
L’information a été révélée par Le Parisien : quarantaine trois patients et des personnes ayant perdu un proche touché par le Covid-19 ont engagé un recours en justice contre l’Etat.
Quarante trois personnes sur un total de 26 000 victimes à ce jour, c’est un chiffre réellement microscopique, incompréhensible même.
«Il s’agit d’une action administrative, il n’est pas question de clouer au pilori tel ou tel ministre, mais d’obtenir d’abord un statut de victimes pour nos clients et de réclamer des indemnités devant le prétoire s’il le faut», détaille Me Loris Palumbo, interrogé par des journalistes.
«Nous interpellons en parallèle le pouvoir. La création d’un fonds d’indemnisation pour les victimes sur le modèle de ce qui existe pour l’amiante notamment serait une réponse intelligence», ajoute Me Benjamin Abraham Fellous.
Par cette action, les plaignants veulent pointer les carences et la mauvaise gestion de la maladie.
«Les victimes engagées dans cette action considèrent que l’Etat a trop tardé à confiner la population, n’a pas pris les mesures pour protéger ou pour permettre un dépistage massif», détaille Me Palumbo.
Pour autant, ce n’est pas parce qu’une crise est difficile à gérer qu’on ne peut pas pointer du doigt, tel ou tel manquement. »
Palumbo rappelle le précédent du sang contaminé :
« Dans l’affaire du sang contaminé, on s’est aperçu que les procédures pénales avait toutes échouées, donc on considère que cette voie est plus adaptée. »
Le premier recours, adressé au Premier ministre Édouard Philipe, a été déposé le 21 avril dernier. Faute de réponse dans les deux mois, le tribunal sera saisi du cas de Géraldine et des 42 autres pour lesquels la demande a été adressée. En parallèle, Maître Loris Palumbo réclame la création d’un fond d’indemnisation des victimes du Covid-19 sur le modèle de l’amiante.
Le collectif d’avocats Les Soldats du Droit en a fait la demande après avoir reçu des centaines d’appels de victimes, chaque semaine. Céline Astolfe en est la cofondatrice et, pour cette avocate, le fond d’indemnisation est nécessaire : « Nous visons autant les soignants, du secteur public et du secteur privé, que les accompagnants ou les ayants droit des victimes décédées. Ces gens-là n’ont pas la possibilité d’avoir une quelconque indemnisation avec les systèmes existants. Avec ce fond, leur préjudice et leur demande sont dès aujourd’hui examinés et entendus. Cela nous semble indispensable de faire l’économie de toute procédure judiciaire assez chronophage. »
Cela devrait également permettre de désengorger les tribunaux d’un afflux de contentieux. D’après le collectif en discussion avec l’entourage du président de la République, ce fond d’indemnisation devrait voir le jour. Il demande désormais à l’État de l’annoncer officiellement.
- Parmi les victimes, Pierre, un soignant, espère obtenir «une forme de reconnaissance».
- Géraldine a perdu son père Jean-François, 69 ans, décédé du coronavirus chinois le 7 avril dernier, dans un hôpital parisien. Elle se remémore ses derniers jours :
« Il n’y avait pas le matériel nécessaire, ni les médicaments nécessaires. Ils ont fait une demande de respirateur qu’ils n’ont jamais eu.
Il avait une détresse respiratoire aiguë et il avait besoin de plus d’oxygène. On n’a pas voulu l’envoyer en réanimation parce qu’il était au-delà d’un âge limite défini par la circulaire.
On nous a empêché de l’envoyer en réanimation alors que son état le nécessitait. Il en est mort.
Pour Géraldine, on ne lui a laissé aucune chance et le responsable c’est l’État. Elle a donc choisi de déposer un recours administratif en responsabilité.
« Surtout, avec cette action, je veux faire en sorte que ça ne se reproduise plus », souligne-t-elle, « et je pense que l’État a une grande part de responsabilité. Il n’y a pas eu d’anticipation dans cette crise : pas de masque, pas de test, pas de confinement au début ».
Il est vrai que si la France avait géré la pandémie et traité ses malades comme Israël l’a fait, elle aurait aujourd’hui 1 824 morts (et pas 26 000).
