L’association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) a intenté un procès contre la Food and Drug Administration (FDA), pour mettre fin à son ingérence arbitraire dans l’utilisation de l’hydroxychloroquine (HCQ), que le président Trump et d’autres dirigeants mondiaux ont prise comme prophylaxie contre le coronavirus chinois.
Deux millions de doses d’HCQ sont envoyées par l’administration Trump au Brésil pour aider le personnel médical de ce pays à se protéger contre la propagation du virus. Mais en même temps, la FDA continue de bloquer l’accès des Américains à ce médicament.
La HCQ a été approuvée depuis 65 ans par la FDA comme étant sûre, et le CDC, le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies, indique sur son site internet que “le CDC n’a aucune réserve sur l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour la prévention de la malaria”.
Plus de 150 millions de doses ont été données au stock national stratégique contrôlé par le gouvernement fédéral, mais des restrictions injustifiées de la FDA limitent son utilisation aux seuls patients hospitalisés pour lesquels une étude clinique n’est pas disponible. Les hôpitaux retournent même les HCQ au stock national parce qu’ils ne sont pas en mesure de les utiliser efficacement.
“Il est choquant que les travailleurs médicaux au Brésil aient accès à la HCQ comme prophylaxie alors que les Américains sont empêchés par la FDA d’avoir accès au même médicament pour le même usage”, observe la directrice exécutive de l’AAPS, Jane Orient, M.D.
“Il n’y a aucune base légale ou factuelle pour que la FDA limite l’utilisation de la HCQ”, a déclaré Andrew Schlafly, avocat général de l’AAPS.
“Les restrictions de la FDA sur la HCQ pour les Américains sont complètement indéfendables devant les tribunaux”.
De nombreux pays étrangers, dont la Chine, l’Inde, la Corée du Sud, le Costa Rica, les Émirats arabes unis et la Turquie, utilisent la HCQ pour le traitement précoce et la prévention du coronavirus de Wuhan, souligne l’AAPS.
“Les fonctionnaires de la FDA, bien ancrés et politiquement biaisés, ne devraient pas être autorisés à interférer avec le droit des Américains à accéder aux médicaments donnés au gouvernement fédéral pour un usage public”, déclare M. Schlafly.
“En empêchant les Américains d’utiliser la HCQ comme prophylaxie, la FDA enfreint les droits du premier amendement d’assister à des services religieux ou de participer à des événements politiques tels que les conventions politiques, les mairies et les rassemblements lors d’une année électorale importante”.
“Le commissaire de la FDA, Stephen Hahn, déclare que la FDA n’interfère pas avec la capacité des médecins à prescrire la HCQ, et pourtant, dans le même temps, la FDA refuse à des millions d’Américains l’accès à 150 millions de doses de cette substance dans le stock national”, ajoute M. Schlafly.
“Cette thésaurisation irrationnelle par le gouvernement est un abus de pouvoir”.
L’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) représente les médecins de toutes les spécialités dans tous les États depuis 1943.
La devise de l’AAPS est omnia pro aegroto, qui signifie tout pour le patient.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
Source : site de l’AAPS https://aapsonline.org/hcqsuit/
enfin des Professionnelles qui osent prendre position …. prendre position il y a 2 a 3 mois aurait été mieux et cela aurait sauver des dizaines de milliers de vie
Purée !!!!! Et ça continue ! …….il va vraiment falloir que les têtes tombent en France …
Macron et ses charlots du gouvernement sont des criminels et doivent payer ………….
Il est grand temps que les Français se réveillent .
Les médias ont aussi fait beaucoup de dégâts , il n’ont fait que dénigrer le Pr Raoult et son équipe …Eux aussi doivent payer .
