Hier mardi 2 juin, The Lancet a publié (1) une “Expression de préoccupation” (EOC) concernant l’étude qu’il a publié le 22 mai dernier, et qui concluait que les gens qui prennent de l’hydroxychloroquine mourraient souvent d’un arrêt cardiaque.
La discrète note précise (1) que “d’importantes questions scientifiques ont été soulevées au sujet des données” dans le document et notant qu'”un audit indépendant de la provenance et de la validité des données a été commandé par les auteurs non affiliés à Surgisphere et est en cours, avec des résultats attendus très prochainement”.
Lorsque le 22 mai, l’étude est parue dans The Lancet, j’ai été étonné de la vitesse à laquelle les instances internationales se sont jeté dessus pour discréditer le médicament, et à quelle vitesse ils ont annulé toute étude en cours. Que ce soit l’OMS, les politiques ou les hôpitaux, personne n’avait montré un tel enthousiasme lorsque les premières études encourageantes pour soigner le coronavirus chinois avaient été publiées. C’était louche, pour ce journaliste sérieux, c’est à dire soupçonneux.
The Lancet doute de l’étude qu’il a accepté de publier
L’étude a utilisé des dossiers hospitaliers fournis par une société d’analyse de données peu connue appelée Surgisphere pour conclure que les patients atteints de coronavirus et prenant de la chloroquine ou de l’hydroxychloroquine étaient plus susceptibles de présenter un rythme cardiaque irrégulier – un effet secondaire connu que l’on pense rare – et avaient plus de chances de mourir à l’hôpital.
- En quelques jours, de grands essais randomisés de ces médicaments – du type qui pourrait prouver ou infirmer l’analyse de l’étude rétrospective – ont été interrompus.
- L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a par exemple interrompu le recrutement pour son étude sur l’hydroxychloroquine.
Et presque aussi vite que les grandes organisations ont dénoncé le médicament, les résultats du Lancet ont commencé à être critiqués – et Surgisphere a été scruté à la loupe par des chercheurs et des journalistes indépendants.
Ils ont mis en évidence de nombreux signaux d’alarme dans l’article du Lancet, notamment le nombre étonnant de patients concernés et des détails sur leurs caractéristiques démographiques et la posologie prescrite qui semblent peu plausibles.
“La crédulité [de l’étude] a commencé à s’effilocher et à s’effilocher et à s’effilocher”, a déclare Nicholas White, un chercheur sur la malaria à l’université Mahidol de Bangkok.
- Donc The Lancet a publié une “expression de préoccupation” (EOC) disant que “d’importantes questions scientifiques ont été soulevées au sujet des données”.
- Et quelques heures auparavant, le New England Journal of Medicine (NEJM), une autre grande revue scientifique respectable, a publié sa propre mise en garde à propos d’une deuxième étude utilisant les données de Surgisphere, publiée le 1er mai.
“Récemment, des préoccupations importantes ont été soulevées quant à la qualité des informations contenues dans cette base de données”, a noté le NEJM dans son communiqué.
“Nous avons demandé aux auteurs [Surgisphere] de fournir des preuves que les données sont fiables”.
- Une troisième étude COVID-19 utilisant les données de Surgisphere a également attiré l’attention. Dans une prépublication publiée début avril, le fondateur et PDG de Surgisphere, Sapan Desai, et les co-auteurs, concluent que l’ivermectine, un médicament antiparasitaire, a réduit de façon spectaculaire la mortalité chez les patients COVID-19. En Amérique latine, où l’ivermectine est largement disponible, cette étude a conduit les responsables gouvernementaux à autoriser ce médicament – bien qu’avec des précautions – créant une augmentation de la demande dans plusieurs pays.
Des conséquences dommageables
Pendant ce temps, les questions qui tournent autour de l’article suspect du Lancet ont laissé les dirigeants des essais de chloroquine interrompus se demander s’il fallait les reprendre.
“Le problème est que nous nous retrouvons avec tous les dommages qui ont été faits”, déclare M. White, co-chercheur d’un essai d’hydroxychloroquine pour la prévention du coronavirus chinois qui a été interrompu à la demande des autorités réglementaires britanniques la semaine dernière.
Les gros titres proclamant des effets mortels rendront difficile le recrutement de patients pour les études, dit-il.
“Le monde entier pense maintenant que ces médicaments sont toxiques”.
Le 28 mai, plus de 200 cliniciens et chercheurs publiaient une lettre ouverte au Lancet et aux co-auteurs de l’étude, demandant la publication des données de Surgisphere au niveau des hôpitaux, une validation indépendante des résultats, et la publication des commentaires des pairs qui ont conduit à la publication dans le Lancet.