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
- https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-des-victimes-ou-proches-de-victimes-engagent-un-recours-contre-letat_3955247.html
J’approuve bien sûr mais comme pour le sang contaminé Tchernobyl l’amiante etc … je crains que cela n’aboutisse pas nous sommes en France et en France la justice le système et le pouvoir seront toujours gagnants c’est écœurant mais tant que les français voteront pour les mêmes rien ne changera jamais contrairement aux autres pays occidentaux qui font le ménage chez leurs politiques ripoux
Ils peuvent poser des plinthes le long des murs, car les plaintes, ils n’en ont rien à foutre: Ils sont déjà jugés non coupables ni responsables…
J’espère pour toutes les victimes de l’incompétence de ce gouvernement, en premier, M. Macron car E. Philippe ne fait qu’exécuter ses ordres, que justice leur sera rendue! Bien que n’ayant que peu de foi en la justice française plus proche des délinquants que des honnêtes gens.
Plus un homme politique de près ou de loin ayant touché aux arcanes du pouvoir ne devraient se représenter…. La France a besoin d’un guide, d’un vrai chef à la fois ferme et humain mais des fantoches comme ceux là, il y a de quoi avoir honte de la France. Nous méritons vraiment mieux que ça…. Et je dis bien ça car je n’ai pas d’autres termes pour ces mafieux!
Moi, je n’ai pas-non plus- de termes, mais j’ai du bon saindoux pour les axes des charrettes.
43 patients entament une procédure administrative ? Mais c’est absolument énorme, vous vous rendez compte ! 43 personnes du peuple français, sur 66 millions, dont 30 000 familles qui ont eu un membre décédé par ce génocide organisé, qui réagissent à quelque chose dans ce beau pays où il fait bon vivre ? Cela relève du miracle, de l’inconcevable. Et cela met à plat tout ce que je répète depuis 40 ans que 90 % du peuple français est constitué politiquement d’imbéciles, de dégénérés, et de suicidaires.
C’est dur, très dur, de découvrir que 40 ans de ce que l’on pense n’était pas exacts. 43 personnes sur 66 millions d’habitants ont démontré que ma thèse était totalement infondée. Je vais essayer de ne pas sombrer dans la dépression nerveuse.
Et encore plus dure à accepter : il s’agit d’une simple procédure administrative et non pas du pénal. La sanction maximum que l’on pourrait envisager est que tous les ministres et et la raclure de bidet Macron, responsables de tout cela, doivent écrire une lettre d’excuses : sanctions insupportables, après 18 ans de procédure bien évidemment.
Je pense qu’après avoir procédé à un génocide voulu et organisé ayant fait 30 000 victimes et ayant détruit quasi complètement l’économie d’un pays entier, écrire une lettre d’excuses de 10 lignes ne va pas vraiment les empêcher de dormir.
Et de plus, comme le dit Ghysly44 ci-dessus, aucune condamnation, même pas ma lettre d’excuses, ne sera prononcée, car aucun juge ne souhaitera être muté à Mayotte, et en s’attirant de plus les foudres de la dictature violente qui est déjà maintenant bien installée dans notre pays.
Je pense que tout cela n’empêchera pas nos bons ministres soucieux du bien de leur peuple de se taper un bon gueuleton ce soir avec de la bonne bière.
Je ne vois que 43 familles qui veulent du fric !
Attaquer l’état quand on connait les bras cassés qui y règnent en maîtres absolus, c’est demander à des compatriotes de payer à la place des responsables qui ne seront JAMAIS jugés coupables; Soyez en persuadés.
Il faudrait plutôt quelques millions de Masques Jaunes qui demandent justice dans la rue et prétendent à faire envoyer au bûcher ces centaines de fonctionnaires qui n’ont pas bien « fonctionné » que leurs biens (tous leurs bien, matériels et financiers) et ceux de leurs familles soient saisis et attribués aux familles des plaignants.
(J’ai quelques noms en tête…)
Il est hors de question que mes impôts servent a dédouaner les carences des nuls qui sont supposés œuvrer au mieux pour le pays et son peuple.
C’est un bon début !………j’espère que toutes les victimes et les familles des victimes attaqueront en justice , Macron et son gouvernement de fantoches pour crimes …..
