
Un ami qui m’est cher, nous l’appellerons Marc S. mais ce n’est pas son vrai nom, m’a dit récemment : « Trump, je ne suis pas trop pour, c’est sûr ».
Cet article lui est dédié. Il est aussi pour vous, qui êtes nombreux, par mail ou dans vos commentaires, à me dire que vos amis, votre famille, répètent les Fake News qu’ils entendent à la télé en refusant de croire que ce sont des mensonges.
Voici un extrait d’une intervention du plus célèbre commentateur politique américain, Bill O’Reilly, que j’ai traduite (1). Elle est intéressante pour plusieurs raisons.
- Jusqu’à son départ de Fox news il y a deux ans, O’Reilly était le journaliste le plus suivi d’Amérique, ce qui lui apporte une sérieuse crédibilité. Historien, il est également l’auteur qui a vendu le plus de livres de non-fiction au monde, sa série Killing a été vendue à plus de 17 millions d’exemplaires.
- O’Reilly n’est pas partisan. C’est le journalisme à l’ancienne : les faits, tous les faits, rien que les faits. Honnêtement. Je pense que son immense succès vient de là. Il est à la fois le plus aimé et le plus détesté des journalistes : très aimé parce qu’il ne fait pas de propagande et rapporte la vérité. Très détesté pour les mêmes raisons : certains n’aiment pas que les vérités qu’ils rapportent soient dites.
- O’Reilly n’est pas Républicain, ni Démocrate. C’est un Indépendant : il explique souvent qu’il a voté Démocrate ou Républicain, sans a priori politique, selon qui il croyait capable de défendre le mieux les valeurs de l’Amérique et apporter du bonheur à ses compatriotes.
Comme vous le constatez, car vous me connaissez bien, O’Reilly et moi avons beaucoup en commun. Je n’ai pas d’opinion politique, seulement mon bon sens. Je n’ai pas de raison de défendre Trump, ce n’est pas mon métier, qui est de défendre la vérité.
Il y a une différence cependant entre O’Reilly et moi : je déteste la politique, et elle représente toute sa vie. Et je méprise les hommes politiques, Démocrates comme Républicains, je les trouve moralement corrompus.

Trump a du sang sur les mains ?
– Par Bill O’Reilly.
Ainsi, la contagion [du coronavirus] et la politique se sont maintenant croisées, c’est parti.
Le Boston Globe est l’un des journaux les plus à gauche du pays. Il a soutenu Elizabeth Warren à la présidence. Vous ne pouvez pas soutenir la sénatrice Warren à moins que vous ne soyez une organisation socialiste, parce que c’est ce qu’elle est, et c’est ce qu’elle veut.
Depuis trois ans, le comité de rédaction du Boston Globe n’a pas dit une seule chose positive, nous n’en avons pas trouvé une seule – et nous avons fait des recherches – sur le président Trump.
L’économie, entre autres choses, n’a pas une seule fois valu des compliments au président de la part du Boston Globe. Sur quoi que ce soit, jamais aucun compliment. Bon.
Donc aujourd’hui, le comité de rédaction, en fait, c’était le 30 mars, a écrit :
« Les mois que l’administration a perdus en tergiversations sur la menace et les faux pas qui en ont découlé, se traduiront par un nombre exponentiel de cas de Covid-19, plus que nécessaire. En d’autres termes, le président a du sang sur les mains ».
Bon. C’est ignoble, haineux et ce n’est pas vrai. [NDLR Mon ami Marc, lorsqu’il a entendu cela dans la bouche des experts invités sur les plateaux de la télé française, « c’est sûr, il n’a pas trop été pour Trump »]
Une analyse simple
O’Reilly poursuit :
– « Comité de rédaction du Boston Globe, nommez-moi un leader mondial qui avait mis en garde contre le coronavirus. Un seul. Il n’en existe pas. La Grande-Bretagne, l’Italie, l’Australie, vous pouvez descendre dans la liste. Personne ne savait que ce virus allait devenir une pandémie. Personne ne le savait…
- … Aujourd’hui, Bloomberg a publié un rapport selon lequel la Chine, le gouvernement chinois, a activement menti et a falsifié les informations que d’autres gouvernements, comme celui des États-Unis, cherchaient à obtenir sur le virus.