Des doutes grandissants sur la crédibilité de Surgisphere qui a publié l’étude du Lancet
- La faible présence en ligne de Surgisphere – le site web ne donne le nom d’aucun de ses hôpitaux partenaires ni celui de son conseil consultatif scientifique – a suscité un scepticisme intense.
- Le médecin et entrepreneur James Todaro, du fonds d’investissement Blocktown Capital, s’est demandé dans un billet de blog pourquoi l’énorme base de données de Surgisphere ne semble pas avoir été utilisée dans des études de recherche évaluées par des pairs avant mai.
- Dans un autre billet, le spécialiste des données Peter Ellis, de la société de conseil en gestion Nous Group, s’est demandé comment LinkedIn pouvait ne répertorier que cinq employés de Surgisphere – aucun sauf son PDG, Sapan Desai, n’ayant de formation scientifique ou médicale – si la société fournit réellement des logiciels à des centaines d’hôpitaux pour coordonner la collecte de données sensibles à partir des dossiers médicaux électroniques.
- Mardi matin, le nombre d’employés de Surgisphere sur LinkedIn était tombé à trois.
- Carlos Chaccour, de l’Institut pour la santé mondiale de Barcelone, se demande comment une si petite entreprise a pu conclure des accords de partage de données avec des centaines d’hôpitaux dans le monde entier qui utilisent de nombreuses langues et systèmes d’enregistrement de données différents, tout en respectant les règles de 46 pays différents en matière d’éthique de la recherche et de protection des données.
Dans une vidéo, Didier Raoult n’hésite pas à qualifier les auteurs de l’étude de Pieds Nickelés, à propos de l’incompétence des auteurs de l’étude du Lancet
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
- https://www.thelancet.com/lancet/article/s0140673620312903
Tôt ou tard, les menteurs sont TOUJOURS démasqués.
Merci Monsieur le Professeur RAOULT, vous les avez traités comme ils le méritent.
N’aurait-il pas été plus simple, Pr Raoult, de procéder à une étude en double aveugle dés le départ ?
Aujourd’hui le dossier serait clos. Dans un sens ou dans l’autre.
Comme l’a toujours dit Didier Raoult, les malades sont des malades et pas des objets d’étude. Il n’était pas éthique à ses yeux, et contraire au serment d’Hippocrate et au bien des malades, de faire une étude randomisée en double aveugle dans cette situation d’urgence avec plusieurs dizaines de milliers de morts, et en tant que médecin je suis d’accord avec lui.
Ethiquement, je comprends mais est-ce efficace ?
Si par une étude incontestable en double aveugle le Pr Raoult avait démontré l’efficacité de son traitement, il serait universellement mis en place et sauverait des centaines de milliers de vie sur tous les continents.
Aujourd’hui, ce protocole est encore contesté et utilisé à tort et à travers.
De fait, il ne nous reste qu’à attendre l’étude britannique Recovery en double aveugle pour en juger…avec 2 mois de retard.
Si vous faisiez l’effort de vous documenter un tout petit peu, vous sauriez qu’en plus du caractère non éthique d’une telle étude pour des médecins, organiser des études randomisées dignes de ce nom est à peu près impossible dans le cadre d’une pandémie, où par définition tout va très vite.
Voir par exemple https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/32477-L-etude-europeenne-Discovery-tourne-l-echec
En faisant une étude randomisée selon les standards, on aurait eu les résultats… après la fin de l’épidémie. Disposer de résultats après la fin d’une épidémie, c’est éthique ? C’est efficace ?
Les docs, eux, surtout ceux spécialisés sur les maladies infectieuses, avaient des données, très rapidement, permettant de penser que la chloroquine, vu son effet antiviral, vu les données en provenance de Chine ou de Corée, même imparfaites, pourrait donner de bons résultats (sans parler de son innocuité connue depuis des décennies). Ils l’ont utilisée, et rien dans leurs observations, très nombreuses, ne leur a donné à penser qu’ils s’étaient trompés : ils n’ont pas observé de soi-disant mortalité liée à la chloroquine, et au contraire ils ont souvent rapporté avoir vu leurs malades se rétablir très rapidement, les cas nécessitant des hospitalisations baisser sensiblement, et l’équipe Raoult a également documenté la baisse importante de charge virale observée sur ses patients.
