La terrible discrimination à l’égard des minorités se poursuit sans relâche dans l’État islamiste du Pakistan, même au moment de la pandémie mondiale, lorsque certaines familles appartenant à des minorités religieuses se sont vu refuser la ration alimentaire.

Il y a quelques jours, Asia News a rapporté que la Fondation Cilani pour le bien-être international à Karachi refusait de fournir une aide alimentaire aux pauvres hindous et chrétiens au milieu de la pandémie du virus corona. « La raison en est que la Zakat, la charité islamique (l’un des cinq piliers de l’islam), est réservée uniquement aux musulmans. »

Peu de temps après, Christian International a rapporté que les chrétiens de Lahore étaient également privés de l’aide alimentaire du gouvernement au milieu de la crise pandémique de Covid-19.

Il semble maintenant que les chrétiens et les hindous du Pakistan auront droit à des rations alimentaires à une seule condition : s’ils se convertissent à l’islam. Ils devraient dire la Shahadda, ce qui signifie : Il n’y a pas d’autre dieu que Dieu et que Muhammad est le Messager de Dieu et c’est ce que l’on appelle islamiquement les deux témoignages – et c’est d’une grande importance pour se convertir à l’islam.

Cet « horrible acte de discrimination contre les minorités » est une nouvelle importante, mais bien sûr les principaux médias l’ignorent volontairement.

Selon des informations récentes venant de ce pays , les minorités religieuses, en particulier les hindous et les chrétiens, sont confrontées à une grave discrimination au Pakistan pendant la crise mondiale actuelle du virus pandémique. Les minorités hindoues et chrétiennes ne reçoivent pas de vivres des autorités, car elles sont destinées aux musulmans.

Dans l’un de ces incidents similaires, lors de la distribution de rations aux nécessiteux dans le district de Kuranji à Karachi, il a été dit que la population chrétienne était obligée de réciter une « la bonne parole  » comme condition préalable à l’obtention de quotas auprès de l’administration locale. Comme ils ont refusé, les chrétiens ont été privés des besoins essentielles.

Le «bonne parole» signifie cette déclaration des deux témoignages, c’est la croyance fondamentale en l’islam et il est obligatoire pour les musulmans, et tous ceux qui se convertissent à l’islam de la prononcer.

Une vieille dame chrétienne pakistanaise,Recite Kalma, a témoigné sur instragam : Ils ne nous ont pas donné la ration et ont dit que nous ne recevrons la ration qu’après avoir dit: «Il n’y a de Dieu que Allah et Muhammad est le Messager de Dieu.» Nous leur avons dit que nous ne ferions pas cela. Ils nous ont refusé la ration alimentaire et nous ont demandé de partir.

Le même rapport indiquait que les hindous et les chrétiens avaient été informés qu’ils n’étaient pas éligibles pour les vivres car ils étaient destinés uniquement aux musulmans.

Le gouvernement du Sindh- l’une des quatre provinces fédérées du Pakistan situé le plus au sud du pays- a ordonné aux ONG locales de distribuer quotidiennement des rations alimentaires aux travailleurs pauvres et aux travailleurs. Cependant, les hindous et les chrétiens ont été exclus et leur juste part refusée par l’ONG basée à Karachi, Saylani Welfare Trust.

Les hindous se voient refuser des vivres notamment à Karachi .

Il faut rappeler que le Pakistan avait annulé, il y a quelques jours, la peine de mort pour le terroriste Omar Sheikh qui avait été condamné à mort pour avoir enlevé et tué le journaliste américain Daniel Pearl. Sa peine été commuée en 7 ans de prison, une durée couverte déjà par ses 18 années déjà passées en détention. L’information a été rapportée par plusieurs médias pakistanais.

Daniel Pearl, juif américain de 38 ans, correspondant du quotidien américain The Wall Street Journal, avait disparu en janvier 2002 à Karachi, après avoir informé sa femme, alors enceinte de six mois, qu’il allait rencontrer un chef islamiste. Il enquêtait sur les réseaux islamistes, alors très implantés à Karachi et susceptibles d’avoir des liens avec AlQaida, le réseau d’Oussama ben Laden, quelques mois après les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis. 

Il ne faut pas baisser la garde face à l’ennemi qui agresse de l’intérieur et défie de l’extérieur.

Avec la persécution des chrétiens dans les pays islamiques, l’Occident joue avec le feu en ouvrant les portes de l’immigration islamique.

À la lumière de ce constat au Pakistan, l’attitude des masses musulmanes à l’égard de ces agissements est l’ indifférence générale. Trouvez vous normal que l’islam gouverne un pays ?

Trouvez vous normal que les chrétiens n’aient aucune liberté de vivre leur foi dans ces pays islamiques et que ces musulmans de la diaspora exigent dans les pays occidentaux d’avoir plus de mosquées et de faire du prosélytisme ?

Ce qui est pire, c’est que des politiciens de gauche prônent encore la diversité et l’ immigration oubliant la doctrine ayant conduit à cette islamisation vertigineuse dans des « quartiers » en France et en Belgique.

C’est une invasion qui est menée par ces populations qui, refusant tout compromis, tentent au contraire d’imposer un changement de société en parallèle au changement de population que chacun peut observer, partout, chaque jour. 

Il n’est jamais trop tard pour faire son auto-critique et tracer de nouvelles directions. Aujourd’hui, la menace islamique et la pandémie s’épaulent contre l’Europe, avec cet angoisse sur l’avenir, le chômage, la précarité accrue, la diminution du pouvoir d’achat, la crise sociale, les retraites fragiles, le manque de logements pour les classes les plus pauvres et tous les autres problèmes de l’ insécurité qui résultent en grande partie de cette immigration islamique.

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