Publié par Magali Marc le 6 juin 2020

Contrairement à ce que décrivent les médias de masse, les émeutes aux États-Unis n’ont rien d’un mouvement révolutionnaire à l’échelle nationale.

Il s’agit plutôt d’une crise de rage des gauchistes qui s’en prennent au «capitalisme» et aux forces de l’ordre et incendient des commerces, même ceux dont les propriétaires sont des Noirs. Si les vies noires étaient vraiment importante pour un mouvement comme Black Lives Matter, des «manifestants pacifiques» n’auraient pas vandalisé le mémorial du 54e régiment Shaw à Boston, érigé en hommage aux soldats noirs de la guerre civile qui ont donné leur vie pour abolir l’esclavage.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de John Nolte, paru sur le site de Breitbart, le 5 juin.



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La gauche s’auto-détruit. Laissons-la faire



Le weekend dernier, des centaines de personnes sont venues dans ma petite ville pour manifester à propos de la mort tragique de George Floyd.
Cette manifestation a eu lieu à moins de 5 km de chez moi. Vous voulez savoir comment je l’ai su? Eh bien, vu qu’elle était parfaitement pacifique et n’impliquait pas de bombes incendiaires ni d’émeutes, j’ai été mis au courant quatre jours plus tard en lisant mon journal local.

Des centaines de personnes ont manifesté dans ma petite ville !
Des centaines.
Il s’agissait surtout d’étudiants de l’Alma Mater dont j’ai décroché, mais tout de même… Des centaines !
Et pas un seul signe d’agitation. Seulement des Américains agissant comme des Américains.
Vous voyez, c’est comme ça qu’on fonctionne ici dans l’Amérique rurale.

Tandis que les stupides Démocrates qui votent pour les Démocrates, étaient stressés et inquiets de voir une nouvelle série de pillages et d’incendies se produire ce weekend dans leurs villes dirigées par des Démocrates, tout ce qui m’inquiétait, c’était la météo. Je devais tondre mon gazon … avec ma tondeuse auto-portée de riche bourgeois qui est munie d’un porte-gobelet.

Si les Démocrates veulent se révolter dans les villes dirigées par les Démocrates, qu’est-ce que ça peut bien me faire ?

En quoi cela me concerne-t-il ? Je n’en suis pas responsable. Je n’ai pas voté pour cela. Si ce n’était de mon travail, je n’y porterais même pas attention.

La violence des bleus sur les bleus n’est pas de mon ressort. Que les gauchistes se mangent le nez, ça ne me concerne pas.

En fait, le seul sentiment que provoque chez moi tout ce grabuge – et je n’en suis pas fier – est un pincement de satisfaction dédaigneuse sous la forme du «Toldjaso» (Told you so – je vous avais prévenu!)

  • Au moment où Barack Obama a adopté et légitimé les terroristes de gauche du mouvement anticapitaliste «Occupy Wall Street» (qui se sont transformés en Antifa et Black Lives Matter), je suis devenu Toldjaso.
  • Au moment où Obama et les médias de masse ont adopté la version mensongère selon laquelle Trayvon Martin aurait levé les mains et crié «Don’t Shoot», j’était déja Toldjaso.


J’ai vu ce qui s’annonçait, et j’ai fui Los Angeles en 2011.

La gauche est en train de se mordre la queue.

Je suis stupéfait de voir des Conservateurs s’inquiéter de cette situation.

Comme dit le mème : « Laissez-les se battre entre eux ».

Je peux comprendre le stress que vous éprouvez si vous êtes un Républicain vivant dans une ville dirigée par des Démocrates, mais vous devez déménager.

C’est aussi simple que ça… Vous devez partir.

Malheureusement, la situation va empirer avant de s’améliorer – mais elle s’améliorera forcément, tout comme les choses se sont améliorées après l’agitation des années 60.

Au final, même les Démocrates voudront avoir la paix et voteront pour un Rudy Giuliani, parce que toutes ces balivernes sur la soi disant justice sociale ne sont que le retour du Parti Démocrate à sa position d’indulgence envers les criminels qui a causé son implosion en 1972.

Relaxez.

Restez assis.

En général on obtient ce pour quoi on a voté et les Démocrates ont voté pour ce chaos.

Désolé, mais c’est une perte de temps de se soucier des gens plus qu’ils ne se soucient d’eux-mêmes.

Je ne suis certainement pas heureux de ce qui se passe. Mais c’est comme ça.

Alors laissez-les se débattre.

Il y a encore mieux…

Alors que ma coupe Toldjaso ne débordait pas encore durant ces dix derniers jours, le New York Times a été plongé dans une guerre civile.
Jeudi (le 4 juin), un combat a éclaté entre les gauchistes vieillissants et les jeunes fascistes, et les fascistes ont gagné – les censeurs gauchistes ont gagné.

Qu’ils se battent entre eux.

Qu’est-ce que ça peut bien me faire si les censeurs du New York Times font la loi ?

Je n’ai pas été un lecteur sérieux du Times depuis plus d’une décennie. Il y a une tonne de médias alternatifs, des tonnes d’endroits où le sénateur Tom Cotton (Républicain de l’Arizona) aurait pu publier son texte d’opinion.

Ce n’est pas la fin du monde. Ce n’est pas la fin de la liberté d’expression. C’est un pas de plus vers la désintégration totale d’un organe d’information d’extrême gauche, et cela me plaît beaucoup.

Cela ne se produit pas seulement au Times.

Cela se produit aussi au Variety, un magazine d’extrême gauche, où la gauche a démoli sa propre rédactrice en chef, Claudia Eller.

Vous allez adoré la raison de cette cabale: sa confession « On n’est pas assez diversifié » a été jugée insuffisamment mièvre.

Il y a quatorze mois, Claudia Eller recevait le prix de l’Association nationale des journalistes gays et lesbiennes, et aujourd’hui, elle a pris un congé de deux mois.

Hier soir, pendant que les monstres que Mme Eller a contribué à créer se promenaient sur Twitter en portant sa tête au bout d’une pique, je regardais mes DVD de la série télévisée The Jeffersons.

La gauche qui s’auto-détruit, ce n’est pas mon problème.

Ces derniers jours, la gauche vient d’annuler l’émission de télévision la plus à gauche de ces 20 dernières années, la série télévisée Glee. Pour être honnête, je n’ai pris aucun plaisir à la voir se faire démolir devant le monde entier. C’était plus que révoltant. Pourtant…

Laissez-les donc se démolir mutuellement.

Maintenant, nous en sommes arrivés à Defund the police (Abolissez le financement de la police) !

Oui, oui, excellente idée!

Cesser de rémunérer les policiers dans les villes dirigées par les Démocrates…

Je veux voir ça!

Les gens bien doivent fuir les villes.

Nous devons tous fuir les gauchistes.

Indépendamment de ce que les médias tentent de dépeindre, il ne s’agit en rien d’un mouvement ou d’une révolution à l’échelle nationale. Il s’agit plutôt d’une crise de colère qui se déploie en quelques dizaines de bulles d’un bleu profond (NdT: la couleur du Parti Démocrate).

Laissez-les donc se battre entre eux.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source:
https://www.breitbart.com/politics/2020/06/05/nolte-the-lefts-eating-itself-let-them-fight/


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