Bref, vouloir interdire la chloroquine, et tant qu’à faire le droit des médecins à soigner leurs malades, sans parler du droit des malades à se faire soigner, furent des initiatives aussi ubuesques que liberticides, et probablement criminelles.
Jacques,
Nous avons exprimé longtemps nos divergences sur ce dossier.
Je me documente comme vous et constate que rien pour l’instant ne démontre qu’un usage systématique du protocole Raoult fait baisser de manière patente la mortalité du covid-19.
Cela ne veut pas dire que j’approuve l’interdiction de la chloroquine ! Je constate simplement que les pays où elle est prescrite librement n’ont ni meilleurs, ni pires résultats en matière de mortalité.
J’espère que l’étude britannique en cours clôturera ce débat et si vous avez raison, je l’admettrai bien volontiers ici.
Mais vous l’avez votre étude en “double aveugle” ! Comparez les taux de mortalité de l’IHU Marseille à ceux de la France toute entière, ils sont 40 fois meilleurs. Avec tous les biais de comptage que vous trouverez, ça reste lourdement significatif !!!
C’est ce que Raoult a voulu éviter à ses patients en ne leur proposant pas de placebo !
Au passage, il faut arrêter de se focaliser sur l’HydroxyChloroquine, c’est tout un protocole de prise en charge que Raoult a établi et qui explique les résultats (et pas juste 1 molécule, sinon ça ce serait su) : dépistage massif, traitement précoce (pour empêcher quasiment l’aggravation puis la réa), HCQ *Et* Azythromicyne, …
Toutes actions qui ont été refusées à l’échelon national.
Le temps permettra certainement de faire la part de chaque…
Simon,
J’ai déjà répondu à cette assertion erronée.
Tout l’ouest de la France a des meilleurs que l’IHU de Marseille en terme de mortalité. En fait, si la France était divisée en deux pays, celle de l’Ouest serait considérée comme un modèle de gestion de la pandémie et celle de l’Est (Marseille compris) comme parmi les mauvais élèves.
Je suis tout à fait d’accord avec vous sur la suite. Malheureusement le protocole Raoult est bafoué avec des distributions de chloroquine sans précaution.
Je pense également que la diffusion du virus est très variable selon les régions et ne permet pas toujours un dépistage ciblé (car personne ne réalise un véritable “dépistage massif”).
Bonjour, auriez vous accepté de prendre un placebo ou un bonbon à la menthe ?
le placebo est arbitraire même le medecin ne sait ce qu’il administre – alors si on me le demande en cas je choisi le traitement de pr raoult
Luca38 je suis tout à fait d’accord avec vous.
Le Pr Raoult a très bien expliqué dès le début pourquoi il ne l’a pas fait. Ca n’a tout simplement pas de sens pour une maladie infectieuse pour laquelle on n’a pas besoin du ressenti de la personne pour juger si le traitement a marché ou pas. Il y a eu d’ailleurs une étude randomisée au Brésil, par l’organisme Prevent Senior, qui a complètement validé le traitement Raoult. On l’a rejetée, cette étude, parce qu’elle n’avait prétendument pas respecté les droits des patients…
Je pense que l’étude Recovery en cours en Angleterre et qui publiera ses résultats mi-juin mettra fin au débat.
Le ressenti du malade n’est peut-être pas utile mais les résultats randomisés sont indispensables pour juger si c’est le traitement ou toute autre chose qui explique la différence de mortalité entre deux groupes de patients.
Vous avez envie d’être le patient placébot?
trop facile en cas d’urgence on ne fait pas ce genre de chose on va au plus urgent
une étude en double aveugle, certes mais il est incroyable qu’un journal scientifique ne relise pas sa publication et publie un document truqué
Bien fait, je suis ravie!
Superbe, la jalousie des médiocres…
Nos gouvernants ont détruit la médecine de haut niveau française. Décapité les mandarins et 68 est à la base de ce désastre.
A notre tout de même que VGE à eu la peau du professeur Judet avec un contrôle fiscal !
C’est du moins le bruit qui a couru…il a été sorti des hôpitaux pour finir sa carrière dans sa clinique privée.
Merci à Monsieur Raoult de son travail et de son franc parler .
quand je vois, j’entends toutes ces conneries émisent par nos gouvernants et autres dit spécialistes je suis effa de voir ou en est notre monde.
Parfait Pr RAOULT qui a tenu bon contre vents et marées !
buzin-levy-salomon-verran-macron et les autres en ont pour leur grade- merci MONSIEUR LE PR ?RAOULT
Tous ces adorateurs de satan ligués contre un seul.
