrer des centaines de milliers d’immigrants sans travail), alors il faut beaucoup d’impôts pour financer cela, alors le coût du travail devient très élevé – le bon vieux cercle vicieux quoi.
- Le made in China, c’est le made in « pays à faible coût et haut rendement », et lorsque les experts évoquent cette notion de faible coût, ils oublient toujours de regarder la situation de leur pays dans un miroir, alors que c’est une notion relative. Relative à leurs coûts élevés.
- Ce que les politiques et les experts ne disent pas, que l’Education nationale n’enseigne pas, et les médias se gardent bien de révéler (pourquoi alors le public le saurait-il ?), c’est que le problème n’est pas tellement en Chine, mais chez eux. Dans leur pays à très forte fiscalité et faible rendement. Et ils ne voient pas que sans la mondialisation, leur économie à l’export s’écroule, donc leur pays s’écroule.
- Eradiquer le made in China crée des défis auxquels les gens ne pensent pas, et les politiques, dont le RN qui prône cette stratégie, font mine de ne pas le savoir, ou pire, ils ne comprennent pas de quoi ils parlent – ce dont je les soupçonne fortement, car ils n’ont aucune expérience commerciale, et n’ont pas travaillé dans le monde de l’entreprise.
En élargissant encore votre regard, vous voyez aussi que le made in China fait baisser le prix au détail de beaucoup de produits de consommation, ce qui permet aux gouvernements mal gérés de maintenir artificiellement l’illusion que le coût de la vie est sous contrôle. Le made in China compense leurs erreurs qui appauvrissent la population en maintenant bas le prix de vente de produits qui couteraient hors de prix à fabriquer dans leur enfer fiscal et administratif.
Aucun changement vis-à-vis de la Chine
Et c’est pourquoi demain, l’après-coronavirus chinois ne verra aucun changement de politique économique avec la Chine.
Peut-être – il le faudrait – que certains secteurs essentiels à la sécurité nationale bénéficieront d’avantages fiscaux et règlementaires pour être rapatriés des usines chinoises et relocalisés. Peut-être, ce n’est pas certain. Ca n’ira guère plus loin.
Selon moi – je peux me tromper – seul quelques rares dirigeants politiques courageux oseront réclamer à la Chine des compensations financières pour le désastre humanitaire et économique qu’elle a provoqué en cachant au monde la pandémie, ce qui a permis au coronavirus de contaminer la planète – et pour plus longtemps que vous l’imaginez.
Poursuivre la Chine en justice, rêve ou réalité ?
Je l’ai déjà vu à l’œuvre : il ne se passe pas un jour sans que je reçoive une demande de signer une pétition pour réclamer au gouvernement ceci ou cela. Peine perdue. Les pétitions finissent toutes à la poubelle.
Je n’ai pas en revanche encore vu de pétitions venant de France et proposant une Class Action de citoyens pour poursuivre la Chine en justice. C’est pourtant un beau moyen de mettre un frein au made in China.
Heureusement, aux Etats-Unis, quelques-uns sauvent l’honneur.
- Les gouverneurs du Mississippi et du Missouri poursuivent la Chine en justice au nom de leurs Etats.
- Un groupe de petites entreprises californiennes – dont Cardiff Prestige Property, la Chambre de commerce de Little Saigon et d’autres – viennent d’engager des poursuites contre la République populaire de Chine, la ville de Wuhan et la Commission de la santé de ce pays et réclament 8 billions (millions de millions) de dommages et intérêts.
- Des milliers d’Américains de Floride se sont engagés dans une action collective pour obtenir du gouvernement chinois une compensation pour les dommages causés par COVID-19. Selon une déclaration du Berman Law Group, basé à Miami, le procès « vise à obtenir des milliards de dollars de dommages compensatoires pour ceux qui ont subi des blessures corporelles, des morts injustifiées, des dommages matériels et d’autres dommages ».
- Et des membres du Congrès ont présenté un projet de loi qui permettrait aux Américains de poursuivre la Chine en justice pour le virus de Wuhan.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Avec 184.000 personnes décédées et 2,6 millions de personnes contaminées, (OMS) il faut a minima traîner les autorités chinoises au tribunal de La Haye, faire immédiatement fermer tous leurs labos et leur interdire toutes formes de recherches scientifiques et médicales, comme on avait interdit à l’Allemagne de se réarmer au lendemain de la seconde guerre mondiale.
