Publié par Guy Millière le 18 juin 2020

Je n’ai cessé de le dire bien avant que Macron soit élu Président. Macron est un imposteur. C’est surtout un homme dangereux.

Il est arrivé au pouvoir en se comportant sans scrupule vis-à-vis de quiconque.

Grâce à une gigantesque opération mêlant publicité, propagande et instrumentalisation de la justice.

Avant que le coronavirus de Wuhan ne déferle sur la France, il avait déjà montré ce qu’il y avait de vil en lui.

Ce qui a mené au soulèvement des gilets jaunes a été son insupportable mépris pour les gens qui ne sont pas de sa caste, qu’il n’a cessé d’insulter.

Ses réponses au soulèvement des gilets jaunes qui, au commencement, était une révolte contre l’oppression étatique et fiscale, ont été absolument odieuses.

Elles ont associé le dédain arrogant au recours à la violence policière, agrémenté de l’usage de gauchistes violents chargés de faire apparaître de pauvres gens désespérés comme des barbares et des casseurs. Plusieurs personnes ont perdu un œil, une main ou un pied et ont été mutilées à vie.

L’attitude de Macron pendant la grève contre le médiocre et inutile réforme des retraites a été identique.

Il était devenu à ce moment le Président le plus détesté depuis le début de la Ve République.

Puis est venu ce qui constitue pour l’heure une forme d’apothéose dans l’ignominie et l’horreur : la gestion de la pandémie. Les mensonges ont succédé aux mensonges, les mesures ineptes se sont ajoutées aux mesures monstrueuses.

Les frontières ont été laissées ouvertes jusqu’à une date tardive et les vols venus de Chine ont apporté leurs suppléments de contagion.

Les masques et les moyens de protection ont manqué au personnel soignant. Des médecins, infirmiers et infirmières sont morts.

L’absence de gestion en aval a conduit à l’engorgement des hôpitaux, au tri des malades et au recours à l’euthanasie.

Les médecins en France se sont vu retirer l’autorisation de prescrire et n’ont pu offrir que paracétamol ou Rivotril.

Le traitement proposé par le professeur Raoult, utilisé avec succès sur les cinq continents a été refusé par un pseudo comité scientifique composé de gens achetés par les grands laboratoires pharmaceutiques et par un ministre lui-même acheté, Olivier Véran, qui succédait à une ministre elle-même achetée, Agnes Buzyn.

L’hydroxychloroquine est soudain devenue un médicament diabolique et le professeur Raoult, qui s’est comporté en médecin digne de ce nom d’un bout à l’autre de la pandémie, a subi une opération de démolition qui a pu ressembler aux minutes de haine décrites dans le 1984 de George Orwell.

Des imposteurs dont la cuistrerie grandiloquente ressemblait à celle du docteur Diafoirus, si bien décrit jadis par Molière, se sont répandus en propos imbéciles sur les plateaux de télévision où les vomissures qu’ils ont proférées ont alterné avec leurs paroles de mansuétude servile envers le Président et le gouvernement.

La peur a été agitée dans les grands médias aux ordres pour obtenir la soumission et un emprisonnement de la population sous contrôle policier.

Les Français ont dû passer à la liberté surveillée courant mai. Ils viennent de se voir accorder par Macron une liberté un peu moins surveillée.

Celui-ci vient de se livrer à un obscène exercice d’autosatisfaction.

“Nous pouvons être fiers de ce qui a été fait”, a-t-il dit. “Nous n’avons pas à rougir de notre bilan. Des dizaines de milliers de vies ont été sauvées par nos choix, par nos actions”, a-t-il ajouté.

Il n’a vraiment honte de rien !

