
Lors du meeting de Tulsa, puis à Phœnix, le président Trump a ouvertement nargué les censeurs qui veulent imposer un discours politiquement correct, en appuyant sur la corde sensible et en se payant ouvertement leur tête. Ça a marché au-delà de ses espérances.
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Trump a utilisé un jeu de mots pour irriter les médias et ceux qui veulent imposer un discours politiquement correct, et se sont dits choqués en avril, lorsque le président a parlé de « coronavirus chinois ». Ils ont attaqué le président en disant qu’il était raciste d’accoler le mot chinois à coronavirus.
Loin de s’excuser – Trump ne s’excuse jamais ; loin de descendre d’un ton – Trump ne recule jamais ; loin de renoncer à employer un terme qui choque, le président a au contraire doublé la mise.
Le président américain a appelé le coronavirus : « grippe kung », « Kung flu » en anglais, un jeu de mots basé sur le mot « flu » qui veut dire grippe, et fu, du sport de combat kung-fu.
Pour irriter encore plus les élites et les médias, lors de son dernier meeting politique, Trump a déclaré :
« J’ai dit l’autre soir, il n’y a jamais eu [de virus] avec autant de noms. Je pourrais vous donner 19 ou 20 noms pour lui, non ? Ils ont tous des noms différents : le coronavirus, le virus de Wuhan, le virus chinois…
Et quand Trump a dit Kung flu – « grippe kung », le public a répondu par des acclamations, bien conscient que Trump attaquait la culture du politiquement correct.
Obama est tombé droit dans le panneau
Obama a réagi à la provocation du président. Il s’est dit irrité, choqué, et énervé : bien joué monsieur le président !
Lors d’une récente apparition virtuelle, Obama a déclaré à ses partisans que « de tels sentiments sont tout à fait inappropriés de la part d’un président américain ».
Selon le New York Times, lors d’une collecte de fonds sur invitation organisée la semaine dernière pour la candidature à la présidence de l’ancien vice-président Joe Biden, Obama a rejeté l’utilisation de ce terme par le président Trump.
« Je ne veux pas d’un pays dans lequel le président des États-Unis essaie activement de promouvoir un sentiment anti-asiatique et pense que c’est drôle. Je ne veux pas cela. Cela me choque et m’énerve », a déclaré Obama.
Barack Obama n’a décidément a toujours en travers de la gorge le fait que Trump a été en partie élu justement parce que beaucoup d’Américains sont fatigués du politiquement correct. Ca leur tape sur les nerfs qu’on leur impose une liste constamment étendue, interminable, pesante, ridicule souvent, de mots interdits.
Le dirigisme socialiste que veut imposer le parti Démocrate, contrôlant progressivement chaque détail de la vie des gens, y compris bien entendu ce qu’ils n’ont pas le droit de dire car cela mène à contrôler ce qu’ils n’ont pas le droit de penser, ne correspond pas à la mentalité américaine.
Des responsables de la Maison Blanche, dont Kellyanne Conway, ont défendu l’utilisation de ce terme par Trump la semaine dernière après son meeting.
« Ma réaction est que le président a très clairement indiqué qu’il veut que tout le monde comprenne, et je pense que de nombreux Américains comprennent, que le virus est originaire de Chine », a déclaré M. Conway aux journalistes.
Des « experts » ont mis en garde que la rhétorique de Trump qui accuse la Chine de la propagation de la maladie conduirait à une augmentation du harcèlement à l’encontre des Américains d’origine asiatique. Cependant, cela ne s’est pas produit, comme on pouvait s’en douter : il s’agissait de démagogie : obtenir l’obéissance par la peur.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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Et franchement, comment se fait-il que l’ancien président des Etats Unis ne soit pas plus discret en général… ???? Il a le droit bie nentendu, mais… quelque chose me dit qu’il attaque pour ne pas se faire attaquer… mais si la justice suit son cours, nous verrons bien…
Il y a deux problèmes en Chine aujourd’hui : l’hygiène, notamment alimentaire, et le communisme.
Ceux qui sont gênés quand on dit cela sont des trouillards, des pétochards, des munichois en puissance. Le politiquement correct s’explique pour beaucoup par la trouille et la lâcheté. Regardez ceux qui s’agenouillent devant les terroristes de Black Lives Matter, ou devant les islamistes : des trouillards, des munichois. C’est la même chose avec la Chine actuelle.
Ce n’est pas aimable pour les habitants de Münich. Mais je comprends l’allusion.
Bonjour Monsieur Grumberg,
« Obama a déclaré »…. »lors d’une collecte de fonds Obama »….Obama..Encore et toujours Obama…Que fait Sleepy Joe, ne serait-il pas capable à lui seul de lever des fonds? S’il est terrorisé à l’idée d’être contaminé, il en a encore pour plusieurs mois et il n’en reste que quatre. Que dire d’un président qui a peur d’un virus quand il sera confronté à Poutine, Xi Jinping et consort, qui met des mois avant de choisir une femme pour vice-président, qui met un genoux à terre etc?
PS: quand j’ai vu la vidéo de soutien d’Obama à Sleepy Joe, j’ai été frappé par son attitude presque blasée. Il donnait l’impression d’une personne qui accomplissait une tâche à laquelle il ne croyait pas. Si des lueurs d’espoir apparaissaient régulièrement dans son regard, elles ne duraient jamais très longtemps. Ce n’était pas Biden qu’il soutenait, c’était le parti « démocrate » qu’il espérait ne plus voir dériver vers l’extreme-gauche. Il n’accepte cependant pas l’idée qu’il en est pourtant l’un des principaux responsables.
Cordialement
Si Biden est elu il ne le sera que pour une semaine, la semaine suivante le vice-president deviendra president (Epstein est comme les decorations de Noel, il ne se pend pas tout seul)
les journaleux français qui ne cessent de dire que trump est aussi illettré que bush junior ne s’en remettront pas
D’après ce que j’ai entendu sur « nos » média quand Trump a dit kung-flu, les journaleux avaient un autre angle d’attaque que le racisme antichinois : c’était « il a dit flu, il a dit flu, il prétend que c’est une grippe, il minimise la gravité de la situation! » – notamment de l’antitrup primaire Philippe Corbé de rtl.
Trump pousse les tests au maximum pour faire baisser le taux de léthalité du virus jusqu’à celui d’un simple rhume, pour définitivement tordre le cou à la propagande des marchands de peur, qui affectent aujourd’hui de confondre séropositivité –marque d’un contact passé avec le virus– avec nouvelle infection.
C’est aussi pour ça qu’il fait semblant de croire qu’un vaccin pourrait être disponible rapidement, alors qu’il sait que c’est impossible, qu’aucun vaccin n’a jamais marché pour un coronavirus.
Tout en favorisant les véritables traitements.
Ce M. Obama qui prend tout au premier degré, devrait décrocher de la politique !
Trump casse le Barak, parangon des geignards et des chochottes !
mzzchzzl, belle tournure argotique !
Quand des gens comme Obama sont choqués ou énervés, c’est bon signe. Il vaut mieux cela que le contraire.