Publié par Guy Millière le 14 mai 2020

La presse française se montrant d’une discrétion absolue concernant tout ce qui entoure l’abandon des poursuites contre le Général Flynn, et ce que cela révèle du caractère crapuleux de l’administration Obama finissante et d’Obama lui-même, il importe d’en dire quelques mots.

On le sait si on s’informe, une immense opération de déstabilisation a été lancée contre Donald Trump bien avant qu’il soit élu Président, dès le moment où il est apparu qu’il serait le candidat républicain, en mai-juin 2016. Le but était de le salir et de le diffamer pour le faire perdre.

Un dossier de désinformation a été commandé par Hillary Clinton et le parti démocrate à un ancien agent britannique qui avait gardé des liens avec les services secrets russes., Christopher Steele, et celui-ci avait livré le dossier commandé.

Le dossier avait servi à diffuser dans la presse complice des démocrates quelques immondices. Il avait été transmis au Ministère de la justice sous Loretta Lynch, à la CIA sous John Brennan, à la Conseillère nationale de sécurité Susan Rice, au FBI sous James Comey.

James Comey et son adjoint Andrew McCabe avaient utilisé le dossier, dont ils savaient que c’était un dossier de désinformation pour demander des écoutes de membres de l’équipe de campagne de Donald Trump, et pour que leur demande soit acceptée par les juges censés autoriser les écoutes, ils avaient certifié que ce que contenait le dossier était authentique.

Ils avaient ainsi fait écouter l’équipe de campagne de Donald Trump. Voulant étayer le dossier, ils ont envoyé des agents se présentant comme des agents russes aux fins de tenter de piéger des membres de l’équipe de campagne de Donald Trump. Cela a donné des épisodes dignes d’un mauvais roman d’espionnage, mais hélas bien réels (je donne tous les détails dans un livre qui devait sortir en avril, mais qui, au vu de la pandémie, sortira à l’automne, et que je suis en train d’actualiser). Aucun membre de l’équipe de campagne de Donald Trump n’était tombé dans le piège, mais les écoutes s’étaient poursuivies.

Tous ces braves gens pensaient que Donald Trump serait battu. Quand il a été élu, ils ont paniqué et dû penser à un plan B.

Leur but a été de faire tomber Donald Trump par tous les moyens, et de tout faire pour que leurs crimes ne soient pas découverts (car, oui, tout ce qu’ils avaient fait depuis mai-juin 2016 était un ensemble de crimes fédéraux pouvant impliquer de lourdes peines de prison).

Pour faire tomber Trump, ils ont, utilisant le dossier fabriqué par Christopher Steele, disséminé la rumeur de collusion avec la Russie, et la presse complice a propagé la rumeur. Ils ont fini par obtenir la pseudo-enquête censée avoir été menée par Robert Mueller, et menée en réalité par Andrew Weissman, un procureur de gauche extrême à la réputation de rottweiler, Robert Mueller ayant servi d’homme de paille (comment Andrew Weissman s’est retrouvé dans cette position impliquerait de longues explications que je ne peux donner dans un article, mais qui seront dans le livre mentionné ci-dessus).

Pour que leurs crimes ne soient pas découverts, il leur fallait mettre sur la touche le ministre de la justice Jeff Sessions, ce qu’ils ont obtenu en l’intimidant (comment ? Nul ne le sait pour l’heure), il leur fallait aussi garder le contrôle sur le FBI, qui était l’organisation la plus mouillée, et il leur fallait éviter qu’un homme intègre et courageux connaissant tous des méandres des services de renseignement fédéraux puisse enquêter. Quand le Général Flynn a été choisi comme Conseiller national de sécurité par Donald Trump, ils ont décidé d’abattre le Général Flynn, et ils y sont parvenus. Un piège a été tendu au Général Flynn par James Comey et Andrew McCabe, et le Général Flynn est tombé dans le piège et accusé de parjure. Il a dû démissionner de sa position de Conseiller national de sécurité, et du prendre un avocat. Il a subi, depuis, un véritable harcèlement, qui vient de prendre fin, et qui a détruit sa vie pendant près de quatre ans, alors qu’il n’avait commis aucun crime, et qu’il avait servi son pays de manière exemplaire pendant trois décennies. (Ce qui a été fait au Général Flynn est immonde et sordide).