Le bilan, c’est 30.000 morts, ce qui place la France dans le quatuor de tête des pays qui ont accumulé le plus grand nombre de morts par millions d’habitants. Et comme l’a écrit dans un livre sur lequel je reviendrai le professeur Christian Perronne, une large part de ces vies auraient pu être sauvées s’il y avait eu en France un Président digne de ce nom, un conseil scientifique non vendu aux grands laboratoires pharmaceutiques, et des ministres de la santé eux-mêmes non vendus.  Ces gens sont des criminels.

S’il y avait eu en France un Président digne de ce nom, il aurait écouté Didier Raoult, Christian Perronne, Philippe Douste-Blazy, ce qui aurait pu être l’impulsion qui aurait conduit d’autres gouvernements européens à agir eux aussi pour sauver des vies, et ce qui aurait permis à Donald Trump de vaincre les objections du docteur Anthony Fauci, lui-même vendu aux grands laboratoires pharmaceutiques, et de sauver des vies américaines.

Le bilan, c’est un emprisonnement de la population pendant de longues semaines et l’instauration d’un régime autoritaire en France de manière provisoire (les dirigeants français ont vu qu’en faisant peur, ils peuvent installer un régime autoritaire, et c’est un précédent très grave. Il y avait eu un autre précédent, le régime de Vichy, je sais). Le “confinement” strict, je le répète, n’était pas nécessaire et a sans doute aggravé la situation sanitaire du pays.

Le bilan, c’est une économie sinistrée.

Des milliers d’entreprises vont déposer leur bilan ou l’ont déjà fait.

La France sera en récession, voire en dépression, pendant une période indéterminée qui s’étendra jusqu’au milieu de 2021 peut-être au-delà. On parle de onze pour cent de croissance négative, voire davantage. Les chiffres de la pauvreté et du chômage vont connaitre une hausse vertigineuse et durable.

 Et Macron poursuit ses ineptes et délétères lubies écologiques !

Il persiste à parler d’économie “forte, écologique, souveraine et solidaire”.  Outre l’écologie, il y a chez lui de la “solidarité” obligatoire, donc du socialisme par la redistribution, chacun devrait avoir compris depuis longtemps. Les mots “forte” et “souveraine” sont incompatibles avec les handicaps créés par l’écologisme et par la redistribution accouplée à l’immigration qui va se poursuivre.  

La situation est grave. Les impôts ne vont pas augmenter, a dit Macron. Ils sont les plus lourds du monde développé. Ils ne vont pas baisser non plus.

Et il n’y a, hélas, pas d’alternance politique sur l’horizon. Economiquement, aucun parti ne propose quoi que ce soit qui pourrait permettre un retour au dynamisme.

L’ordre est en train de se dissoudre. Une manifestation d’immigrants illégaux a pu se tenir sans difficulté à Paris, et le gouvernement et Macron ont fait preuve de mansuétude complice. Il en est allé de même pour la manifestation de racistes antiblancs et de gauchistes anti-occidentaux organisée par la famille de délinquants d’Adama Traoré, lui-même délinquant. Et on a pu y entendre des vociférations antisémites.

Il reste en France des hommes et des femmes politiques dignes de ce nom, des médecins intègres, des journalistes scrupuleux. Ils sont peu nombreux. Ce que je viens d’écrire depuis le début de cet article n’est publiable dans aucun grand journal et dans aucun magazine français. Il fut une époque où je pouvais publier des articles en France. Je sais que cette époque est révolue.

J’aimerais penser qu’un redressement est possible et qu’il y aura un après Macron. Pour l’heure, je n’y parviens pas. Je vois, avec douleur, le désastre, surtout le désastre.

Les mois à venir en France vont être douloureux, vraisemblablement horribles. Toutes les institutions seraient à rebâtir, car elles sont toutes à terre.

Et je n’ai rien dit des zones de non-droit, de l’islamisation du pays, du fait que tous les leviers de pouvoirs restent dans les mains de gens qui n’auraient jamais dû être à même de s’en approcher.

Est-il possible encore de sauver la France ? J’en doute. Il reste peu de temps.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

Adapté d’un article publié sur les4verites.com

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