Et si possible avant qu’il n’y ait encore un autre virus qui leur « échappe ».
C’est évidemment la 3ème option qui est de loin la meilleure, et même la seule valable. Ce que les politiques et les experts pour ne citer qu’eux n’expliquent pas lorsqu’ils parlent de l’exploitation des pays du tiers-monde comme la Chine avec le drame des enfants et les cadences infernales, c’est l’énorme différence de mentalité entre d’une part notre Vieille Europe et notre Occident au sens large avec leurs valeurs judéo-chrétienne de compassion et d’empathie, et d’autre part l’Asie, notamment l’Asie du Sud-Est, où certes l’empathie et la compassion existent, mais où la valeur de la vie et la gestion du temps sont inversément proportionnelles à la taille des populations locales. Dutronc chantait « 700 millions de Chinois et moi-et moi-et moi ». Effectivement, l’individu n’a pas de place dans cette fourmilière. Ceci n’est pas nouveau et bien entendu le communisme n’a certainement rien arrangé, mais ce dernier est très compatible avec la mentalité de certains peuples. Chez nous, je le dis tout de go, si c’est à ça que l’on veut arriver, alors on est très mal. En Occident, le communisme déguisé en justice sociale, en bien commun, en vivre ensemble et autres billevesées a oblitéré des pans entiers de progrès civilisationnels réels. Quand Stéphane Courtois écrit en reprenant la mantra communiste: « du passé faisons table rase », de quel passé parle-t-il? Du passé d’avant le communisme ou du passé criminel du communisme genre « ce n’est pas ça le communisme » et donc il faut oublier, faire table-rase? Les deux approches sont justes pourtant. Comme le disait Michelle d’Astier en faisant part de son constat avec une immense tristesse, la perte des repères chrétiens en Occident et plus particulièrement en Europe, la fameuse déchristianisation, et j’ajouterai à « repères » l’adjectif « judéo-chrétiens », est effectivement un désastre sans précédent. Beaucoup seraient prêts à vendre leur âme au Diable qu’est le communisme avec ses habits de bienfaiteur. En plus de l’islam, la Chine communiste est l’autre défi justement parce qu’elle est communiste. Cette idéologie n’est certainement pas morte. Elle revient sous d’autres formes: l’égalitarisme, le contrôle intrusif de l’état, le réchauffisme écolo-totalitaire, les impôts écrasants, le découragement scandaleux de l’initiative privée, etc. Et tout cela à feu doux. C’est ce que le Professeur Millière appelait la technique de cuisson du homard. Le plonger dans l’eau bouillante directement et l’animal va se débattre et tenter de s’échapper. A feu doux, il s’endort lentement mais sûrement et ne se réveillera plus jamais.
En complément à la cuisson du homard, cette citation d’Ayn Rand :
« La différence entre un État-providence et un État totalitaire est une question de temps. »
Cher JPG,
Votre plaidoyer en faveur d’une politique de réanimation de la compétitivité des pays face aux bas coûts de production de la Chine, est convaincant et pleinement justifié car il y va de la survie de l' »ancien monde ».
Mais votre annonce de la mise en accusation de la Chine au titre des dommages qu’elle fait subir actuellement à l’ensemble de la planète laisse perplexe car LA QUESTION EST DE SAVOIR QUEL SERA LE TRIBUNAL COMPETENT pour en juger ??? TPI ? Cour de Justice Internationale ? Comment et par qui le dossier peut il être ficelé ?? Quels sont les thèmes prédéfinis permettant la saisine de ces juridictions et QUELLE EST LA COMPOSITION DES JURYS DE CES JURIDICTIONS ?? (la Chine elle même n’en fait elle pas partie ??)
Je crains que la faisabilité de l’opération ne soit pas facile à établir.
Merci cependant d’avoir attiré notre attention sur ce sujet. Portez vous bien.