Olivier Veran va avoir une promotion au gouvernement selon les désirs de l’horrible Gilles Legendre
Entierement devotre avis ns sommes gouvernes par des assasdins et mafieux et les francais sont conditionnes pour se conduire en moutons et ns menent a notre perte
Sommes trop peu a agir en rebelles au systeme par lucidite
OUI, il faut que les Français se réveillent, MAIS, le problème majeur, est l’ignorance de ces choses par le commun des mortels.( comment et à qui faire confiance ?) Sachant que beaucoup de nos scientifiques sont plus ou moins “rémunérés” par les laboratoires, (donc obligatoirement parties prenantes ). Ne parlons pas des politiques, qui, eux peut être ne sont pas rémunérés par ces mêmes sources, mais, comme dirait G Brassens dans une des ses chansons: “les copains d’abord”. c’est un moyen puissant pour “museler” qui voudrait rester ou être droits.
Mais, ayons confiance, car il y a dans le monde de la justice des avocats, juges et autres qui ont encore une conscience et veulent rester “droits dans leurs bottes”.
C’est donc aussi le temps pour les chrétiens de se réveiller et d’intercéder, car Nous avons un Dieu puissant:
2 Chron 20 est très fort à ce sujet:
Trois armées contre Josaphat, mais il nous est dit au verset 14: “14Alors l’esprit de l’Éternel saisit au milieu de l’assemblée Jachaziel, fils de Zacharie, fils de Benaja, fils de Jeïel, fils de Matthania, Lévite, d’entre les fils d’Asaph. 15Et Jachaziel dit: Soyez attentifs, tout Juda et habitants de Jérusalem, et toi, roi Josaphat! Ainsi vous parle l’Éternel:
Puis au verset 20 a: A leur départ, Josaphat se présenta et dit: Écoutez-moi, Juda et habitants de Jérusalem! Confiez-vous en l’Éternel, votre Dieu, et vous serez affermis; confiez-vous en ses prophètes, et vous réussirez.
Puis vient le “clou” du spectacle au verset 23:
23Les fils d’Ammon et de Moab se jetèrent sur les habitants de la montagne de Séir pour les dévouer par interdit et les exterminer; et quand ils en eurent fini avec les habitants de Séir, ils s’aidèrent les uns les autres à se détruire.
“ils s’aidèrent les uns les autres à se détruire.”
Personnellement je trouve cela géniale.
Il nous est même rapporté plus loin “jusqu’au dernier”. Ce qui laisse supposer que les deux derniers se sont “embrochés” mutuellement.
N’est ce pas ce qui est en train de se passer quand ils se liguent les uns contre les autres, que ce soit en médecine en justice, ou en politique ?
Si notre souhait est de garder ou retrouver la liberté qu’ils sont en train de nous voler, alors, imitons Josaphat en se tournant vers Dieu.
C’est donc le même problème sur la planète !!!
Non.
En France les hiérarques du ministère de la ”Santé” ont interdit aux médecins de prescrire, de soigner. Cela est une spécificité française. L’article dit bien : « la FDA n’interfère pas avec la capacité des médecins à prescrire ».
En France, ils interfèrent, ils interdisent.
Le monopole accordé aux hôpitaux lors de la pneumonie, s’accompagne d’une interdiction faite aux médecins de ville d’agir comme ils l’entendent au début, dès l’infection par le virus, bien avant la pneumonie.
En France quatre technocrates (les ministres n’ont plus rien à dire) ont interdit aux médecins de soigner.
Quatre technocrates ont interdit une molécule bénigne, utilisée sous une forme ou une autres depuis 70 ans.
Certes, il importe que chaque médecin ait la liberté de prescription mais si on regarde la proportion de prescription dans les différents pays (Italie 85%, Espagne 75%, Allemagne 18%, Royaume-Uni 10%), on constate que la prescription de l’hydroxychloroquine n’influe en rien sur la mortalité de la maladie.
GET LOST, SUCKER !
AD1683 ?????????????????????????????
tres bonne resume!