La fin des poursuites contre le Général Flynn vient de ce que des documents accablants pour les braves gens susdits ont été mis au jour. Et ces documents ont été mis au jour grâce à trois personnes: Sidney Powell, l’avocate du Général Flynn, qui a fait procéder à des investigations et a utilisé pour cela ses relations au Ministère de la justice, William Barr, ministre de la justice qui a remplacé Jeff Sessions, et a mandaté un procureur incorruptible, John Durham, pour mener une enquête criminelle sur tout ce qui s’est passé depuis mai-juin 2016, Richard Grenell, nommé par Trump directeur du renseignement national en février en remplacement de Joseph Maguire, qui lui-même avait remplacé Dan Coats. (Donald Trump a dû, souvent, constater que des gens qu’il pensait fiables ne l’étaient pas vraiment, et trouver d’autres gens jusqu’à trouver enfin une personne à même de faire le travail requis avec efficacité : les créatures du marécage qu’il lui faut assécher sont nombreuses).

Les documents mis au jour montrent que le FBI n’avait aucun élément permettant d’incriminer le Général Flynn, et l’a incriminé quand même. Ils exposent la façon dont a été mis en place le piège tendu au Général Flynn à cette fin. Ils montrent que Barack Obama et Joe Biden savaient tout des opérations contre le Général Flynn. William Barr a déclaré, de manière officielle, que rien ne permettait d’incriminer le Général Flynn, que ce dernier était innocent, et que l’enquête sur le piège qui lui avait été tendu et sur les opérations contre lui se poursuivait.

D’autres documents sont à venir. Donald Trump l’a dit. William Barr l’a dit aussi. Sidney Powell a déclaré que des éléments allaient être mis au jour qui montreraient que Barack Obama et Joe Biden sont directement impliqués. John Durham poursuit son enquête criminelle, et rendra ses conclusions au cours des prochaines semaines.

Le New York Times et le Washington Post, qui n’en sont plus à une ignominie près, disent que le Général Flynn est coupable parce qu’il a plaidé coupable et oublient délibérément ce que toute personne qui connait l’affaire sait: le Général Flynn a été soumis à un chantage odieux par le FBI de James Comey et Andrew McCabe, et il a été exigé de lui qu’il plaide coupable, sans quoi son fils aurait été à son tour harcelé et accusé d’on ne sait quoi. Des procédés de ce genre sont dignes de ceux utilisés en Union Soviétique sous Joseph Staline.

Le juge Emmett Sullivan, chargé de juger le Général Flynn, qui aurait dû prononcer une relaxe, s’y est refusé et a décidé d’attendre, ce qui est sans précédents dans un contexte ou le dossier d’accusation est totalement vide. Il vient de demander à un juge à la retraite de venir témoigner contre Flynn : ce témoignage n’aurait aucune valeur juridique. Ce serait clownesque si ce n’était indigne d’un juge américain. 

Barack Obama, qui sait que les éléments évoqués par Sidney Powell existent, et qui sait aussi que la meilleure défense en pareille situation consiste à accuser ceux qui vous incriminent de ce dont vous êtes coupable, dit que la justice sous Donald Trump est frelatée, et que l’état de droit américain est menacé, et laisse entendre que William Barr devrait démissionner. On va entendre des mots de ce genre dans les jours à venir dans d’autres bouches que celle de Barack Obama. Ces gens-là osent tout.

L’expression Obamagate circule à Washington. On verra sans doute bientôt que l’Obamagate est mille fois plus grave que le Watergate. Donald Trump l’a définie comme un coup d’Etat rampant et comme le plus grave crime politique de l’histoire des Etats-Unis et comme le viol le plus effroyable qu’aient subi les institutions américaines en plus de deux siècles. Comme le violeur en chef s’appelle Barack Obama, et que ce dernier est un dieu vivant pour la quasi-totalité des journalistes français, je ne doute pas que la presse française en sa quasi-totalité restera muette sur le sujet, ou le traitera à la façon du New York Times et du Washington Post.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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