
Source : AFP
Une vidéo, vue des centaines de milliers de fois sur les réseaux sociaux en moins de 24 heures, montre plusieurs barils de phosphate de chloroquine, indiqués comme provenant de Chine, et destinés selon l’auteur des images, bordereau de livraison à l’appui, à « la pharmacie centrale des armées » du camp de Chanteau (Loiret). Contactée par l’AFP, le ministre des Armées confirme avoir acheté de la chloroquine en Chine « par précaution« .
« On soigne les militaires, c’est bizarre tout ça« , ironise l’auteur de la vidéo virale. Partagée plus de 30.000 fois sur Facebook, elle a également été relayée sur Twitter.

Contacté par l’AFP le 24 avril, le ministère des Armées a reconnu avoir acheté de la chloroquine en Chine pour constituer un stock « par précaution« , si jamais ce traitement, dont l’efficacité contre le coronavirus fait débat dans le monde, était finalement validé par les autorités sanitaires.
« Dans un contexte de fortes tensions des approvisionnements de matières premières à usage pharmaceutique, le ministère des Armées a réalisé un achat de précaution, si jamais la chloroquine se révélait validée par les autorités de santé comme étant utile pour lutter contre le Covid-19« , a déclaré le ministère.
L’infectiologue français Didier Raoult prône depuis le début de l’épidémie l’utilisation de l’hydroxychloroquine (dérivé de la chloroquine, un médicament contre le paludisme, NDLR) pour combattre le coronavirus.
Certains médecins, certains pays et des élus appellent à administrer largement ce médicament. Mais une grande partie de la communauté scientifique et des organisations sanitaires appellent à attendre une validation scientifique rigoureuse, mettant en garde contre les risques possibles pour les patients, notamment cardiaques.
En attendant les résultats, la France a adopté une position prudente : l’hydroxychloroquine est autorisée à l’hôpital uniquement, (un décret du 25 mars précise d’ailleurs que les hôpitaux des armées sont concernés), et seulement pour les cas graves.
Certains internautes se sont demandés si cette chloroquine, qui est un anti-paludéen, ne pouvait pas être destinée à permettre à des soldats en opération de lutter contre le paludisme. Contacté, le ministère des Armées a répondu que : « la chloroquine était effectivement utilisée au sein des armées dans le traitement préventif du paludisme mais ne l’est plus aujourd’hui ».
L’homme en voix off affirme que les barils contiennent un total de « 70 kg« . Il en profite pour affirmer qu’on soigne les militaires avec ces médicaments, et ironise sur ceux qui se moquent du Pr Raoult.
Le ministère confirme que cette livraison provient bien de Chine et qu’il s’agit bien de « sel ou phosphate de chloroquine, qui permet le développement d’une forme injectable« . Il ne confirme toutefois pas la quantité de produit commandé.
Le professeur Raoult a bien spécifié que cela n’était utile que en début d’infection, et en aucun cas en cas grave!
Tout à fait » …seulement pour les cas graves. » alors ou ils sont complètement idiots ou ils se foutent du monde. Je penche pour ma deuxième remarque.
Autant de retraites en plus pour leurs chéris.
Le vendu à l’ennemi veut faire disparaîetre ses gueux pour les remplacer.
« la grande muette » soigne ses militaires grâce à la chloroquine dès les premiers symptômes après avoir été testés positifs. Logique. Macron le leur a donné l’autorisation, on sait jamais si ces cons de bidasses avaient la lumineuse idée de me reverser….et ils s’en souviendront aux prochaines élections présidentielles avant de voter…
On peut espérer raisonnablement que cette action électoraliste se retourne contre lui au sein de l’armée et de leurs familles au moment du vote.
La Chloroquine est donc disponible pour l’Armée que Macron doit considérer comme sa garde présidentielle (avec Castaner, n’avait il pas fait disposer les blindés contre les gilets jaunes?.), et pour la nomenclatura, bien sur.