Valp, ah ok car il m’avait semblé que certains pays “suivaient les ordres de l’OMS”
en frane, l’ordre des médecins n’a pas bougé quand le ministre véreu a interdit l’hexachloroquine
N oublions pas qu’ en France le 13 janvier 2020 ,alors que l on abordait à peine la notion d’épidémie , le ministère de la santé a classé la chloroquine parmi les substances vénéneuses ( JO du 13 01 2020 signé par Jérome Salomon )
JORF n°0012 du 15 janvier 2020
texte n° 13
Arrêté du 13 janvier 2020 portant classement sur les listes des substances vénéneuses
Article 1
Est classée sur la liste II des substances vénéneuses l’hydroxychloroquine sous toutes ses formes.
Article 2
Le directeur général de la santé et le directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 janvier 2020. Le directeur général de la santé, J. Salomon
DEs têtes doivent tomber !
adrienvb, alors ça c’est plus que bizarre ! Que prévoyait donc le ministre de la santé ? Que les Français ne devaient pas être soignés avec un médicament aussi peu couteux et rapportant si peu aux labos ?
Il y a plus de 15 ans que l on connait les effets antiviraux de la chloroquine , la ranger parmi les substances vénéneuses c’etait éviter une prescription massive et laisser la place aux antiviraux récents , coûteux . Oui il faut porter plainte pour mise en danger de la vie d’autrui , homicide voire meurtre .Les autorités gouvernementales et scientifiques savaient .
voici par exemple 3 références :
Chloroquine is a potent inhibitor of SARS coronavirus infection and spread
• Martin J Vincent, Eric Bergeron, Suzanne Benjannet, Bobbie R Erickson, Pierre E Rollin, Thomas G Ksiazek, Nabil G Seidah & Stuart T Nichol
Virology Journal volume 2, Article number: 69 (2005) Cite this article
Aout 2005
Martin J Vincent 1 , Eric Bergeron, Suzanne Benjannet, Bobbie R Erickson, Pierre E Rollin, Thomas G Ksiazek, Nabil G Seidah, Stuart T Nichol
New Insights Into the Antiviral Effects of Chloroquine
Andrea Savarino, Livia Di Trani, Isabella Donatelli, Roberto Cauda, Antonio Cassone
• PMID: 16439323
——-***************
L action antivirale de l’hydroxyChloroquine n’est pas nouvelle . Elle a déjà été étudiée en 2003 avec le SRAS COV1. Un effet anti HIV a été également révélé dès 2001 afin de pouvoir être utilisée dans les pays pauvres en raison de son faible coût. Elle s’est révélée plus
efficace que le Retrovir agissant à la fois sur les cellules T nouvellement infectées et sur celles infectées de manière chronique.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9001825/
Inhibition of HIV-1 Replication by Hydroxychloroquine: Mechanism of Action and Comparison With Zidovudine
G Chiang 1 , M Sassaroli, M Louie, H Chen, V J Stecher, K Sperber Clin Ther . Nov-Dec 1996
Pour mémoire :
Source de l’arrêté signé seulement par un technocrate (“par délégation” !) :
Arrêté du 13 janvier 2020 portant classement sur les listes des substances vénéneuses
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000041400024
_Le professeur Pérronne répond aux questions de Marianne
Christian Perronne : “Les tirs de barrage reçus par Didier Raoult sont aussi liés à des querelles d’égos”
Propos recueillis par Etienne Campion
Publié le 02/04/2020 à 17:00
Le professeur Christian Perronne estime que les hésitations du gouvernement et des experts médicaux concernant l’hydroxychloroquine et le protocole du professeur Raoult nous conduisent à commettre une grave erreur. Entretien.
Le professeur Christian Perronne est chef du service infectiologie de l’hôpital Raymond Poincaré de Garches. Spécialiste de la maladie de Lyme, il a été président de la commission spécialisée maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique. Il est aussi coresponsable des cours en maladies infectieuses et tropicales pour l’université de Versailles-Saint-Quentin, et membre de l’OMS. Il s’inscrit en faux contre ce qu’il considère comme une vision erronée de la médecine de la part des experts médicaux ayant critiqué la méthodologie des essais du Professeur Raoult sur l’hydroxychloroquine. De même, il revient sur les suspicions concernant les effets secondaires de ce médicament, qu’il juge disproportionnées au vu de sa connaissance personnelle de ce dernier.
