Publié par Magali Marc le 7 mai 2020

Les médias de masse font ce qu’ils peuvent pour affoler le bon peuple en faisant circuler l’idée qu’une « deuxième vague» du virus de Wuhan se produira fatalement cet automne et qu’elle sera pire que la première! Les gauchistes aux États-Unis espèrent bien que cette deuxième vague aura lieu et sera pire que la première car ils souhaitent l’utiliser comme argument massue pour écraser Trump et empêcher qu’il soit réélu en novembre. Pendant ce temps, le Professeur Didier Raoult, explique bien calmement en se basant sur des chiffres réels (pas sur des projections fantaisistes) qu’il n’y aura pas de 2ème vague (vidéo du 28 avril).

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Streiff, paru sur le site de Red State, le 26 avril.

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La deuxième vague du virus de Wuhan qui pétrifie tout le monde, pourrait être déjà là

L’un des grands croque-mitaines sur lesquels les opportunistes et les enthousiastes du virus de Wuhan dansent la gigue est l’idée que ce virus reviendra avec une deuxième vague.

C’est un comportement assez classique et il fallait s’y attendre.

Chaque année, nous avons deux saisons de la grippe, la première en novembre (à peu près) et la seconde en mars (également à peu près).

Les raisons de cette situation sont sans importance, mais le fait qu’elle se produise alimente une grande partie du débat sur la question de savoir si nous devrions rouvrir le pays ou s’il est plus prudent de continuer à rester cachés sous nos lits ou à patauger dans nos excréments.

La gauche, qui est une grande fan de l’histoire qu’elle a récemment découverte et qui s’est mise à l’interpréter pour le reste d’entre nous, nous avertit qu’en levant les restrictions trop tôt, nous risquons une résurgence majeure du virus de Wuhan, comme ce fut le cas lors de l’épidémie de grippe espagnole en 1918-19.

Les méchants ici sont ceux parmi nous qui en ont assez d’une stratégie autodestructrice qui, même si elle est parfaitement exécutée, ne peut pas faire grand-chose pour sauver les vies de certains mais peut faire beaucoup pour rendre la vie misérable de tous les autres.

À mon avis, il y a d’importantes données à considérer.

1. Premièrement, nous avons vu, et nous disposons maintenant d’une documentation plus que suffisante pour prouver empiriquement que la pandémie du virus de Wuhan est une panique fabriquée.

Elle n’est pas aussi virulente que ses promoteurs le prétendent.

Elle ne nécessite pas d’hospitalisation dans l’écrasante majorité des cas d’infection (New York, le point zéro de notre pandémie, n’a jamais été proche d’atteindre sa capacité de lits en soins intensifs), et en fait,
dans la grande majorité des cas, les personnes infectées ne savent pas qu’elles le sont.

S’il y a une deuxième vague, nous avons appris de la première que ce que nous avons vécu est une réaction excessive inadmissible.

2. Deuxièmement: nous sommes déjà dans la deuxième vague.

Pourquoi est-ce que je dis cela ?

Les politiques appliquées en ce moment sont toutes fondées sur l’idée que le virus de Wuhan est apparu en masse aux États-Unis fin février/début mars. L’hystérie et l’explosion des cas que nous avons observés constitueraient la «première vague».

C’est ce qui alimente le battage médiatique, jamais désintéressé, concernant une «deuxième vague» beaucoup plus importante, comme l’a annoncée le Directeur du Center for Disease Control (CDC), Robert Redfield, la semaine dernière**.

Mais maintenant, nous avons la certitude scientifiquement établie que ce n’est pas vrai.

Le premier décès dû au virus de Wuhan aux États-Unis (la cause réelle du décès était une crise cardiaque) est survenu le 6 février.

Le consensus est qu’il s’agissait d’une infection «communautaire» car la personne décédée n’avait pas d’antécédents de voyage à l’étranger ou d’utilisation de bateaux de croisière.

Comme je l’ai indiqué dans mon article du 22 avril intitulé «Si les premiers décès dus au virus de Wuhan ont eu lieu en février en Californie, toute le pays s’est fait fourré par les « experts » ***», cela ramène la date d’un afflux important du virus de Wuhan de fin février au début janvier, au plus tard.

Et cela rejoint les reportages que nous avons entendus en novembre-décembre sur une saison de grippe particulièrement difficile.

Si, comme il le semble bien, ce que nous avons vécu en novembre était l’attaque initiale du virus de Wuhan que personne ne reconnaissait, nous en sommes maintenant à la «deuxième vague».

Et, comme je l’ai expliqué dans mon article du 20 avril (Le virus de Wuhan n’est pas la grippe de 1918 et aucune fausse analogie ne le prouvera ****), le virus de Wuhan n’est pas la grippe espagnole, mais le décalage de quatre mois entre la première et la deuxième vague de la grippe espagnole que les alarmistes de Wuhan utilisent comme référence, correspond presque exactement au décalage entre la «saison grippale intense» et l’apparition du virus de Wuhan.

Comme le disait un de mes supérieurs préférés dans des moments comme celui-ci, « Peut-être tandis que nous attendons que tombe la seconde chaussure, nous nous battons en fait avec un unijambiste ».

Mais, comme l’a déjà dit une personne célèbre, reconnue pour sa nonchalance (NdT: Hillary Clinton, l’Affaire Benghazi) : « Quelle différence, cela fait-il maintenant ? ».

Nous savons que ce virus n’est pas exceptionnellement mortel.

Le taux de mortalité national en 2020 est le plus bas depuis environ 3 ans, car l’année a commencé en janvier et il est resté à ce niveau (Voir mon article du 20 avril: Si le virus de Wuhan est si terrible, pourquoi le nombre de décès est-il si bas ?*****), même si le gouverneur Andrew Cuomo se lamentait sur le besoin de ventilateurs et de trucs gratuits de la part du gouvernement fédéral.

S’il s’agit de la première vague, ce n’est vraiment pas grand chose et nous devons nous retrousser les manches afin de faire face à une éventuelle «deuxième vague».

S’il s’agit, comme je le soupçonne, de la deuxième vague tant redoutée, nous devons exiger que les statisticiens et les responsables de la santé publique nous rendent des comptes pour avoir mené une telle agression contre notre pays.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Sources :

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