Par contre, pour les « manants », pas de Chloroquine. Qu’ils crèvent en masse: cela accentuera la crise et permettra à Macron et ses sbires de justifier le gouvernement par décrets autoritaires, le confinement, la privation des libertés.
Les « manants » devront se soumettre!
« Les « manants » devront se soumettre! » Ils peuvent toujours rêver.
Avant de parler de cons de bidasses,il faudrait savoir de quoi on parle,donc d’être un tant soit peu d’intelligence.Et cela ne semble pas être le cas.Vos propos ne sont que des suppositions basées sur rien.
Oui, des cons de bidasses, c’est pas ce qui manque en France. Mais il y en a aussi qui méritent tout le respect, vous savez très bien que des minables opèrent ds tous les corps de métier, y compris ds l’armée. Et il se trouve que j’ai fait mon service militaire mais aussi que j’ai vécu pdt 25 ans en Afrique noire à leurs côtés, et dont les relations très personnelles, très proches, très politiques, très diplomatiques, qui existent entre certains trou du cul francs-maçons ne sont plus un secret pour personne. Vous pensez qu’ils vont tromper qui ? Toutefois je faisais parler Macron ds mon imagination citant les militaires de « cons de bidasses », merci de m’avoir donné raison pour le coup, rigolo. Pour l’intelligence, ma foi, c’est pas votre point fort.
Effectivement,vous êtes tout à fait du niveau « c’est celui qui le dit qui y est !!!! »Mais rassurez vous,dans toute société,il y a le même pourcentage de cons.
Sans vous forcer, vous l’avez démontré dès vos premiers mots. Maintenant, je ne suis pas responsable de vos problèmes d’illettrisme. Je vous signale en outre que l’étymologie du mot « bidasse » vient de l’occitan vidassa (sens = mauvaise vie) et celle de militaire, du latin militaris (« qui concerne la guerre »). Vous n’avez donc rien à voir avec le militaire mais tout à voir avec le bidasse, nous sommes bien d’accord.
Je ne vais pas jouer avec vous pendant 107 ans,et ce sera ma dernière réflexion vous concernant.Vous ne voyez pas plus loin que le bout de votre nez,ou déformez sciemment ce que vous lisez.En effet,l’étymologie du mot « bidasse » ressemble à ce que vous avez bien voulu comprendre,au détail près,car « mauvaise vie « est donné pour « vie pénible »,en référence à la vie que supportaient les soldats de 1914 dans les tranchées.Alors,me traiter de bidasse,même si le terme semble péjoratif,ne me gêne pas plus que ça,surtout après une carrière complète de militaire.Et si vous ne maîtrisez pas le sujet,taisez vous !!
Vous me prêtez vos propres tares. Le mot bidasse viendrait du nom propre Bidasse et de la chanson « Avec Bidasse » de Louis Bousquet, il est donc probable que l’étymologie du nom propre Bidasse soit le substantif occitan vidassa (prononcé bidasse) qui signifie vie désagréable, vie pénible. Voyez il n’y a aucune certitude sur le sens donné à l’expression « mauvaise vie » qu’il est possible d’entendre comme « vie pénible ». Toutefois vu que le mot bidasse renvoie au nom propre Bidasse en référence à la chanson « Avec Bidasse » de Louis Bousquet, si vous aviez fait l’effort de chercher plus loin que le bout de votre nez, vous auriez trouvez cela dans les paroles : « On a fait des orgies… On a bien passé le temps ». Maintenant, taisez-vous svp !
Ne surtout pas oublier qu’on fait un militaire, un policier ou un pompier d’un « con » de civil. Il n’y a que le déguisement qui change.
Je vous le concède, surtout quand on a pas été capable de gagner une seule guerre sans allié depuis Bonaparte.
Je ne suis pas militaire, mais je trouve ces propos complètement stupide et déplacés.
Nos militaires sont les seuls à tenter d’empêcher la progression des djihadistes au Mali.