Ecoeurant, et le chef des tas, qui est déjà en campagne, ne sait plus à quel diable s’accrocher pour continuer son œuvre de destruction et de taxes.
Cette vidéo est un chef d’œuvre.
Ces quelques minutes d’interview du Professeur Raoult
nous mettent en contact avec l’intelligence: merci.
L’un des problèmes essentiels soulevés par le Professeur
est celui de l’élite, en France: elle est persécutée par les
socialistes en poste depuis les années Mitterrand. Et
trouve refuge aux Etats Unis, essentiellement.
Tous les domaines sont touchés, en plus du domaine
scientifique: nombre de nos créateurs s’expatrient à
grande vitesse, surtout depuis l’élection de F. Hollande.
Les brimades de l’administration socialo-communiste
qui fait crouler les entrepreneurs sous la paperasse et
les réglementations stérilisantes, le fisc spoliateur
ont raison de bonnes volontés qui rêvent de liberté.
Le pire est Veran, ministre de la santé qui s’est servie de cette désinformation pour interdire les essais cliniques. Lui, parmi les crétins socialistes, il est incontestablement ds le trio de tête. Il faudra penser à mettre à l’ombre cette raclure de bidet si la justice retrouve un jour ses couilles.
Pourquoi les mettre à l’ombre? – pour les nourrir à rien glander? vous n’avez pas de champ de culture de chanvre ou de saindoux pour graisser les moyeux de charrettes?
Oui, le ministre s’est précipité de façon honteuse pour interdire dans la foulée de l’OMS les essais. Après avoir interdit toute thérapie par les médecins libéraux. Ah! quelle chance nous avons d’avoir un tel esprit .
Un aveu choquant de l’éditeur de The Lancet, la revue médicale la plus estimée au monde, a été pratiquement ignoré par la grande presse et les médias dominants.
Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, a récemment fait une annonce disant qu’un nombre scandaleux de publications d’études sont au mieux, peu fiables, quand elles ne sont pas complètement mensongères, en plus de frauduleuses.
Horton a déclaré :
« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, d’effets infimes, d’analyses préliminaires invalides, et de conflits d’intérêts flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. » Faisant état des choses autrement, Horton dit carrément que les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l’efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d’intérêt flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d’autres subventions. Au moins la moitié de tous ces tests ne valent rien ou sont pires, affirme-t-il. Les médicaments ayant un effet majeur sur la santé de millions de consommateurs, ce trucage équivaut à un manquement criminel et à de la malversation.
https://criigen.org/un-aveu-choquant-de-lediteur-de-the-lancet/?fbclid=IwAR3pOhjyibgOZK0aI6WwI1uOF3PUH9s0cdSj2zj-E1lOKQjwhC_pa4vbgmU
En fait, ce qu’explique le Pr Raoult est le fruit pourri d’un mal endémique aux pays infestés de gauchisme, en France en particulier : la jalousie. On ne supporte pas les gens qui réussissent, qui sont donc par nature amenés à « sortir du lot ». Les gauchistes adorent « l’égalitarisme », qui n’est rien d’autre que le nivellement mortifère par le bas…
Ça fait un siècle que cela dure. Que celui qui gagne 100 € de plus que l’autre est aussitôt suspecté de tout ce qu’on veut, que celui qui veut entreprendre et ne dépendre de personne est forcément un escroc et, s’il emploie des salariés, un infâme exploiteur, un abominable négrier… Et pour faire « bonne mesure », forcément un fasciste d’extrême droite. C’est ça, l’esprit gauchiste !
Voilà bien longtemps que je suis convaincu que le gauchisme (quelle que soit l’étiquette qu’on lui colle dessus : socialisme, communisme, stalinisme, maoïsme, écologisme, etc) n’a jamais rien bâti de solide et de durable, sinon des châteaux de sable d’illusion et d’utopie, à coups d’endettements abyssaux des trésors publics et, avec comme “ciment”, des millions d’hectolitres de sang. Alors, inévitablement, un jour ou l’autre, tout finit par s’écrouler.
Cette pandémie est donc l’aubaine rêvée de ces anti-élites pour justifier l’effondrement à venir de l’économie, alors que les causes de cette ruine proche sont bien antérieures — que d’aucuns situent à la crise systémique de 2009 et, pour moi, à la gabegie de myriades de “largesses” démagogiques en tous genres depuis 60 ans — et qui a été « enterrée » à coups de magouilles, comme on planque la poussière sous le tapis.