- Les communistes ont menti à ce sujet. Ce n’est un choc pour personne, mais l’éditorial du Boston Globe ne le souligne pas.
- Il ne souligne pas qu’à la fin du mois de janvier, le président Trump a été le premier dirigeant mondial de cette envergure à arrêter les vols de la Chine vers les États-Unis.
- D’autres pays ont autorisé la poursuite de ces vols. Joe Biden [candidat Démocrate à l’élection présidentielle de novembre face à Trump] l’a traité de xénophobe pour avoir arrêté les vols. Le Boston Globe ne mentionne rien de tout cela.
- Donc, si aucun dirigeant au monde n’a levé le drapeau rouge de la pandémie en janvier ou même en février, comment Donald Trump a-t-il du sang sur les mains ? Comment ?
Il s’agit donc d’une attaque politique. C’est une campagne parce que le New York Times est dans le coup, j’y reviendrai dans un instant, tout comme CNN et NBC, pour convaincre l’électeur américain que Donald Trump a manqué à son devoir, qu’il était au courant de la pandémie, mais qu’il ne l’a dit à personne, de sorte que des gens sont morts. Du sang sur les mains.
C’est ce qui ressort des cabinets de lobby Démocrates. Je suis passé par là, le Bonner Group, à Boston. Dewey Square, ils formulent la politique pour le parti. Elle est diffusée dans les journaux et sur les chaînes de télévision de gauche et boum, la voilà.
Donc, Trump a tué des gens parce qu’il ne voulait pas dire la vérité sur le virus, qu’il connaissait, blablabla. C’est ce que vous allez entendre encore et encore et encore et encore. Il a minimisé la pandémie exprès. Il connaissait la véritable histoire.
C’est un tas de conneries. C’est un mensonge. Bon. Voilà donc ce qui se passe avec le Boston Globe.
Le New York Times
Voici un article du journal The Hill, pas particulièrement très lu, mais je veux juste vous montrer à quelle vitesse ce genre de choses se répand.
Donc, The Hill titre que « l’Administration Trump a ignoré un avertissement de pandémie des économistes de la Maison-Blanche, qui ont publié une étude estimant les effets possibles de la pandémie en septembre, selon un rapport du New York Times ».
OK. Le New York Times a écrit cet article en sachant que des dizaines de milliers de rapports seront écrits à la suite.
Au huitième paragraphe de l’article du New York Times, après le gros titre criard, il est indiqué que l’étude, qui ne prévoyait pas spécifiquement le Coronavirus, a modélisé une pandémie impliquant un virus similaire à l’épidémie de grippe de 1918 ou à la grippe porcine de 2009 frappant le pays. La grippe qui a servi de modèle à cette étude, cependant, était moins contagieuse et moins mortelle que le coronavirus pourrait l’être, selon les responsables de la santé publique.
Vous voyez de quelle conn….ie il s’agit ? L’étude ne dit même pas qu’un virus était en train de se répandre. Mais il faut lire le huitième paragraphe pour l’apprendre.
2e partie : « La pandémie est devenue une joute anti-Trump »
Le 5 avril, le Washington Times publiait un article d’opinion (2) : « Comment les médias de gauche militarisent le COVID-19 contre Trump ». L’article est signé de Brent Bozell, qui dirige un organisme de fact check, de contrôle et d’analyse des médias, Media Research Center (3).
Que dit-il :
Au lieu d’être un point de ralliement, notre lutte contre la pandémie est devenue une joute politique contre Trump.
Le critique des médias du New York Times, Ben Smith, a même suggéré que l’Amérique aurait pu éviter la crise du coronavirus pendant « deux semaines cruciales fin février et début mars », lorsque les « animateurs et invités de la chaîne Fox News ont minimisé à plusieurs reprises la menace de ce qui deviendrait bientôt une pandémie mortelle et parlé d’une affabulation ».