En ce qui concerne la chloroquine commandée, ce n’est pas pour le paludisme puisque maintenant ce sont d’autres médicaments qui sont utilisés, étant donné que le paludisme mortel est devenu résistant partout, y compris en Afrique.
Si ce n’est pas contre le paludisme, c’est donc bien contre le Covid-19.
« Je ne suis pas militaire, mais je trouve ces propos complètement stupide et déplacés. » Gardez vos jugements profondément débiles pour vous, c’est mieux. « Nos militaires sont les seuls à tenter d’empêcher la progression des djihadistes au Mali. » faux, les militaires maliens, mais aussi burkinabés, nigériens, mauritaniens, tchadiens et algériens participent à leurs côtés ainsi que les militaires du Royaume-Uni, de l’Estonie et du Danemark. Pour le reste de votre commentaire, j’ignore à qui vous vous adressez.
En résumé, Gaïa Dreuz, le gouvernement , piloté par
Macron, a laissé se répandre en France la pandémie
issue de Chine.
Ledit gouvt, après être resté obstinément sourd et
aveugle face aux excellents résultats du Prof. Raoult
utilisant un médicament connu et peu onéreux
efficace en temps voulu, fait venir du pays CAUSE
de l’infection ( et à la fin du 4ème mois de ravages
dans beaucoup de pays, le nôtre en tête) un stock
de chloroquine DE CHINE, pour répondre à la
demande des militaires, inquiets pour leurs
soldats envoyés en afrique, par exemple.
C’est un bel exemple de la logique socialiste.
Merci Saskia.
Votre résumé est très clair.
Les soldats envoyés en Afrique ont possiblement moins de risques d’attraper le virus que ceux restés en France pr des raisons climatiques.
Mais peut être le palu ? Parce qu’il me semble que la « chloroquine » n’est qu’une autre forme de la « nivaquine » utilisée depuis des lustres ?
La nivaquine est le nom commercial de la chloroquine. Et la chloroquine n’est plus utilisée comme traitement antipaludéen du fait de la résistance du paludisme à ce médicament.
Avec quel traitement ont été soignés les marins du Charles de Gaulle ???
Bonne question, niou !!!!!!
Le Service de Santé des Armées de France qui est beaucoup intervenu sous les tropiques compte dans ses rangs d’excellents médecins, de grands professeurs, des hôpitaux et des instituts renommés dans le monde entier (comme l’hôpital du Val-de-Grâce à Paris et l’institut du Pharo à Marseille, qui sont malheureusement fermés aujourd’hui).
Les médecins militaires reçoivent une bonne formation en médecine tropicale.
Ces médecins savent très bien que la chloroquine, bien utilisée, n’est pas dangereuse, et comme les essais avec les autres médicaments (antirétroviraux et remdesivir) sont très décevants, ils ont préféré constituer des réserves stratégiques de chloroquine.
Aujourd’hui, le ministère des Armées a reconnu avoir acheté de la chloroquine en Chine pour constituer un stock « par précaution », si jamais ce traitement était finalement validé par les autorités sanitaires.
Si la chloroquine était très utilisée autrefois contre le paludisme, elle l’est beaucoup moins aujourd’hui, car le Plasmodium falciparum, responsable de la forme mortelle du paludisme, est devenu résistant à ce médicament presque partout dans le monde.
La chloroquine n’est plus utilisée que contre les autres espèces de Plasmodium (vivax, ovale, et malariae) qui ne donnent pas d’accès palustres mortels.
Si le Service de Santé des Armées en a acheté une telle quantité, c’est bien pour le traitement du Covid-19.
C’est juste dommage d’avoir été obligé de le commander à la Chine, parce que la France est tout-à-fait capable d’en fabriquer et l’a fait pendant 70 ans. Mais la production française est bloquée en attendant la validation par les autorités sanitaires !
Ben quoi, l’armée française intervient en zone tropicale, elle a besoin d’antipaludéens :-)))