Mais comme personne ne se pose les bonnes questions et se contente de gober les mensonges des cliques politico-médiatiques sans réfléchir à rien, celles-ci ont beau jeu maintenant de caracoler sur les JT en annonçant, la bouche en cul de poule, des lendemains difficiles…
Alors oui, la véritable élite, dont le Pr Raoult revendique à juste titre faire partie, ne cessera jamais de faire grincer les dents de tous ces minables qui ne lui arrivent pas à la cheville. Comme dans bien d’autres secteurs d’activités. C’est déjà un miracle qu’il n’ait pas quitté la France pour rejoindre ses confrères aux USA ou ailleurs.
Mais que peut-on attendre d’un pays infesté de gauchisme depuis un siècle ? Rien, sinon l’amer constat qu’on est devenus un pays de… minables ! La curée contre le Pr Raoult en est une sinistre démonstration, parmi tant d’autres.
Je me répète:Exemple:
Outre-mer, j’ai pris de la nivaquine (imposée par les médecins militaires) pendant des années: Je n’en suis toujours pas mort, et à priori mon cœur ne va pas trop mal.
Et le bon sens, bordel !… Les raisons de la dramatique polémique qui sévit depuis trop longtemps maintenant sont aujourd’hui révélées avec le mea culpa de la fameuse “nouvelle étude” du “Lancet”. Et les “spécialistes” invités des plateaux TV se révèlent être de piètres larbins du pouvoir qui se sont ridiculisés dans cette sordide affaire. Le simple bon sens aurait dû leur faire admettre que si la prescription du Pr. Raoult, appliquée en début de symptômes, pouvait stopper l’évolution du Covid-19, cela aurait diminué d’autant l’encombrement des services de réanimation à l’hôpital… Il y avait urgence et il fallait donc l’utiliser sans attendre, quitte à rechercher “en même temps” d’autres solutions plus “règlementaires”. Le refus de l’utiliser est dramatique et laisse entrevoir des intérêts à cent lieues de l’éthique médicale… Dès lors, une certaine connivence avec des laboratoires pharmaceutiques s’invite dans un débat qui va faire encore couler beaucoup d’encre. Et ce que Mme Buzin qualifiait alors de “mascarade” se révèle être la triste réalité ! Une terrible réalité qui a entraîné la mort plus ou moins directe de centaines de malades car “interdits de soins” par décret ! Comment peut-on interdire aux médecins de prescrire la médication qu’ils jugent nécessaire à leurs malades ? Le bon sens doit reprendre ses droits !
Vous oubliez le Rivotril
Eh oui, Kikounache. C’est ça quand la grande majorité gauchisante préfère se repaître de mensonges dégoisés à longueur de temps par de minables incompétents plutôt que de creuser tant soit peu les choses pour vérifier.
Une chose est désormais claire, si le protocole thérapeutique du Pr Raoult avait été adopté par la très grande majorité des praticiens dès le début de la pandémie, on aurait très probablement 20 fois moins de morts aujourd’hui où on a franchi la barre des 29.000 décès…
A l’IHU de Marseille, 3.800 cas traités : 0 morts (mis à part quelques cas en phase terminale de la maladie), aucune “complications” cardiaques. Mais, que voulez-vous, la pire mauvaise foi crasse étant la marque de fabrique de ces minables gauchistes qui nous gouvernent, il ne fallait évidemment pas s’attendre à une quelconque complaisance envers ceux qui savent.
Espérons que ces criminels répondrons un jour devant la justice de ces 29.000 morts qui ne sont rien d’autre qu’un véritable génocide “sanitaire”.
Les dieux du mégaron olympien “The Lancet” auraient-ils glissé sur une peau de banane pour s’apercevoir, une fois sur le carreau, qu’ils ne sont que de simples humains ?
D’accord à 100% avec le Pr Raoult..On ne traite pas en double aveugle des gens qui risquent de mourir, et le placebo en ce cas est intolérable. Au mieux, on compare deux médicaments auxquels on croit. Mais que des ignares osent interdire un traitement à des médecins est scandaleux! De quoi osent se permettre ces incapables nommés par le plus incapable d’entre eux?
Le Lancet n’avait-il pas un comité de lecture pour évaluer cet article ?
Ce comité de lecture était-il incompétent ?
A-t-il été victime de ses préjugés anti-chloroquine ou anti-raoultiens pour laisser publier le plus vite possible cet article ?
Vont-ils présenter leurs excuses pour avoir publié ce que d’aucun appellent de la “mauvaise science” ou de la “fausse science” et pour avoir entrainé l’arrêt des études en cours, dont l’étude Recovery ?