Publié par Eber Haddad le 12 juin 2020

Depuis la mort de George Floyd entre les mains d’un policier de Minneapolis, lors de son arrestation, je ne me souviens pas avoir vu de toute mon existence une propagande, un matraquage et un lavage de cerveau aussi efficaces et à une telle échelle.

Il est évident qu’un unanimisme d’une aussi grande portée n’est atteignable que s’il est organisé et planifié. On attendait l’étincelle ou le prétexte pour des émeutes spectaculaires à but insurrectionnel, principalement à visées électorales, et on a saisi la première occasion qui s’est présentée. Aussi épouvantable que la mort de Monsieur Floyd ait été, rien ne justifie cette violence, ce vandalisme, ce pillage, cette destruction de quartiers entiers dans de nombreuses villes privant ainsi des milliers de personnes de leur gagne-pain et provoquant la mort d’une dizaine d’autres. Cela arrive après plus de soixante jours de confinement, désastreux pour l’emploi et très pénibles, tant pour les salariés que pour les petits patrons. Ça ne s’était jamais produit aux États-Unis et même quand il y avait eu des émeutes auparavant elles étaient circonscrites à certains quartiers de certaines villes et s’arrêtaient au bout de quelques jours, pour les plus graves. Que s’est-il donc passé pour que les choses dégénèrent autant cette fois-ci ?

Obama était un « community organiser », ce qui revient à dire un spécialiste de « l’agitprop », le seul emploi de toute son existence, avant d’entamer une carrière politique fulgurante qui l’a vu passer en quelques années du sénat de l’Illinois au sénat fédéral où il n’a même pas terminé son mandat pour devenir président des États-Unis. Il a brûlé toutes les étapes et est passé d’un anonymat quasi total à une notoriété mondiale en quelques semaines à peine avec les moyens financiers de Soros et autres membres de l’élite mondialiste, mais surtout grâce au formidable endoctrinement et au soutien inconditionnel des médias, devenus pour la cause des porte-paroles du candidat et du parti Démocrate. Ces médias ne cherchent même plus à sauvegarder des apparences de neutralité et ne se soucient pas le moins du monde d’être accusés de partialité ou de conflits d’intérêts. L’ancien président, pour sa part, est un expert incontesté en manipulation des masses et il a pu mettre à exécution son plan de reconquête de la Maison Blanche avec les mêmes complices que lors de son élection de 2008. C’est ce scénario qu’on voit se dérouler sous nos yeux aujourd’hui.

Obama a fomenté un coup d’état, commencé au lendemain de l’élection de Trump, alors qu’il était encore président pour trois mois avant la passation de pouvoir. La « collusion avec la Russie » et celle de « trafic d’influence avec l’Ukraine » s’étant dégonflées comme des baudruches et constatant que les chances de réélection de l’actuel locataire de la Maison-Blanche augmentaient sensiblement, Obama a joué son va-tout en « jetant le bébé avec l’eau du bain ». Il a organisé une véritable sédition en affaiblissant durablement « son » pays, ce qu’il avait réussi avec brio lors de sa présidence, en le mettant au bord de la guerre civile. Tout faire pour préserver son « héritage progressiste », garder ainsi le contrôle sur le « deep state » et poursuivre la marche forcée vers la mondialisation abusive qui a caractérisé ses deux mandats. Il continue, à aujourd’hui, à encourager les protestations en jouant les apprentis sorciers sans se préoccuper des conséquences et risque fort, si cela perdure, de s’aliéner un nombre important d’électeurs indépendants. Il est encore trop tôt pour savoir si c’est un coup de maître ou un coup de trop mais on peut d’ores et déjà dire qu’il a gagné la première manche, largement. 

Cinq mois, c’est une éternité en politique mais comme les attaques seront aussi impitoyables qu’incessantes, il n’est pas inconcevable de croire que les Démocrates vont finir par l’emporter. Ce n’est pas impossible mais c’est loin d’être une certitude, d’autant plus qu’il y a encore bien des écueils pour ce parti. Le premier d’entre eux s’appelle, Joe Biden. La faiblesse de ce candidat est singulière : outre son âge, sa sénilité tous les jours un peu plus évidente, l’inintelligibilité de ses propos et surtout le nombre ahurissant de casseroles qu’il traine – plagiaire avéré il a été obligé de se retirer de la primaire présidentielle en 1988 après un mea-culpa retentissant, il a prononcé l’éloge funèbre de Robert Byrd, ancien sénateur Démocrate longtemps membre éminent du KKK, des soupçons de corruption assez faciles à démontrer, un népotisme digne d’une république bananière, un CV rédhibitoire avec des lois très controversées votées par lui en 34 ans au Congrès, des propos racistes outranciers tenus en public et à la tribune du Sénat et bien d’autres agissements dont la liste serait trop longue à énumérer – il est invisible, son unique sortie en public s’est produite hier pour rencontrer la famille de George Floyd et il se terre dans le sous-sol de sa maison depuis presque trois mois sans même rencontrer ses directeurs de campagne avec lesquels il ne communique que par « Zoom »… 

Comment se fait-il que tout cela ne ressorte que maintenant alors qu’il a été élu deux fois vice-président sans encombre ? Une seule réponse, Obama. Ce dernier a été la rock-star et la coqueluche des journalistes depuis l’annonce de sa candidature en 2008 et tout au long de sa présidence, il marchait sur l’eau, aucun superlatif n’était suffisant pour parler de lui et ça a permis à Biden de passer à travers les gouttes dans son sillon. L’autre écueil est l’inimaginable coup de barre à gauche du parti Démocrate de même que la démagogie absolument inédite de ses élus, assortie d’une culpabilisation disproportionnée qui ne plaira pas forcement à la majorité des électeurs. Les élus Démocrates du Congrès n’ont pas arrêté de se donner en spectacle depuis une dizaine de jours alliant le ridicule à l’exhibitionnisme.

Dans cette partie de poker menteur tous les coups sont permis. La conquête du pouvoir justifie tout pour ces mondialistes acharnés et, à défaut d’avoir pu éliminer Trump, physiquement, légalement ou par impeachment, ils ont eu recours à une propagande digne de Goebbels avec les méthodes des « chemises brunes », ancêtres des SA. Les cinq mois qui restent jusqu’à Novembre vont être d’une très grande intensité et tout peut arriver, dans un sens comme dans l’autre.

Même si les premières manifestations anti-racisme pouvaient absolument se justifier, vous ne croyiez tout de même pas que tout cela n’avait à voir qu’avec le malheureux George Floyd, j’espère ? Ce pauvre homme après avoir agonisé, et supplié le policier pour rester en vie, a été instrumentalisé de manière éhontée et a servi de prétexte à l’une des plus grandes supercheries de l’Histoire. À suivre…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eber Haddad

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