Mettons les choses au clair :
• En faisant un tri sélectif dans les émissions de Fox News, M. Smith a ignoré le point le plus important que les animateurs et les invités de la chaîne ont soulevé : « l’affabulation » dont ils se sont plaints était l’attaque médiatique partisane contre la gestion de la crise par le président, pas la crise elle-même.
• Loin de minimiser la pandémie, l’un des animateurs les plus populaires de la chaîne, Tucker Carlson [NDLR Egalement l’un des plus populaires d’Amérique, avec des taux d’audience dix fois supérieurs à ceux de CNN], a été l’une des premières figures médiatiques à attirer l’attention sur la crise, comme le reconnaît lui-même M. Smith.• M. Smith a omis de mentionner le journaliste Sean Hannity, qui a été parmi les premiers sur les réseaux câblés à mettre son programme au service de la pandémie en invitant le célèbre Dr Anthony Fauci [que toutes les chaînes aujourd’hui s’arrachent], le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses.
Extrême politisation anti-Trump
Le Washington Times poursuit :
Ne vous y trompez pas : Les remarques concernant la politisation de cette crise par les médias sont exactes et bien méritées.
Si l’on considère l’ampleur de la crise actuelle, ces critiques sont même plutôt sous-estimées :
- Les lecteurs du Washington Post, par exemple, ont pu lire que ce virus mortel est le « Trump’s Chernobyl »,
- Les téléspectateurs de CNN ont entendu le rédacteur en chef, Chris Cillizza, dire qu’il s’agit du « Donald Trump’s Katrina » [NDLR En référence à l’ouragan Katrina qui a dévasté la Louisiane et le Mississipi en 2015]
- Le site Slate a diagnostiqué le président comme « pathologique », et déclaré « c’est pire que le Katrina de Trump », « sa stupidité provoque un 11 septembre au ralenti. »
- Entre-temps, Gail Collins du New York Times a proposé un nouveau sobriquet. Le coronavirus, a-t-elle suggéré, devrait être rebaptisé « Trumpvirus ».
Et ils sont les premiers à dire que Trump divise la Nation : comme toujours, ce que la gauche dénonce et accuse les autres de faire, elle est la première à s’en rendre coupable.
Conclusion
Ce qu’O’Reilly relate à propos du Boston Globe, on le retrouve à l’identique sur CNN (qui est repris par BFMTV), sur MSNBC, dans le New-York Times (qui est repris par Le Monde), et le Washington Post pour citer les pires.
Voilà pourquoi mon ami Marc S. me dit : « Trump, je ne suis pas trop pour, c’est sûr ».
Il a entendu parler du racisme de Trump, de la xénophobie de Trump, de l’autoritarisme de Trump, du protectionnisme de Trump, du mépris de Trump pour les pauvres, de la désorganisation et du chaos de la Maison-Blanche, et de la stupidité crasse de Trump. Il a vu les journalistes se moquer, le ridiculiser, le traîner dans la boue et le prendre de haut.
Comment voulez-vous que mon ami Marc – ou quiconque d’ailleurs – puisse imaginer que tout, je dis bien tout, est faux ! C’est absolument impossible ! Tout son édifice d’évaluation intellectuel des médias d’information demanderait à être réexaminé. Il lui faudrait accepter, admettre, puis gommer quatre ans de propagande anti-Trump, et cela dépasse la capacité d’une personne normale, qui n’aime pas qu’on lui mente, et ne peut pas admettre avoir été trompée pendant quatre ans : c’est personnellement humiliant de s’avouer qu’on a été trompé. Moi ça me vexe. J’imagine que vous aussi.
Mon ami, vos amis, n’ont aucun moyen de savoir à quel point tout ce qu’ils ont jamais entendu sur le président Trump dans la bouche des journalistes et des commentateurs politiques français, est teinté d’un parti-pris hostile, traduit depuis les médias américains qui haïssent le président américain et veulent faire élire un Démocrate.