« Marine Le Pen veut défendre les valeurs françaises – et la majorité des Français ne semble plus en être très friande, puisque son Parti perd toutes les élections. »
Les Français restent toujours friands des valeurs françaises, mais pas d’une imposteuse, telle qu’elle s’est dévoilée au cours de son match contre monsieur Macron.
Ni d’une fêtarde très heureuse de sa défaite, laquelle lui permet de garder son rôle favori : l’opposition..
Ni d’un hâbleur imposteur beau parleur toujours en quête d’une faute de dernière minute (Durafour crématoire par exemple) pour ne pas être élu.
Mis a part les États-Unis d’Amérique aucun pays ne fera quoi que se soit pour amener la CHINE COMMUNISTE a se plier a quelque jugement que se soit. XI JINPING n’est pas homme a se plier a quelques pays que se soit. Pire, il pourrait être tenté par l’aventure militaire en envahissant ses voisins pour commencer et surtout Taïwan et je ne vois pas quel État pourrait l’arrêter. Une chose est sûre s’il tombe, il ne tombera pas seul.
Les débats sur ce sujet sont souvent passionnels…
Il m’est arrivé de dire, en des lieux où des gens de la mouvance dite « patriote » étaient nombreux, que la France avait besoin de libéralisme, pas d’une couche d’étatisme supplémentaire. La volée de bois vert !… Les noms d’oiseaux !… Le libéralisme est en effet perçu, dans les milieux patriotes, comme le mal absolu. Il est vrai que je suis dubitatif quand je lis, comme cela arrive de temps en temps, sur des sites comme Contrepoints (voire ici), que la mondialisation a entraîné le développement et la sortie de la misère de nombreux pays depuis quelques dizaines d’années, et que c’est une bonne chose. Je ne vois pas les choses exactement comme ça : pour moi, les pays qui décollent économiquement depuis quelques décennies le doivent surtout à eux-mêmes : leurs peuples, leurs dirigeants ont eu l’intelligence de prendre le train occidental en marche, de nous copier en maints domaines, d’envoyer leurs jeunes se former chez nous, d’accepter les investissements étrangers, parfois l’implantation d’entreprises étrangères sur leur sol ; ils ont travaillé, beaucoup, de mieux en mieux, et désormais certains de ces pays produisent des ingénieurs, des chercheurs de haut niveau, qui quand ils restent au pays participent à le faire progresser encore. Ces pays doivent leur décollage à eux-mêmes avant tout, pas à « la mondialisation ». La mondialisation, c’est vague, ça veut tout dire et rien dire. S’il s’agit de commercer avec des pays étrangers, ce n’est pas vraiment une nouveauté : de tout temps les pays ont pratiqué les échanges commerciaux, ce qui peut être très bénéfique, une relation de type gagnant-gagnant. J’ajoute que je suis gêné aux entournures quand des gens avancent l’argument du progrès des pays pauvres « grâce à la mondialisation », sous-entendu que ce serait moralement coupable de s’opposer à « la mondialisation », car cela signifierait qu’on n’a pas pitié des populations des pays pauvres, qu’on est sans cœur. Cet argument me gêne pour deux raisons : 1. en tant que Français, désolé mais je ne peux prendre sur moi les soucis de la terre entière, j’estime que mes dirigeants élus doivent d’abord s’occuper des intérêts des Français ; les autres pays, ça les regarde de savoir s’ils veulent s’en sortir ou non, ce n’est pas mon business (cela rejoint ce que je disais au début : ce sont les habitants de ces pays qui s’en sortent, quand ils s’en sortent) ; 2. je ne vois pas pourquoi on devrait faire des fleurs à des régimes dictatoriaux, le monde comptant quand même un petit paquet de régimes dictatoriaux.
Cela pour dire qu’en tant que Français (en tant qu’Américain si j’étais américain, que Rosbif si j’étais rosbif, etc.), c’est le pragmatisme qui doit l’emporter, avec un fil directeur, celui que porte Donald Trump en étendard : France d’abord, America first, etc. selon sa nationalité.