Marianne : Pourquoi avoir pris position en faveur du professeur Didier Raoult et de ses essais cliniques sur l’hydroxychloroquine, au moment où nombre d’experts médicaux entendent rester prudents ?
Christian Perronne : Je suis un scientifique pragmatique. Et cela me désole de voir l’ampleur qu’a pris, en France, l’esprit des statistiques sur le véritable esprit de la médecine. Il consiste à laisser penser que la médecine ne procède que de chiffres, de tirages au sort, d’équations… Cela est efficient lorsqu’on peut procéder sur le long terme, mais devient totalement inopérant dans certains secteurs de la médecine, comme celui des maladies rares.
Il est consternant de constater que dans la médecine actuelle la démarche empirique puisse être méprisée, sous prétexte qu’on n’ait pas recouru à des tests en randomisation avec tirage au sort. Ce qui est impossible actuellement, alors que nous sommes dans une situation d’urgence, une crise sanitaire comme nous n’en avons pas connue depuis un siècle. En cela nous nous devons plutôt de considérer une méthode de “médecine de guerre”, bien loin des préceptes méthodologiques que prêchent les experts médicaux.
Certains relèvent tout de même des problèmes méthodologiques dans le premier essai clinique de Didier Raoult… La méthodologie du test européen “Discovery” en cours n’est-elle pas meilleure ?
Reprenons quelque peu. Avant la publication des études de Didier Raoult, des études chinoises avaient déjà relevé les vertus de la chloroquine pour baisser la charge virale du coronavirus, ce que de nombreux experts chinois ont pu confirmer depuis. Comme ce fut le cas dans une étude ce mardi, qui valide le protocole de Didier Raoult en montrant que l’hydroxychloroquine améliore l’état des patients en début d’infection.
Il semble que cela en dérange beaucoup de voir que le protocole marseillais fonctionne.
On a critiqué Didier Raoult après sa première étude, dont il a révélé les résultats le 16 mars dernier, car il n’avait pas 500 malades et un test en double aveugle disponible sous la main. Mais, en réalité, nul besoin de 300 malades pour démontrer que la charge virale baisse. Si l’on sait des médecins chinois que le virus peut persister jusqu’à trois semaines d’une part, et que le protocole du professeur Raoult diminue la charge virale au bout de quelques jours d’autre part, nous nous devons d’avancer sur la base du succès de ce protocole. Mais cela en dérange beaucoup de voir que le protocole marseillais fonctionne. Ce qui n’empêche pas d’évaluer le protocole par la suite, avec la méthode de long terme qui convient.
Quant au test “Discovery”, il ne prend pas en compte le protocole du professeur Raoult (hydroxychloroquine et azithromycine dès l’apparition des premiers symptômes), mais uniquement l’hydroxychloroquine, et ce sur des cas dans des situations de pathologies aggravées. Pour cela, ce test fait preuve d’absence d’éthique. On leur dit qu’ils vont être tirés au sort, et éventuellement ne pas être traités, tout en connaissant très bien les chiffres de mortalité élevés de cette maladie.
Les autorités sanitaires mettent par ailleurs en garde contre les effets secondaires de ce médicament…
C’est intellectuellement malhonnête. Ce médicament était en vente libre depuis plus de cinquante ans jusqu’au mois de janvier. Il n’avait fait l’objet d’aucun signal d’alerte de pharmacovigilance. Je le prescris moi-même depuis vingt ans, et n’ai jamais rencontré aucun problème à son sujet. Il a des effets secondaires bien connus, c’est vrai. Il faut être prudent, notamment avec les personnes cardiaques, et plus spécifiquement les personnes âgées prenant simultanément plusieurs médicaments. Ce traitement doit être pris sous surveillance médicale en respectant la dose. Quant aux problèmes rétiniens, ils ne peuvent survenir qu’après avoir pris des doses très fortes pendant plusieurs années. Mais, de toute façon, les prescriptions du protocole de Didier Raoult ne concernent que quelques jours pendant lesquels on peut facilement surveiller les patients.