Mais j’aime toujours autant Marc S. et mes amis Démocrates américains. L’amitié passe selon moi très loin au dessus de la politique, des opinions politiques, et des divergences. Et puis je me contrefiche que Marc n’aime pas Trump pour des raisons politiques – mais pas à cause de la désinformation.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
- https://www.billoreilly.com/b/Blood-on-Trumps-Hands-Americans-turn-to-Prayer-and-Alcohol;-Holding-China-Accountable/475873000905910599.html
- https://www.washingtontimes.com/news/2020/apr/5/how-the-liberal-media-weaponizes-covid-19-against-/
- https://www.mrc.org
« Publié par Jean-Patrick Grumberg le 8 avril 2020
Mais j’aime toujours autant Marc S. et mes amis Démocrates américains. L’amitié passe selon moi très loin au dessus de la politique, des opinions politiques, et des divergences. »
Lorsque les vies sont en jeu l’amitié passe après. Lorsque les campagnes anti Trump ne sont pas des « accidents d’opinion » épisodiques, mais des plans bien établis , Marc S pourrait alors montrer son amitié qui doit être réciproque.
Personnellement je ne partage pas votre conclusion (c’est 1 millième que je ne partage pas avec vous soyez rassuré).
Au bout d’un moment il ne faut pas tomber dans le Relativisme.
« Mais j’aime toujours autant Marc S. et mes amis Démocrates américains. L’amitié passe selon moi très loin au dessus de la politique, des opinions politiques, et des divergences ». Tiens, je serais bien curieux de savoir si l’inverse est vrai également, passeque ça, je peux pas crrweere une fois vweer. Dis, tu m’swis, comme on dit à Bruxelles? Plus sérieusement, j’ai appris à exclure d’avance les gens de gauche de mon proche entourage car eux ne me pardonneront pas d’être comme je suis avec les idées que j’ai. Evidemment, ils en resteront là s’ils ne peuvent rien me faire, et ce au nom de leur tolérance légendaire. Mais imaginons un instant que je dépende d’eux. Quant aux autres, ceux qui font partie de mon entourage plus lointain, e.g. le niveau professionnel avec les inévitables collègues chiants, je les fréquente juste le temps qu’il faut les fréquenter et ne dis mot (je relis certains articles de dreuz pour me convaincre que je ne suis pas tout à fait fou et qu’il y a encore des gens bien ici-bas). Mais parler avec ces gens, c’est peine perdue de toutes façons. J’évite de les agresser. Et donc dès qu’ils s’engagent sur le terrain politique avec moi et connaissant à l’avance le requiem du capitalisme et du libéralisme et la ritournelle anti-Trump/anti-Thatcher/anti-Israël/ anti-Tout ce qui est bien, qu’ils vont me chanter, je leur réponds que je ne suis pas d’accord et en général ça s’arrête là. Si l’amitié passe très loin au-dessus de la politique, pas avec moi. Warum? Parce que cela voudrait dire que vous pourriez avoir des amis nazis par exemple, je veux dire vraiment nazis. Si le socialo-communisme et toutes les idéologies connexes comme le nazisme me répugnent absolument, je ne dirai rien de ceux qui s’en réclament, y compris en parole. C’est comme ça ! Mais chacun fait son expérience. La mienne est très négative sur les gens de l’autre bord qui, alors que je croyais encore naïvement à la liberté d’exprimer une opinion contraire sans que cela ne porte préjudice, m’ont fait un jour payer le prix fort. D’où l’utilisation de pseudos divers. Par contre, je serais beaucoup moins enclin à utiliser un pseudo sur un des blogs de la gôôôche généreuse et solidaire. Avec des amis pareils, on n’a pas besoin d’ennemis. Il suffit de voir avec effroi aujourd’hui le nombre effarants de dénonciations par leurs voisins de gens qui n’auraient pas assez respecté le confinement. En réalité, il s’agit de règlements de comptes « entre amis? » pour autre chose (jalousie sur la voiture, la maison, etc.). Il est difficile de s’imaginer ce que les Juifs de la Deuxième Guerre mondiale entre autres ont enduré dans cette ambiance où ils ne pouvaient faire confiance à personne. Avec les gauchistes, c’est pareil. Ils vous attendront au coin du bois dès qu’ils le pourront. Alors que vous vous fichez pas mal de leurs opinions au final. Mais eux ne se fichent pas des vôtres. C’est là qu’est le problème.