Partant de là, deux priorités :
1. désétatiser mon pays, libéraliser son économie en interne (ce qui pour la France serait un chantier immense, qui s’il était mis en œuvre aboutirait à supprimer des millions d’emplois de fonctionnaires bureaucrates et assimilés, non productifs – qui se retrouveraient dès lors sur le marché du travail productif – , à assouplir considérablement le code du travail, et à la fin à augmenter très sensiblement le nombre d’heures travaillées en moyenne dans une vie) ; cette étape rendrait beaucoup de compétitivité au pays, et la moitié du problème serait résolu
2. l’autre moitié du problème : éviter au maximum les relations avec des pays notoirement peu fiables : Chine communiste, Iran des mollahs, et un certain nombre de pays dont le régime politique est hostile à l’Occident (on a par exemple la Turquie qui se signale de plus en plus comme telle) ; d’ailleurs on entend de temps à autre parler, dans ce genre de pays, de pratiques très douteuses envers les ouvriers : travail des enfants, voire d’esclaves ou quasi-esclaves ; comment pouvons-nous rivaliser avec de tels pays (en termes de coûts de production, même avec une économie libéralisée en interne), voire moralement accepter d’acheter des denrées produites avec des enfants ou des esclaves ?
Ce point 2. rejoint ce que vous dites, JP quand vous écrivez : « il le faudrait – que certains secteurs essentiels à la sécurité nationale bénéficieront d’avantages fiscaux et réglementaires pour être rapatriés des usines chinoises et relocalisés. » Car au-delà d’une concurrence déloyale, il faut effectivement penser à être le moins dépendants possible de pays peu fiables comme la Chine communiste et autres régimes hostiles à l’Occident.
Bref, si nous étions intelligents (je sais, on ne peut mettre Donald Trump et Emmanuel Macron au même niveau de ce point de vue, mais je parle en général), nous favoriserions des échanges aussi libres que possible entre pays occidentaux (qui sont à mes yeux les pays de culture judéo-chrétienne) – peu ou pas de droits de douane donc – et serions bien plus circonspects avec les autres pays, au cas par cas.
Alors, mondialisation, pas mondialisation ? Compte tenu du fait que ce terme prête à confusion, je préfère parler plutôt de relations commerciales intelligentes.
Une chose est certaine : je suis très réservé, voire hostile, à toute institution supranationale qui prétend dicter aux États, donc aux peuples, leur conduite, y compris en matière commerciale, mais pas seulement. Les histoires de gouvernance mondiale, très peu pour moi. En ce sens, je suis très hostile à ce qu’il est convenu d’appeler mondialisme, qui n’est à mes yeux que la forme moderne du socialisme internationaliste – ou, référence plus ancienne, de la Tour de Babel.
Et vous oubliez la future route de la soie…
Courir après les bénéfices à court terme, c’est se faire avoir à long terme !
Jacques Ady, remarquable commentaire .
Mais il ne faut pas compter sur ‘les peuples’ pour écouter ce bon sens. Les preuves de la non-intelligence des masses sont trop lourdes. Ici on a un licheux de cul de chinois et autres ayatollahs
au pouvoir grâce à sa belle gueule, vous-autres avez une tanche prétentieuse qui plaît aussi aux dames,et aux mullahs, et aux chinois… puis il y a ce Bidon-sénile avancé que le NY Times et autres gogos poussent devant aux USA- lui aussi très poli avec toutes les merdes du monde.
Pour moi on est finis.
On croise les doigts en faveur de ceux qui se battent. En France, bien sûr, on continuera comme avant. Les Français n’ont pas les moyens d’acheter français. Vous avez vu le débat sur la hausse du prix des fruits et légumes depuis que, coronavirus obligé, les grandes surfaces de fournissent en France ?
Je crois que le TPI n’ a pas les compétences pour faire condamner la Chine ; quand ce tribunal n’ a même pas l’ honnêteté ni le pouvoir de condamner des terroristes que l’ europe soutient et finance avec l’ argent de ses citoyens ; et ces criminels se font des fortunes comme Abbas ; et Arafat dont la succession à duré 7 ans ; ce peuple inventé ; dont le premier membre était un collaborateur des nazis et achève ainsi la Shoas , Al heusseni ; et ensuite Arrafat et Abbas qui tuent les Juifs ; Mais Mulozévitch lui a été jugé pour avoir tué des musulmans ; ou est la justice ???