Parce que c’est exactement cela qui c’est passé et ce passe ……..C’est une véritable infamie que ce « chef des tas » outrecuidant a commis .
Ils n’attaquent pas Macron, ni le gouvernement, car ils savent que c’est perdu d’avance.
Ils demandent juste la création d’un fonds d’indemnisation des victimes (qui sera éventuellement créé avec l’argent des CONS-tribuables)
Il me semble que le covid-19 est reconnu maladie professionnelle pour les personnels soignants.
Le gouvernement n’a pas précisé si les autres salariés auront aussi ce statut s’ils contractent le virus.
Les victimes qui n’étaient ni personnel soignant ni salarie au moment de leur contamination, avec ou sans décès, auront-elles un statut plus proche d’une victime de catastrophe « naturelle » ou d’une victime de « bio-terrorisme »/ »bio-attaque »?
Si leur angle d’attaque c’est le seul retard de la mise en place du confinement, c’est bien léger. Dans l’ordre, il me semble:
– connaissance du problème, décembre 2019
– pas de contrôle aux frontières (par exemple, les quelques 3.000 supporters italiens pour le match OL – Juventus de Turin
– mensonge sur les masques
– désinformation sur la chloroquine (Marseille vs Paris, l’élite…)
– détournement des patients de leurs généralistes au profit des hôpitaux
– etc…
« La buzyn ? » Tu as oublié le Crif, BHL, DSK, Halimi…
Que se passe-t-il… Fatigue passagère ?
https://www.dreuz.info/2020/05/06/enseignement-de-larabe-a-lecole/#comment-859289
ISRAËL sur 16.454 cas, il y a eu 247 décès soit un taux de mortalité de 1,50%
ETATS UNIS sur 1.338.643 cas, il y a eu 79373 décès soit un taux de mortalité de 5,92%
FRANCE sur 138.854 cas, il y a eu 26310 décès soit un taux de mortalité de 18,94%
… Non comptabilisés les morts à domicile soit environ 9000 décès
COSTA RICA sur 780 cas, il y a eu 6 décès soit un taux de mortalité de 0,77%
Le Costa Rica utilise l’hydroxychloroquine pour traiter les patients atteints de COVID-19, ont confirmé les experts médicaux du pays.
L’utilisation du médicament au Costa Rica suit les conseils d’experts médicaux de la Chine, où le nouveau coronavirus est censé avoir pris naissance.
« Au Costa Rica, nous utilisons l’hydroxychloroquine depuis que nous avons eu une téléconférence avec le personnel chinois, le personnel de Shanghai et de Wuhan », a déclaré Mario Ruz, directeur médical du Système de sécurité sociale du Costa Rica (CCSS, ou Caja).
« Ce sont eux qui ont assisté à l’urgence qui s’est produite en Chine, et l’hydroxychloroquine a ses spécifications et ses doses spécifiques. Grâce à cette aide fournie par la communauté scientifique chinoise et à un manuel de soins thérapeutiques, nous utilisons ces traitements aux doses établies.
Le Costa Rica a reçu « une quantité substantielle » d’hydroxychloroquine de Novartis, une société pharmaceutique suisse, plus tôt ce mois-ci. À l’époque, le SCC a déclaré qu’il utiliserait le médicament pour traiter les patients et recueillir des données cliniques sur son efficacité.
Aux États-Unis et ailleurs, des essais cliniques testent le médicament — plus couramment prescrit pour prévenir le paludisme — chez les patients infectés par l’infection par le SRAS-CoV-2, selon les CDC.
Le système de santé du Costa Rica n’a pas publié de données comparant les résultats des patients traités avec de l’hydroxychloroquine à d’autres méthodes, mais il a suggéré des résultats positifs.
« Le médicament s’est avéré efficace chez les patients qui ont été traités actuellement », a déclaré M. Ruz la semaine dernière.
C. Hamon, j’ai lu avec beaucoup d’attention votre excellent commentaire et les informations comparatives très intéressantes !
La justice française est aux ordres
Nous en avons la preuve irréfutable. Mais je ne vais pas les développer ici .
Je ne voudrais pas être désagréable mais la personne qui capturé le titre de l’article devrait apprendre à relire : « une quarantaine trois patients »…… Dreuz nous a habitués à des textes orthographiés irréprochablement.