On assiste à une multiplication imaginaire du nombre d’effets secondaires depuis huit jours…
On constate surtout un gros problème médiatique et de nombreux fantasmes concernant la question de ces effets secondaires. On a quasiment dit, par exemple, qu’un Américain était mort à cause du médicament… alors que ce dernier, n’ayant pas réussi à se le procurer, a avalé une cuillère à café de phosphate de chloroquine, d’un produit pour nettoyer son aquarium. Aucun rapport, donc. On assiste à une multiplication imaginaire du nombre d’effets secondaires depuis huit jours… Cela est surtout lié à des problèmes d’égo du côté des experts médicaux.
Qu’entendez-vous par là ?
La chloroquine ne coûte pas cher, est un vieil anti-paludique, tombe comme un cheveu sur la soupe pour soigner une telle maladie virale : ne serait-ce pas un peu dérangeant pour nos amis virologues ? Oui, je formule l’idée que les tirs de barrage reçus par Didier Raoult sont aussi liés à des querelles d’égos, à son caractère iconoclaste et à son déficit d’académisme pour les “experts” médicaux parisiens, qui voient cela comme une atteinte manifeste à leur pré carré et à leurs dogmes. Dans cette situation de guerre, ces postures ne sont pas acceptables.
Nous ? Quand nous finirons par réagir, car nous réagirons, c’est inévitable, nous serons pris au dépourvu.
Le gouvernement pouvait-il faire autrement ?
Dans certaines régions, notamment aux États-Unis, les médecins se sont rendu compte qu’en donnant le médicament et en traitant suffisamment tôt, ils avaient à faire face à beaucoup moins d’hospitalisations. Un grand nombre de pays y recourt désormais. En Italie, tous les médecins généralistes ont désormais la possibilité de traiter avec ce médicament leurs patients, même avec des signes débutants. L’administration américaine a elle aussi tergiversé, avant de donner son feu vert ce dimanche. D’autant que les États-Unis sont en train de faire main basse sur les stocks mondiaux depuis des semaines.
Nous ? Quand nous finirons par réagir, car nous réagirons, c’est inévitable, nous serons pris au dépourvu. Car Sanofi ne pourra pas produire en quelques jours des doses pour l’ensemble du pays… Et le marché international aura été raflé. Le même épisode auquel nous assistons aujourd’hui avec les masques. Je ne comprends pas cette imprévision, qui pour moi est totale.
Nous avions des indices sous les yeux depuis des semaines…
L’exemple de l’hésitation de notre gouvernement sur l’encadrement de l’hydroxychloroquine le montre. La position officielle consiste à expliquer qu’il faut l’utiliser uniquement dans les formes désespérées, sauf que le professeur Raoult dit l’inverse : il faut commencer dès les premiers symptômes, et éviter que la maladie ne bascule subitement dans des formes graves.
Nous avions des indices sous les yeux depuis des semaines… Et même si ce sont des indices, gouverner c’est prévoir. Et il fallait prévoir que cela pourrait marcher. D’autant que ce médicament ne coûte pas cher, que nous avons Sanofi à disposition pour le produire… Pourquoi aucun ordre n’est-il venu pour enjoindre ce groupe à produire ? Nous sommes désormais à 500 morts par jour. Combien de milliers de morts ce gouvernement aura-t-il sur la conscience ? Mais qui les conseille ? C’est révoltant.
maury, merci beaucoup pour cet article, super intéressant à lire et à….méditer !