Source : Franceinter
Nous l’avions révélé le 23 avril, un professeur de l’École vétérinaire de Maison-Alfort venait de lancer une étude pour vérifier si des chiens dressés à la recherche de stupéfiants et d’explosifs étaient capables d’identifier l’odeur du Covid chez des patients. Au vu des très bons premiers résultats, la 2e phase débute
Il y a un peu plus de trois semaines débutait la première phase d’une étude menée avec des chiens dressés à la recherche d’explosifs ou de stupéfiants. Le but : vérifier si ces chiens étaient capables d’identifier à coup sur l’odeur du Covid provenant des patients
Le pari semble bien parti. La deuxième phase de l’étude débute cette semaine pour valider (ou pas) les premiers résultats des trois semaines écoulées, des résultats qui seraient “bluffants”.
Ces trois dernières semaines, une vingtaine de chiens de pompiers et de gendarmerie ont participé aux essais de la première étape.
On a pris des prélèvements de sueur sur des patients positifs et on a formé les chiens à reconnaître l’odeur du virus. On a ensuite disposé, dans une pièce, un prélèvement positif à côté de plusieurs autres prélèvements tous négatifs. L’enjeu était de savoir si les chiens arriveraient à reconnaître et à marquer l’arrêt devant le prélèvement positif.
La réponse est oui selon Dominique Granjean, professeur à l’école nationale vétérinaire d’Alfort : “C’était notre grande interrogation : est-ce qu’on allait avoir une odeur spécifique de la sueur ou pas ? Là, indéniablement, on l’a et on arrive à des séances qui sont vraiment bluffantes où on fait 100%. Ça marche, ça c’est clair. Le chien peut trouver des positifs parmi des négatifs ou des blancs. Aujourd’hui, c’est ce que l’on peut affirmer”.
La phase de validation commence
La deuxième étape de l‘étude, qui va débuter cette semaine, va consister à donner au chien un seul prélèvement positif ou négatif et à voir s’il marque, aboie, ou s’assoit quand c’est positif. On veut s’assurer ici qu’il aboie à bon escient et ne confond pas les échantillons positifs ou négatifs.
C’est la phase dite de validation, elle prendra encore une dizaine de jours et ce n’est pas forcément gagné encore, “ce sont des chiens, pas des machines”, explique Dominique Grandjean, qui a malgré tout très bon espoir de faire de ces chiens des outils de dépistage efficaces.
Il n’est pas le seul : plusieurs pays, la Belgique, la Grande-Bretagne, les États-Unis et même le Brésil travaillent eux aussi sur ces détections canines.
N’importe quoi
Normal au vu de la puissance du flair de nos chers meilleurs amis, 40 fois plus que notre sens de l’odorant et en plus, il est discriminant donc capable de distinguer une seule odeur parmi des milliers !
C’est donc une excellente idée, et si on me propose le choix du test au goupillon ou du flair, je choisis le “meilleur ami de l’homme” !
moi aussi
@ niou
les éléphants ont un odorat encore plus subtil que celui de nos braves toutous mais ils seraient quand même un peu trop encombrants !
Ephraïm, alors ça c’est sûr…..rires. La trompe d’un éléphant doit être effectivement plus sensible, mais risquerait de nous aspirer ou nous asperger !
Que de créatures magnifiques et tellement utiles nous entourent……….
Oui mais est-ce qu’ils aboient devant un échantillon positif ?
@Yapaphoton
Non mais ils trompent ce qui n’indique pas forcément qu’ils se trompent !
Le chien est un animal extraordinairement passionnant et encore à découvrir. A tous ceux pour qui ils sont un élément essentiel de leur vie, je recommande l’ouvrage du zoologue Desmond Morris “Le chien révélé” paru en 1987 chez Calmann Lévy.
J’aurais plutôt conseillé l’ouvrage de Desmond Tutu.
un des livres les plus ineptes que je connaisse, par un zozologue de bazar qui, parmi d’autres carabistouilles, interdit de regarder le chien dans les yeux, pour éviter de se faire attaquer par ce chien.
J’ai regardé des dizaines de milliers de chiens dans les yeux, c’est là qu’on communique le mieux avec lui.
” Le chien pris au sérieux”, du disciple de Konrad Lorenz, Eberhard Trumler, a beaucoup plus de valeur.
Ça à l’air de mieux marcher que les avions renifleurs de Giscard et c’est tant mieux pour ces braves bêtes, plus intelligentes que nos politiques. je vais commencer à dresser mes trois petits yorks, j’investis dans leur flair…
Méfiance ! le premier chien dénomé RANTANPLAN avait lancé l appli
STOP COVID pour mieux nous fliquer !
A présent je vois la même chose s installer avec de vrais chiens qui
deviendront chiens policiers.
On pourra plus renifler tranquille sans se faire renifler !
Puis viendra le chien d attaque qui vous plaquera au sol si
il renifle que vous ètes pas vacciné contre le COVID !
Dans un mauvais pays , tout progrès devient une menace !
Depêchez-vous de faire bosser les chiens avant que les chinois ne les bouffent
PHIPHI, MDR ! j’ai trouvé des définitions fort intéressantes relatives à “goupillon” :
Le goupillon ou écouvillon est un objet servant à nettoyer les bouteilles ;
Le goupillon est une variété de fléau d’armes ;
Le goupillon est le surnom des buissons callistemon.
Le goupillon est un objet liturgique utilisé pour asperger d’eau bénite objets ou personnes participant à une cérémonie religieuse. Il ressemble à un court bâton de bois ou de métal, garni à son extrémité de poils rudes ou d’une boule percée de trous
Il ne reste plus qu’à choisir celui qui convient …….rires
Bravo Yapaphoton, c’est l’humour que j’aime ! Il faudra recommencer, ça embellit la vie!!!