Publié par Guy Millière le 4 juin 2020

Ce qui se passe présentement aux Etats-Unis est très grave, et doit être regardé en face. Cela n’a, depuis des jours, plus rien à voir avec la mort de George Floyd (cela, en fait, n’avait dès le premier soir à Minneapolis plus rien à voir avec la mort de George Floyd : ceux qui pillaient des magasins ne donnaient pas du tout l’impression de porter le deuil).

C’est une insurrection violente et destructrice qui n’a elle-même rien  à voir avec les questions raciales: l’organisation raciste anti-blanche et antisémite Black Lives Matter tente une fois de plus de soulever les noirs contre les blancs et, là où il s’en trouve, contre les Juifs, mais elle n’est qu’une facette de ce qui se passe et les groupes fascistes antifas sont bien plus actifs et détruisent et brûlent des commerces de manière indistincte, y compris des commerces qui appartiennent à des noirs, et on peut voir des commerces noirs défendus par des noirs contre des pilleurs blancs.

C’est une insurrection qui a pour objectif de détruire l’économie américaine, la sécurité dans le pays, la liberté pour les citoyens américains de vivre leur vie. C’est une insurrection très organisée : des palettes couvertes de centaines de pavés ont été disposées il y a une semaine en de multiples endroits des grandes villes américaines, et les pavés sont utilisés par des émeutiers depuis pour briser les vitrines et blesser des policiers. Il y a trop de palettes de pavés pour imaginer que ce soit un hasard. Des scènes ont été filmées en vidéo montrant des antifas rémunérant des gens prêts à aller casser pour quelques centaines de dollars. Comme je l’ai déjà dit, les antifas sont emploient partout les mêmes tactiques : susciter des manifestations, se mêler à elles, inciter à la violence, passer à la violence, aux agressions et aux incendies. Comme je l’ai déjà dit aussi : les antifas sont très bien équipés, et il faudra savoir d’où vient l’argent. En déclarant que les antifas sont terroristes, le Président Trump se donne les moyens d’arrestations et d’enquêtes qui, logiquement, devraient permettre de savoir. J’ai des noms en tête, mais je ne veux pas accuser sans preuve.

C’est une insurrection qui a pour but de renverser le Président Trump et la république américaine, et des groupes antifas ont tenté de donner l’assaut contre la Maison Blanche samedi dernier de manière très violente. Leurs chances de succès étaient nulles, mais cette tentative fut très symbolique et très significative.

C’est une insurrection qui compte sur la destruction généralisée et le désordre pour placer le Président Trump dans une position difficile : s’il n’agit pas très fermement, il sera décrit comme faible, s’il agit fermement il sera décrit comme un dictateur.

C’est une insurrection qui bénéficie de l’appui des grands médias, et ce qui se dit sur CNN, MSNBC, le New York Times, le Washington Post relève de la propagande et de l’intoxication mentale: les émeutes sont décrites comme des “manifestations paisibles” motivées par la “juste colère” contre une “police raciste” au service d’un Président lui-même “raciste”, la répression contre les émeutes et la violence est décrite comme la “réelle source de violence”, Trump se voit demander de faire “la paix” avec les gentils émeutiers qui rêvent de le tuer. Les grands médias américains ont définitivement jeté le masque et sont au service de l’insurrection et du renversement de la république américaine.

C’est une insurrection qui bénéficie du soutien des dirigeants du parti démocrate et qui sert leur objectif de coup d’Etat. Ils ont tout fait depuis quatre ans pour démolir Trump et l’éliminer. Ils ont échoué. L’insurrection fait partie de leurs plans. Ils l’utilisent. Tous leurs propos le montrent. Ils la financent en payant pour que des émeutiers emprisonnés soient relâchés. Ils la rendent possible. L’équipe de campagne de Biden dépense beaucoup d’argent pour les émeutiers et Biden les décrit comme des gens “pacifiques”. Toutes les villes où des émeutes ont eu lieu ont des maires démocrates qui ont retenu la police, voire lui ont demandé de ne pas agir, ce qui a laissé le champ libre aux émeutiers : des maires favorisant la destruction de leur propre ville, cela ne s’était, je pense, jamais vu. Tout au moins pas à ce degré. Les Etats où des émeutes ont lieu ont des gouverneurs démocrates et ceux-ci ont eux-mêmes été très réticents avant de faire appel à la Garde Nationale.   Ces gouverneurs ont trahi la Constitution des Etats-Unis sur laquelle ils ont prêté serment en prenant leur fonction. Le parti démocrate n’est plus un parti démocratique. C’est un parti qui veut non pas remplacer Trump, mais renverser la république américaine et abolir la Constitution du pays pour instaurer un autre régime politique.

Le Président Trump a le droit d’exiger le recours ferme à la garde nationale des Etats où des émeutes ont lieu, et il l’a fait, dans un discours à nouveau remarquable prononcé dans le Rose Garden, avant de se rendre à pied à l’église Saint John, incendiée le jour précédent, en un geste signifiant que les incendiaires ne gagneront pas. Il a emblématiquement brandi une Bible sauvée des flammes. Des responsables religieux américains censés être chrétiens, mais montrant que leur religion n’est plus le Christianisme, mais le gauchisme, et qui sont donc des imposteurs apostats, ont osé dire que le Président Trump avait commis un sacrilège en allant à l’église.