@Patrick Boulechitey, je réponds à vos questions et remarques.
1 – je serais bien curieux de savoir si l’inverse est vrai également.
Oui, mes amis Démocrates, à une exception mais c’est un extrémiste, et ceux qui détestent Trump, me comptent parmi leurs amis proches.
2 – Si l’amitié passe très loin au-dessus de la politique, pas avec moi.
Nous avons probablement une différence, et c’est que je n’aime pas la politique.
3 – Parce que cela voudrait dire que vous pourriez avoir des amis nazis par exemple, je veux dire vraiment nazis.
Ben non.
4 – La mienne est très négative sur les gens de l’autre bord qui, alors que je croyais encore naïvement à la liberté d’exprimer une opinion contraire sans que cela ne porte préjudice, m’ont fait un jour payer le prix fort.
Autre différence entre nous. Les gens ont peur de moi, c’est toujours eux qui payent le prix fort s’ils se frottent à moi. Jamais l’inverse. Personne ne m’a jamais fait payer ni le prix fort, ni même aucun prix : j’ai le cuir très très épais, et gare à celui qui me manque de respect.
D’accord sur les 3 premiers points. C’est très clair. Quant au 4ème, c’est un peu plus compliqué. J’ai écrit: « Evidemment, ils en resteront là s’ils ne peuvent rien me faire ». Mais s’ils le peuvent, ils le feront.
Très juste Monsieur Patrick Boulechitey et pourtant, il m’arrive encore d’espérer. Je suis un indécrottable naïf.
Je remarque qu’il y a de réelles tagiversations et hésitations malheureuses de la part des autorités américaines sur le modèle qu’il faut appliquer pour lutter contre le coronavirus. Certaines voix se font entendre sur la nécessité du pistage digital des personnes potentiellement infectées. Les autorités hésitent et Guy Milliere a dit qu’il n y en aura pas . J’ajouterai à ce fait l’affaire des tests défectueux, l’entrave de la FDA d’autoriser des tests mis au point par des équipes de recherche indépendantes, la cacophonie sur la nécessité de confiner etc. Et il y a une réelle volonté de la part de Trump de sauver une partie de l’économie au détriment de certaines vies. Ca peut se comprendre car c’est une mesure à double tranchant. Il est à noter , à la décharge des autorités américaines, que ces hésitations et ces tagiversations (qui durent environ un mois) se retrouvent chez la plupart des gouvernants (Macron, Boris Johnson etc.)
Il ne s’agit pas de tergiversations mais d’affinement de la modélisation à mesure que de nouvelles informations leur parviennent. Par exemple, nous avons appris hier que le pic aurait lieu le 14 avril en Californie, et non pas le 26 comme le prévoyait la modélisation précédente. Avec un peu de chance, nous pourrons reprendre une vie normale dans le courant du mois de mai.
Le président Trump essaie de trouver le moyen de rouvrir le pays parce qu’il ne veut pas que le remède soit pire que le mal. Son équipe est en train d’étudier l’impact du virus commune par commune, pour adapter les consignes à la situation sur le terrain.
Je lui fais entièrement confiance. Son équipe, ça dépend. Je suis très déçue par Fauci.
une chance que nous avons Fox News et le Washington Times
Bill O’Reilly. Quel MINABLE …
Surtout Serge, ne vous donnez pas la peine de documenter vos insultes et accusations par le moindre élément de preuve, ce serait vous abaisser, vous êtes la parole absolue et la vérité indiscutable – en fait vous êtes un troll, un ridicule clown – il en faut.
TERGIVERSATION et non tagiversation
shalom et hag shaméah
Emmanuel
Je crois que c’est vous qui avez écrit un jour que vous aimez plus votre ami qu’avoir raison. Cela m’avait plu. Je fais passer l’amitié (et l’amour) avant tout. Une de mes amies est lesbienne, en couple avec une femme. On était toutes deux d’accord pour ne pas parler du mariage homo, ayant chacune manifesté dans le camp opposé.