L’étape suivante, si c’est insuffisant, sera le recours à l’armée américaine, qu’autorise l’Insurrection Act de 1807.

Le Président Trump n’aura peut-être pas le choix. Dans la situation actuelle, il sera, comme je l’ai dit plus haut, décrit comme un dictateur, et on voit là à quel point une perversion du langage est à l’œuvre. Laisser le chaos, le vol, le pillage, le meurtre s’installer est-ce la démocratie ? Rétablir la démocratie, la liberté et la sécurité, est-ce la dictature ?

Les gens responsables de l’insurrection espèrent visiblement que des policiers renonceront à faire leur métier et passeront du côté de l’émeute. Certains policiers ici ou là ont fléchi.  Ils sont fort heureusement une petite minorité.

Les gens responsables de l’insurrection espèrent, dit-on à Washington, qu’un manifestant qu’ils auront fait manœuvrer par les antifas sera tué, car cela, pensent-ils, mettrait le feu aux poudres.

Les gens responsables de l’insurrection espèrent aussi que des généraux désobéiront au Président. Si cela devait se produire, ce serait le commencement de la guerre civile.  Je pense que cela ne se produira pas.  Que le Général Mattis, ancien ministre de la défense ait tenu les propos qu’il a tenu et accusé Trump de violer la Constitution n’en est pas moins inouï.

Les démocrates ont déjà déclenché une guerre civile en 1861. Certains d’entre eux semblent souhaiter une autre guerre civile. L’immense majorité des Américains ne veut pas d’une guerre civile. Mais des millions d’Américains ne veulent pas non plus que leur pays soit détruit par des gauchistes haineux et soit sous la coupe d’un régime totalitaire.

La situation actuelle est le résultat de la longue marche de la gauche totalitaire dans les institutions américaines. Les communistes ont voulu s’emparer des Etats-Unis au début des années 1950. Ils ont été écrasés, a très juste titre. Depuis les années 1960, ils ont mené une action d’infiltration patiente et obstinée. Obama a accéléré les choses. Le résultat est là. Hideux. Effroyable.

Si les choses ne se calment pas dans les jours qui viennent, cela signifiera que c’est plus grave qu’il ne semble. J’ose espérer que les choses se calmeront. Cela semble être le cas.

Les conséquences économiques s’ajouteront à celles de deux mois de dégâts venus de la phobie qui a entouré la pandémie qui, elle, a totalement disparu en une seule journée. Plus personne ne parle du coronavirus de Wuhan. L’avez-vous remarqué ? Intéressant, non ? Je n’ai cessé de penser et je l’ai dit, que la pandémie était moins grave que la grippe (ses formes aigües sont mortelles, certes) et qu’elle était utilisée sur un mode de propagande pour détruire le monde occidental, par la Chine et ses alliés dans le monde occidental. Aux Etats-Unis, ses alliés sont connus : le parti démocrate, la nomenklatura “scientifique” menée par le docteur Fauci, les grands laboratoires, les grands médias, CNN, MSNBC, New York Times, Washington Post.

Dois-je l’ajouter ? La façon dont les choses sont décrites dans la presse française n’a absolument aucun rapport avec la réalité.  J’éprouve un dégoût absolu pour 99,9 pour cent des journalistes français. Nombre de journalistes français étaient collabos au temps de Pétain et de l’occupation allemande. Nombre d’entre eux se sont réjouis quand Pol Pot s’est emparé du Cambodge avant d’exterminer un tiers du peuple cambodgien. Je pourrais allonger la liste des crimes contre l’humanité dont ils se sont faits complices. Strictement rien ne semble leur servir de leçon. Ce qui les guide est la haine de la civilisation occidentale. Ils sont à 99,9 pour cent les disciples de Philippe Henriot.

Une presse d’information est essentielle au fonctionnement d’une démocratie, car la démocratie suppose que les électeurs votent en connaissance de cause.

Une presse de désinformation à orientation totalitaire est un danger mortel pour une démocratie, car elle détruit la connaissance et empêche la population de décider en connaissance de cause.  La presse française est un danger pour la démocratie.

Un dernier point. Aucun Président n’a fait autant que Donald Trump pour la population noire (j’y reviendrai). Le décrire comme raciste est bien plus qu’odieux.  Ceux qui prétendent se préoccuper du sort des noirs aux Etats-Unis ne se préoccupent pas du tout des centaines d’entreprises appartenant à des noirs détruits par l’insurrection totalitaire, et des noirs tués par les antifas au cours des huit derniers jours : il y en a deux, un à Oakland, un à Saint-Louis. Leur vie compte-t-elle moins parce qu’ils ont été tués par des fascistes antifas ?  Il semblerait que la réponse est oui.

David Dorn

Je place ici la photo de Patrick Underwood, tué à Oakland, et celle de David Dorn tué à Saint-Louis.  Nul ne parlera d’eux. Ils n’ont pas été tués par des policiers blancs, mais par des gauchistes blancs, et la plupart des journalistes aiment trop les gauchistes blancs pour dire qu’ils tuent des noirs. Comme dirait George Orwell, auteur de La ferme des animaux, certains morts noirs sont infiniment plus égaux que d’autres pour les grands médias.

Patrick Underwood

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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