En revanche, je trouve que vous excusez trop facilement votre ami Marc. Douter fait partie des qualités que j’aime le plus chez quelqu’un. Ce qui n’empêche pas aussi d’avoir des certitudes. C’est une question d’équilibre. Je ne comprends que l’on puisse se satisfaire des mêmes sources et ne pas se poser des questions lorsqu’on est est témoin d’une unanimité féroce et non argumentée envers quelqu’un, en l’occurrence Trump.
Le 17 mars 2020, Agnès Buzyn affirme au Monde avoir alerté l’exécutif de la gravité de la pandémie de COVID-19 dès le 11 janvier 2020 (Administrativement, mais oralement l’exécutif était au courant depuis plusieurs jours avant) Le 24 janvier 2020, Agnès Buzyn, déclare à propos de la Covid-19 que « le risque d’importation [du virus] depuis Wuhan est pratiquement nul » et que « le risque de propagation est très faible ».
Pour ma part, il m’est impossible d’avoir des amis gauchistes
La gauche est très très politisée. Personnellement dans ma vie j’ai eu beaucoup de déception avec des personnes de gauche qui m’ont tourné le dos à cause de mes opinions. Ils sont intolérants, haineux. Sur ce point ils surclassent la droite ce qui fait d’eux des militants très combattifs. On le voit avec Trump cela dure depuis 4 ans et tous les jours. Alors il faut se réveiller et les combattre
PourTrump, entièrement d’accord avec vous, en France la plupart des « casseurs » sont des gauchistes comme les « black blocs » jeunesse bourgeoise socialo/communiste qui peut se le permettre, avec en moyenne 4 à 5000 euros de revenus mensuels. Ensuite nous avons les « racailles » qui profitent du système et du laxisme de ce gouvernement gaucho-collabo. Toujours que du « beau monde » ?
Il faut recommander à votre ami de lire plutôt Dreuz, Europe-Israel…
Personnellement, j’ai fait faire le tirage photo (0.19$/1) de l’en-tête noir et mauve de « DREUZ.INFO Votre bouffée d’air du matin pour mieux supporter les mensonges des média » et je les affiche partout où c’est permis… et c’est toujours plaisant de constater qu’on les y laisse.
« Amicalement »!
P.S. : Si cela peut tous nous encourager, il y a dans mon environnement social beaucoup de personnes sans grande scolarité, pas intello pour un sou, pas des Charlock Holmes… mais qui réalisent que l’acharnement contre Trump n’est pas naturel et ressemble à un « coup monté » odieux : personne n’aime être pris pour un imbécile. Cela peut susciter une réaction antagoniste contre les média par l’américain moyen et mener aussi bien à la réélection de Trump. Souhaitons-le.
Je fais partie de ceux qui sont sidérés qu’un Trump ait pu être élu à la tête des Etats-Unis. Pour moi, il cumule à peu près tous les défauts, mais surtout celui de l’ego trip qui est ravageur.
Et pourtant, au delà de ses outrances, j’observe qu’il fait partie des candidats au Nobel de la paix ce qui en dit long.
Mais surtout je vois qu’en face il y a un vieux sénile qui n’est pas capable d’aligner deux phrases cohérentes et qui surfe sur l’angoisse générée par la crise sanitaire pour espérer se faire élire.
Trump doit jongler. Je pense qu’il est sensible aux arguments factuels qui démontrent que cette crise n’est pas une pandémie, mais une simple épidémie de grippe saisonnière et qu’elle est déjà derrière. Il ne peut l’avouer franchement car il passerait pour un complotiste.
D’ici novembre nous disposerons des informations qui confirment cette psychose collective. Sera-ce suffisant pour que les Américains ouvrent les yeux ? On verra. Mais entre la peste de Trump et le choléra de Biden, je préfère encore le premier et j’espère qu’il aura les couilles pour dénoncer la gestion de cette crise dans la foulée de son retrait de l’OMS qui me l’a rendu sympathique.